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Habiter autrement le lieu de l'art : une présence à soi et à l'autreLeblanc, Marie-Hélène January 2006 (has links) (PDF)
La visée de cette cherche-création est d'habiter autrement le lieu de l'art, ce qui implique une présence à soi et à l'autre. C'est à partir d'une pratique à la fois plastique et organisationnelle, alimentée par une recherche théorique, que j'approfondis la notion d'habiter. Cet essai accompagne l'événement artistique sous-jacent Occupation des bas-fonds réalisé en décembre 2005 à Séquence. J'explore, tant par la pratique que par la théorie, les champs de l'architecture, de l'art participatif et de l'installation.
Pour l'événement Occupation des bas-fonds, j'ai invité douze artistes, formant ainsi une communauté artistique, à réaliser une intervention individuelle, mais imprégnée par le groupe de créateurs, abordant l'habitation et l'occupation, qui prendrait place dans le sous-sol de Séquence. Par l'organisation de ce projet collectif, j'ai tenté de faire cohabiter un lieu de rencontres et un lieu d'isolement. Ce dernier s'est matérialisé par la construction et la mise en espace de mon installation La ville vide. Lors de cet événement le visiteur devenait participant.
Divisé en quatre chapitres, cet essai se penche sur le processus de construction d'une ?uvre ou d'un événement qui mène à habiter autrement le lieu de l'art par une présence qualitative à soi et à l'autre. En explorant le domaine contextuel de l'architecture avec un regard d'artiste, où certains intérêts spécifiques apparaissent, je développe une philosophie du projet par la création d'installation et par l'organisation.
Le premier chapitre se consacre à la théorie et à l'expérience où se fonde ma pratique. D'une part, je me penche sur des écrits qui traitent de philosophie de l'habiter, de théorie de l'architecture et d'art participatif et d'autre part, je reviens sur des expériences concrètes telles qu'un stage professionnel effectué au cours de la maîtrise, une série de voyages, la réalisation d'?uvres installatives et j'en passe. Dans te deuxième chapitre, je fais un parallèle entre la construction et l'action artistique. C'est le moment où l'événement se développe et se définit. Au troisième chapitre, je me penche sur l'habitation comme contextualisation de l'?uvre. C'est I 'étape de réalisation du projet. Cela m'amène à accueillir la visite au chapitre quatre en présentant les résultats de ma recherche.
Nous verrons la possibilité d'investir la construction architecturale en développant en concordance une pratique artistique singulière et une volonté d'organisation autour de la notion d'habiter. Ma démarche se précisera dans une pratique à la fois individuelle et collective, par une présence à soi et à l'autre.
Mots-clés : Habiter, présence, architecture, construction, voisinage, occupation, ailleurs, participation, lieu de l'art, chantier, organisation, installation.
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Les rencontres singulières et collectives en art : sources de créationRobitaille, Bianka January 2005 (has links) (PDF)
J'explore dans ce travail l'idée de rencontre en tant qu'artiste singulier : les rencontres réalisées dans le cadre d'ateliers scolaires ou d'un travail collectif et les rencontres qui impliquent la communauté dans une démarche artistique.
De ces expériences, je tente de démontrer l'aspect favorable au développement de chacun des acteurs, et plus particulièrement de l'artiste, à savoir l'influence de ces rencontres sur le travail créateur.
Le chemin que j'emprunte s'inspire du concept du rhizome développé par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans Mille plateaux où plusieurs facteurs se rencontrent et se transforment. Ce concept génère multiples possibilités de développements, de connexions et d'apprentissages qui permettent aux artistes actuels d'ouvrir leur démarche à la relation avec autrui. Ce rapprochement entre l'art et la communauté se fait, selon Nicolas-Le Strat, dans la transaction, la négociation et l'interaction. Ces actions s'inscrivent dans la démarche de l'artiste.
Afin de saisir l'élan de l'artiste vers les autres, je fais la synthèse du processus créateur tel que perçu par Didier Anzieu dans son livre Le corps de l'?uvre. Par la même occasion, je tente d'appliquer ce processus au travail collectif.
