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Expérience d'homophobie en milieu scolaire secondaire : les réactions de jeunes victimes lesbiennes

Desbiens Sergerie, Marilyn January 2014 (has links)
Cette recherche exploratoire aborde la problématique de l’homophobie, plus spécifiquement le vécu de six jeunes femmes lesbiennes ayant été victimes d’actes homophobes lorsqu’elles fréquentaient l’école secondaire. Une synthèse des études conduites au Québec sur l’homophobie permet de conclure à un manque de connaissances en ce qui a trait aux réactions des victimes d’homophobie. C’est pourquoi cette étude phénoménologique vise à examiner les réactions des participantes (comportements, cognitions, émotions) lors d’incidents homophobes, et les facteurs ayant pu influencer celles-ci (variables contextuelles et personnelles). Les participantes ont participé à une entrevue individuelle semi-structurée, afin de documenter leur expérience subjective, et d’élaborer des récits phénoménologiques. Les résultats démontrent que les participantes ont partagé des expériences comportementales (paralyser, éviter, riposter, rechercher du soutien), cognitives (remettre en question son identité sexuelle, constater un manque de connaissance sur les réalités des minorités sexuelles) et émotives (éprouver un sentiment dépressif, de solitude, de peur, de colère) au travers de leur vécu homophobe. Certains facteurs paraissent également avoir influencé leurs réactions et leur capacité d’intervenir. Au niveau des variables contextuelles, la position de force et de faiblesse entre victimes et agresseurs ainsi que la perception qu’avaient les victimes de pouvoir être soutenues sont au nombre de ces facteurs. Au niveau des variables personnelles, la personnalité de la victime, la consolidation de son identité homosexuelle ainsi que son désir de s’impliquer dans la lutte à l’homophobie ont aussi joué un rôle dans leur manière de réagir à l’homophobie. Il a aussi été possible de mettre en lumière que le vécu des jeunes lesbiennes victimes d’homophobie est différent de celui des jeunes hétérosexuels victimes d’intimidation, entre autres, parce que les participantes de l’étude ont toutes éprouvé des difficultés à consolider leur identité sexuelle en raison des incidents homophobes et parce qu’elles ont eu du mal à rechercher du soutien lorsqu’elles n’avaient pas encore dévoilé leur homosexualité à leur entourage. Enfin, la majorité des participantes de l’étude ont éprouvé de la difficulté à se défendre au début de leur secondaire et à déployer des stratégies de défense efficaces. Cette recherche soulève la pertinence de mieux documenter chacune des étapes du « modèle transactionnel du stress » qui s’opère lorsqu’un individu se sent menacé, comme cela est le cas lors d’un incident homophobe, afin de mieux comprendre quelles sont les ressources des victimes, les stratégies de coping qu’elles déploient et l’impact de leurs actions sur leurs comportements, leurs cognitions et leurs émotions. Il paraît nécessaire que les jeunes de minorité sexuelle soient davantage outillés pour se défendre contre l’homophobie, tout comme ceux qui les entourent (amis, membres du personnel scolaire, parents), afin qu’ils puissent les soutenir dans leurs démarches.
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Homosexualité(s) masculine(s) et expériences carcérales : une étude exploratoire

Hamel, Bryan 10 May 2018 (has links)
Les études criminologiques qui ont trait à l’articulation entre sexualité(s) et détention sont rares. Celles qui portent sur les expériences de détenus homosexuels sont pratiquement inexistantes. Cette recherche exploratoire, basée sur la réalisation d’entretiens semi-directifs auprès d’ex-détenus homosexuels incarcérés dans des pénitenciers et prisons situées au Québec, vise à combler une partie de cet espace. En analysant les récits de leur passage en institution carcérale, nous interrogeons leurs conceptions des notions d’identités et d’orientations sexuelles. Il en ressort notamment que l’homosexualité prend une place variable dans la définition qu’ils donnent d’eux-mêmes. L’impact de l’environnement dans l’actualisation et la mise au jour de certaines facettes identitaires est également pris en compte, de même que leur perception de la tolérance et de l’acceptabilité de l’homosexualité en contexte carcéral. Pour eux, bien que l’homophobie soit rare, elle ne peut être conceptualisée séparément des notions de « masculinité » et de « visibilité ».
