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401

La dépendance alimentaire comme une adaptation à un historique traumatique et un obstacle au traitement

Legendre, Maxime 09 November 2022 (has links)
La dépendance alimentaire s'observe par les mêmes symptômes que la dépendance aux substances (p. ex., tolérance, sevrage, perte de contrôle) et mène généralement à l'obésité. Les études portant sur la dépendance alimentaire ont utilisé la Yale Food Addiction Scale (YFAS), un questionnaire inspiré des critères diagnostiques de la dépendance à une substance du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM-5). Jusqu'à présent, les études ont montré que la dépendance alimentaire était associée à un indice pondéral plus élevé, une forte comorbidité avec d'autres troubles des conduites alimentaires dont le trouble accès hyperphagiques et une détresse psychologique marquée. Ces associations amènent certain(e)s auteur(e)s à considérer la dépendance alimentaire comme une forme sévère de pathologie alimentaire. L'objectif général de la thèse était de poursuivre l'investigation de la dépendance alimentaire comme un marqueur de la sévérité psychopathologique (1) en s'intéressant à l'historique traumatique des personnes qui en souffrent et (2) en évaluant l'impact sur la réponse à un traitement. Afin d'avoir la représentation la plus juste possible de la sévérité psychopathologique, la dépendance alimentaire a été évaluée selon l'approche de sévérité (nombre de symptômes) et l'approche diagnostique de la YFAS de même qu'à l'aide du Addiction-like Eating Behavior Scale (AEBS), une mesure alternative de la dépendance alimentaire. Au total, 187 participant(e)s qui ont initié une demande d'aide au Centre d'Expertise Poids, Image et Alimentation (CEPIA) de l'Université Laval pour des problèmes liés au poids et à l'alimentation ont été recruté(e)s. Les participant(e)s ont complété une entrevue diagnostique des troubles des conduites alimentaires et une batterie de questionnaires sur LimeSurvey. Les questionnaires ont permis de récolter des informations sur l'évolution du poids ainsi que d'évaluer la sévérité de la dépendance alimentaire, des accès hyperphagiques, du grignotage, de la restriction alimentaire, de l'insatisfaction corporelle, des symptômes dépressifs et des traumatismes pendant l'enfance et l'adolescence (abus, négligence parentale et intimidation). Dans une première étude, le AEBS a été traduit et validé en français montrant une structure factorielle, une cohérence interne et une validité de construit adéquate. Comme il permettait une évaluation de la dépendance alimentaire similaire à la YFAS, il n'a pas été utilisé pour les études subséquentes. Dans une deuxième étude, la dépendance alimentaire a montré des corrélations positives faibles à modérées avec toutes les mesures de traumatismes, à l'exception de la négligence physique. Une régression hiérarchique incluant les accès hyperphagiques, le grignotage, les symptômes dépressifs, l'âge et les traumatismes a permis d'expliquer 55% de la variance de la dépendance alimentaire, avec 7% de la variance expliquée uniquement par les traumatismes. Dans une troisième étude, il a été démontré que les abus sexuels étaient la forme de traumatisme qui était associée au risque le plus élevé de dépendance alimentaire (rapports de cotes de 1,73 et 2,07). La sévérité de l'abus sexuel (relation avec l'agresseur, type d'abus sexuel et nombre d'abus) était également associée à un risque plus élevé de dépendance alimentaire (rapports de cotes de 1,26 à 1,50). Ces deux études confirment que la dépendance alimentaire est liée aux traumatismes vécus au cours de l'enfance et fournit une explication potentielle sur l'association entre la dépendance alimentaire et une plus grande sévérité psychopathologique. Dans une quatrième étude, l'efficacité d'un traitement psychologique de groupe de type thérapie cognitive-comportementale de 12 séances sur six mois a été évalué et l'effet modérateur de la dépendance alimentaire sur la réponse au traitement a été testé. Les participant(e)s (N=60) ont été divisé(e)s en deux groupes selon leur nombre de symptômes de dépendance alimentaire (dépendance alimentaire absente à légère ou modérée à sévère). Les effets du groupe et du traitement étaient significatifs pour les accès hyperphagiques et le grignotage, mais pas pour les symptômes dépressifs. Les effets d'interaction n'étaient pas significatifs indiquant une absence d'effet modérateur de la dépendance alimentaire sur l'efficacité du traitement. Globalement, les deux groupes ont bénéficié du traitement avec une amélioration similaire, mais le groupe avec de la dépendance alimentaire modérée à sévère a terminé à un niveau de sévérité encore près du seuil clinique. En somme, la thèse appuie une sévérité accrue associée à la dépendance alimentaire potentiellement expliquée par un historique traumatique et demandant un traitement plus long ou plus intensif. / Food addiction is characterized by symptoms similar to substance use dependence (e.g., tolerance, withdrawal, loss of control) and usually leads to obesity. Studies that have investigated food addiction have used the Yale Food