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De briques et de bois: contribution à l'histoire de l'architecture à Bruxelles :étude archéologique, technique et historique des matériaux de construction, XIII - XVIIIe siècle / From brick and wood: contribution to the history of architecture in Brussels :archaeological, historical and technical study of building materials used in the Brussels landscape, 13th-18th century

Sosnowska, Philippe 03 December 2013 (has links)
Cette enquête archéologique et historique vise à mettre en relief les rapports entre matériaux et immeubles au travers de l’histoire du bâti ancien bruxellois. <p><p>Des trois matériaux qui marquent le bâti bruxellois, deux seront étudiés :le bois et la céramique architecturale. Un troisième volet sera consacré à l’étude des remplois, recyclages et remaniements. Dans le temps imparti à ce travail, compte tenu des impératifs méthodologiques, des contraintes factuelles, il n’était pas possible de traiter de manière approfondie et novatrice des trois types de matériau. La pierre domine symboliquement (mais certainement pas quantitativement) le paysage bruxellois :son emploi caractérise en effet la production architecturale des grands ensembles monumentaux tels que l’Aula Magna, l’hôtel de Ville de Bruxelles ou encore la collégiale Saints-Michel-et-Gudule, pour ne citer que ces exemples. D’une manière générale pour l’ancien duché de Brabant, dans sa partie couvrant l’espace belge actuel, c’est le matériau le mieux étudié dans ses aspects divers (extraction, façonnage des blocs, mise en œuvre…). La pierre sera abordée indirectement, lorsque son emploi a des implications directes dans la mise en œuvre des matériaux étudiés. Une approche de l’ensemble des matériaux lithiques ainsi qu’une réflexion sur certaines mises en œuvre et le développement de futures pistes de recherche seront en outre proposées en conclusion.<p><p>Le choix s’est porté sur le bois et la brique, car leur emploi est, de manière générale, moins bien apprécié et moins connu en région bruxelloise par rapport à la pierre. Il fallait en fonder solidement l’étude. L’objectif est donc de pallier à cette lacune en proposant une lecture nouvelle de l’habitat selon des champs d’investigations spécifiques à l’histoire de la construction. La construction de typochronologies pour les planchers, les revêtements de sol, et la brique a pour but d’apporter aux archéologues des marqueurs chronologiques fiables pour l’interprétation et la construction de l’évolution des structures rencontrées. Mais pas seulement. La mise en place de ces typochronologies va de pair avec l’élaboration d’une réflexion sur l’ensemble des chaînes opératoires de la fabrication ou du façonnage des matériaux. Cette production n’est pas uniquement matérielle mais répond à des critères environnementaux, économiques, techniques et sociétaux. Il s’agit donc de comprendre ou d’ouvrir des pistes de réflexion pour appréhender les mécanismes qui ont permis aux bâtisseurs d’utiliser à Bruxelles une large gamme de matériaux et qui par ce biais a façonné le visage urbain bruxellois. L’apport de cette recherche, bien que se focalisant pour l’essentiel sur Bruxelles, a pour objectif de renouveler l’approche des matériaux de construction en apportant une base de références solides dans leur étude pour Bruxelles mais également pour les autres villes et de dépasser ainsi les méthodes traditionnelles d’histoire des formes pour développer une relation dialectique entre matériau, forme, usage et caractérisation sociale de la ville, de son habitat et de ses populations.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'habitat de la petite noblesse dans la partie nord de l'ancien comté de Hainaut, 15e-18e siècles: architecture, modes de vie et manières d'être / Gentry's settlement in the County of Hainault ,15th-18th centuries: architecture, ways of life, behaviours.