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L’orientation sexuelle, facteur de suicide et de conduites à risque chez les adolescents et les jeunes adultes ? : l’influence de l’homophobie et de la victimation homophobe en milieu scolaire / Is sexual orientation a factor for suicide and risk behavior among teenagers and young adults ? : on the influence of homophobia and homophobic bullying in school

Pugnière, Jean-Michel 02 November 2011 (has links)
De nombreuses recherches, principalement nord-américaines, ont mis en évidence un lien significatif entre orientation sexuelle et comportements suicidaires des adolescent e s / jeunes adultes (Beck & al., 2010). L’homophobie à laquelle les jeunes homo/bisexuel-le-s sont exposé e s est considérée comme l’hypothèse la plus sérieuse pour expliquer ce lien, mais, jusque-là, cette hypothèse n’avait jamais fait l’objet d’une recherche quantitative dans notre pays. Nous l’avons prise en compte dans le cadre d’une enquête réalisée sur la base d’un auto-questionnaire informatisé - composé notamment à partir des échelles « Adolescent Risk inventory » (A.R.I, Lescano & al., 2007), « Suicidal Behaviors Questionnaire – Revised » (SBQ-r, Linehan, 1989), et « Homophobia Scale » (Wright, Adams & Bernat, 1999) - auquel ont répondu 475 filles et 426 garçons, âgé-e-s de 18 à 24 ans. Les résultats confirment la sursuicidalité des jeunes homo/bi-sexuel-le-s. Cependant, dans les analyses menées auprès des participants de sexe masculin, l’orientation sexuelle n’apparait plus comme un prédicteur significatif des tentatives de suicide et des conduites à risque dans les modèles explicatifs où l’on introduit les variables «Victimation Verbale Homophobe en milieu scolaire» et «Victimation basée sur la Non-conformité de genre». Ces variables s’avèrent d’ailleurs les plus forts prédicteurs des comportements suicidaires chez les garçons. Ceux-ci présentent des scores moyens à l’échelle d’homophobie/lesbophobie significativement plus élevés que les filles, et la victimation verbale homophobe semble beaucoup plus répandue que la victimation verbale lesbophobe. Cette dernière ne présente par ailleurs pas d’effet significatif sur les tentatives de suicide et les conduites à risque des filles. En revanche, la lesbophobie intériorisée a un effet significatif sur les comportements suicidaires dans le sous-échantillon des filles attirées sexuellement par le même sexe ou en questionnement (ASMSQ), alors que l’homophobie intériorisée n’en présente pas chez les garçons ASMSQ. Ce dernier résultat, basé sur un plus faible effectif, demande à être confirmé par des recherches ultérieures tandis que les analyses portant sur l’ensemble des participants mettent en évidence l’ampleur de la victimation homophobe en milieu scolaire et son impact chez les adolescents et jeunes adultes de sexe masculin. / Several studies (mostly North-American) put into light a significant link between sexual orientation and suicidal behaviors among teenagers and/or young adults. Homophobia to which the young homosexuals are exposed is considered the most serious hypothesis to explain this link. However quantitative studies have never been conducted on this hypothesis in France. We took it into account while carrying out a survey based on a self-questionnaire built up from scales from “Adolescent Risk Inventory” (Lescano & al., 2007), Suicidal Behaviors Questionnaire – revised” (Linehan, 1989), and Homophobia Scale” (Wright, Adams & Bernat, 1999). Said survey was answered by 475 young women, and 426 young men aged 18-24.Results confirmed oversuicidality among young homo/bisexuals. However, in the analysis conducted on male participants only, sexual orientation ceases to appear a significant predictor of suicide attempts or risk behavior in explanatory models in which variables « Homophobic Verbal Bullying in school » and « Bullying based on Gender nonconformity » are introduced. Said variables turn out to be the strongest predictors of suicidal behaviors among male adolescents and young adults. Young men have mean scores on the homophobia/lesbophobia scale that are significantly higher than young women's, and homophobic verbal bullying seems a lot more common than lesbophobic verbal bullying. Besides, lesbophobic verbal bullying does not have a significant effect on suicidal attempts and risk behaviors among young women. However, internalized lesbophobia has a significant effect on suicidal behaviors of the sub-sample of young women sexually attracted to same-sex individuals or wondering (ASMSQ), whereas internalized homophobia has no effect on ASMSQ young men. This last result is based on a lower population, and should be confirmed by subsequent studies, whereas analysis on all participants highlight the extent of homophobic bullying in school, and its impact on male teenagers and young adults.
