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Dynamique des paysages agraires et gestion de l'eau dans le bassin semi-désertique de Phoenix, Arizona de la Préhistoire à l'époque moderne

Purdue, Louise 21 November 2011 (has links) (PDF)
Les Hohokam et leurs descendants les Akimel O'Odham ont exploité et irrigué la basse vallée de la Salt et la moyenne vallée de la Gila dans le bassin semi-désertique de Phoenix en Arizona depuis presque deux millénaires. Leur histoire culturelle repose sur une interaction constante de ses membres avec une ressource rare, l'eau. Pour comprendre les dynamiques socio-environnementales, résultats de cette interaction sur la longue durée, nous avons adopté une approche géoarchéologique, chronologique et paléoenvironnementale des systèmes hydrauliques et des formations alluviales, approche affinée par les méthodes géophysiques et micromorphologiques. La reconstruction de l'agro et de l'hydrosystème met en relief un développement de l'irrigation autour de 300 apr. J.-C. lors de conditions environnementales stables mais sèches. De 300 à 1050 apr. J.-C. (période pré-Classique), l'agrosystème Hohokam est caractérisé par une irrigation efficace de la plaine alluviale et des basses terrasses, qui s'exhaussent puis se stabilisent entre 850 et 1000 apr. J.-C. (Petit Optimum Climatique Médiéval) Un épisode d'élargissement puis d'incision est enregistré entre 1050-1150 apr. J.-C. Malgré un entretien poussé des structures hydrauliques, l'organisation du territoire évolue. Les basses terres sont abandonnées, de nouveaux systèmes d'irrigation sont construits et les pratiques agraires se diversifient. L'exhaussement du lit est à nouveau attesté à partir du 13ème s. et le fonctionnement de l'irrigation est optimal entre 1150 et 1450 apr. J.-C. (période Classique). Le bassin de Phoenix est toutefois abandonné jusqu'au 17ème s. Cette déprise agraire est associée à une phase de stabilité du paysage, entre 1450 et 1600 apr. J.-C, puis par une reprise rapide de l'aggradation associée à une forte mobilité fluviale jusqu'en 1870 (Petit Age Glaciaire), date après laquelle le système s'incise à nouveau. L'agrosystème Akimel O'Odham fonctionne de façon optimale du 17ème jusqu'à l'arrivée massive des pionniers (circa 1870), après laquelle il évolue de façon presque irréversible (réduction de la superficie irrigable, coupe du bois, pratique de l'agriculture sèche). Ces résultats permettent d'aborder les modalités de la morphogénèse en contexte semi-aride mais également les concepts de rupture et de stabilité socio-environnementale. Nous réfutons l'hypothèse d'un déclin d'origine environnementale autour de 1450 apr. J.-C. Par contre, une crise environnementale autour de 1000-1150 apr. J.-C., associée à des conditions climatiques contraignantes (changements climatiques rapides avec épisodes El Niño) conduisant à des migrations massives et une surexploitation du territoire dans un milieu déjà fragilisé car trop spécialisé, pourrait être responsable du lent déclin de la communauté d'irrigation Hohokam, 200 à 300 ans plus tard. Le système socio-environnemental des Akimel O'Odham au 19ème s. semble reproduire le même schéma sur une échelle spatiale et temporelle plus réduite.
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Pluralisme juridique et dynamiques foncières émergentes à Sabah, Malaysia : paysanneries locales, huile de palme et développement

Profitos, Adrian 01 February 2011 (has links)
La transition agraire à Sabah oppose deux systèmes différents de mettre en valeur le territoire. Le premier se caractérise par l’expansion des plantations de monocultures commerciales alors que le deuxième se caractérise par des petites exploitations familiales qui se basent sur la subsistance et sur la diversification des cultures. Face à ce contraste, le modèle de développement rural proposé par le gouvernement cherche à concilier les intérêts macroéconomiques des grandes plantations avec les intérêts microéconomiques des petites exploitations alors que les premiers ont largement pris l’avantage sur les deuxièmes. En même temps, il existe à Sabah un système juridique foncier caractérisé par le pluralisme juridique. D’un côté nous avons le droit étatique centralisé qui se base sur la codification de la loi et sur la promotion de la propriété privée individuelle alors que de l’autre nous avons un droit coutumier qui se base sur la tradition orale et sur la gestion foncière communautaire. Chaque régime foncier présente une manière distincte de gérer l’accès, l’utilisation et la propriété de la terre et de ses ressources. Le droit étatique soutient l’expansion des grandes plantations alors que le droit coutumier régule la gestion des petites exploitations familiales. Les tensions qui existent entre ces systèmes juridiques différents de mise en valeur du territoire sont à l’origine de ce que nous appelons les dynamiques foncières émergentes. Cette thèse a pour but de mettre en évidence que la manière dont ces dynamiques interagissent, divergent et convergent a des répercussions en termes de développement rural dans la mesure où elles impliquent des tensions sociales et légales ainsi que des stratégies agricoles spécifiques ayant des conséquences économiques particulières. Plus spécifiquement, le but ultime est de comprendre comment le droit foncier coutumier se voit affecté par la transition agraire, comment il interagit par le biais des dynamiques foncières émergentes, et quels sont ses espaces et ses possibilités d’adaptation face à l’expansion d’un modèle de développement rural qui se base sur la modernisation et la marchandisation de l’agriculture.
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Pluralisme juridique et dynamiques foncières émergentes à Sabah, Malaysia : paysanneries locales, huile de palme et développement

