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Esclaves, dépendants, deportés : les frontières de l'esclavage en Babylonie au premier millénaire avant J.-C. / Slaves, dependants, deportees : the boundaries of slavery in first millennium BCE Babylonia

Dromard, Benjamin 10 November 2017 (has links)
Au sein de la société babylonienne (actuel Irak) de la seconde moitié du premier millénaire avant Jésus, plusieurs modes d'organisation du travail coexistent : travail rémunéré, esclavage, différentes formes de dépendance. Ma thèse se concentre sur le statut et activités des esclaves et dépendant(e)s rattaché(e)s aux temples, ainsi que celui des déportés d'origine judéenne et ouest-sémitique déplacés de force en Mésopotamie par l'empire néo-babylonien lors de la conquête de la Syrie-­Palestine. Ces trois groupes sociaux ont pu être analysés comme étant soumis à des formes d'esclavage. Je tente une étude précise de leurs activités économiques, leur implication dans différents secteurs (agriculture, commerce, artisanat, construction), que ce soit en milieu rural ou urbain, tout en confrontant cela avec la documentation juridique et judiciaire disponible. Ainsi, je tente de montrer les frontières théoriques des statuts des esclaves, dépendant(e)s et déporté(e)s, mais aussi comment la seule lecture juridique est insuffisante pour cela. Ma thèse s'intéresse ainsi particulièrement à distinguer les hiérarchies socio-économiques présentes dans chacun de ces groupes de travailleurs afin de percevoir les dynamiques sociales qui se jouent. La constitution d'une classe de travailleurs intermédiaires (esclaves-agents, dépendants gestionnaires, déportés disposant de capital à investir ...) est un fait important à analyser de ce fait. Quelles possibilités de mobilité sociale et d'émancipation en Babylonie au premier millénaire avant J.-C. pour les membres de ces groupes? C'est l'enjeu de mon étude, pleinement inscrite dans l'histoire du travail. / Several modes of production exist in first millennium BCE Babylonia (modem Iraq): wage-labour, slavery, different forms of dependency. My thesis is mainly focused on the study of the status and the activities of slaves and temple dependants, with the addition of Judean and West Semite deportees, forced by the neo-Babylonian to live and work in Mesopotamia after the conquest of Syria-Palestine. These three social groups have been analysed as different forms of slavery in the historiography. My aim is for a precise study of their economic activities, their part in several economic sectors (agriculture, trade, craftsmanship, building) in rural and urban context. I try to put this in contrast with the available legal documentation. Therefore, I try to show the theoretical boundaries of the statuses of slaves, dependants and deportees and how their legal analysis isn't sufficient. My dissertation aims for revealing the hierarchies present inside those three groups of labourers and the social dynamics at play. The making of a class of intermediary workers (slave agents, dependants having an administrative position, deportees investing capital ... ) is an important historical fact needing an analysis. Are there possibilities for social mobility and emancipation in their favour in first millennium BCE Babylonia? Answering this is one objective of my study, grounded in the perspective of an history of labour.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Présence et influence iranienne dans les régions pontiques des origines à la chute de l’Empire achéménide / The Iranian presence and influence in the Pontus regions from the origins to the fall of the Achaemenid Empire