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L'orientation sexuelle, facteur de suicide et de conduites à risque chez les adolescents et les jeunes adultes ? : l'influence de l'homophobie et de la victimation homophobe en milieu scolaire

Pugnière, Jean-Michel 02 November 2011 (has links) (PDF)
De nombreuses recherches, principalement nord-américaines, ont mis en évidence un lien significatif entre orientation sexuelle et comportements suicidaires des adolescent e s / jeunes adultes (Beck & al., 2010). L'homophobie à laquelle les jeunes homo/bisexuel-le-s sont exposé e s est considérée comme l'hypothèse la plus sérieuse pour expliquer ce lien, mais, jusque-là, cette hypothèse n'avait jamais fait l'objet d'une recherche quantitative dans notre pays. Nous l'avons prise en compte dans le cadre d'une enquête réalisée sur la base d'un auto-questionnaire informatisé - composé notamment à partir des échelles " Adolescent Risk inventory " (A.R.I, Lescano & al., 2007), " Suicidal Behaviors Questionnaire - Revised " (SBQ-r, Linehan, 1989), et " Homophobia Scale " (Wright, Adams & Bernat, 1999) - auquel ont répondu 475 filles et 426 garçons, âgé-e-s de 18 à 24 ans. Les résultats confirment la sursuicidalité des jeunes homo/bi-sexuel-le-s. Cependant, dans les analyses menées auprès des participants de sexe masculin, l'orientation sexuelle n'apparait plus comme un prédicteur significatif des tentatives de suicide et des conduites à risque dans les modèles explicatifs où l'on introduit les variables "Victimation Verbale Homophobe en milieu scolaire" et "Victimation basée sur la Non-conformité de genre". Ces variables s'avèrent d'ailleurs les plus forts prédicteurs des comportements suicidaires chez les garçons. Ceux-ci présentent des scores moyens à l'échelle d'homophobie/lesbophobie significativement plus élevés que les filles, et la victimation verbale homophobe semble beaucoup plus répandue que la victimation verbale lesbophobe. Cette dernière ne présente par ailleurs pas d'effet significatif sur les tentatives de suicide et les conduites à risque des filles. En revanche, la lesbophobie intériorisée a un effet significatif sur les comportements suicidaires dans le sous-échantillon des filles attirées sexuellement par le même sexe ou en questionnement (ASMSQ), alors que l'homophobie intériorisée n'en présente pas chez les garçons ASMSQ. Ce dernier résultat, basé sur un plus faible effectif, demande à être confirmé par des recherches ultérieures tandis que les analyses portant sur l'ensemble des participants mettent en évidence l'ampleur de la victimation homophobe en milieu scolaire et son impact chez les adolescents et jeunes adultes de sexe masculin.
