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Comportement et rendement scolaire au début du primaire : les attributions causales et d'intentions, des processus en jeu?

Charbonneau, Marie-Josée January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étiologie des différences individuelles liées à la sécrétion cortisolaire à la petite enfance : une étude des facteurs génétiques et environnementaux

Ouellet-Morin, Isabelle 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / L'objectif de cette thèse de doctorat consiste à étudier l'étiologie génétique et environnementale de la sécrétion cortisolaire à la petite enfance, une période du développement caractérisée par une forte plasticité de certaines structures cérébrales. Une attention particulière est accordée à l'investigation des variations des contributions génétiques et environnementales en fonction de l'adversité familiale, indice d'une possible interaction entre les gènes et l'environnement. L'adversité familiale renvoie à une mesure composite de 7 facteurs périnataux et postnaux ayant été liés à la sécrétion cortisolaire (l'exposition prénatale à la cigarette, le faible poids à la naissance, le faible revenu familial, pas de diplôme d'études secondaires, mère monoparentale, le jeune âge de la mère et les comportements maternels hostiles ou réactifs envers les jumeaux). Considérant que les mesures cortisolaires ont été effectuées dans des contextes différents (prélèvements salivaires réalisés à deux temps au cours de la journée vs une réponse à un stress de nouveauté sociale) et à des âges distincts (6 vs 19 mois), la poursuite de cet objectif s'effectue séparément pour ces mesures. Dans un premier temps (article 1; mesure réactive à un contexte de nouveauté sociale à 19 mois), les résultats indiquent une variation des contributions génétiques et environnementales en fonction de l'adversité familiale, prenant la forme d'un effet organisationnel de l'adversité environnementale. Cet effet se traduit par une contribution réduite des facteurs génétiques combinée à une plus forte contribution de l'environnement partagé en contexte d'adversité familiale comparativement à une contribution génétique modérée du cortisol réactif en absence d'adversité familiale. Dans un deuxième temps (article 2; mesures diurnes à 6 mois), les résultats indiquent une variation des contributions génétiques et environnementales de la sécrétion cortisolaire matinale en fonction de l'adversité familiale. Cette variation prend cette fois la forme d'une plus forte héritabilité en présence d'adversité familiale alors que seuls les facteurs environnementaux uniques entrent en jeu en l'absence de ce contexte de vie adverse. Aucune variation des contributions génétiques et environnementales n'est notée sur la sécrétion cortisolaire mesurée au réveil en fonction de l'adversité familiale. Pour cette mesure, seuls les facteurs génétiques expliquent la ressemblance entre les jumeaux d'une même paire.
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Agressivité physique à l'enfance et criminalité à l'âge adulte : effet modérateur de la consommation d'alcool et de cannabis à l'adolescence

Tremblay, Emilie 12 1900 (has links)
Les enfants présentant un niveau élevé d’agressivité physique sont davantage à risque de commettre des actes criminels à l’âge adulte. Ces enfants sont également plus à risque de consommer des substances psychoactives au cours de leur adolescence. Les études portant sur le lien entre la consommation de substances psychoactives et la criminalité arrivent à des conclusions différentes, dépendamment des substances à l’étude et des comportements criminels ciblés. Un lien positif a été démontré entre la consommation chronique d’alcool et la perpétration d’actes criminels contre la personne et contre la propriété, tandis que la consommation de cannabis a été associée positivement aux actes criminels contre la propriété et négativement aux crimes contre la personne. La présente étude visait à tester l’hypothèse que l’agressivité physique manifestée à l’enfance est associée à une augmentation du nombre de charges criminelles durant l’âge adulte et que cette association est spécifique au type de criminalité et modérée différemment par la consommation d’alcool et de cannabis durant l’adolescence. À cette fin, 887 participants de sexe masculin provenant de milieu défavorisé ont été suivis de 6 à 25 ans. Les analyses de régressions logistiques multinomiales indiquent que les individus cheminant sur une trajectoire modérée ou élevée d’agressivité physique durant l’enfance sont plus à risque de commettre des actes criminels. Cette association reste significative après avoir contrôlé pour l’adversité familiale et de la consommation de substances psychoactives. Les hypothèses des effets modérateurs de la consommation d’alcool et de cannabis sont infirmées. Toutefois, des effets principaux de la consommation d’alcool sur les crimes contre la personne et de la consommation de cannabis sur les crimes contre la propriété sont observés. Les implications de ces résultats sont discutées. / Individuals exhibiting high levels of physical aggression during childhood are more at risk of criminal behaviors during adulthood regardless of the presence of several risk factors. Aggressive children are also more at risk of using psychoactive substances during adolescence. Studies of the relationship between substance use and crime have provided different conclusions, depending on the substance under consideration and depending on the category of crime. Alcohol consumption has been positively associated with crimes, both against people and against property. Cannabis consumption has been associated positively with crime against property and negatively with crime against people. This present study aimed at investigating the hypothesis that physical aggression manifested in childhood is associated with an increase in criminal charges during adulthood and that association is specific to the type of crime and moderated differentially by alcohol and cannabis use. To this end, 887 male participants from lower socioeconomic status were followed from age 6 to age 25. Multinomial logistic regressions indicate that individuals belonging to a moderate or a high trajectory of physical aggression during childhood are more likely to commit crimes later in adulthood. This association remains significant after control of family adversity and drug use. Alcohol and cannabis use during adolescence has no effect on this association. However, main effects of alcohol use on crimes against person and cannabis use on crimes against property are observed. The implications of these findings are discussed.
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Agressivité physique à l'enfance et criminalité à l'âge adulte : effet modérateur de la consommation d'alcool et de cannabis à l'adolescence