Profitos, Adrian 01 February 2011 (has links)
La transition agraire à Sabah oppose deux systèmes différents de mettre en valeur le territoire. Le premier se caractérise par l’expansion des plantations de monocultures commerciales alors que le deuxième se caractérise par des petites exploitations familiales qui se basent sur la subsistance et sur la diversification des cultures. Face à ce contraste, le modèle de développement rural proposé par le gouvernement cherche à concilier les intérêts macroéconomiques des grandes plantations avec les intérêts microéconomiques des petites exploitations alors que les premiers ont largement pris l’avantage sur les deuxièmes. En même temps, il existe à Sabah un système juridique foncier caractérisé par le pluralisme juridique. D’un côté nous avons le droit étatique centralisé qui se base sur la codification de la loi et sur la promotion de la propriété privée individuelle alors que de l’autre nous avons un droit coutumier qui se base sur la tradition orale et sur la gestion foncière communautaire. Chaque régime foncier présente une manière distincte de gérer l’accès, l’utilisation et la propriété de la terre et de ses ressources. Le droit étatique soutient l’expansion des grandes plantations alors que le droit coutumier régule la gestion des petites exploitations familiales. Les tensions qui existent entre ces systèmes juridiques différents de mise en valeur du territoire sont à l’origine de ce que nous appelons les dynamiques foncières émergentes. Cette thèse a pour but de mettre en évidence que la manière dont ces dynamiques interagissent, divergent et convergent a des répercussions en termes de développement rural dans la mesure où elles impliquent des tensions sociales et légales ainsi que des stratégies agricoles spécifiques ayant des conséquences économiques particulières. Plus spécifiquement, le but ultime est de comprendre comment le droit foncier coutumier se voit affecté par la transition agraire, comment il interagit par le biais des dynamiques foncières émergentes, et quels sont ses espaces et ses possibilités d’adaptation face à l’expansion d’un modèle de développement rural qui se base sur la modernisation et la marchandisation de l’agriculture.
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Successful strategies for the implementation of land reform : a peasants’ account from the Philippines

Côté, Denis J. 01 1900 (has links)
Entre 1988 et 2008, les Philippines ont mis en oeuvre le Comprehensive Agrarian Reform Program (CARP) qui visait à redistribuer 9 million d‟hectares de terres agricoles aux paysans sans terre. En dépit des échappatoires du programme et d‟une structure sociale très inégale qui freinent sa mise en oeuvre, ce modèle de réforme agraire présente des résultats surprenants alors que 82% des terres ont été redistribuées. Concernant les terres plus litigieuses appartenant à des intérêts privés, Borras soutient que le succès surprenant de plusieurs cas de luttes agraires s‟explique par l‟utilisation de la stratégie bibingka qui consiste à appliquer de la pression par le bas et par le haut afin de forcer la redistribution. Sa théorie cependant ne donne que peu de détails concernant les éléments qui rendent un cas plus ou moins litigieux. Elle ne traite pas non plus de la manière dont les éléments structurels et l‟action collective interagissent pour influencer le résultat des luttes agraires. Dans ce mémoire, nous nous attardons d‟abord à la manière dont certains éléments structurels – le type de récolte et le type de relation de production - influencent le degré de résistance des propriétaires terriens face aux processus du CARP, contribuant ainsi à rendre les cas plus ou moins litigieux. Ensuite nous analysons l‟influence du contexte structurel et des stratégies paysannes sur le résultat de la mise en oeuvre du programme de réforme agraire. Pour répondre à nos deux questions de recherche, nous présentons quatre études de cas situés dans la province de Cebu. / Between 1988 and 2008, the Philippines have been implementing the Comprehensive Agrarian Reform Program (CARP) which aimed at redistributing 9 million hectares of agricultural land to landless peasants. Despite the loopholes of the program and the highly unequal social structure which constrain the implementation, this land reform program shows a positively surprising rate of accomplishment of 82% after 20 years. On the more contentious private agricultural land, Borras has argued that the unexpected successful outcome of various land struggles can be explained by the peasants reliance on the bibingka strategy which consists in applying pressure from below and from above to push for land redistribution. His theory however does not go into details about what makes a case more or less contentious, and on how agency and structure interact to influence the outcome of particular land struggles. In this thesis, we first look at how structural features – namely the type of crop produced and the tenurial status of farmers – influence the strength of landowner resistance to key CARP processes of land reform, thus contributing to make a case more or less contentious. Then we analyze the combined influence of the structural setting of the case and of the strategy used by peasants on the implementation outcome of land reform. To address our two main research questions, we present four case studies from the province of Cebu.
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" Un sac de riz vide ne tient pas debout ". Dynamiques agraires régionales et marginalisation de la paysannerie sierra-léonaise.