Addiction Scale (YFAS), a questionnaire based on the diagnostic criteria for substance use dependence in the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 5th edition (DSM-5). To date, studies have shown that food addiction is associated with a higher body mass index, high comorbidity with other eating disorders, including binge eating disorder and higher psychological distress. These associations lead some authors to consider food addiction as a severe form of eating pathology that underlies a traumatic history and is likely to interfere with the effectiveness of a psychological treatment. The general objective of the project was to further investigate food addiction as a marker of psychopathological severity by (1) examining the traumatic history and (2) assessing the impact on treatment response. To have the most accurate representation of the psychopathological severity, food addiction was assessed according to the severity approach (number of symptoms) and the diagnostic approach of the YFAS and using the Addiction-like Eating Behavior Scale (AEBS), an alternative measure of food addiction. A total of 187 participants presenting to the Centre d'Expertise Poids, Image et Alimentation (CEPIA) at Université Laval for weight and eating-related problems were recruited. They completed a diagnostic interview for eating disorders and answered a battery of questionnaires on LimeSurvey. The questionnaires collected information on the evolution of weight and assessed the severity of food addiction, binge eating, grazing, dietary restraint, body dissatisfaction, depressive symptoms and childhood trauma (abuse, neglect, and victimization). In the first study, the AEBS was translated and validated in French, showing adequate factor structure, internal consistency and construct validity. Because it provided an assessment of food addiction similar to the YFAS, it was not used in subsequent studies. In a second study, food addiction showed small to moderate positive correlations with all measures of childhood trauma except for physical neglect. A hierarchical regression including binge eating, grazing, depressive symptoms, age, and childhood trauma explained 55% of food addiction variance, with 7% of the variance explained by childhood trauma alone. In a third study, sexual abuse was shown to be the form of childhood trauma that was associated with the highest risk of food addiction (odds ratios of 1.73 and 2.07). The severity of sexual abuse (relationship with the abuser, type of sexual abuse, and number of abuses) was also associated with a higher risk of food addiction (odds ratios of 1.26 to 1.50). These two studies confirm that food addiction is related to childhood trauma and provide a potential explanation for the association between food addiction and greater psychopathological severity. In a fourth study, the effectiveness of a 12-session cognitive-behavioral group therapy over the course of 6 months was evaluated, and the moderating effect of food addiction on treatment response was tested. Participants(N=60) were divided into two groups based on their number of food addiction symptoms. Group and treatment effects were significant for binge eating and grazing but not for depressive symptoms. The interaction effects were not significant, indicating an absence of a moderating effect of food addiction on treatment response. Overall, both groups benefited from the treatment with similar improvement, but the group with moderate to severe food addiction ended up at a level of severity still close to the clinical threshold. In sum, the thesis supports a marked severity associated with food addiction potentially explained by a traumatic history and requiring longer or more intensive treatment.
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L'association de la fructosamine et de l'hémoglobine glyquée avec onze mesures d'adhésion au régime alimentaire chez les personnes diabétiques de type I

Blain, Élaisne 09 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Le régime alimentaire est essentiel dans le traitement du diabète sucré insulinodépendant (DSID). Plusieurs mesures d'adhésion sont proposées mais on ne sait pas si elles sont comparables entre elles, et laquelle est la plus appropriée pour évaluer une intervention diététique. Les mesures publiées sont basées sur différents aspects du régime alimentaire et aucune d'entre elles ne fait le consensus au sujet de l'aspect nutritionnel qui doit être évalué. Seulement certaines mesures d'adhésion ont été validées avec un marqueur biochimique du contrôle métabolique du diabète et certaines de ces études ont des faiblesses intrinsèques et leur interprétation est difficile pour en déduire un tableau global cohérent. L'objectif de cette recherche est d'examiner, chez des personnes avec DSID, l'association entre le contrôle de la glycémie et les mesures suivantes proposées dans la littérature: 1) la mesure des équivalents totaux de Christensen, c'est-à-dire la somme des équivalents ajoutés et omis du plan d'alimentation divisée par le nombre d'équivalents prescrits, 2) le ratio énergétique de Christensen, défini par le rapport entre les Real consommées et les