Bikas Shourkaei, Hamid 25 July 2011 (has links)
La présence iranienne dans les régions pontiques, bien qu’apparaissent de manière incidente dans de nombreuses études, n’a jamais fait l’objet d’une thèse de doctorat. Ce travail de thèse se propose de retracer l’histoire de la présence des Iraniens dans les régions pontiques des origines à la chute de l’Empire achéménide. Dans la première partie de notre thèse, nous passons en revue les discussions les plus récentes sur l’origine, les stades de la formation et la répartition des populations nomades iranophones dans les steppes eurasiatiques. Nous nous penchons notamment sur les rasions du passage au grand nomadisme pastoral monté de ses tribus à l’aube du Ier millénaire avant J.-C. Dans la deuxième partie de notre thèse, nous retraçons d’abord l’histoire du peuple cimmérien, puis nous traitons in extenso du problème de leur appartenance linguistique et anthropologique. Dans cette partie sont également examiné l’origine de la culture de la Scythie du Pont, l’établissement des Scythes en Asie antérieures et leur retour aux steppes nord-pontiques. A la fin de cette partie, nous reprenons l’analyse de la première légende d’origine des Scythes rapportée par Hérodote et nous tentons, en utilisant la méthode comparative dumézilienne, de démontrer que les éléments constitutifs de cette légende sont la résurgence et l’assemblage de schémas narratifs des mythes fondateurs des peuples iraniens. La troisième partie de notre thèse est consacrée à l’étude de la présence iranienne dans les régions pontiques à l’époque achéménide. Nous nous appliquons à dresser le portrait historique de ces espaces géographiques sous la domination achéménide et nous tentons d’identifier les traces de l’occupation achéménide ainsi que les « marqueurs » de la présence iranienne dans ces régions. Les documents de natures diverses et complémentaires permettent de confirmer non seulement la présence iranienne, mais aussi la profondeur des contacts inter-culturels entre les Iraniens de la diaspora impériale, les Grecs et les populations locales de ces régions. / The thesis studies the presence and influence of the Iranian peoples and tribes in the Pontus region from the origins to the fall of the Achaemenid Empire. While the sedentary Iranian people have been the center of attention, this work focuses firstly on the nomadic Iranian peoples originally living in western Siberia and who moved later in the north-Pontic region. In the absence of Cimmerian and Scythian written documents, the first part of thesis attempts to reconstruct a historical narrative of the migration and invasion of these people through the references made to them in ancient Greek and Assyrian texts, as well as by archaeological evidence. Modern debate about the Cimmerians’ linguistic and ethnic affiliation continues at a lively pace, for the existing documentation is both sparse and full of contradictions. Nonetheless, the inclination today is to consider them as an Iranian people. The second part of thesis traces the history of Scythian tribes in the North Pontic region. The first Scythian legend of origin, as related by Herodotus is studied and it is suggested that this legend incorporates typical features of Iranian legends of origin. The third part of the thesis studies the history of Pontus regions in the Achaemenid period and attempts to evaluate the impact of Persian and Iranian presence there. This part discusses the political status of the Pontus regions within the Achaemenid empire and attempts to determine the nature and the level of political incorporation of these regions into Achaemenid administrative organization. The work concludes by reviewing the written, archeological, artistic and various other sorts of evidence which suggests that there was not only a permanent presence of Persians and Iranians of the imperial diaspora, but also a considerable impact by the Achaemenid political and cultural influence in the Pontus region. This was due to the intense intercultural exchange between these Iranians and local populations.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila January 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Étude d'une archive d'une famille de notables de la ville d'Ur du VIe au IVe siècle av. J.-C. : l'archive des Gallābu / Study of an archive of a nobility familyfrom the city of Ur from the 4th to the 6th century BC : the Gallabu archive

