• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Impact de l'homophobie sur la détresse psychologique et l'adaptation conjugale de couples de mères lesbiennes biologiques et non biologiques vivant au Canada et en France

Marcil-Denault, Florence January 2012 (has links)
Malgré les avancées sociales et juridiques considérables des personnes de minorités sexuelles, l'homophobie dont elles sont encore victimes nuit à leur bien-être (p. ex., Cochran & Mays, 2009; Hatzenbuehler, Nolen-Hoeksema, & Dovidio, 2009; Meyer, 2003). Cette thèse porte sur les expériences d'homophobie spécifiques auxquelles les femmes lesbiennes sont exposées dans l'accès à la maternité et leur rôle de parent. Les deux premiers objectifs consistaient à évaluer l'impact de l'homophobie vécue par des mères lesbiennes dans différents milieux (clinique de fertilité, avec le personnel de santé, en garderie et dans le voisinage) sur leur niveau de bien-être, soit 1) la détresse psychologique et, 2) l'adaptation conjugale. Le troisième objectif visait à évaluer si le soutien de la famille d'origine pouvait protéger les mères de l'impact néfaste anticipé de l'homophobie sur leur bien-être. Les quatrième et cinquième objectifs de cette thèse examinaient si le lien biologique de la mère à son enfant (biologique versus non biologique) et le pays de résidence des mères (Canada versus France) avaient une incidence sur la fréquence des expériences d'homophobie rapportées. Recrutées par le biais d'organismes de soutien aux familles homoparentales, 138 familles de mères lesbiennes en couple ayant eu au moins un enfant par insémination artificielle ont été retenues pour cette étude, dont 75 canadiennes et 63 françaises. Les données ont été recueillies au moyen de questionnaires autorapportés. Comme le soutenaient nos hypothèses, les analyses des résultats ont montré que les expériences d'homophobie vécues en milieu de garderie avaient un impact négatif sur le bien-être des mères. De plus, le soutien par la famille atténuait l'impact négatif de l'homophobie vécue avec le personnel de santé. Toutefois, le statut biologique et le pays de résidence n'étaient pas liés à la fréquence des expériences d'homophobie rapportées par les mères de notre échantillon. Les implications sociales et politiques ainsi que les limitations des résultats sont discutées. En conclusion, les résultats de cette thèse confirment, d'une part, l'impact négatif de l'homophobie sur le bien-être de mères lesbiennes favorisées, éduquées et soutenues par leur famille, et invitent d'autre part, à poursuivre la recherche auprès d'une population plus vulnérable. Enfin, le soutien par la famille d'origine étant apparu important comme facteur de protection, il serait intéressant de développer un instrument de mesure du soutien plus spécifique aux expériences d'homophobie.
2

Validation of the couples' cancer communication scale

Drouin, Sammantha 03 1900 (has links)
Un diagnostic de cancer du sein met la relation d’un couple à l'épreuve. La communication à propos du cancer peut aider les conjoints à s’appuyer mutuellement afin de mieux s’adapter à la maladie. Cependant, dans la documentation existante, peu d’échelles mesurent explicitement cette forme de communication. Ce projet avait pour but de valider l’échelle de communication des couples aux prises avec le cancer (CCC). Les patientes (N = 120) et leurs conjoints (N = 109) ont été interrogés au sujet de leur expérience avec le cancer du sein. Une analyse factorielle performé sur l’ensemble des données a permis de retenir deux facteurs pour l’échelle CCC, l’évitement et l’ouverture à la communication. L’échelle a démontré une bonne validité convergente avec le Primary Communication Inventory (r = .54, p <.01 patientes; r = .55, p <.01 partenaires). Finalement, l’échelle CCC prédit la dépression (Δr² = 0.029) et l’ajustement marital (Δr² = 0.032) au-delà de la communication générale. Avec plus ample développement, l'échelle actuelle pourrait servir à des fins de recherche ainsi que dans des contextes cliniques où une évaluation après un diagnostic de cancer permettrait, au besoin, la mise en oeuvre précoce d’interventions sur la communication conjugale au propos de la maladie. / A diagnosis of breast cancer powerfully challenges a couple’s relationship. Couple illness communication is one way couples offer each other mutual support, allowing for better illness adjustment. However, in the existing literature, few scales explicitly measure couple illness communication. The goals of the present study were to validate the Couple Cancer Communication scale (CCC) and to examine the association between CCC and cancer-related adjustment outcomes. Patients (N = 120) and their spouses (N = 109) were interviewed regarding their experience with breast cancer. A two factor solution was retained for the CCC scale, avoidance and openness to communication. It demonstrated good convergent validity with the Primary Communication Inventory (r = .54, p <.01 for patients; r = .55, p <.01 for partners). Finally, the CCC scale significantly predicted both depression (Δr² = 0.029) and marital adjustment (Δr² = 0.032) scores above and beyond general communication. With further development, the CCC could be a useful tool as an assessment measure in a life-threatening disease. The present scale, in conjunction with other sources of information, could be used in future research and clinical settings when attempting to assess illness-related communication and related outcomes.
3

Validation of the couples' cancer communication scale

Drouin, Sammantha 03 1900 (has links)
Un diagnostic de cancer du sein met la relation d’un couple à l'épreuve. La communication à propos du cancer peut aider les conjoints à s’appuyer mutuellement afin de mieux s’adapter à la maladie. Cependant, dans la documentation existante, peu d’échelles mesurent explicitement cette forme de communication. Ce projet avait pour but de valider l’échelle de communication des couples aux prises avec le cancer (CCC). Les patientes (N = 120) et leurs conjoints (N = 109) ont été interrogés au sujet de leur expérience avec le cancer du sein. Une analyse factorielle performé sur l’ensemble des données a permis de retenir deux facteurs pour l’échelle CCC, l’évitement et l’ouverture à la communication. L’échelle a démontré une bonne validité convergente avec le Primary Communication Inventory (r = .54, p <.01 patientes; r = .55, p <.01 partenaires). Finalement, l’échelle CCC prédit la dépression (Δr² = 0.029) et l’ajustement marital (Δr² = 0.032) au-delà de la communication générale. Avec plus ample développement, l'échelle actuelle pourrait servir à des fins de recherche ainsi que dans des contextes cliniques où une évaluation après un diagnostic de cancer permettrait, au besoin, la mise en oeuvre précoce d’interventions sur la communication conjugale au propos de la maladie. / A diagnosis of breast cancer powerfully challenges a couple’s relationship. Couple illness communication is one way couples offer each other mutual support, allowing for better illness adjustment. However, in the existing literature, few scales explicitly measure couple illness communication. The goals of the present study were to validate the Couple Cancer Communication scale (CCC) and to examine the association between CCC and cancer-related adjustment outcomes. Patients (N = 120) and their spouses (N = 109) were interviewed regarding their experience with breast cancer. A two factor solution was retained for the CCC scale, avoidance and openness to communication. It demonstrated good convergent validity with the Primary Communication Inventory (r = .54, p <.01 for patients; r = .55, p <.01 for partners). Finally, the CCC scale significantly predicted both depression (Δr² = 0.029) and marital adjustment (Δr² = 0.032) scores above and beyond general communication. With further development, the CCC could be a useful tool as an assessment measure in a life-threatening disease. The present scale, in conjunction with other sources of information, could be used in future research and clinical settings when attempting to assess illness-related communication and related outcomes.

Page generated in 0.0829 seconds