Mathieu, Clémence 13 September 2012 (has links)
Cette étude s’attache à comprendre ce qu’est un habitat seigneurial secondaire en Hainaut à la fin du Moyen Age et aux Temps Modernes. La disparition de la plupart des résidences de la haute noblesse en Hainaut, nous a amenée à nous pencher sur l’étude des habitats de la petite noblesse, dont le manque de reconnaissance, entrainant la démolition ou les transformations irréversibles de ces habitats, rend ces édifices sujets à l’oubli. Ajoutons à cela que, victimes d’une tradition castrale héritée du 19e siècle, archéologues et historiens de l’art ont bien souvent eu leur attention d’abord attirée par les grands châteaux et donc la haute noblesse, laissant de côté toute une tranche de la population noble et de leurs possessions. Notre étude a comme objectif majeur de comprendre comment ces habitats ont fonctionné comme structures de vie, mais aussi comme des architectures à travers lesquelles et par lesquelles les habitants pouvaient exprimer leurs identités. Dans cette optique, après avoir considéré les différents types architecturaux (types de plans, types de corps de logis, types de tours), suivant une typo-chronologie, nous considérons les matériaux utilisés et la distribution intérieure de ces édifices. <p>Ce sont ensuite les entourages de l’habitat en tant qu’espace construit, leur situation dans le paysage, et par rapport au relief, à l’hydrographie, aux villages, aux terres de cultures, et aux réseaux de communication, qui occupent une grande partie de l’étude. Les liens avec leurs habitants, ces membres de la « petite noblesse » sont ensuite considérés. Leurs fonctions, leurs origines et leurs zones de déplacements sont abordés, afin de mieux percevoir le rôle et la détermination de ce groupe social, qui s’avère être en rupture avec la haute noblesse. L’opposition traditionnelle entre villes et campagnes est dépassée, de même que la question des maisons principales et secondaires, au profit d’une approche plus fluide, favorisant une interaction entre villes et campagnes, et considérant les mouvements de population émergeant de l’un ou l’autre milieu. <p>La partie interprétative suit ensuite, permettant d’aboutir à une caractérisation de ce type d’habitat. Le but est notamment de mettre en lumière la relation entre les aspects défensifs et résidentiels des édifices. Pour ce faire, les éléments de défense active et passive sont examinés, ainsi que le degré d’efficacité de ces structures. <p>La suite de cette partie a pour but de replacer les habitats de la petite noblesse dans le contexte des types architecturaux des campagnes, de la haute noblesse et des villes du Hainaut et des anciens Pays-Bas, afin de mieux dégager les liens ou les ruptures entre les différents groupes sociaux et architecturaux. Les rapports avec les habitats ruraux sont établis en ce qui concerne les diverses composantes que sont les douves, les pont-levis, les orifices de tir, les espaces verts et les aménagements hydrographiques d’agrément, la basse-cour, les tours, les typologies des plans et de maisons, les matériaux et leur qualité de mise en œuvre, les intérieurs, les ouvertures et les styles, les armoiries et les millésimes. La catégorie intermédiaire que sont les habitats des élites rurales, est également abordée, puisqu’elle développe des types architecturaux ambigus et se rapprochant davantage des habitats de la petite noblesse que des autres ruraux. Cette catégorie est examinée d’un point de vue architectural et social./This research is aiming at understanding what is a gentry’s settlement in the County of Hainault at the end of the Middle Ages and during the Modern Times. The disappearance of most of the castles of the high nobility in Hainault, led us to study the gentry’s settlement. The lack of recognition of this kind of building is often leading to their destruction and irreversible transformations. There is also the fact that the archaeologists and art historians often inherited from the 19th century tradition, whose attention was mostly attracted by the main castles and the high nobility, forgetting by the same occasion a side of the nobility –the gentry- and his settlement.<p>The main objective of this research is to understand how these settlements were linked with their inhabitants, expressing their identities, ways of living and behaviours. In this framework, we first analyse the architectural typologies (plans, residential buildings, towers) in connection with the chronology, the materials, and the inner organisation of these buildings.<p>Afterwards, we consider the surroundings of the buildings, the location in the landscape, the relief, hydrography, the village, the lands, the communication net. The lesser nobility is also studied, through its functions, origins, movement areas, in order to have a better understanding of the role and definition of this social group which is distinctly separated from the high nobility. The traditional opposition between cities and countryside, and between the main and secondary housing, is overstepped, in order to reach a more flexible approach. We therefore consider the topic through an interaction between cities and countryside, and their inhabitants.<p>The rest of the research is dedicated to the interpretations, in order to draw the characterists of the gentry’s settlement. First, the relationships between the defensive and residential aspects are considered. The active and passive defensive elements are studied, as well as the efficiency of these structures.<p>Secondly, we replace the gentry’s settlement in the context of the other architectural types of the countryside, high nobility and cities of the county of Hainaut and the Southern Low Countries, in order to have a better understanding of the links and breaks between the different social and architectural groups. The link with the rural settlement is established concerning the following elements :drawbridges, moats, arrow slits, green spaces and water structures, farms, towers, plans and houses typologies, materials and their quality, interiors, openings and styles, coats of arms. The intermediate category of the settlement of the rural elites is also considered, as the architectural types are close to the gentry’s settlement. This category is examined on an architectural and social point of view.<p>The link with the settlement of the cities and the high nobility is also studied, allowing to see a lack of link between the different categories at least until the end of the 17th century. <p>In the last chapters, the gentry’s settlement of Hainault is replaced in the context of the Southern Low Countries, through a comparative approach. We also consider the link with this kind of settlement and the tradition and the modernity, as well as the link with the social status of their inhabitants and builders.<p>The conclusion is the occasion to remind all the characteristics of the gentry’s settlement in Hainault, and the evolution of the architectural types through the centuries. Some comparisons with the same kind of settlement in surroundings countries are also established, opening new research perspectives. In the epilogue, we consider the buildings on a conservation, restoration and preservation point of view. The state of the art of the legislative situation is given, and prescriptions for a better future conservation are drawn, in order to avoid a disappearance of the architectural information, together with an important part of the history.<p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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