Popova, Olga 28 June 2018 (has links)
La thèse présente la première édition complète et commentée des textes de l'archive de la famille Gallabu, une archive provenant de la ville d'Ur, au sud de la Babylonie. Il s'agit d'une famille de prébendiers-barbiers qui ont laissé la plus longue archive privée du Ier millénaire avant J.-C. Les documents de l'archive s'étalent sur 260 ans et couvrent les périodes néo-babylonienne, achéménide et hellénistique. La thèse présente une réflexion sur la nature de l'archive des Gallabu et étudie l'histoire particulière de la famille et de son patrimoine. La famille des Gallabu est placée par la suite dans un contexte politique et socio-économique plus large pour étudier de différents aspects de la vie socio-économique des notables urbains à Ur au Ier millénaire avant J.-C., la seconde ville méridionale la plus importante à cette époque. / This work presents the first complete and annotated edition of the texts from the Gallabu family archive, from the city of Ur in southern Babylonia. It is a family of prebendaries-barbers that left the longest known private archive in the first century BC. Documents of the archive cover over 260 years and include Neo-Babylonian, Achaemenid, and Hellenistic periods. The thesis provides an insight into the nature of the Gallabu archive and examines the history of the family and its heritage. The family of Gallabu is considered within a political and socio-economic context in order to study different aspects of the socio-economic life of the urban elite of the city of Ur in the first millennium BC, the second most important city in southern Babylonia at the time.
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La colonisation militaire en Phrygie et son impact (IVe s. av. J.C.- IIIe s. après J.C.) : dynamiques spatiales, économiques et sociales / The military colonization in Phrygia and its impact (IVth c. BC.- IIIrd c. AD) : spatial, economic and social dynamics

Roux, Michel 16 June 2018 (has links)
L'objectif de cette thèse est d'étudier sur le long terme, depuis la fin de l'époque achéménide jusqu'à celle du Haut-Empire (aux alentours de 235 après J.-C.) l'implantation de troupes et de vétérans perses, gréco-macédoniens, thraces, lyciens et romains, puis de leurs descendants, dans l'espace phrygien, région quelque peu marginale située dans le centre-ouest de l'Anatolie. Après avoir dans la première partie identifié et justifié stratégiquement les différents lieux d'installation, elle examine l'impact économique de celle-ci au travers de l'étude de la mainmise sur la terre et ses productions, du rôle des soldats en tant que producteurs et consommateurs et de leur implication dans la sécurisation du territoire. Sur un plan social, le quotidien des militaires, des vétérans et de leurs familles est ensuite examiné, de même que les formes prises par leur domination sur le reste de la population et leurs choix religieux. Le tout s'appuie sur un vaste corpus de plusieurs centaines d'inscriptions et de monnaies. / The objective of this thesis is to study on the long term, since the end of the achaemenid period until that of the roman Top-empire (near 235 AD) the setting-up of persian, greco-macedonian, thracian, lycian and roman troops and veterans, then of their descendants, in the Phrygian space, a little marginal region situated in west central Anatolia. Having in the first part identified and justified strategically the various places of installation, it examines the economic impact of this one through the study of the seizure by the earth and its productions, the role of the soldiers as producers and consumers and of their implication in the reassurance of the territory. On a social plan, the everyday life of the servicemen, the veterans and their families is then examined, as well as the forms taken by their domination on the rest of the population and their religious choices. The whole is based on a vast corpus of several hundred inscriptions and coins.
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Occupation de la plaine de Persépolis au Ier millénaire av. J.-C. (Fars central, Iran) / The Persepolis plain settlement during the first millenium BC (Central Fars, Iran)