Tremblay, Emilie 12 1900 (has links)
Les enfants présentant un niveau élevé d’agressivité physique sont davantage à risque de commettre des actes criminels à l’âge adulte. Ces enfants sont également plus à risque de consommer des substances psychoactives au cours de leur adolescence. Les études portant sur le lien entre la consommation de substances psychoactives et la criminalité arrivent à des conclusions différentes, dépendamment des substances à l’étude et des comportements criminels ciblés. Un lien positif a été démontré entre la consommation chronique d’alcool et la perpétration d’actes criminels contre la personne et contre la propriété, tandis que la consommation de cannabis a été associée positivement aux actes criminels contre la propriété et négativement aux crimes contre la personne. La présente étude visait à tester l’hypothèse que l’agressivité physique manifestée à l’enfance est associée à une augmentation du nombre de charges criminelles durant l’âge adulte et que cette association est spécifique au type de criminalité et modérée différemment par la consommation d’alcool et de cannabis durant l’adolescence. À cette fin, 887 participants de sexe masculin provenant de milieu défavorisé ont été suivis de 6 à 25 ans. Les analyses de régressions logistiques multinomiales indiquent que les individus cheminant sur une trajectoire modérée ou élevée d’agressivité physique durant l’enfance sont plus à risque de commettre des actes criminels. Cette association reste significative après avoir contrôlé pour l’adversité familiale et de la consommation de substances psychoactives. Les hypothèses des effets modérateurs de la consommation d’alcool et de cannabis sont infirmées. Toutefois, des effets principaux de la consommation d’alcool sur les crimes contre la personne et de la consommation de cannabis sur les crimes contre la propriété sont observés. Les implications de ces résultats sont discutées. / Individuals exhibiting high levels of physical aggression during childhood are more at risk of criminal behaviors during adulthood regardless of the presence of several risk factors. Aggressive children are also more at risk of using psychoactive substances during adolescence. Studies of the relationship between substance use and crime have provided different conclusions, depending on the substance under consideration and depending on the category of crime. Alcohol consumption has been positively associated with crimes, both against people and against property. Cannabis consumption has been associated positively with crime against property and negatively with crime against people. This present study aimed at investigating the hypothesis that physical aggression manifested in childhood is associated with an increase in criminal charges during adulthood and that association is specific to the type of crime and moderated differentially by alcohol and cannabis use. To this end, 887 male participants from lower socioeconomic status were followed from age 6 to age 25. Multinomial logistic regressions indicate that individuals belonging to a moderate or a high trajectory of physical aggression during childhood are more likely to commit crimes later in adulthood. This association remains significant after control of family adversity and drug use. Alcohol and cannabis use during adolescence has no effect on this association. However, main effects of alcohol use on crimes against person and cannabis use on crimes against property are observed. The implications of these findings are discussed.
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Décrochage scolaire au secondaire : synergie entre l’adversité familiale perdurant depuis l’enfance et l’exposition aux évènements stressants à l’adolescence