kcal prescrites, 3) la mesure de Ney, fondée sur un système de pointage des équivalents consommés versus prescrits, du nombre et de l'horaire des repas consommés versus présents ainsi que de rapport en sucres concentrés, 4) la mesure d'Anderson-Gustafson, qui tient compte du % d'énergie glucidique et lipidique et des fibres alimentaires, 5) la mesure énergétique de Johnson, obtenue par la différence entre rapport énergétique consommé et prescrit, 6) la mesure glucidique de Johnson, soit 60 % moins le % provenant des glucides consommés, 7) la mesure lipidique de Johnson, soit le % provenant des lipides consommés moins 25 %, 8) la mesure des sucres concentrés de Johnson, où un échange de sucres concentrés équivaut à 40 kcal, 9) la mesure de Delamater, qui est une auto-évaluation de l'adhésion dans différentes situations, 10) la mesure de Rubin, déterminée par la fréquence des épisodes «d'empiffrage», 11) la mesure de Bloomgarden, établie au moyen de quatre questions sur le plan d'alimentation, la mesure d'aliments, l'omission des repas et la lecture d'étiquettes. L'hypothèse de travail était la suivante: l'adhésion au régime alimentaire appréciée selon chacune des 11 mesures, est inversement proportionnelle au taux d'hémoglobine glyquée (HbG) et de fructosamine. Les mesures de Ney, d'Anderson- Gustafson et glucidique de Johnson seront plus fortement corrélées à l'HbG et à la fructosamine que les autres mesures. L'échantillon est constitué de 15 personnes avec DSID en bonne santé, sans complication du diabète, fréquentant la clinique externe d'endocrinologie de l'hôpital Notre-Dame. Les critères d'inclusion étaient les suivants: personnes avec diagnostic de DSID depuis plus d'un an, d'origine caucasienne, âgées entre 19 et 65 ans et avec un indice de masse corporelle entre 19 et 28. Les participants ont été vus à quatre reprises en trois mois. L'entrevue 1 consistait en une prise de sang pour doser l'HbG et la fructosamine, la mesure du poids en jaquette d'hôpital et de la taille, des questions sur les habitudes alimentaires, un enseignement diététique conforme aux recommandations de l'Association canadienne du diabète en 1989, et des instructions pour compléter un journal alimentaire de trois jours. Les entrevues suivantes étaient semblables à la première mais sans enseignement diététique, et I'HbG qui a été déterminée à l'entrevue 1 et 4. Les analyses corrélationnelles (coefficient de Pearson) ont été effectuées entre les scores d'adhésion au régime alimentaire et I'HbG et la fructosamine à l'aide du programme "SPSS PC". Les résultats ont démontré qu'il y a une corrélation significative entre la fructosamine et la mesure d'Anderson-Gustafson (r=0,64, p=0,01), glucidique de Johnson (r=-0,59,p=0,05), énergétique de Christensen (r=-0,57, p=0,05) et énergétique de Johnson (r=-0,56, p=0,05). Les gens qui avaient un apport bas en glucides, élevé en lipides et élevé en énergie avaient un meilleur contrôle de la glycémie évalué par la fructosamine. Aucune mesure d'adhésion n'était significativement associée avec I'HbG. Ces résultats préliminaires devraient être confirmés avec un échantillon plus grand.
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Inactivation du norovirus murin 1, de l'hépatite A et du virus de l'herpès simplex de type 1 avec des produits issus de canneberges et de bleuets

Bernier, Charlie 30 August 2022 (has links)
Les virus d'origine alimentaire, comme le virus de l'hépatite A (VHA) et le norovirus (NoV), sont des causes importantes d'infections virales. Chaque année, celles-ci déduisent de grandes sommes monétaires aux systèmes de santé canadiens ainsi qu'aux producteurs alimentaires, sans compter les pertes alimentaires et économiques dues aux rappels d'aliments contaminés. Les stratégies de contrôle conventionnelles ne sont pas suffisamment efficaces et présentent, dans certains cas, des risques pour les travailleurs et/ou pour les consommateurs. Il est donc essentiel d'offrir de nouvelles méthodes d'inactivation naturelles et plus sécuritaires. Les produits issus de bleuet et de canneberge ont le potentiel de devenir ces nouvelles méthodes, notamment par leur concentration forte en polyphénols. De plus, ils sont naturels et sécuritaires pour les travailleurs et les consommateurs. Sans oublier qu'ils sont abondants au Québec, et, de ce fait, à moindres coûts. Le potentiel antiviral de ces produits de bleuet et de canneberge a été étudié et analysé dans ce mémoire envers des virus nus d'origine alimentaire (VHA et NVM-1) en plus de tester un modèle de virus enveloppé, soit le virus de l'herpès simplex de type 1 (HSV-1). NVM-1 et VHS-1 ont été complètement inactivés à l'aide de jus de canneberge et/ou de bleuet (concentrés à 50 %) en 5 minutes de pré-incubation cellulaire ou virale respectivement. VHA a subi une réduction de 3,70 ± 0,54 log ufp/mL à la suite d'une pré-incubation virale de 90 minutes. / Foodborne viruses like the hepatitis A virus (HAV) and the norovirus (NoV) are known as important cause of viral infections. Each year, they cost massive amount to the Canadian health-care systems and to the producers without counting the important food loss due to recalls. The conventional