Palliere, Augustin 02 July 2014 (has links) (PDF)
En Sierra Leone, la marginalisation de l'agriculture est une composante essentielle de la crise économique, sociale et politique dont la manifestation la plus tragique a été la guerre civile entre 1991 et 2001. À l'échelle nationale, le secteur agricole représente toujours la majorité des actifs, mais la production alimentaire a chuté depuis les années 1970. Parallèlement au développement du secteur diamantifère, les importations massives de riz à bas coût ont dévalorisé le travail des producteurs nationaux. Cette marginalisation se poursuit avec l'émergence, récente, d'un secteur agro-industriel financé par des capitaux internationaux. A l'échelle d'une petite région, cette crise des agricultures paysannes se décline selon une trajectoire spécifique. La diversité de la mosaïque paysagère témoigne de la transformation profonde des modes d'exploitation du milieu. Les paysans combinent la culture sur brûlis historique avec la riziculture inondée, le billonnage des savanes, les plantations pérennes, ... La pression démographique a pesé sur ces dynamiques mais c'est la marchandisation des rapports sociaux qui a constitué la tendance déterminante. Les grands groupes domestiques, structurés par les rapports lignagers, ont éclaté. Aujourd'hui, les échanges de force de travail entre producteurs sont à l'origine de disparités économiques non négligeables. Cependant, dans des conditions d'intégration économique défavorables, la productivité du travail a stagné voire à reculé. De ce fait, la persistance de rapports sociaux d'antériorité, notamment l'adoption enfantine comme modalité d'accumulation, limite les processus de différenciation au sein de la paysannerie.
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Pluralisme juridique et dynamiques foncières émergentes à Sabah, Malaysia : paysanneries locales, huile de palme et développement

Profitos, Adrian 01 February 2011 (has links)
La transition agraire à Sabah oppose deux systèmes différents de mettre en valeur le territoire. Le premier se caractérise par l’expansion des plantations de monocultures commerciales alors que le deuxième se caractérise par des petites exploitations familiales qui se basent sur la subsistance et sur la diversification des cultures. Face à ce contraste, le modèle de développement rural proposé par le gouvernement cherche à concilier les intérêts macroéconomiques des grandes plantations avec les intérêts microéconomiques des petites exploitations alors que les premiers ont largement pris l’avantage sur les deuxièmes. En même temps, il existe à Sabah un système juridique foncier caractérisé par le pluralisme juridique. D’un côté nous avons le droit étatique centralisé qui se base sur la codification de la loi et sur la promotion de la propriété privée individuelle alors que de l’autre nous avons un droit coutumier qui se base sur la tradition orale et sur la gestion foncière communautaire. Chaque régime foncier présente une manière distincte de gérer l’accès, l’utilisation et la propriété de la terre et de ses ressources. Le droit étatique soutient l’expansion des grandes plantations alors que le droit coutumier régule la gestion des petites exploitations familiales. Les tensions qui existent entre ces systèmes juridiques différents de mise en valeur du territoire sont à l’origine de ce que nous appelons les dynamiques foncières émergentes. Cette thèse a pour but de mettre en évidence que la manière dont ces dynamiques interagissent, divergent et convergent a des répercussions en termes de développement rural dans la mesure où elles impliquent des tensions sociales et légales ainsi que des stratégies agricoles spécifiques ayant des conséquences économiques particulières. Plus spécifiquement, le but ultime est de comprendre comment le droit foncier coutumier se voit affecté par la transition agraire, comment il interagit par le biais des dynamiques foncières émergentes, et quels sont ses espaces et ses possibilités d’adaptation face à l’expansion d’un modèle de développement rural qui se base sur la modernisation et la marchandisation de l’agriculture.
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La critique maoïste péruvienne face à la Réforme agraire de Velasco (1969-1980) : enquête sur les causes d'une révolution qui ne vint pas