Archontakis, Camélie 06 1900 (has links)
Le décrochage scolaire est un enjeu de taille en raison de ses coûts individuels et sociaux. Des études récentes suggèrent que celui-ci résulte non seulement de l’exposition à des facteurs de risque à long terme, mais aussi de l’exposition proximale à des évènements de vie stressants. Selon le modèle de sensibilisation au stress, le rôle précipitant apparent des stresseurs pourrait être exacerbé chez ceux ayant un historique d’adversité familiale. Cette étude visait à examiner cette hypothèse, en vérifiant d’abord (1) si l’exposition aux évènements stressants et la présence d’adversité familiale perdurant depuis l’enfance étaient directement associées au décrochage scolaire et ensuite (2) si ce type d’adversité exacerbait l’association entre l’exposition à des évènements stressants récents et le décrochage. Ces liens ont été testés auprès d’un échantillon (N = 545) d’adolescents âgés en moyenne de 16 ans (M = 16,5; ÉT = 0,9) surreprésentant les élèves ayant abandonné l’école secondaire avant la diplomation. Au-delà de facteurs confondants potentiels, les résultats suggèrent que les adolescents ayant récemment vécu des évènements de vie stressants sévères sont particulièrement à risque de décrocher, de même que ceux ayant vécu un type d’adversité familiale (ayant mené à un suivi avec la DPJ). Toutefois, les liens directs attendus n’ont pas été observés pour d’autres formes d’adversité familiale (p. ex., problèmes de santé mentale des parents), ni les liens de modération correspondant aux prédictions du modèle de sensibilisation au stress. Ces résultats partiellement concordant avec les hypothèses sont discutés en considérant leurs implications théoriques et pratiques. / High school dropout is a major issue due to its individual and social costs. Recent studies suggest that dropping out results not only from exposure to long-term risk factors, but also from proximal exposure to stressful life events. According to the stress sensitization model, this apparent precipitating role of stressor exposure should be exacerbated among those exposed to family adversity during childhood. The goal of this study was to test this hypothesis, by examining (1) whether exposure to stressful events and the presence of family adversity during childhood were directly associated with high school dropout, and (2) whether this kind of adversity exacerbated the association between exposure to recent stressful events and high school dropout. These associations were tested within a sample (n = 545) of youths aged 16 years old on average (M = 16.5; SD = 0.9) recruited in 12 public high schools located in and around Montreal and overrepresenting early school leavers. After accounting for potential confounders, adolescents who had recently experienced severe stressful life events were found to be more at risk of dropping out, as were those with a history of follow-up with child protection services. However, dropping out was not more frequent among adolescents exposed to other forms of family adversity, namely the presence of family crises and parental chronic mental health problems. Also, the expected sensitization effects were not observed in moderation analyzes. These results partially aligned with hypotheses are discussed in terms of theoretical and practical implications.
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Effets de variables telles que le développement cognitif et l'environnement familial sur le développement de symptômes de TDAH chez les prématurés

Jomphe, Mélanie 17 April 2018 (has links)
Cette étude s'intéresse aux variables agissant sur le développement de troubles attentionnels chez les enfants nés prématurément. Plus spécifiquement, elle vise à démontrer que chez les prématurés, le lien entre le niveau de risque à la naissance et le développement de troubles de l'attention à l'âge scolaire serait plus indirect que direct. À cet effet, ce projet vise à clarifier comment le développement cognitif et l'environnement familial pourraient être des variables prédictrices importantes dans l'équation permettant de relier la prématurité et les troubles attentionnels. Pour ce faire, nous avons procédé à l'observation d'une cohorte d'enfants prématurés, à partir de leur naissance jusqu'à l'âge scolaire. Ces observations ont été effectuées à la naissance, au temps 1 (à 4,8 et 14 mois d'âge corrigé), au temps 2 (à 50,51 et 58 mois), ainsi qu'au temps 3, soit à huit et neuf ans, et concernent des évaluations investiguant le degré de risque néonatal (niveau de risque), l'environnement familial (tel que mesuré par des mesures de perception familiale et de la structure de la famille), le développement cognitif (Ql au Stanford Binet Intelligence Scale) et les facultés attentionnelles et executives des prématurés (Sous-tests tour, attention auditive, attention visuelle, fluence graphique et statue de la NEPSY). Les résultats démontrent que plus l'adversité familiale est élevée, plus les parents d'enfants prématurés décrivent leurs enfants comme étant inattentifs au questionnaire de Conners. De plus, en introduisant une variable cognitive (résultats aux sous-tests de la NEPSY) dans la relation entre l'adversité familiale et le développement de troubles de l'attention, l'adversité familiale n'est plus significative. De fait, les troubles de l'attention tels que détectés dans la mesure cognitive (NEPSY) seraient de meilleurs prédicteurs de troubles de l'attention tels que décrits par les parents, que l'adversité familiale.

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