Dans ma démarche artistique, je cherche, fabrique et photographie des objets qui sont le plus souvent ronds. Le cercle représente la matrice où la société prend forme, c'est aussi le cercle que symboliquement je trace autour de moi et qui me conduit à faire des rencontres afin d'explorer d'autres cercles. C'est donc basé sur mon propre travail artistique en installation et photographie que je décris mon cheminement et l'évolution de celui-ci par rapport aux rencontres afférentes.
Je mets en place, par rapport à ma réalité, différents types d'actions à caractère artistique par lesquelles l'artiste peut forger son identité: les rencontres dans un cadre scolaire, les rencontres entre artistes professionnels, les rencontres liées à la communauté.
J'avance dans ce travail que la rencontre à caractère artistique serait une synergie appliquée dans la démarche et qu'elle serait porteuse d'apprentissages et favoriserait la formation d'identité.
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Excédez : une écriture poétique et multidisciplinaire : regard sur les relations traversantes entre l'auto-représentation et l'automobileDumais, Cindy January 2005 (has links) (PDF)
Cette recherche-création porte un éclairage poétique sur les articulations souterraines de ma pratique artistique. Le contenu de ce mémoire synthétise les diverses avenues qui traversent le projet EXCÉDEZ présentant des pièces multidisciplinaires ? peintures, infographies, dessins, vidéos et livre d'artiste ? installées de façon à écrire poétiquement l'espace. Née à partir d'une image-mère « Je suis une auto mais je n'ai pas de mobile », l'exposition, par le préfixe « auto », explore les correspondances et les limites des relations entre l'automobile et moi. Dans ce présent texte, je propose donc une rencontre entre l'auto-représentation et la voiture. Par cela, l'accident, le dépassement et la transportation sont des notions qui s'attachent à cette recherche-création.
Divisé en trois chapitres, le texte présente mon travail pratique et il se retrouve explicité d'une façon fragmentée. Il est construit dans une dynamique, où la pratique traverse la théorie. La production de l'exposition ainsi que la méthode d'écriture de ce mémoire ont été réalisées dans un esprit de transversalité, ce qui m'invite à référer une même pièce pour expliciter une variété de notions. Mon travail artistique est un système inter relié.
Le premier chapitre se consacre aux concepts d'auto-représentation et d'auto-engendrement, par lesquels sont explorées les notions de double et de transformation. Je réfléchis également à la correspondance entre la voiture et moi-même. J'explique par la suite comment ce travail de recherche-création fait le récit allégorique de l'épuisement. Dans un deuxième temps, il sera question des tensions contenues dans la passion. Ici, je fais un parallèle entre mon travail artistique et la catastrophe de la mort. Nous passerons ainsi, de l'infigurable mort à la défiguration, dans laquelle j'étudie l'importance du visage dans l'exposition EXCÉDEZ. À l'intérieur de ce chapitre, il sera question de la notion d'accident, d'abord dans le travail de la matérialité, ensuite dans le travail numérique. Au chapitre trois, je fais l'autopsie de l'esprit baroque en regard de ma pratique artistique. Il sera question de la recherche de relations, c'est-à-dire comment le préfixe tans passe à travers, marque le changement et exprime un « au-delà ».
Je propose ainsi une recherche-création qui s'intéresse aux relations traversantes, par une écriture poétique et multidisciplinaire de l'espace, passant par l?auto-représentation et l'automobile.
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Vers une définition de l'automatisme québécoisMillward, Vincent John January 1997 (has links) (PDF)
En lisant l'ouvrage Surréalisme et littérature québécoise: histoire d'une révolution culturelle ([1977], 1986) d'André-G. Bourassa, l'étincelle qui a inspiré ce mémoire de maîtrise, j'ai été étonné de l'insistance des automatises québécois à vouloir se distinguer du surréalisme bien que ce mouvement les ait influencés d'une manière importante. Cela m'a amené à proposer, en me penchant sur les divers et nombreux écrits de Paul-Émile Borduas, de Fernand Leduc et de Claude Gauvreau, et aussi en prenant en considération les recherches d'autres chercheurs, une étude approfondie des fondements de l'automatisme québécois et de sa spécificité vis-à-vis du surréalisme.