methods are not sufficient and can represent in some case a threat to the worker or to the consumer, which is why it is essential to uncover new inactivation methods that are safer and natural, like berries. The blueberry and cranberry products have the potential to become these new methods considering their interesting composition. Furthermore, they are natural, do not show signs of threat to the worker nor to the consumer and above all they are abundant in Québec and at low cost. The antiviral potential of these products from blueberries and cranberries have been tested and studied in this memoir against the HAV and the MNV-1, naked foodborne viruses as well as against the herpes simplex virus type 1 (HSV-1), an enveloped model. The infectivity of MNV-1 was neutralized completely in the presence of this host cells at 37 °C in as little as 5 min of contact with cranberry or blueberry juices (50 % concentration). HSV-1 was also completely neutralized in viral pre-incubation with the same juice concentration and incubation. HAV infectious titer fell 3.70 ± 0.54 log pfu/mL after 90 minutes of contact with cranberry juice. These results suggest that cranberry and blueberry processing could be useful for reducing the transmission of foodborne viruses.
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Les troubles des conduites alimentaires : tentative de restaurer les besoins psychologiques fondamentaux?

Fecteau, Annie 17 April 2018 (has links)
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) sont des problématiques prévalentes et complexes, causées généralement par l'interaction entre plusieurs facteurs. Or, certains auteurs proposent que le coeur du problème prendrait sa source dans des difficultés au plan de l'autonomie et du sentiment de compétence. Pour vérifier cette proposition, la théorie de l'autodétermination (TAD) offre un cadre conceptuel intéressant car elle postule que l'être humain possède trois besoins fondamentaux, soit les besoins d'autonomie, de compétence et d'appartenance sociale qui doivent être satisfaits pour permettre à l'individu de développer une motivation autodéterminée et s'actualiser. En effet, ce type de motivation est associé à des conséquences psychologiques, cognitives et comportementales positives. À l'inverse, les individus dont les besoins sont insatisfaits risquent de développer une motivation non autodéterminée et ils auront plutôt tendance à agir pour répondre aux pressions de l'entourage, pour plaire ou pour éviter des conséquences désagréables. À ce sujet, Ryan (2005) suggère que la motivation non autodéterminée se retrouverait davantage chez ceux qui souffrent de psychopathologie. Dans cette optique, certains auteurs proposent que les personnes souffrant de TCA fourniraient un exemple de motivation non autodéterminée engendrée par une frustration chronique des besoins ainsi qu'une internalisation rigide des exigences. La personne développerait donc un fort besoin d'autocontrôlé et d'autorégulation comme besoin substitut aux besoins psychologiques fondamentaux. Ce besoin d'autocontrôlé et d'autorégulation s'exprimerait à travers des attitudes et des comportements alimentaires dysfonctionnels, tels l'insatisfaction corporelle, la poursuite de la minceur, la restriction alimentaire, les crises de boulimie, etc. Ainsi, cette recherche vise à comprendre les processus motivationnels sous-jacents aux attitudes et comportements alimentaires dysfonctionnels. Pour ce faire, elle propose de vérifier un modèle basé sur la TAD, auprès d'un échantillon de 239 femmes issues de la population générale et de vérifier si ce même modèle s'applique à un échantillon clinique de 55 femmes souffrant de TCA. Des analyses de cheminement ont été effectuées afin de tester le modèle initial, qui propose une trajectoire reliant directement la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux, la motivation générale, la régulation des comportements alimentaires, les attitudes et comportements alimentaires dysfonctionnels, de même que la satisfaction dans la vie en général et la détresse psychologique. Les résultats des analyses révèlent que l'ajustement du modèle initial est inadéquat, v^(7, N = 294) = 148.71, /? = .000, NFI = 0.66, CFI = 0.66, RMSEA = 0.23 et qu'il pourrait bénéficier de certaines améliorations. Ainsi, le modèle amélioré suggère que la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux est liée à toutes les variables du modèle. Ce modèle amélioré représente adéquatement les données observées auprès du groupe témoin (%2= 2.80, /?= 0.73; NFI= 0.99; CFI= 1.00; RMSEA= 0.00) et clinique (%2= 6.82, /?= 0.23; NFI= 0.94; CFI= 0.98; RMSEA= 0.08). Néanmoins, pour l'échantillon clinique, certains liens se révèlent non significatifs, soit le lien entre la satisfaction des besoins psychologiques et le type de régulation des comportements alimentaires (/?> .05) et le lien entre la motivation globale et le type de régulation des comportements alimentaires (/?> .05). Les résultats de la présente étude soutiennent donc la validité de ce modèle auprès de la population générale mais révèlent certaines distinctions lorsque le modèle est appliqué à une population clinique.
