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Baculard d'Arnaud, 1718-1805 a novelist of the middle way.

Goard, Robert Richard, January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1970. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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The paradox of despair; studies of the despair theme in Medieval and Renaissance literature.

Snyder, Susan Brooke, January 1900 (has links)
Thesis (Ph.D.)--Columbia University. / Typescript. Library has photocopy.
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François-Thomas de Baculard d'Arnaud ses imitateurs en Hollande et dans d'autres pays.

Inklaar, Derk. January 1925 (has links)
Proefschrift--Groningen. / "Stellingen": [2]p. laid in. "Bibliographie ... des principaux ouvrages lus ou consultés": p. [401]-412.
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L'œuvre d'Arnaud Berquin : littérature de jeunesse et esprit des Lumières. / Arnaud Berquin's work : literatury for youth and enlightenment ideas

Baudron, Annette 10 December 2009 (has links)
Au dix-huitième siècle, la question de l’éducation fut posée avec force. Sous l’impulsion des philosophes des Lumières, des auteurs vont répondre à cette nouvelle demande : instruire en amusant. Arnaud Berquin est l’un d’eux. Il est connu pour être l’auteur du premier périodique pour la jeunesse : L’Ami des enfants. Le parcours singulier de cet écrivain bordelais l’a mis au contact des hommes des Lumières les plus influents du dernier quart du siècle. Nous avons abordé son œuvre, qu’elle s’adresse aux amateurs d’idylles et de romances, à la jeunesse avec les livres d’enfance, périodiques ou romans d’éducation, aux habitants des campagnes sous la Révolution. Les gazettes littéraires nous ont permis d’apprécier le succès d’un auteur qui vécut de sa plume. L’étude des textes nous a donné la mesure de son engagement constant au côté des philosophes et sa démarche novatrice pour insuffler l’esprit des Lumières à l’enfance à travers un discours moral, religieux, éducatif et politique. / In the eighteenth century, a great deal was said about Education by the philosophers of the Enlightenment. They saw in it the way to promote morality and progress. Under of their impulse, some authors tried to answer their new request : how to teach while enjoying oneself. Arnaud Berquin is one of them. He is known as the author of the first periodical for youth : L’Ami des enfants. During his life, this writer met the most important of the philosophers of the Enlightenment from the end of the century. We have studied his whole works, the poetic part, with idylls and romances, the youth part with periodic and children’s books, and finally a periodical for rural people, in the Revolution’s time. The literary gazettes told us that Arnaud Berquin was estimated so he had the capacity to live on his writing. The study of the texts shows us a man who was engaged to promote the Enlightenment ideas to young people through a purpose based on morality, religion, education and politics.
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La critique de l'irrationnel dans L'ami des enfants (1782-1783) d'Arnaud Berquin