D'abord, je considère l'influence d'André Breton et du surréalisme sur Borduas, Leduc et Gauvreau et puis les similitudes qui existent entre l'automatisme québécois et le mouvement dont Breton fut le chef de file. Ensuite, j'examine les différences que les trois automatistes mettent en avant entre les deux écoles. À la lumière de ces ressemblances et de ces différences, j'étudie comment les deux peintres et le littérateur définissent l'automatisme québécois en me rappelant que ce mouvement, aussi bien que le surréalisme, veut toucher aux arts en général: les arts plastiques, la littérature, la danse, etc. En somme, j'essaie de déterminer précisément sur quoi porte la dénégation des automatistes vis-à-vis du surréalisme afin de savoir si, en effet, l'automatisme québécois se distingue d'une manière importante du surréalisme. À partir de mon étude, je cherche à formuler une définition opératoire de l'automatisme québécois qui, sans être définitive, essaiera au moins d'en saisir l'essence en s'ajoutant aux recherches de ceux et celles qui se sont intéressés, et s'intéressent encore, aux automatistes québécois.
Tout compte fait, on découvre qu'il existe un esprit commun entre ce que l'« automatisme surrationnel » et l'« automatisme psychique pur » surréaliste. Toi Borduas appelle Tous deux sont nés d'un esprit contestataire et font valoir à divers degrés l'anti-académisme, l'apolitisme, l'anticléricalisme, l'athéisme, l'humanisme et l'importance de l'inconscient. Toutefois, Borduas, Leduc et Gauvreau proclament le dépassement du surréalisme et ils soulignent des différences importantes qui distinguent l'automatisme québécois du mouvement européen : la non-figuration, l'accent mis sur la matérialité des oeuvres et la manière dont le désir de l'artiste s'y manifeste (ce qui est la base de la critique automatiste selon le « contenu manifeste » et l'« authenticité »), l'importance de la spontanéité absolue, la méfiance à l'égard de l'intention et finalement l'action et l'émotivité de l'artiste par opposition à la passivité et à l'émotivité neutre.
Il y a bien sûr des nuances chez Borduas, Leduc et Gauvreau qui ne sont pas toujours d'accord et qui déclarent tous trois avoir dépassé l'automatisme québécois. Il reste cependant que leurs divers propos sont, dans l'ensemble, très constants et semblables, ce qui nous permet d'essayer d'établir une définition opératoire de l'automatisme québécois qui sera approfondie et enrichie par des études ultérieures. Afin de ne pas dépasser les bornes du résumé, je cite ici seulement quelques phrases de cette définition qui se trouve en entier dans la conclusion : une expression individuelle, spontanée et libre de toute contrainte (académique, religieuse, politique, rationaliste, etc.) qui s'inspire des impressions imprévues et bouleversantes d'une exploration progressive et agressive de l'inconscient ; au heu d'assister passivement aux irruptions inconscientes, l'artiste s'y jette audacieusement et activement avec beaucoup d'émotion. Aux intentions conçues d'avance, on préfère des conséquences spontanées et imprévisibles de son travail. De plus, l'artiste ne s'intéresse pas à l'anecdote et spontanées et imprévisibles de son travail. De plus, l'artiste ne s'intéresse pas à l'anecdote et n'enregistre pas simplement ce qu'il découvre mais se sert plutôt de ses trouvailles pour s'exprimer et pour créer des oeuvres originelles et authentiques. Ainsi, on s'éloigne de la figuration pour préférer la non-figuration qui, elle, favorise l'expression fidèle de l'inconscient [...]