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La fabrique des garçons : sanctions et genre au collège / Boys in the making : sanctions and gender in the French secondary school

Ayral, Sylvie 26 November 2009 (has links)
Dans les cinq collèges aux caractéristiques socioculturelles très différentes enquêtés pour cette recherche, de 75,7 % à 84,2% des élèves ayant été sanctionnés (tous motifs confondus) sont des garçons. Ils représentent également de 84,2% à 97,6% des élèves sanctionnés pour« violence sur autrui ». Comment expliquer une telle asymétrie sexuée? Pourquoi n'attire-t-elle pas l'attention des équipes éducatives alors que le ministère de l'Education Nationale réaffirme à chaque rentrée scolaire le principe de l'égalité des sexes et que les effets négatifs des punitions données de manière excessive sont démontrés depuis longtemps? N'y a-t-il pas un paradoxe flagrant entre le discours égalitaire officiel et des pratiques qui en prennent le contre-pied, paradoxe d'autant plus criant que la sanction se veut désormais « éducative» ? L'univers scolaire est un espace/temps d'interactions inter-sexes ainsi que d'activation des stéréotypes de genre. Cette thèse propose de placer la variable genre au centre pour revisiter le système des sanctions et les transgressions auxquelles elles s'appliquent à la lumière des rapports sociaux de sexe. En effet d'une part la relation pédagogique est également une relation sexuée, d'autre part l'injonction à la virilité et à l'hétéronormativité encourage chez les garçons les attitudes de défi, les comportements violents, homophobes et sexistes. Au collège le règlement intérieur a force de Loi. Les garçons se trouvent pris dans une double contrainte normative: celle du règlement intérieur et celle de la virilité. L'attribution d'une sanction est un dispositif ritualisé, organisé à la fois pour la désignation du contrevenant et pour la manifestation du pouvoir qui punit, renforcé par l'appareil d'écriture qui l'accompagne (avertissements officiels, registre des sanctions, comptes rendus de conseils de discipline, etc.). La sanction est un acte performatif qui définit, confirme et consacre le comportement incriminé et, au-delà, le sujet de la sanction. Finalement l'appareil punitif scolaire, en stigmatisant les garçons par la punition, ne les consacre-t-il pas dans leur identité masculine, construisant ainsi lui-même ce qu'il prétend corriger? / In the five socially and culturally diverse secondary schools where this research was conducted, between 75,7% and 84,2% of the pupils disciplined were boys. They also represent between 84.2% and 97.7% of pupils disciplined for “violent conduct towards other pupils.” How are we to understand such an imbalance of the sexes? At the beginning of each school year the Ministry of Education reaffirms the principle of sexual equality and the negative effects of excessive punishment have been clearly shown for some time, yet this sexual imbalance still does not attract the attention of educational teams. Is there not here a clear paradox between the official egalitarian position and the daily practice to the contrary? And is this paradox not all the more flagrant when the idea of disciplinary sanctions is said to be ‘educational?’ The world of the secondary school is a place of interaction in time and space between the sexes as well as the establishment of gender stereotypes. This paper proposes placing the idea of gender variable at the centre in order to look again at the sanction system and at the transgressions to which it is applied in the light of social interaction between the sexes. On the one hand the pedagogical relationship a relation between sexes, on the other hand an appeal to virility and of heteronormativity encourages in boys attitudes of defiance, and of violent, homophobic and sexist conduct. In the secondary school, internal school rules have the force of law. Boys find themselves caught in a dual normative constraint. – that of internal rules and that of virility. The application of a disciplinary sanction is a form of ritual, organised both to designate the offender and to demonstrate the power of the punishing system, reinforced by the machinery of written documents which accompanies it, namely the official warnings, the recording in the sanctions register and the minutes of disciplinary hearings etc. The disciplinary sanction is a performative act which defines, confirms and consecrates the behaviour incriminated and, beyond this, the subject of the sanction. Finally, in stigmatising boys by the punishment it gives, does not the system of school punishment consecrate their masculine identity, while at the same time helping to construct what it seeks to correct?