Fournier-Goulet, Geneviève 02 1900 (has links) (PDF)
On a longtemps considéré l'enfant comme « un petit adulte » et ce n'est qu'avec les XVIe et XVIIe siècles qu'on commence à lui reconnaître des caractéristiques propres. Toutefois, c'est avec le XVIIIe siècle que des auteurs se mettent à écrire des récits spécifiquement destinés à un jeune public. Ceux que l'on peut qualifier de grands auteurs pour la jeunesse à la fin de l'Ancien Régime, qu'il s'agisse de Madame d'Épinay (1726-1783), de Madame de Genlis (1746-1830) ou d'Arnaud Berquin (1747-1791), se font les porte-paroles des idées et des critiques que nous désignons aujourd'hui sous le nom de « philosophie des Lumières ». Nous nous intéresserons ici à L'Ami des enfants, un périodique écrit par Arnaud Berquin. Paru en vingt-quatre numéros entre 1782 et 1783, il comporte 121 historiettes de plusieurs genres différents, dans lesquelles Berquin se réclame d'une des idées essentielles des Lumières : le recours à la raison. En effet, il y dénonce de plusieurs manières l'irrationnel (revenants, monstres, magie, mondes enchantés) et c'est cette critique que nous étudierons, afin de voir comment elle est rendue accessible aux jeunes lecteurs, tout en restant très près des Lumières. Dans un premier chapitre, nous retracerons le contexte socio-historique pour comprendre comment la critique des croyances s'est articulée en France, et ce, jusqu'à envahir le domaine de la littérature pour enfants. Il s'agira avant tout de voir comment le discours de Berquin s'insère dans un mouvement qui le dépasse et qui tire ses origines de la fin du XVIIe siècle. Ce rappel historique nous mènera à une définition opératoire des termes « irrationnel » et « irrationalité », qui seront utilisés dans la suite de notre mémoire. Nous tenterons ensuite de voir de quelle manière Berquin s'emploie à mettre cette critique à la portée des enfants. L'ensemble des histoires sera d'abord observé, afin de voir comment elles mettent toutes de l'avant un monde où la raison prime. Trois manifestations de ce monde « raisonnable » seront étudiées dans les historiettes : leur réalisme de fond et de forme; leurs liens avec la science et la méthode scientifique, telles que décrites dans l'Encyclopédie de Diderot et D'Alembert (1751-1772) ; leur proximité avec le déisme. Notre troisième chapitre sera finalement consacré à l'analyse de six histoires en particulier qui traitent explicitement de la critique des irrationalités. Il s'agira surtout de déterminer quelles stratégies rhétoriques utilise Berquin pour inciter à critiquer les irrationalités. Une telle étude nous permettra de lier la critique des irrationalités faite par Berquin aux idées véhiculées dans la société française de cette époque, de manière à voir comment cet auteur diffuse une philosophie des Lumières et une définition de la raison adaptées aux enfants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Arnaud Berquin, littérature pour enfants, irrationnel, philosophie des Lumières, XVIIIe siècle
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L'indouisme, le bouddhisme et l'Islam en dialogue : un parallèle entre trois films documentaires d'Arnaud Desjardins et une réalisation personnelle qui s'en inspire / Hindouisme, le bouddhisme et l'Islam en dialogue : un parallèle entre trois films documentaires d'Arnaud Desjardins et une réalisation personnelle qui s'en inspire

Bennani, Soulaima 10 May 2024 (has links)
Note sur les annexes : 1 document en format mp4, « un moyen métrage d’une trentaine de minutes un même esprit que les films de Desjardins autour d’une nouvelle branche mystique, la confrérie soufie Mevlevi initiée par Djalal-din Rumi, un des plus grands mystiques soufis du 13e siècle » / La présente étude prend la forme d'un voyage de maitre en maitre, de temple en temple, et s'intéresse à la discipline mystique qui mène au Divin et à l'annihilation de soi. C'est dans le cadre d'une recherche-création que ce mémoire s'incrit, cherchant à mettre en dialogue certaines branches mystiques présentes dans l'indouisme, le bouddhisme et l'islam, à travers trois films documentaires d'Arnaud Desjardins et une réalisation personnelle qui s'en inspire. En parcourant l'Inde avec le film *Ashrams* (Desjardins, 1959), le Japon avec *Zen ici et maintenant I* (Desjardins, 1971), l'Afghanistan avec *Soufis d'Afghanistan II* (Desjardins, 1974), et la Turquie avec *Eyvallah* (Bennani, 2023), on propose de découvrir sous forme de boucle les échos de différentes traditions religieuses dans le but d'y retrouver des croisements pacifistes. Plus précisemment, la partie recherche consiste à relever des redondances structurelles et symboliques autour d'une sagesse universelle commune qu'on retrouve chez les traditions approchées dans les films de Desjardins à travers lesquelles on constitue un parallèle avec le projet de création *Eyvallah* (2023) réalisé en Turquie. Puisque notre étude nourrit une complementarité entre les parties recherche et création, on retrouve dans un moyen métrage d'une trentaine de minutes un même esprit que les films de Desjardins autour d'une nouvelle branche mystique, la confrérie soufie Mevlevi initiée par Djalal-din Rumi, un des plus grands mystiques soufis du 13e siècle. Afin d'homogéiniser le travail, quelques notions théoriques empreintées du récit encadrent l'ensemble de l'étude et servent d'outils de convergence entre les différentes traditions, principalement les notions de « monstration » et « narration » reprises par Roger Odin et de « narrativité complexe » par Marie-Laure Ryan. Pour résumer en une phrase, ce travail consiste à traverser différentes disciplines mystiques qui mènent au Divin et à constituer un parallèle entre trois films retenus d'Arnaud Desjardins et la réalisation personelle du documentaire *Eyvallah* pour y relever des sagesses communes.
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Architecture du livre-univers dans la science-fiction, à travers cinq oeuvres : Noô de S. Wul, Dune de F. Herbert, La Compagnie des glaces de G.-J. Arnaud, Helliconia de B. Aldiss, Hypérion de D. Simmons

