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La politesse dans la communication interculturelle : les stratégies de politesse utilisées par les coréens apprenant le français comme langue seconde lors des situations de demande

Bae, Jin Ah 02 1900 (has links)
La présente recherche a pour objectif d’examiner les stratégies de politesse utilisées par des apprenants coréens qui apprennent le français comme langue seconde lors des situations de demande et de mettre en évidence le rôle de la L1 et de la culture d’origine des apprenants quant à leurs choix des stratégies de politesse en français. Trois groupes de répondants ont participé à la recherche : 30 locuteurs natifs coréens qui habitent à Séoul, en Corée, 30 étudiants coréens apprenant le français comme langue seconde à Montréal, au Canada, et 30 locuteurs natifs francophones habitant Montréal. Les données recueillies auprès des locuteurs natifs ont servi de bases de données reflétant respectivement les normes de la L1 et celles de la langue cible. Pour la collecte de données, nous avons utilisé quatre outils : le Discourse Completion Test (DCT) écrit, des échelles d’évaluation des variables contextuelles, un Questionnaire à choix multiples (QCM) ainsi qu’une entrevue semi-structurée. Les réponses obtenues au DCT écrit ont été analysées à l’aide du schéma de codage élaboré dans le cadre du Cross-Cultural Speech Act Realization Project (CCSARP) (Blum-Kulka, House, & Kasper, 1989). Les résultats de notre recherche ont démontré que les apprenants coréens ont estimé les variables contextuelles, comme l’intimité et le pouvoir social ressentis vis-à-vis de l’interlocuteur dans les situations de demande de façon similaire aux locuteurs natifs francophones, alors qu’ils ont eu tendance à estimer une plus grande gravité d’imposition de la demande que les deux groupes de locuteurs natifs dans plusieurs situations de demande. Quant aux stratégies de demande, tandis que ce sont les stratégies indirectes qui ont été le plus fréquemment utilisées par les apprenants coréens et les locuteurs natifs francophones, les apprenants coréens ont montré une tendance au transfert pragmatique de la L1, en recourant aux stratégies directes plus fréquemment que les locuteurs natifs francophones. De plus, étant donné que les apprenants coréens ont utilisé beaucoup moins d’atténuateurs que les locuteurs natifs francophones, leurs formules de demande étaient plus directes et moins polies que celles employées par les locuteurs natifs francophones. En ce qui concerne les mouvements de soutien (supportive moves), les apprenants coréens se sont démarqués des deux groupes de locuteurs natifs, en recourant plus fréquemment à certaines catégories de mouvements de soutien que les autres répondants. Les analyses de corrélation entre l’estimation des variables contextuelles et le choix des stratégies de politesse nous ont permis de constater que les apprenants coréens ainsi que les locuteurs natifs francophones ont eu tendance à utiliser davantage d’atténuateurs lorsque le locuteur possède moins de pouvoir social. Les implications des résultats pour l’enseignement et l’apprentissage des aspects de la politesse dans la classe de français langue seconde ont été exposées. / The aim of this study is to investigate request strategies that Korean learners of French use in request situations. The role played by the learners’ first language and their culture of origin in making these choices will also be explored. Three groups of respondents participated in this study: 30 native Korean speakers living in Seoul, Korea, 30 Korean French learners in Montreal, Canada, and 30 French native speakers living in Montreal. Data collected from native speakers of both Korean and French were used to create baseline data reflecting first and second language norms respectively. Four data collecting methods were used: the Discourse Completion Test (DCT); an assessment questionnaire evaluating situational factors such as intimacy, the social power between interlocutors and the degree of imposition of requests; the multiple choice questionnaire (MCQ); and a semi-constructed interview. The responses obtained from the written DCT were analysed using the coding scheme elaborated in the Cross-Cultural Speech Act Realization Project (CCSARP) (Blum-Kulka, House, & Kasper, 1989). The results of the study showed that the Korean French learners estimated situational factors like intimacy and the relative social power that they feel with interlocutors in a manner similar to that of the French native speakers. However, in many situations, the Korean learners of French tended to estimate that a request represented a greater imposition than either group of native speakers. Further, while the Korean French learners frequently used indirect strategies as the French native speakers used them, they showed a tendency towards pragmatic transfer from their first language (L1), using direct strategies more frequently than their native French-speaking counterparts. Moreover, as the Korean French learners used downgraders far less frequently, their semantic formulas were more direct and less polite than the ones used by French native speakers. Concerning supportive moves, the Korean French learners showed a different tendency from the two groups of native speakers, in that they used some categories of supportive moves more frequently. The correlation analysis between the results of the assessment questionnaire about situational factors and the politeness strategies used by respondents revealed that the Korean learners and the French native speakers used more downgraders when they have less social power than the hearer. Finally, the implications of these findings as relates to the pedagogical and didactic aspects of politeness in French as a second language classroom are examined.