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Potentiel antiviral des extraits de plantes et des huiles essentielles sur les virus d'origine alimentaire

Amri, Mariem 20 June 2024 (has links)
À l'échelle mondiale, le norovirus humain (HuNoV) et le virus de l'hépatite A (VHA) sont associés aux maladies d'origine alimentaire, ce qui constitue une préoccupation majeure pour le secteur de la santé et de l'alimentation. Afin de garantir la salubrité des aliments et des produits transformés en industrie agroalimentaire, plusieurs méthodes d'inactivation virale physiques et chimiques sont employées. Cependant, elles ne sont pas nécessairement applicables sur toutes les matrices alimentaires et certaines peuvent même générer des substances nocives. De ce fait, la présente étude porte sur la détermination du potentiel virucide des substances naturelles. Dans cette étude, le potentiel antiviral de deux huiles essentielles et de quatre extraits naturels a été évalué sur deux virus non enveloppés, soit le norovirus murin 1 (MNV-1), le VHA et un virus enveloppé, le virus de l'herpès simplex 1 (VHS-1). Des concentrations de chaque substance allant de 50 à 200 000 ppm ont été appliquées pendant 90 min de contact. L'extrait de pépins de raisin a été le plus efficace quant à la réduction de l'infectivité du VHA et du MNV-1 soit de 1,94 ± 0,17 log₁₀, 2,85 ± 0,44 log₁₀ respectivement. Pour le VHS-1, une inactivation totale a été observée à 1000 ppm. En revanche, les extraits de canneberge et de thé vert n'ont pas réussi à réduire l'infectivité des trois types de virus de plus de 1 log₁₀. Ces résultats enrichissent les connaissances actuelles sur les propriétés virucides des substances naturelles en démontrant leur potentiel antiviral contre ces trois types de virus. Cette étude ouvre de nouvelles perspectives quant à l'utilisation des composés naturelles, offrant ainsi des applications prometteuses dans divers secteurs / Enteric viruses such as hepatitis A (HAV) and human norovirus (HuNoV) are the main cause of foodborne diseases worldwide. They are recognized as a major concern for public health and food sector. To minimise the risk of infection, many physical and chemical viral inactivation methods have been used. However, these approaches are not applicable to all food matrices and may generate harmful substances. Therefore, the aim of this project is to study the antiviral potential of natural compounds. For this purpose, the antiviral potential of two essential oils and four natural extracts was evaluated with two non-enveloped viruses: murine norovirus 1 (MNV-1), HAV and one enveloped virus, herpes simplex virus 1 (HSV-1) at concentrations ranging from 50 to 200,000 ppm for 90 min contact in viral pre-incubation. Grape seed extract was the most effective in reducing HAV and MNV-1 infectivity by 1.94±0.17 log10, 2.85±0.44 log₁₀ respectively. For HSV-1, a total inactivation was observed at 1000 ppm. Cranberry extract and green tea extract failed to reduce the infectivity of all three virus types by more than 1 log₁₀. This study has contributed to a better understanding of the antiviral potential of natural substances against the three types of viruses tested. Eventually, this project ultimately aims to reveal new perspectives on the use of natural compounds, thus offering promising applications in various sectors.
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Les groupes d'entraide et les groupes de soutien pour les personnes ayant un trouble lié au comportement alimentaire

LeBlanc, Paula M. 30 August 2021 (has links)
Les groupes d'entraide et de soutien qui s'adressent aux personnes ayant un trouble lié au comportement alimentaire constituent le thème principal de ce mémoire. Dans la première étude, un aperçu des caractéristiques des groupes d'entraide et de soutien canadiens est présenté. Plusieurs éléments sont traités dont le fonctionnement des groupes, le recrutement des membres, l'implication professionnelle, les caractéristiques des membres et les éléments positifs des groupes. Les résultats démontrent que les groupes ont des objectifs, des activités et des aspects positifs pour les membres, qui sont semblables. De plus, la place accordée à l'opinion des membres s'avère importante. La deuxième étude explore l'abandon des membres. Les raisons d'abandon sont analysées à partir du Behavioral Model of Health Services' Use (Andersen, 1995). Les effets liés à l'abandon et les stratégies entreprises par les groupes afin de réduire le taux d'abandon sont aussi examinés. Les résultats indiquent que l'abandon peut entraîner des effets défavorables. La raison d'abandon la plus fréquemment mentionnée est liée au besoin d'aide des membres, à leur déni face au problème.
