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Spinoza et le problème de la générosité

Santerre-Crête, Renaud January 2011 (has links)
En traitant de la recherche personnelle de l'utile propre des individus, Spinoza semble s'inscrire dans une tradition philosophique égoïste, où l'intérêt pour soi empêche d'avoir un véritable souci pour l'autre. Pourtant, cette lecture de Spinoza entre en contradiction avec l'idée de générosité, generositas , telle que décrite au scolie de la proposition 59 de la troisième partie de l'Éthique. "Par générosité, j'entends un Désir par lequel un individu s'efforce en vertu du seul commandement de la raison à assister les autres hommes et à établir entre eux et lui un lien d'amitié. Je rapporte donc à la fermeté ces actions qui ont pour but l'utilité de l'agent seulement, et à la générosité celles qui ont aussi pour but l'utilité d'autrui." Cette définition nous apprend que le sage désire ce qui est utile pour l'autre. Cela pose de nombreuses questions : comment le conatus apparemment égoïste produit-il le désir qui vise l'utilité d'autrui? Comment le désir, individuel d'exister peut-il mécaniquement produire le désir d'aider les autres? Comment la générosité peut-elle venir de la Raison sans pour autant être le fruit d'un calcul égoïste? Quelle forme prendra la générosité spinoziste? Dans ce mémoire, nous avons fait une recherche systématique des occurrences du terme"générosité", recherché les sources de cet affect actif dans l'anthropologie spinoziste en l'opposant à la conception hobbesienne et expliqué comment l'homme généreux interagit avec son environnement.
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The authority of moral conscience in Joseph Butler's ethics

Vlahos, Esmé A. January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Aventures de la subjectivité : contribution à l'étude critique du roman gabonais / Adventures of subjectivity : contribution in a critical reading of the novel gabonese