Dorais, Geneviève January 2007 (has links)
No description available.
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« Un sac de riz vide ne tient pas debout » : dynamiques agraires régionales et marginalisation de la paysannerie sierra-léonaise / « An empty bag cannot stand upright » : local agrarian dynamics and marginalisation of the peasantry in Sierra Leone

Palliere, Augustin 02 July 2014 (has links)
En Sierra Leone, la marginalisation de l'agriculture est une composante essentielle de la crise économique, sociale et politique dont la manifestation la plus tragique a été la guerre civile entre 1991 et 2001. À l'échelle nationale, le secteur agricole représente toujours la majorité des actifs, mais la production alimentaire a chuté depuis les années 1970. Parallèlement au développement du secteur diamantifère, les importations massives de riz à bas coût, ont dévalorisé le travail des producteurs nationaux. Cette marginalisation se poursuit avec l'émergence, récente, d'un secteur agro-industriel financé par des capitaux internationaux.A l'échelle d'une petite région, cette crise des agricultures paysannes se décline selon une trajectoire spécifique. La diversité de la mosaïque paysagère témoigne de la transformation profonde des modes d'exploitation du milieu. Les paysans combinent la culture sur brûlis historique avec la riziculture inondée, le billonnage des savanes, les plantations pérennes, … La pression démographique a pesé sur ces dynamiques mais c'est la marchandisation des rapports sociaux qui a constitué la tendance déterminante. Les grands groupes domestiques, structurés par les rapports lignagers, ont éclaté. Aujourd'hui, les échanges de force de travail entre producteurs sont à l'origine de disparités économiques non négligeables. Cependant, dans des conditions d'intégration économique défavorables, la productivité du travail a stagné voire à reculé. De ce fait, la persistance de rapports sociaux d’antériorité, notamment l'adoption enfantine comme modalité d'accumulation, limite les processus de différenciation au sein de la paysannerie. / In Sierra Leone, the marginalization of the agriculture is inherent to the economic, social and political crisis that embroiled the country into a tragic civil war between 1991 and 2001. While, at the national scale, the agricultural sector still represents the larger part of the workforce, the food production has declined since the 1970s. Massive low cost rice imports, fuelled by the development of the diamond industry, have devalued the work of the national producers. Such marginalization continues with the recent emergence of agro-industrial units financed by international capitals.At the regional scale, the crisis of the peasant agriculture has followed a specific trajectory. The diversity of the landscape mosaic reflects the profound changes that affected the farming systems. Local farmers combine the historical slash and burn farming with swamp rice cropping, mounds cropping in savannah and tree plantations. Even if population pressure has impacted these dynamics, it is the commodification of social relations that was the decisive trend. The large domestic groups, structured by lineages, have broken up. Nowadays the labor exchanges between producers explain significant economic disparities. However, under unfavorable economic integration conditions, labor productivity has stagnated or even declined. Then, the persistence of social relations of precedence, including child fosterage as a form of accumulation, restricts the scope of the differentiation processes within the peasantry.
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L'église s'engage dans la politique / The politic engagement of roman catholic church

Pinheiro, Mario Doraci 17 September 2013 (has links)
Cette thèse a pour but d’analyser l’engagement institutionnel de l’Église catholique et des groupes pentecôtistes sur le terrain politique et agraire du Brésil à partir de l’organisation de la Conférence nationale des évêques du Brésil (CNBB) en 1952. Nous discutons la façon dont l’Église catholique commence la lutte d’abord pour « alphabétiser » et « rapprocher » ses fidèles perdus par l’idéologie socialiste développée par les ligues paysannes, puis pour empêcher l’accroissement du front communiste dans les campagnes. L’engagement social de l’Église catholique n’est pas désintéressé car les militaires brésiliens, avec l’aide américaine, déclarent le « coup d’État » en 1964. L’Église catholique brésilienne se divise en deux pôles, progressiste et conservateur. Le côté progressiste de la théologie de la libération se voit empêché et interdit par Rome. Mais cette minorité religieuse arrive à créer la Commission pastorale de la terre (CPT) qui contribuera au retour de la démocratie, à la création du Parti des travailleurs (PT) en 1980, considéré alors comme le parti de Dieu, et du Mouvement des paysans sans terre en 1984. / This thesis aims to analyse the institutional engagement of the Roman Catholic Church and other Pentecostal groups, regarding the land reform and agrarian policies launched in Brazil after the organisation of the Brazil’s Conference of Catholic Bishops (CNBB) held in 1952. We underline that it is necessary to highlight the way how the Roman Catholic Church started its actions by “teaching to read and write” and “recovering” their members those who were dragged into the socialist ideology developed by peasant’s leagues, in order to prevent the growing of the communist front in the countryside. At that time, the catholic’s social movement objectives were under eminent danger, due the Brazilian army aided by the U.S. government, declared a coup in 1964. The Roman Catholic Church in Brazil is divided into two wings: a left and a conservative. The left wing has launched the “Liberation Theology” prohibited by the head of the church in Rome. However, this religious left minority succeeded by organizing the Land’s Pastoral Commission, which contributed to the return of democracy, as well as the organization of the Worker’s Party in 1980, considered by the believers as the God’s will and the foundation of the Landless Worker’s Movement in 1984.
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Tocando em frente... Cultura camponesa e apropriação dos recursos no assentamento Ingá/Facundo – Parambu - Ceará