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Liens entre le stress conjugal, la suppression émotionnelle et la prise alimentaire au sein de couples hétérosexuels

Côté, Marilou 24 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017 / L’étude de l’alimentation induite par le stress et les émotions négatives a été largement menée jusqu’à maintenant en vue d’identifier différentes caractéristiques individuelles pouvant être désignées comme facteur de risque à la suralimentation. À cet effet, le fait de souffrir de surpoids ou d’obésité, de même que la présentation d’un profil alimentaire restrictif ont été identifiés. Bien que certaines études se soient intéressées à la variation des types de stress auxquels sont soumis les individus, aucune n’a élargie sa perspective aux relations de couple. Pourtant, les émotions vécues au sein du couple et la régulation qui en est faite peuvent sans contredit contribuer à l’installation et l’exacerbation de comportements alimentaires problématiques pouvant mener à une prise de poids. En ce sens, à l’aide d’une expérimentation en laboratoire impliquant l’induction d’un stress de nature conjugale, la thèse vise à approfondir les connaissances actuelles quant aux liens qui unissent les émotions vécues dans le contexte d’une discussion conjugale stressante et la prise alimentaire qui s’en suit chez des individus en couple hétérosexuel. Pour ce faire, 80 couples ont été recrutés et ont discuté, en laboratoire, d’aspects qu’ils aimeraient voir changer chez l’autre. La quantité de nourriture consommée suite à la discussion a été mesurée, à leur insu, à l’aide d’un test de goût. Les couples ont été invités à évaluer leur humeur ainsi que la suppression émotionnelle qu’ils ont exercée pendant la discussion, de même qu’à remplir des questionnaires auto-rapportés. L’indice de masse corporelle (IMC) des partenaires a été calculé à partir de mesures objectives. Le premier objectif spécifique de la thèse vise plus particulièrement à étudier l’impact d’un changement d’humeur suite à la discussion conjugale stressante sur la prise alimentaire subséquente des hommes et des femmes, et de tester l’effet modérateur de l’IMC et de la restriction alimentaire sur cette relation. Les résultats indiquent d’abord des associations différentes chez les hommes et les femmes en réponse à la situation expérimentale. Chez les hommes, seules les perceptions d’appétit prédisent la prise alimentaire, tandis que chez les femmes, un patron plus complexe se dessine. Un sous-groupe de femmes à risque de se suralimenter en réponse au stress conjugal est identifié, soit les femmes présentant un IMC élevé et un profil alimentaire restrictif. Ces résultats ajoutent à la littérature actuelle en ce sens où l’impact d’un stresseur de nature conjugale sur la prise alimentaire n’avait jamais été testé auparavant. De plus, ils soulignent l’importance de tenir compte en concomitance de l’IMC et de la restriction dans la compréhension du phénomène de l’alimentation induite par le stress chez les femmes. Le deuxième objectif spécifique de la thèse a pour but d’examiner, à l’aide d’un modèle dyadique, l’effet médiateur de la suppression émotionnelle sur le lien entre le changement d’humeur suite à la discussion conjugale stressante et la prise alimentaire subséquente, en fonction de l’IMC des deux membres du couple. Les résultats de cette étude révèlent que la suppression émotionnelle est un médiateur valide de la relation entre le changement d’humeur et la prise alimentaire, et met également en évidence l’effet modérateur de l’IMC sur cette médiation. Plus particulièrement, la dégradation de l’humeur des individus présentant un IMC élevé est associée à une plus grande prise alimentaire via l’adoption de suppression émotionnelle pendant la discussion avec le partenaire, tandis que chez les individus présentant un IMC faible, la dégradation de l’humeur est plutôt associée à une plus faible prise alimentaire via la suppression. D’un point de vue dyadique, la suppression émotionnelle d’un membre du couple agit comme médiateur de la relation entre le changement émotionnel et la prise alimentaire de son partenaire, sans égard à l’IMC des conjoints. En d’autres mots, la dégradation de l’humeur de l’un mène à une plus grande consommation via la suppression émotionnelle de l’autre. Ces résultats font ressortir le rôle clé de la suppression émotionnelle dans l’alimentation induite par le stress conjugal non seulement au plan individuel, mais également au plan dyadique. Ils soulignent la pertinence de s’intéresser aux interrelations entre les membres d’un couple pour prédire leurs comportements alimentaires. Dans leur ensemble, les travaux de la thèse suggèrent que le couple puisse générer du stress et des affects négatifs qui peuvent mener à la suralimentation. Une attention grandissante devrait être portée à ce type de stresseur dans l’avenir, de même qu’à l’étude de la réponse alimentaire d’un sous-groupe de personnes précis face au stress conjugal, soit les femmes qui présentent des difficultés de régulation du poids et de l’alimentation. / Stress-induced eating has been widely studied up until now in order to identify