Genefort, Laurent 12 December 1997 (has links) (PDF)
Etude d'une catégorie de romans de science-fiction, qu'on appelle le livre-univers. Cinq oeuvres littéraires servent d'exemples à la théorie, avec une prédilection pour Noô (1977) de Stefan Wul.<br />LA PREMIERE PARTIE s'efforce de localiser le livre-univers dans le territoire de la science-fiction. Le livre-univers s'inscrit dans la seconde moitié du XXe siècle. Plusieurs indices éditoriaux distinguent un livre-univers d'un space opera classique : par sa taille importante qui le rapproche du "roman-fleuve", par la réception critique qui le célèbre comme un événement littéraire, par son succès auprès du lectorat amateur. Le livre-univers présente un monde structuré, dense et original dans ses composants, dont plusieurs lectures n'épuisent pas l'intérêt. Pour une première définition, on est parti de celle de la romance planétaire (récit dont l'élément de base est une planète, Terre exceptée, et dont l'intrigue tourne autour de la nature de cet élément), en l'élargissant car le livre-univers dispose d'un arrière-plan galactique, souvent de plusieurs planètes. Le livre-univers puise à de nombreuses sources : le space opera et la romance planétaire, les thèmes de l'histoire du futur et de l'empire galactique, la hard science. <br />LA DEUXIEME PARTIE aborde les structures singulières qui se dessinent sous l'histoire et les thèmes abordés dans le livre-univers. L'approche systémique fournit une analogie entre les caractéristiques d'un système et celles d'un livre-univers. Un système se caractérise par la totalité qu'il forme, la transformation et l'autoréglage. Le livre-univers est un tout autonome, avec des frontières symbolisées par son éloignement dans le temps et dans l'espace du récit, ainsi que son appartenance au merveilleux qui le coupe de la réalité contemporaine. Cette totalité se compose d'éléments signifiants variés, qui interagissent pour former un système-monde. (Des exemples d'interactions sont donnés dans la thèse.) Ainsi, l'analogie systémique définit une véritable écologie du livre-univers. Dans l'optique systémique, le livre-univers en tant que fiction peut sans peine être comparée au jeu, avec lequel il possède beaucoup de points communs : des règles fixées dès le départ, un espace virtuel, un déroulement politique, un goût du grossissement et de la démesure. <br />LA TROISIEME PARTIE présente à gros traits ses "éléments de construction". En partant des éléments manifestes du récit (les personnages-types, le décor, le bestiaire, l'économie, la politique et la religion), l'on met en évidence un certain nombre d'interactions, tendues vers un effort de cohérence du système-monde, une volonté de "faire monde". Les thèmes classiques de la science-fiction (les machines pensantes, les extraterrestres, la science) servent aussi à nourrir le système-monde, au prix d'une certaine dénaturation, car les thèmes ne sont plus traités pour eux-mêmes. <br />Dans la QUATRIEME PARTIE, on considère le livre-univers à la fois comme expression artistique du monde et comme interprétation de l'univers. Le livre-univers s'élabore dans le temps. Il résulte d'un long processus de maturation, qui peut passer par un travail préparatoire (notes, cartes...) souvent considérable (Noô). L'étude du style et du langage est éclairante : la dominance de la variété lexicale (registres de langue, néologismes...), le schéma narratologique multilinéaire ou composite, la tendance au baroque concourent à une vision qui privilégie la complexité, en même temps qu'une appréhension multiple de la réalité qui est la marque du roman moderne. Le livre-univers traduit bel et bien une Weltanschauung, même s'il n'a pas la valeur démonstrative du roman total ; celle-ci s'efface derrière le monde fictif qui prétend vivre par lui-même. L'intérêt de la création d'un tel monde, pour le romancier, est esthétique autant (ou même plus dans le cas de Noô ou Hypérion) qu'idéologique. Chaque livre-univers reflète le point de vue sur la réalité de son auteur : Frank Herbert développe une philosophie écologique fondée sur l'adaptation permanente des groupes au milieu extérieur et au milieu intérieur ; Brian Aldiss trahit une tendance au sociobiologisme, également perceptible chez Stefan Wul mais gauchie, chez ce dernier, par une poétisation du monde ; la Terre glaciaire de G.-J. Arnaud résulte d'une perception essentiellement politique. <br />Le livre-univers n'est ni la représentation exacte d'une réalité, ni un pur symbole, il est un modèle imaginé. Enfin, le livre-univers nourrit et se nourrit de la littérature de science-fiction. Si, comme l'affirme Brian Aldiss, la SF cherche ou propose une définition de l'homme et de son statut dans le cosmos, alors le livre-univers occupe bel et bien une place privilégiée au sein de la science-fiction.
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Sur deux chemins de transformation intérieure : le passage