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Le rôle de l'enseignant dans les interactions en classe de FLE : analyses de cas des pratiques enseignantes en classeavec le public coréen / The role of the teacher in the interaction of FLE (French as a Foreign Language) Students : case Studies of Teaching Practices with Korean Students

Lee, Eunja 24 October 2017 (has links)
L’objectif de l’étude est de mettre en valeur les fonctions de l’enseignant remplies dans les interactions en classe du FLE et de trouver des pistes didactiques optimisant au maximum les résultats de l’enseignement en classe de FLE en Corée du Sud. Nous avons recueilli les corpus oraux des enseignants coréens et des enseignants français en classe avec les apprenants coréens pour comparer leurs techniques et apercevoir comment les objectifs pédagogiques et la compréhension des apprenants s’accomplissent. Les classes observées, enregistrées ont été analysées pour observer la méthode de constitution du scénario didactique et les stratégies didactiques que chaque enseignant choisit selon ses propres expériences et sa culture, et leurs effets didactiques. L’analyse des interactions en classe est accompagnée des entretiens avec les enseignants effectuées avant/après le cours ; la planification et l’auto-évaluation de chaque enseignant nous permettent de comprendre leurs choix en matière de méthodologies didactiques. Cette étude nous amène enfin à réfléchir sur le type d’enseignement contextualisé au public coréen ; des interviews et une enquête effectuées auprès des apprenants sont présentés afin de cerner leurs envies et besoins, et discutés ensuite en rapport avec le travail de l’enseignant. L’étude vise à établir les différents rôles de l’enseignant adaptés à un public coréen. / The objective of the study is to highlight the functions of the teacher in FLE classroom interactions and to discover teaching methods that can lead to optimal teaching results of FLE in South Korea. We collected the oral corpus of both Korean and French teachers in class with Korean learners to compare their techniques and to identify how the learning objectives and learners' understanding are accomplished. The observed, recorded classes were analyzed in order to observe the method of constitution of the didactic scenario and the didactic strategies that each teacher chooses according to his own experiences and culture and their didactic effects. Interaction analysis in the classroom is accompanied by interviews with teachers before/ after the class ; The planning and the self-evaluation of each teacher enables us to understand their didactic choices. This study finally leads us to reflect on the type of teaching contextualized for Koreans; Interviews and a survey of learners are presented to identify their wants and needs and then discussed in relation to the work of the teacher. The study aims to establish the different roles of the teacher adapted to the Korean public.