individual characteristics which may be designated as risk factors to overeating. Being overweight or obese, as well as being a restrained eater, have been identified. Although some studies have investigated the impact of different types of stressors on eating, none has broadened its investigation on romantic relationships. However, emotions experienced through couple interactions as well as the way partners deal with (or regulate) those emotions may certainly contribute to the development and exacerbation of problematic eating behaviors that can lead to weight gain. Thus, using a laboratory experiment involving a dyadic stress, the present thesis aims to deepen the current understanding of the relationship between emotions following a stressful couple discussion and food intake among heterosexual couples. Eighty couples were recruited and discussed an aspect that they wanted their partner to change. Food intake was measured following the discussion with a bogus taste test. Both partners assessed their mood state, as well as emotion suppression, and completed self-reported questionnaires. Body mass index (BMI) was calculated with objective measures. The first specific objective of the thesis was to examine the impact of mood change induced by a stressful couple discussion on food intake in both spouses, while simultaneously taking into account the moderating effect of BMI and restraint on this association. First, results showed different responses in men and women following the discussion. Among men, only appetite perceptions significantly predicted food intake, while a more complex pattern emerged among women. A subgroup of women at risk to overeat in response to dyadic stress was identified, those with a high BMI and a restrictive eating profile. These results add to the current literature since the impact of a dyadic stressor on food intake had never been tested before. Moreover, these results highlight the importance of considering the concomitant effect of BMI and restraint in the understanding of stress-induced eating among women. The second specific objective of the thesis was to examine, using dyadic analysis, whether emotion suppression was a valid mediator in the relationship between mood change following a stressful couple discussion and subsequent food intake among couples, while taking into account spouses’ BMI. Results showed that emotion suppression was a valid mediator in the relationship between mood change and food intake, and that BMI significantly moderated this mediation. That is, mood worsening was related to high food intake through emotion suppression among high BMI spouses, while for low BMI spouses, mood worsening rather predicted low food intake through emotion suppression. Dyadic analysis revealed that emotion suppression in one partner acted as a mediator in the association between mood change and food intake in the other partner, regardless of BMI. In other words, mood worsening of one partner led to a greater consumption of food via emotion suppression in the other partner. These results emphasise the key role of emotion suppression in the relationship between mood change and food intake in the context of a stressful couple discussion. They also underscore the relevance to focus on the interrelationships between spouses to predict their eating behaviors. Taken together, the thesis results suggest that romantic relationships can generate stress and negative emotions that can lead to overeating. More attention should be paid to this type of stressor in the future, as well as to the study of the eating response to dyadic stress of a specific subgroup of people, i.e. women presenting eating and weight regulation issues.
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Effets du programme de perception des pensions alimentaires pour enfants sur les conflits parentaux : le point de vue des usagers

Duchesne, Anne 13 April 2018 (has links)
Ce projet s'intéresse au point de vue des usagers concernant l'effet du Programme de perception des pensions alimentaires pour enfants (PPPAPE) sur les conflits parentaux. Ce projet visait à connaître de façon exploratoire le point de vue des créditrices et des débiteurs concernant l'effet du PPPAPE sur les conflits. En raison des taux élevés de divorce et de séparation impliquant des enfants, ce programme a été mis en place afin de faire respecter les créances alimentaires. Bien peu d'études indépendantes se sont intéressées à la question. Aucune étude n'a recueilli et analysé le point de vue des utilisateurs sur le PPPAPE. Plusieurs objectifs sont visés par ce programme, notamment un objectif lié à la réduction des conflits. Plus spécifiquement, cet objectif veut minimiser les risques de manipulation, de chantage et de violence, en faisant intervenir un intermédiaire dans tous les cas afin de faciliter le paiement de la pension alimentaire. Cette recherche a permis de constater que la plupart des usagers du PPPAPE affirment qu'ils ont depuis leur adhésion au programme, connu une diminution de leurs conflits concernant les pensions alimentaires. Toutefois, force est de constater qu'il ne s'agit pas de la réalité pour tous les utilisateurs du programme.