Éthier, Mireille 06 December 2021 (has links)
Des chercheurs de vérité, de Dieu, poursuivent des chemins variés qui s'avèrent tous voies de transformation. Nous nous intéressons à cette transformation qui s'opère dans des personnes, sur le périple de leur quête intérieure. Sur ce chemin, chez ceux qui s'engagent à fond, parfois un tournant radical s'opère, «LE PASSAGE». Nous privilégions deux référents sur deux voies de transformation pour les regarder à travers leur expérience de passage : Arnaud Desjardins a connu "l'éveil", "libération", sur la voie de 1'advaita-vedanta; Marie Guyart de l'Incarnation a fait l'expérience du mariage mystique sur la voie chrétienne-catholique. Qu'est ce passage? Y a-t-il des convergences entre les deux expériences? Notre propos est surtout de mieux connaître deux témoins sur leur chemin de transformation intérieure. Nous ne voulons pas leur inventer des connivences. Si elles sont là, nous les remarquerons.
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The girls who spoke for God: vocation and discernment in seventeenth-century France

Kort, Meghan 30 August 2016 (has links)
During the seventeenth century, the Catholic Reformation sparked unprecedented growth in girls' educational opportunities with the opening of over five hundred new teaching convents. Yet, the active role girls played in these institutional and social changes is often overlooked. Even though girls' autobiographical writing from the seventeenth century is rare, prescriptive, educational, and biographical sources from convent schools are rich in details about girls' lives and vocational discernment. Upon leaving school, girls were encouraged to take either marriage or religious vows. Since orthodox Catholicism taught that salvation could only be received if one's life reflected God's will this decision was weighty. In fact, reformed convents tested their entrants to ensure that their vocations were freely chosen and not forced. Seventeenth-century girls' educational theorists shared this concern, and while they debated the details of curriculum, they agreed that only girls had the authority to articulate their own God-given vocations. At convent schools, girls encountered both models of female domesticity and women who were dedicated to religious life. The repeated affirmation of both of these paths created an atmosphere in which girls could legitimately choose either. Furthermore, the memories of vocational discernment recorded in nuns' lives offer evidence of plausible ways in which girls proved their callings to their communities. Focusing on religious vocation reveals how girls in the seventeenth century actively articulated their ideas, impacted their societies, and challenged adult authority. / Graduate / 2017-08-25 / 0330 / 0335 / 0520 / mjkort@uvic.ca
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Loghorrée, aphasie, lettres : les états de la parole dans le cinéma d’Arnaud Desplechin