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La politesse dans la communication interculturelle : les stratégies de politesse utilisées par les coréens apprenant le français comme langue seconde lors des situations de demande

Bae, Jin Ah 02 1900 (has links)
La présente recherche a pour objectif d’examiner les stratégies de politesse utilisées par des apprenants coréens qui apprennent le français comme langue seconde lors des situations de demande et de mettre en évidence le rôle de la L1 et de la culture d’origine des apprenants quant à leurs choix des stratégies de politesse en français. Trois groupes de répondants ont participé à la recherche : 30 locuteurs natifs coréens qui habitent à Séoul, en Corée, 30 étudiants coréens apprenant le français comme langue seconde à Montréal, au Canada, et 30 locuteurs natifs francophones habitant Montréal. Les données recueillies auprès des locuteurs natifs ont servi de bases de données reflétant respectivement les normes de la L1 et celles de la langue cible. Pour la collecte de données, nous avons utilisé quatre outils : le Discourse Completion Test (DCT) écrit, des échelles d’évaluation des variables contextuelles, un Questionnaire à choix multiples (QCM) ainsi qu’une entrevue semi-structurée. Les réponses obtenues au DCT écrit ont été analysées à l’aide du schéma de codage élaboré dans le cadre du Cross-Cultural Speech Act Realization Project (CCSARP) (Blum-Kulka, House, & Kasper, 1989). Les résultats de notre recherche ont démontré que les apprenants coréens ont estimé les variables contextuelles, comme l’intimité et le pouvoir social ressentis vis-à-vis de l’interlocuteur dans les situations de demande de façon similaire aux locuteurs natifs francophones, alors qu’ils ont eu tendance à estimer une plus grande gravité d’imposition de la demande que les deux groupes de locuteurs natifs dans plusieurs situations de demande. Quant aux stratégies de demande, tandis que ce sont les stratégies indirectes qui ont été le plus fréquemment utilisées par les apprenants coréens et les locuteurs natifs francophones, les apprenants coréens ont montré une tendance au transfert pragmatique de la L1, en recourant aux stratégies directes plus fréquemment que les locuteurs natifs francophones. De plus, étant donné que les apprenants coréens ont utilisé beaucoup moins d’atténuateurs que les locuteurs natifs francophones, leurs formules de demande étaient plus directes et moins polies que celles employées par les locuteurs natifs francophones. En ce qui concerne les mouvements de soutien (supportive moves), les apprenants coréens se sont démarqués des deux groupes de locuteurs natifs, en recourant plus fréquemment à certaines catégories de mouvements de soutien que les autres répondants. Les analyses de corrélation entre l’estimation des variables contextuelles et le choix des stratégies de politesse nous ont permis de constater que les apprenants coréens ainsi que les locuteurs natifs francophones ont eu tendance à utiliser davantage d’atténuateurs lorsque le locuteur possède moins de pouvoir social. Les implications des résultats pour l’enseignement et l’apprentissage des aspects de la politesse dans la classe de français langue seconde ont été exposées. / The aim of this study is to investigate request strategies that Korean learners of French use in request situations. The role played by the learners’ first language and their culture of origin in making these choices will also be explored. Three groups of respondents participated in this study: 30 native Korean speakers living in Seoul, Korea, 30 Korean French learners in Montreal, Canada, and 30 French native speakers living in Montreal. Data collected from native speakers of both Korean and French were used to create baseline data reflecting first and second language norms respectively. Four data collecting methods were used: the Discourse Completion Test (DCT); an assessment questionnaire evaluating situational factors such as intimacy, the social power between interlocutors and the degree of imposition of requests; the multiple choice questionnaire (MCQ); and a semi-constructed interview. The responses obtained from the written DCT were analysed using the coding scheme elaborated in the Cross-Cultural Speech Act Realization Project (CCSARP) (Blum-Kulka, House, & Kasper, 1989). The results of the study showed that the Korean French learners estimated situational factors like intimacy and the relative social power that they feel with interlocutors in a manner similar to that of the French native speakers. However, in many situations, the Korean learners of French tended to estimate that a request represented a greater imposition than either group of native speakers. Further, while the Korean French learners frequently used indirect strategies as the French native speakers used them, they showed a tendency towards pragmatic transfer from their first language (L1), using direct strategies more frequently than their native French-speaking counterparts. Moreover, as the Korean French learners used downgraders far less frequently, their semantic formulas were more direct and less polite than the ones used by French native speakers. Concerning supportive moves, the Korean French learners showed a different tendency from the two groups of native speakers, in that they used some categories of supportive moves more frequently. The correlation analysis between the results of the assessment questionnaire about situational factors and the politeness strategies used by respondents revealed that the Korean learners and the French native speakers used more downgraders when they have less social power than the hearer. Finally, the implications of these findings as relates to the pedagogical and didactic aspects of politeness in French as a second language classroom are examined.