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The link between self-production of food and diet quality in adults living in rural Lebanon

Al-Masri, Hiba 06 1900 (has links)
La transition nutritionnelle et l’insécurité alimentaire sont parmi les facteurs externes majeurs diminuant la qualité de l’alimentation. Les effets du déclin de celle-ci se résument par l’augmentation de la prévalence des maladies chroniques et des carences nutritionnelles. Afin de combattre ces problèmes, plusieurs études ont trouvé que la qualité de l’alimentation a été améliorée par l’autoproduction d’aliments (autorécolte*). Cette étude vise à identifier si un lien existe entre la qualité de l’alimentation et l’autorécolte d’aliments végétaux dans le contexte rural libanais, à partir de 748 748 répondants en provenance des régions du Chouf, Hermel et Aarsal. Afin de décrire l’alimentation selon le statut de récolte en ajustant pour différentes variables confondantes, des tests de χ2, d’ANOVA et des comparaisons multiples (Bonferroni) ont été effectués. Une interaction significative a été trouvée entre les deux types de récolte à tous les niveaux montrant que les collecteurs de plantes/fruits sauvages avaient tendance à produire domestiquement des fruits/légumes et vice versa. Le statut d’autorécolte d’aliments-sauvages avait une association positive et significative avec la variété et la fréquence de consommation à l’exception de celle des fruits et l’autorécolte domestique avait une association significativement positive avec la variété de consommation de légumes et la fréquence de consommation de fruits et légumes. Une forte association a été trouvée entre la région de résidence et les tendances de consommation de fruits/légumes. En outre, l’association entre l’autorécolte domestique et la fréquence de consommation des fruits et légumes s’est avérée positive dans la région où leur fréquence de consommation est la moins élevée (Hermel). Cette étude démontre que l'autorécolte des aliments végétaux, qu'ils soient produits dans un jardin-maison ou récoltés dans la nature, est significativement associée à une plus grande variété (diversité) et fréquence de leur consommation et que ces associations sont généralement liées à l'intensité de la récolte. Mots-clés: Transition nutritionnelle, insécurité alimentaire, autorécolte, autoproduction de fruits et légumes, collecte de plantes sauvages, variété, fréquence de la consommation alimentaire. *Dans ce document, le terme autorécolte d’aliments est utilisé pour inclure l’autoproduction et l’autocueillette d’aliments sauvages et le terme « aliments » reflète les groupes suivant : les fruits, légumes, plantes sauvages et fruits sauvages. / The nutrition transition and food insecurity are among the major external factors diminishing diet quality. The effects of diet quality decline can be summarized by the increase in the prevalence of chronic diseases and nutritional deficiencies. To combat these problems, several studies have found that diet quality has been improved by self-production of food (self-harvest*). This study aims to identify whether a link exists between diet quality and self-harvest of plant-food in the Lebanese rural context using data from 748 adult participants living in Chouf, Hermel and Aarsal. To describe dietary patterns of the study population according to the harveststatus, χ2, ANOVA and multiple comparisons (Bonferroni) were used while adjusting for various confounding variables. A significant interaction was found between the two types of harvest at all levels showing that collectors of wild plants/fruits tended to also have some domestic production of fruits and vegetables, and vice versa. While wild-food harvest had a significant positive association with the variety and frequency of consumption except for fruit consumption frequency, domestic harvest had a significantly positive association with vegetable consumption variety and fruit and vegetable consumption frequency. A strong association was found between the region of residence and fruit/vegetable consumption trends. Moreover, the association between domestic harvest and fruit/vegetable consumption frequency was only positive in the region where the consumption frequency was lowest (Hermel). This study demonstrates that self-harvesting of plant foods, whether produced in a home garden or collected from the wild, is significantly associated with greater consumption variety (diversity) and frequency of these foods and that these associations are generally related to the intensity of harvesting. Keywords: Nutrition transition, food insecurity, self-harvest of food, self-production of fruits and vegetables, wild plant harvest, food consumption variety, food consumption frequency. * In this document, the term self- harvest used to include the self-production of food and wild food collection. The term "food" reflects the following groups: fruits, vegetables, wild plants and wild fruits.
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Hyperphagie homéostatique et le profil alimentaire d’individus obèses morbides candidats à la chirurgie bariatrique

Mitchell, Anne-Marie 12 1900 (has links)
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