Lima, Anna Erika Ferreira January 2008 (has links)
LIMA, Anna Erika Ferreira. Tocando em frente... Cultura camponesa e apropriação dos recursos no assentamento Ingá/Facundo – Parambu - Ceará. 2008. 192 f. : Dissertação (mestrado) - Universidade Federal do Ceará, Pró-Reitoria de Pesquisa de Pós-Graduação, Programa Regional de Pós-Graduação em Desenvolvimento em Meio Ambiente - PRODEMA, Fortaleza-CE, 2008. / Submitted by demia Maia (demiamlm@gmail.com) on 2016-04-07T16:48:50Z No. of bitstreams: 1 2008_dis_aeflima.pdf: 4977641 bytes, checksum: e19828baa25f26f140d911415fde171f (MD5) / Approved for entry into archive by demia Maia(demiamlm@gmail.com) on 2016-04-07T16:49:53Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2008_dis_aeflima.pdf: 4977641 bytes, checksum: e19828baa25f26f140d911415fde171f (MD5) / Made available in DSpace on 2016-04-07T16:49:53Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2008_dis_aeflima.pdf: 4977641 bytes, checksum: e19828baa25f26f140d911415fde171f (MD5) Previous issue date: 2008 / Embora possua origens remotas, a questão agrária se materializa como um debate persistente no início do século XXI. Mesmo diante de consideráveis transformações econômicas, sociais e políticas, o que se percebe no Brasil e no mundo é a vitalidade da luta por terra e da demanda por reforma agrária, via resistência e superação das adversidades postas aos camponeses. Logo, resultantes tanto da história de vida, como dos costumes, os camponeses expressam suas formas de apropriação por meio das tradições culturais ou costumes campesinos. Eles lançam um olhar orientado pelas necessidades, seus conhecimentos e seu saber fazer, para conseguirem a soberania alimentar, superação e recriação. Nesse contexto, objetivou-se realizar um estudo sociocultural sobre os camponeses do assentamento Ingá/Facundo desde 1981 até 2006, considerando as formas de apropriação dos recursos e a influência dos costumes sobre essas práticas, considerando as transformações sociais ocorridas nesse espaço. Assim, para se alcançar tal objetivo, inicialmente, vislumbrou-se apreender o estudo do campesinato dentro do viés sociocultural que remete à compreensão da cultura sob a ótica do materialismo histórico, no qual a dialética é uma das concepções essenciais para se compreender os processos existentes nesse assentamento. Daí o motivo de se estudar autores da Geografia, da Antropologia e das Ciências Ambientais, posto que esses auxiliaram no descortinar dos “segredos íntimos” da vida campesina sertaneja, da relação terra – trabalho – família, não sob a égide da tão profanada idéia de que o camponês sertanejo é um homem sofrido, mas sim de sujeitos sociais que se utilizam de exemplos de vida, ensinamentos, perdas e vitórias para irem “Tocando em Frente” suas vidas e ensinamentos. No mais, sem buscar uma conceituação fechada, pré-estabelecida do ser camponês, afirmamos que esses sujeitos estão constantemente recriando-se, não só por conta do seu próprio processo histórico, mas também por terem a ciência de que suas histórias são expressões de luta, memórias e fatos, que sempre ratificam sua cultura de vida, recorrendo continuamente ao passado, que lhes permite a construção de um saber próprio, transmitido aos filhos, e que possibilita uma cultura própria, evidenciando o ininterrupto tocar em frente que é a vida do camponês.

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