Boundzanga, Noël Bertrand 17 October 2008 (has links)
Le travail s'effectue sur six roman gabonais : "Parole de vivant" de Moussirou-Mouyama, "Histoire d'Awu" de Justine Mintsa, "Les Matitis" de Freddy Ndong Mbeng, "Au bout du silence" de Laurent Owondo, "La courbe du soleil" de Maurice Okoumba-Nkoghé, et "Fureurs et cris de femmes" d'Angèle Rawiri. La subjectivité se comprend dans un double sens : elle signifie que l'individu est sujet de l'action au sens grammatical du terme, et qu'il est en outre l'objet de cette action. Organisée en deux parties, la thèse étudie le déploiement de la subjectivité en tant que modèle romanesque et modèle anthropologique. En ce sens, la première partie s'applique à relever le fonctionnement autotélique du roman. La subjectivité romanesque s'exprime à travers la littérarité de chaque texte en se distinguant d'une tradition normative que semble exemplifier le roman. Les singularités langagières, la redistribution des valeurs à travers la persistance de thématiques qui ouvrent de nouveaux horizons de sens. Mais malgré leurs singularités, les romans gabonais se signalent d'abord par une "poétique du cliché" qui, non seulement reprend les thématiques traditionnelles, mais adopte aussi une écriture ayant un fort ancrage anthropologique. Sous cette double critique, la critique universitaire gabonaise s'est appesantie à démontrer d'abord l'absence de préoccupation stylistique puis un certain "minimalisme de la pensée". A la faveur d'une querelle portant sur "l'existence de la littérature gabonaise", cette dernière semble affirmer son hégémonie sur tous les autres genres. Deux régimes poétiques semblent s'opposer clairement : un régime de proximité anthropologique et un régime de distanciation maximal. Les romanciers semblent conduits par un impératif social où l'oeuvre signifie au premier degré. A l'opposé, la critique attend de l'oeuvre littéraire qu'elle déjoue les logiques narratives et sociales traditionnelles pour se hisser à un niveau critique conséquent. La controverse a toutefois permis au genre romanesque d'affirmer son hégémonie dans l'espace littéraire gabonais. La seconde partie aborde la question de la subjectivité au double plan éthique et politique. Les sociétés africaines, et la société gabonaise en particulier, ont vu s'étaler l'organisation sociale sous le primat de la collectivité. L'holisme communautaire vient signifier que les individus trouve leur sens à l'intérieur d'une totalité qui les transcende par ses normes. Celles-ci ont cours à travers les traditions, les mentalités, les rites et coutumes qui ont façonné des manières d'être et du vivre ensemble. Les changements structurels qui opèrent depuis l'envolée du capitalisme font apparaître chez les individus un "souci de soi" dont la priorité n'est plus la stabilité absolue de la collectivité. En effet, l'individu se signale comme sujet et laisse s'épanouir ses désirs et ses voeux. Toutefois, au risque de sevoir marginaliser, l'anticonformisme du sujet s'accomode encore avec une réappropriation de la raison objective qui permet de concilier les écarts du sujet et l'impératif communautaire. A travers l'étude des personnages, il apparaît que les tentatives du sujet n'ont pas touché à "l'ivresse de soi". L'expression de la subjectivité y est donc bien observable, allant jusqu'à des écarts sexuels. Même sur le plan politique, le sujet revendique de plus en plus d'espaces de liberté. Aussi renverse-t-il les pouvoirs qui méprisent le bien commun et la dignité d'Autrui. La subjectivité imprime ainsi sa volonté dans les relations intimes, dans l'espace social. Elle laisse entrevoir de la sorte une nouvelle "ère de l'individu" / The work is based on six Gabonese novels : "Parole de vivant" by Moussirou-Mouyama, "Histoire d'Awu" by Justine Mintsa, "Les Matitis" by Freddy Ndong Mbeng, "Au bout du silence" by Laurent Owondo, "La courbe du soleil" by Maurice Okoumba-Nkoghé, et "Fureurs et cris de femmes" by Angèle Rawiri. Subjectivity in this work means that not only the individual is subject, thus performs an action as shown in grammar but also that he is the object of the performed action too. The thesis deals with the analyses of the deployment of subjectivity as a fictional and anthropological pattern. It is split into two parts. The first part strives to point out the autotelic functioning of the novel. The fictional subjectivity is read through the literary feature of each text by distinguishing itself from a normative tradition that the novel seems to represent. The linguistic peculiarities, the redistribution of values through the persistence of themes which open up new horizons of sense. But in spite of their peculiarities, Gabonese novels distinguish themselves by a "poetic of cliché" which adopt not only the traditional themes but also a writing which is deeply rooted anthropologically. Through this double criticism, the Gabonese university criticism dwelt to demonstrate at first the absence of stylistic preoccupation then a certain "minimalism of the throught". On the debate on "the existence of the Gabonese literature", one retains that the Gabonese literature seems to assert her hegemony over all other genres. Two poetic regimes seem to oppose clearly : a regime of anthropological closeness and a regime of maximal distanciation. The novelists seem to be driven by a social obligation in which the novel must be read in its surface meaning. In contrast, the criticism expects from the literary work that it thwarts the traditional narrative and social logic to raise itself on a consequent critical level. The controversy however allowed the novel to assert its hegemony in the Gabonese literary space. The second part approaches the issue of subjectivity through the double ethical and political plan.Among African communities, and the Gabonese ones in particular, the social organization spreads out under the primacy of the community. The community holism means that the individuals find their essence inside a totality which transcends them by its standards. These standards are present in traditions, mentalities, rites and customs which shaped ways of being and living together. The structural changes which take place since the rise of capitalism create a "self concern" among the individuals whose priority is no longer the stability of the community by any means. Indeed, the individual distinguishes himself as subject and lets bloom his desires and his whishes. However, at the risk of being marginalized, the non-conformism of the subject still adapts with a re-appropriation of the objective reason which allows to reconcile the distances from the subject and the community obligations. Through the study of the characters, it seems that the attempts of the subject did not reach "the fullness of oneself". The expression of subjectivity is therein very welle noticeable, goingso far as to sexual infringement. Even on the political plan the subject claims for more and more spaces of freedom. Thus, he knocks down the powers which disdain the common property and the dignity of the others. Subjectivity therefore prints its will in the private relations and in the social space. So, it helps glimpse a new "era of the individual".
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Nature et artifice dans la constitution de la socialité chez Rousseau / Nature and Artifice in the constitution of sociality in Rousseau’s thought