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Le kaléidoscope de la liaison en français : étude comparée de son appropriation par des apprenants adultes de FLE et des enfants natifs / The kaleidoscope of liaison in French : comparative study of its acquisition by FFL adult learners and by native children

Harnois-Delpiano, Mylene 07 April 2016 (has links)
La liaison en français consiste en l’apparition d’une consonne de liaison entre deux mots dans des contextes précis de la chaîne parlée qui sont divisés en trois catégories : les contextes où la liaison est catégorique (un /n/ enfant), ceux où elle est variable (un gros /z/ avion) et ceux où elle est erratique (une chanson // anglaise). L’objectif de cette recherche est double : dans la première partie, nous exposons une analyse de chaque dimension linguistique et sociolinguistique impliquée dans le phénomène de la liaison. Chacune d’entre elles permet d’éclairer les études qui ont été réalisées ces dernières années auprès d’apprenants de FLE de niveau intermédiaire à avancé, afin de découvrir dans quelle mesure ils parviennent à s’approprier la liaison, en perception comme en production. Dans la seconde partie, nous présentons une étude expérimentale de l’appropriation de la liaison en français suivie par 17 apprenants coréens de FLE de niveau A1-A2 du CECRL enregistrés trois fois sur une durée d’un an, ainsi que par 165 enfants francophones natifs de deux à six ans. Comme il est impossible de comparer les deux groupes de participants du fait de conditions environnementales et de compétences cognitives non alignables, nous avons élaboré une méthode innovante d’appariement sur la base de données factuelles. Nos résultats nous permettent non seulement d’étayer le modèle constructionniste de l’acquisition de la liaison L1 (Chevrot, Dugua, & Fayol, 2009; Chevrot, Dugua, Harnois-Delpiano, Siccardi, & Spinelli, 2013) mais aussi d’esquisser le processus d’appropriation de la liaison L2, très influencé par la graphie apprise dès les premiers cours de FLE. Nous concluons par une mise en perspective didactique prenant en compte l’ensemble des prismes de ce kaléidoscope linguistique de la liaison en français car sans une perception claire de chacun d’entre eux, les apprenants de FLE ne peuvent qu’avoir une vision floue du phénomène. / French liaison is the appearance of a liaison consonant between two words in specific contexts within the spoken word chain. These contexts are divided into three categories : those where the liaison is categorical (e.g. “a child” : un /n/ enfant ), those where it is variable (e.g. “a big plane” : un gros /z/ avion) and those where it is forbidden (e.g. “an english song” : une chanson // anglaise ).The aim of this research is twofold. In the first part, we present an analysis of each linguistic and sociolinguistic sub-field involved in the phenomenon of French liaison. Each of them will allow to shed light on studies of the acquisition of French liaison that have been conducted with learners of FFL (intermediate to advanced level) in recent years. In the second part, we present a comparative study of the acquisition of French liaison based on experimental tasks performed by 17 Korean learners of FFL (level A1-A2 of the CEFR) recorded three times over a one-year and by 165 native children aged two to six. As it is impossible to compare the two groups of participants due to environmental conditions and to different cognitive skills, we have developed an innovative matching method based on factual data. On the one hand, this supports the constructionist model of the acquisition of the liaison L1 (Chevrot, Dugua, & Fayol, 2009; Chevrot, Dugua, Harnois-Delpiano, Siccardi, & Spinelli, 2013). On the other hand, this enables us to sketch the acquisition process of the liaison L2, very influenced by the spelling which is learned from the first FFL course. We conclude with a didactic perspective layout taking into account all the prisms of this linguistic kaleidoscope of French liaison because without a clear perception of each one, FFL learners are bound to have a partial and unfocused interpretation of this phenomenon.

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