Gondet, Sébastien 02 April 2011 (has links)
Fondée par Darius Ier (522-486 av. J.-C.), Persépolis constituait une des résidences royales temporaires des souverains de l’Empire achéménide (550-330 av. J.-C.). Elle était également un centre administratif et économique, capitale d’une vaste province, la Perse, située au cœur de l’Empire. L’organisation de Persépolis reste largement méconnue de même que celle du vaste territoire, la plaine environnante, qu’elle contrôlait.Notre étude vise à mieux comprendre d’une part l’occupation du site de Persépolis qui va de la terrasse monumentale à la nécropole royale à 6 km au nord, d’autre part la mise en valeur de la plaine, en replaçant la période achéménide dans le contexte plus large du Ier millénaire av. J.-C. Dans un premier temps, l’étude prend en compte les dynamiques environnementales de la région. Les recherches sont fondées sur les méthodes de prospections archéologiques (reconnaissances à vue et méthodes géophysiques). Elle aboutit à une reconstitution d’une ville répartie en plusieurs blocs de fonctions différentes (habitats ordinaires, zones artisanales, résidences de l’élite et bâtiments de prestige) séparés les uns des autres par de vastes espaces non-bâtis mais probablement aménagés.Pour la plaine (100 km par 30 km), la prospection des sites achéménides a dû prendre en compte les graves destructions liées à la modernisation (agriculture, urbanisation, voies de communication) et s’est concentrée sur quelques sites préservés et des zones de piedmonts sélectionnées. Ces recherches ont montré une occupation très distendue essentiellement localisée dans la partie nord de la plaine et incluant la zone de Persépolis. La partie sud de la plaine était beaucoup moins exploitée. Cependant cette reconstitution doit tenir compte de la réduction sévère du potentiel archéologique, tout particulièrement dans le cadre de l’étude de l’occupation à la période achéménide, lorsque l’exploitation du sol reposait sur des installations rurales de dimensions modestes. / Founded by Darius I (522-486 BC), Persepolis represented one of the seats of the kings of the Achaemenid Empire (550-330 BC). Moreover, the site served as an administrative and economic centre and acted as capital for the vast province, named Persia, situated in the heart of the Empire. The spatial character of both the royal site as well as the wider hinterland it controlled, the vast surrounding plain, are however largely unknown.The study aims at providing better insight in both the occupation of the site of Persepolis, stretching from the monumental terrace to the royal necropolis 6 km farther north, along with that of the supporting plain. It therefore frames and evaluates the Achaemenid period within the context of the first millennium BC. At the outset, the study integrates the environmental dynamics of the region. The research was based on the methods of archaeological survey (field survey and geophysical methods) and allowed to reconstruct a ‘city’ composed of different functional zones (common housing, industrial quarters, elite residences, and royal monuments) separated from one another by large areas, presumably unbuilt though exploited.For the plain (100 by 30 km), the survey of Achaemenid sites was biased by the important destructions by recent development (industrialised agriculture, urbanism, transport and communication). Research has therefore been focussed on a number of preserved sites on the one hand and on selected piedmont areas on the other. These surveys brought to light a scattered occupation, predominantly situated in the northern part of the plain, also encompassing the Persepolis zone, while the southern region of the plain was less occupied. Nonetheless, this reconstruction should take into account the important reduction of archaeological potential, particularly in the case of a study focussing on the Achaemenid occupation since settlement in the wider Persepolis area was first and foremost of rural natural and of rather modest size.
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Les relations entre Grecs et Perses en Asie Mineure occidentale à l'époque achéménide (VIe-IVe siècle av. J.-C.) / Relations between Greeks and Persians in Western Asia Minor during the Achaemenid domination (6th-4th Centuries B.C.)

Bouzid-Adler, Fabrice 30 June 2015 (has links)
De la conquête de Cyrus II en 547 av. J.-C. à celle d'Alexandre le Grand en 334 av. J.-C., l'Asie Mineure occidentale a fait partie de l'empire achéménide. Les Grecs d'Asie ont donc vécu pendant plus de deux siècles en contact avec des populations perses, qu'il s'agisse des satrapes ou des membres de la diaspora impériale venus s'installer dans les régions conquises. Cette proximité géographique a donné lieu à de très nombreux échanges institutionnels, culturels et personnels. Cette thèse s’intéresse à la diversité des relations ayant existé entre les membres des deux communautés. Elle s'efforce de montrer de quelle manière deux peuples souvent présentés comme des ennemis héréditaires ont vécu dans un même espace géographique. / Western Asia Minor was part of the Achaemenid Empire from the conquest of Cyrus II (547 B.C.) to that of Alexander the Great (334 B.C.). Thus, during more than two centuries, Asian Greeks have lived in touch with Persians, either satraps or members of the imperial diaspora who settled in the conquered regions. This geographical closeness gave rise to a number of institutional, cultural and personal exchanges. This thesis explores the variety of relationships having existed between members of the two communities. It seeks to show how two peoples traditionally presented as enemies actually cohabited in the same geographical space.

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