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La relation entre les connaissances et les attitudes relatives à la diversité sexuelle chez les enseignantes et les enseignants québécois et colombiens en formation initiale

Franco Morales, Freddy January 2013 (has links)
Des études états-uniennes et canadiennes révèlent diverses situations d'homophobie (Taylor, Peter, McMinn, Elliott, Beldom, Ferry, Gross, Paquin et Schachter, 2011) en milieu scolaire. Au Québec, une étude récente a également montré que les élèves lesbiennes, gays et bisexuels des deux sexes (LGB) font face à l'intimidation, au harcèlement, aux insultes et à la discrimination dans les écoles (Chamberland, Émond, Bemier, Richard, Petit, Chevrier, Ryan, Otis et Julien, 2011). Les victimes d'intimidation et de discrimination manifestent des difficultés psychologiques (diagnostiquées ou non) telles que des troubles de l'humeur (tristesse, dépression, idéations ou tentatives de suicide), des troubles anxieux ou encore une faible estime d'eux-mêmes. De plus, ces élèves se sentent mal à l'aise à l'école, ont de la difficulté à se concentrer en classe et vont même jusqu'à manquer des cours, des journées de classe ou encore décrocher du système scolaire (Chamberland, Émond, Julien, Otis, et Ryan, 2011). Compte tenu de la situation problématique des élèves LGB dans les écoles, nous avons voulu identifier les liens entre les connaissances relatives aux rôles et comportements sexuels ainsi qu'aux réalités des jeunes LGB ou perçus comme tels du futur personnel enseignant tant québécois que colombien et leur attitudes envers l'homosexualité et bisexualité. Notre hypothèse à cet égard est que la tolérance face à la diversité sexuelle est en partie fonction des connaissances des personnes sur la question. Pour réaliser notre recherche, nous avons construit un questionnaire à partir des travaux de Kinsey (1948, 1953) sur le comportement sexuel humain, de Bein (1974, 1981) sur le rôle sexuel, de la littérature sur le vécu des jeunes LGB et de Herek et McLemore, (2011) sur les attitudes envers l'homosexualité. Nous avons effectué des analyses descriptives pour identifier les connaissances des participants et participantes ainsi que leurs attitudes envers la diversité sexuelle. Nous avons en outre procédé à des analyses de corrélations pour examiner la force des liens entre les connaissances et les attitudes. Nous avons enfin comparé les résultats obtenus en Colombie et au Québec à l'aide de tests t. Les résultats obtenus confirment notre hypothèse sur la relation entre connaissances et attitudes et révèlent un manque de connaissances sur les trois sujets testés, des attitudes ni tout à fait hostiles ni tout à fait positives dans les deux sous-échantillons, colombien et québécois. Cette étude pourra donc contribuer à améliorer la formation du personnel enseignant, en incluant des cours portant sur la diversité, sexuelle notamment, de façon à favoriser l'éclosion d'attitudes positives chez ce dernier et contribuer ainsi à rendre l'école plus sécuritaire pour les élèves LGB et à favoriser leur réussite scolaire. Cette recherche est pionnière par certains de ses aspects et apporte de nouvelles informations utiles pour comprendre les phénomènes humains autour desquels s'articulent les attitudes envers la diversité sexuelle.
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Exploration de l'expérience de la violence homophobe chez des hommes homosexuels

Fluet, Carol January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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O discurso de ódio contra as minorias sexuais e os limites da liberdade de expressão no Brasil / Die Hassrede gegen sexuelle Minderheiten und die Grenzen der Redefreiheit in Brasilien.

Oliva, Thiago Dias 20 February 2015 (has links)
A violência de que são vítimas as minorias, sejam elas étnicas, religiosas, nacionais ou sexuais, toma diversas formas, cumprindo ao direito identificá-las e coibi-las, para que o direito à não-discriminação, prerrogativa básica no âmbito do Estado democrático contemporâneo, não seja apenas uma garantia formal. Dentre os diferentes contornos que a violência pode assumir, destaca-se o discurso de ódio, forma de agressão às minorias que passa, muitas vezes, despercebida, pois não envolve um ataque evidente à integridade física da vítima. Ainda que não seja evidente, o discurso de ódio é extremamente nocivo, eis que dispõe de mecanismos aptos à difusão de uma cultura de exclusão e marginalização social das minorias, contribuindo para a perpetuação de desigualdades e a violação de direitos. Dentre as minorias que mais sofrem atualmente em virtude do discurso de ódio, destacam-se as minorias sexuais, submetidas a essa forma de violência em todo o mundo, em menor ou em maior grau. Políticos e, sobretudo, líderes religiosos, têm se manifestado veementemente no sentido de que os direitos LGBT não devem ser reconhecidos e respeitados. Tais discursos utilizam-se, com frequência, de argumentos de impacto na psicologia