Rossi, Diane H. 06 1900 (has links)
La présente étude propose une analyse langagière à travers certaines scènes d’un corpus de quatre films mosaïques du cinéaste français Arnaud Desplechin : Comment je me suis disputé… (« ma vie sexuelle ») (1996); Rois et reine (2004); Un conte de Noël (Roubaix!) (2008) et Trois souvenirs de ma jeunesse (nos arcadies) (2015). En premier lieu, elle se penche sur la qualification de ces temps volumineux accordés à un personnage bavard, la définition du monologue telle qu’on la rencontrera s’appliquant mal à ces longues tirades qui ne s’inscrivent pas non plus dans la logique du dialogue, puisque l’échange verbal n’existe pas véritablement et que la communication se voit mise en échec. Ce mémoire analyse par la suite l’avènement de ces soliloques et leurs effets sur la narration selon l’état physique ou mental du personnage ainsi que la crédibilité accordée à ce dernier. L’altération de la possibilité de discourir découle de différents facteurs chez le cinéaste : la maladie, l’insomnie, l’aphonie, la mort ou encore l’ébriété, la prise de stupéfiants, la névrose voire la psychose. Après avoir étudié les différentes brides possibles de la parole des personnages, cet essai focalise brièvement son attention sur le comique relatif découlant de ces tirades. Est ensuite étudiée la forme et la place singulières octroyées aux lettres, motif central dans ce corpus de films. Cette étude se penche sur l’écriture de ces pièces de paroles conséquentes et isolées du reste de la narration avec leur temporalité différente, leur diction proche de la récitation théâtrale, une mise en scène privilégiant le face caméra ainsi que les raisons d’avoir recours au biais épistolaire, en évaluant en creux l’importance et le danger du silence tantôt subi, tantôt imposé par le personnage à travers le discours. Puisque cette étude analyse l’écriture langagière portée à l’oral et à l’écran et la complexité de filmer la parole, elle se conclut sur l’état de la recherche aujourd’hui, mais aussi sur les nombreuses pistes qu’il reste encore à explorer dans les études cinématographiques en ce qui concerne le langage à l’écran. / This present study’s aim is suggesting a linguistic analysis throughout different scenes in a medley of four films by the french director Arnaud Desplechin: Comment je me suis disputé… (« ma vie sexuelle ») (1996); Rois et reine (2004); Un conte de Noël (Roubaix!) (2008) et Trois souvenirs de ma jeunesse (nos arcadies) (2015). First of all, it looks into the qualifications of long periods of time granted to a very talkative character. The definition of soliloquy, such as described previously cannot be applied to these long speeches since they cannot be included in the dialogue logic. There is almost no real oral exchange. Communication cannot be established. Then this study will also analyze the different soliloques and their influence on the narration, according to the character’s physical or mental state together with his credibility. His disability to talk depends on different causes for the film maker : sickness, insomnia, aphonia, death, intoxication, drugs, neurosis, even psychosis. After exploring the different restrictions to the character’s communication, this essay will shortly focus on the comical side effects of these speeches. Then we will examine the special importance of letters which are essential in this film corpus. This essay also deals with the writing of these important words. They are separated from the rest of the story. They have a different temporality, their speech delivery is close to theatrical reciting. The production chooses filming front the front, explaining the reasons of rising the means of correspondance, pondering over the danger of silence which is, at times, either undergone or induced by the character through the speech. Since this analysis concerns the linguistic writing, both oral and filmed, the complexity of filming speech appears. As a conclusion, numerous new paths need to be explored when studying film making as far as filming speech is concerned.

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