Domecq, Gabriela 18 December 2015 (has links)
Ce travail se propose de montrer l’articulation de la nature et de l’artifice au sein de la pensée de Rousseau. Nous verrons que la connaissance de la nature est bornée par une origine qui nous échappe et une puissance de transformation qui ne semble pas avoir de fin. Cela conduit notre auteur à remettre en cause l’existence d’un ordre de la nature sur le plan spéculatif et sur le plan moral.. Dans l’homme la nature va se révéler comme vide. La perfectibilité est l’effet de l’inachèvement de la nature de l’homme. Le devenir social de l’homme sera pensé comme l’effet de la découverte érotique de l’autre. Cette découverte altère le moi absolu de l’homme à l’état de nature et le reconfigure en un moi relatif exposé au manque de l’autre. De cette exposition résultent toutes les formes de la socialité, l’aliénation et la liberté. L’étiologie amoureuse de la dénaturation nous a permis de reconnaitre l’importance de la réflexion sur le goût dans la constitution de la sociabilité. La différence sexuelle apparait comme le résultat d’un processus de différentiation dont le ressort est le désir de plaire. Le désir de plaire sera pour Rousseau un obstacle à l’uniformité de la société. Il préserve les différences qui sont à la fois les conditions du bon goût et de la volonté générale. La dépendance de l’homme devenu social est paradoxalement ce qui fait de la liberté une propriété en puissance de la vie en société. Dans ce cadre, le peuple n’est ni un sujet, ni une instance juridique, il est la forme du lien sociale sous la détermination de la liberté. Il y a peuple lorsque le lien unissant chacun à l’État, et unissant les hommes entre eux sous les conditions de l’égalité et de la liberté, devient un intérêt particulier. / This thesis shows the articulation between nature and artifice in Rousseau's thought. Rousseau argues that the knowledge of nature is limited by an origin that escapes from us and by a transformational power that seems immeasurable. This leads him to interrogate the existence of a natural order, both at speculative and moral levels. The man of nature is interpreted as unfinished with an unlimited changing potency. Rousseau argues that man´s becoming is the result of the erotic discovery of the other. This discovery distorts the absolute I of the man in the natural state and reshapes them in a relative I - exposed to the other's absence. From this recognition stems all forms of sociality, alienation and liberty. “Denaturation”'s amorous aetiology allows us to recognize the centrality of taste in the constitution of sociability. Sexual difference appears as the consequence of a differentiation process guided by the desire to please. For Rousseau, the desire to please challenges society´s uniformity. He argues that both the conditions for the good taste and general shape/foster/configure difference. The dependency of the human – as social being- is what, paradoxically, makes freedom a potential property in social life. In this scenario, “the people” is neither a subject nor a juridical element. It represents the social tie shaped by the conditions of freedom and equality. “The people” emerges under the conditions of equality and liberty and when every individual is tied to the state and to each other reflecting the union of everybody´s particular interests / Naturaleza y artificio en la constitución de la sociabilidad en el pensamiento de Rousseau.Este trabajo se propone mostrar la articulación de la naturaleza y el artificio en el pensamiento de Rousseau. El conocimiento de la naturaleza está para Rousseau limitado por un origen inalcanzable y una potencia de transformación que parece infinita. Lo cual lleva al autor a cuestionar la existencia de un orden de la naturaleza tanto en el plano especulativo como en el plano moral. El hombre de la naturaleza se presenta como un ser inacabado, con una potencia de transformación ilimitada. El devenir social del hombre resulta del descubrimiento erótico del otro. Este descubrimiento altera el yo absoluto del hombre natural y lo reconfigura en un yo relativo expuesto a la falta del otro. De esta exposición resultan todas las formas de sociabilidad, la alienación y la libertad. La etiología amorosa de la desnaturación permite reconocer la importancia del gusto en la constitución de la sociabilidad. La diferencia sexual es el resultado de un proceso de diferenciación cuyo móvil es el deseo de gustar. El deseo de gustar es un obstáculo a la uniformidad de la sociedad. Preserva las diferencias, estas son la condición del buen gusto y de la voluntad general. La dependencia del hombre devenido social es paradójicamente lo que hace que la libertad sea una propiedad en potencia de la vida en sociedad. En este marco, el pueblo no es ni un sujeto, ni una instancia jurídica, es la forma del lazo social determinado por las condiciones de la igualdad y la libertad. Hay pueblo cuando el lazo que une cada uno al Estado, y a los hombres entre sí, bajo la condición de la igualdad y de la libertad, se transforma en el punto de unión de todos los intereses particulares.
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L’amour de soi dans le contexte de la nouvelle créature. Une lecture synchronique d’inspiration narrative de Ga 5,1-17 (et, en partie, de Ga 2,19-21; 5,18-6,10 et 6,15).

Joron, Stéphane 07 1900 (has links)
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