individual e coletiva dos interlocutores de modo a segregar socialmente os indivíduos LGBT. Assim, exercem forte influência na opinião dos brasileiros, o que coloca mais obstáculos à luta das minorias sexuais pela afirmação de seus direitos no país. É neste contexto que se insere o presente estudo, o qual trata dos limites à liberdade de expressão, no Brasil, tendo em vista o discurso de ódio contra as minorias sexuais. Para tratar do assunto, são analisadas as soluções adotadas em outras democracias ocidentais e os últimos desenvolvidos do Direito Internacional dos Direitos Humanos na matéria. / Die Gewalt gegen ethnische, religiöse, nationale oder sexuelle Minderheiten nimmt vielfältige Formen und es ist die Rolle des Rechts, sie zu identifizieren und zu unterdrücken. Eine solche Rolle ermöglicht die tatsächliche Durchsetzung des Antidiskriminierungsrechts, das als ein zeitgenössisches Vorrecht in demokratischen Staaten verstanden wird. Unter den verschiedenen Formen der Gewalt ragt die Hassrede hervor: eine Weise des tätlichen Angriffs auf Minderheiten, die unbemerkt bleibt, denn sie enthält keine körperliche Verletzung gegenüber dem Opfer. Obwohl die Hassrede nicht offensichtlich bedrohlich ist, verbreitet sie den Ausschluss von Minderheiten, was das Fortbestehen von Ungleichheiten ermöglicht und zur Verletzung der Rechte dieser Minderheiten führt. Bei gefährdeten Gruppen, die von Hassreden belästigt werden, ragen die sexuellen Minderheiten hervor, denn sie werden Opfer dieser Art von Gewalt in der ganzen Welt. Viele Politiker und vor allem religiöse Führer sind vollständig gegen die volle Anerkennung der Rechte der sexuellen Minderheiten. Oft üben ihre Aussagen Einfluss auf die Zuhörer aus, was zur sozialen Ausgrenzung dieser Minderheiten weiter beiträgt. Aufgrund ihres starken Einflusses auf die Stellungnahme der Brasilianer stellen diese Aussagen weitere Hindernisse im Kampf der sexuellen Minderheiten für die Geltendmachung der LGBT Rechte in Brasilien dar. In diesem Zusammenhang beschäftigt sich die vorliegende Dissertation mit den Grenzen der Freiheit der Meinungsäußerung in Brasilien im Gegensatz zu Hassreden gegen sexuelle Minderheiten in Anbetracht des Völkerrechts.
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Lutte contre l'homophobie et pratiques d'empowerment auprès des lesbiennes, gais et bisexuels(les)

Coulombe, Antoine January 2008 (has links) (PDF)
À travers les dernières années, un nombre grandissant de services ont été développés au Québec pour venir en aide aux lesbiennes, gais et bisexuels(les) (LGB). Un courant qui est venu inspirer bon nombre de ces projets est celui de l'empowerment. Cette recherche a pour objectif d'approfondir comment les pratiques sociales liées à la perspective d'empowerment peuvent être mises en place afin de favoriser le bien-être des LGB, soit en regardant comment les professionnels(les) viennent en aide à ces populations au Québec. Pour étudier ce sujet, nous avons choisi de rencontrer directement des professionnels(les) qui travaillent auprès de ces populations. La première étape de la recherche consistait à réaliser des entrevues individuelles auprès de six professionnels(les) d'expérience dans les pratiques sociales auprès des minorités sexuelles, soit pour connaître leurs pratiques et leurs perceptions de ces pratiques auprès des LGB. La deuxième étape consistait à réaliser trois rencontres avec un groupe de cinq professionnels(les) qui interviennent actuellement auprès des populations homosexuelles et bisexuelles. Le cheminement du groupe a permis un plus grand approfondissement des sujets par un va-et-vient entre les discussions, les réflexions et l'action à travers leurs pratiques auprès des LGB. Les résultats obtenus nous ont permis de mieux comprendre l'expérience, les pratiques et les réflexions de professionnels(les) qui travaillent auprès des LGB. Pour eux, un(e) professionnel(le) en intervention auprès des LGB doit posséder les compétences et les savoirs inhérents à une profession d'aide, avoir une ouverture d'esprit et avoir une compréhension des réalités des LGB, de l'homophobie et de l'hétérosexisme. Dans leurs pratiques, les professionnels(les) ont développé diverses stratégies et services qui aident les LGB à réaliser leur processus d'acceptation, leur coming out et à faire face à diverses difficultés en lien avec l'homophobie et l'hétérosexisme. Cette recherche confirme un accord entre les besoins des LGB en matière de services, les pratiques actuellement mises en place par les professionnels(les) et les pratiques d'empowerment. L'empowerment propose des outils qui favoriseront la remise en question de l'homophobie, et qui favoriseront auprès des LGB le développement d'une vision de soi positive, une prise pouvoir sur ses réalités, la possibilité de joindre ses forces à d'autres LGB et de prendre action pour changer les réalités sociales et structurelles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Empowerment, Homosexualité, Bisexualité, Homophobie et intervention.
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Hétérosexisme et le bien-être des adolescents de mères lesbiennes

Vyncke, Johanna January 2009 (has links) (PDF)
Les recherches comparatives entre les familles homoparentales et les familles hétéroparentales ont permis de montrer qu'il n'existe aucune différence statistique entre les enfants de familles homoparentales et hétéroparentales pour l'ensemble des variables développementales examinées. Toutefois plusieurs critiques ont été formulées à l'égard de ce paradigme comparatif qui ne permet pas d'évaluer la contribution de facteurs de risque et de protection propres aux familles homoparentales, comme celle des effets de l'hétérosexisme. La présente thèse s'inscrit donc dans le cadre d'un nouveau paradigme de recherche qui fait suite au large éventail de recherches comparatives (homosexuel vs. hétérosexuel) des 30 dernières années et accorde une place centrale à l'hétérosexisme. S'inspirant du modèle écologique de Bronfenbrenner (1979), la présente thèse avait pour but de modéliser l'association entre l'hétérosexisme vécu et perçu par les mères lesbiennes et par leurs enfants adolescents et le bien-être de ces adolescents. Le deuxième objectif de la thèse consistait à identifier des facteurs susceptibles de protéger les adolescents contre l'effet néfaste de l'hétérosexisme. Dans le premier article, nous avons développé et validé deux échelles évaluant des expériences uniques aux enfants de mères lesbiennes ou de pères gais. L'échelle d'hétérosexisme perçu (PHS) mesure la perception qu'ont les enfants des attitudes négatives de leurs pairs envers les familles homoparentales. L'échelle de préoccupation avec la divulgation de l'orientation sexuelle du parent (PDPSOS) mesure les préoccupations rapportées par les enfants concernant la divulgation de l'orientation sexuelle de leur parent en milieu scolaire. Soixante-quatre adolescents de mères lesbiennes (29 garçons, 35 filles) ont complété ces échelles. Les deux échelles démontrent une structure factorielle uni-factorielle et une très bonne cohérence interne. Nous avons confirmé la validité de construit des échelles en évaluant leur association avec le bien-être des adolescents. Les niveaux des deux échelles prédisent fortement le bien-être des garçons et partiellement le bien-être des filles. Cet article a été soumis à la revue Sex Roles. Dans le deuxième article, nous avons examiné les liens directs et indirects entre l'hétérosexisme et le bien-être des adolescents de mères lesbiennes dans un échantillon de 50 dyades mères lesbiennes-adolescents. Les résultats indiquent que a) l'expérience d'hétérosexisme de la mère et la perception d'hétérosexisme de l'adolescents sont tous deux négativement associés au bien-être des adolescents, b) la perception de soutien de l'école protège les adolescents de l'association négative entre les experiences d'hétérosexisme et leurs symptômes intériorisés, c) la perception de soutien de l'école, de la mère, et des amis protège les adolescents de l'association négative entre les expériences d'hétérosexisme et leurs symptômes extériorisés et d) la divulgation de l'orientation sexuelle du parent par l'enfant est négativement associée au bien-être de ceux-ci uniquement chez les enfants qui rapportent peu de soutien de la part de leurs amis et de leur école. Cet article a été soumis à la revue American Journal of Orthopsychiatry. La conclusion générale de la thèse résume les principaux résultats des articles, Elle souligne notamment la contribution et les limites de l'étude et propose des pistes de recherche future. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Homoparentalité, Mères lesbiennes, Adolescents, Hétérosexisme, Homophobie, Victimisation, Discrimination, Divulgation, Coming-out, Facteurs de protection, Soutien social, Milieu scolaire, Bien-être.

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