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Écriture et peinture : lieux communsGirard, Chantale January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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La poïétique, lieu du jaillissement de l'oeuvre picturaleLeclerc, Josée January 1995 (has links) (PDF)
«La préparation d'une oeuvre consiste à se donner laborieusement la liberté de l'exécuter légèrement (Valéry, 1974:1016)».
Réfléchissant sur la philosophie de la création, je place sous les projecteurs l'oeuvre à faire me permettant ainsi d'amener ma peinture vers l'avant, plus près du prochain millénaire. J'instaure de nouvelles données dans mon processus sous un désir de contrer la surconsommation de l'image, le marché et son pouvoir de même que la réception du regardeur. La tâche consiste à imaginer, à pressentir, à concevoir et à faire vivre l'?uvre à faire afin de l'amener vers sa finalité, l'exposition. Dans les nouvelles données, on pense au jeu d'alternance entre la photographie, la vidéo et la participation de l'autre à l'intérieur même de l'oeuvre peinte. L'oeuvre à faire ne porte plus le poids d'être mineure sous les lumières de la poïétique.
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Immanences/transcendances : pour une peinture résiduelle du sacré, [suivi de] : Exposition :opacité et extase : méditation sur les douleurs intimesTremblay, Bruno January 1998 (has links) (PDF)
Ma réflexion et ma création tournent autour de deux pôles soit : la souffrance et la douleur se rapportant à l'existence et à la condition de l'être. Pour ces raisons, la figure du Christ en croix m'obsède car elle existe comme un symbole fort du don de soi tragique et du salut apporté à l'humanité pécheresse. Cette dichotomie iconographique entre vaincu et vainqueur ouvre un parcours réflexif pouvant prendre la forme d'une évolution créatrice ou à l'opposé une involution désastreuse.
Ce travail met en parallèle le sacré et le sexuel abordant une réflexion en palimpseste sur la mise en abîme à partir d'un processus de stratification de mes images. Un dispositif dramatique où l'ensemble des éléments de l'icône religieuse participe à l'orchestration syntaxique et sémantique de mes oeuvres. Une dualité de l'iconique (la représentation) au pictural (la matière exposée), dévoilant la poïétique de l'oeuvre dans différents réseaux de signification.
L'oeuvre, dans un effet spéculaire, place le spectateur face à ses émotions qui sont forgées par ses croyances et ses mythes personnels. L'idée de la tache comme lieu d'intervention, espace faisant sens, par la relation obligée, s'établit avec la pureté originelle et apparente de l'objet et son hybridité baroque. Mes interventions à l'encaustique révèlent manifestement l'action antérieure du dépôt, l'accumulation s'y inscrit et marque le passage d'un être. Marques de sutures, tissus cicatriciels, contre-emblème de la perfection, souffrance muette. Le sacré interpellé dans mon travail de création, à travers la représentation du corps, tente de provoquer le désir d'un état émotif supérieur : l'extase.
L'oeuvre opère deux fonctions révélatrices. La première est la traduction d'une présence qui n'est pas localisée mais qui rayonne et en second, l'oeuvre dans sa totalité s'érige en réceptacle expressif faisant appel à la faculté contemplative de l'esprit, à l'imagination évocatrice ou invocatrice du spectateur. La picturalité se marie à la tridimentionnalité des fragments de l'oeuvre, contaminant et souillant l'espace, en organisant des ensembles baroques. Ces syndromes esthétiques codifient le corps de l'oeuvre pour une expérience archaïque de l'affect, déclenchée par l'articulation des différentes techniques utilisées pour la mise en forme de ce discours intérieur, souterrain, hédoniste. Le dispositif formel nous mène dans l'envers du décor, dans le secret et le piège en jouant de la séduction. «Séduire : conduire ailleurs.» Cette hybridité généreuse du sens et de la forme nous pousse au coeur de la pulsion de mort au sein même du travail d'Éros. Un désir d'union et une irréductible séparation s'expriment de l'esthétique discontinue de mes collages/assemblages. Cette commune recherche de continuité du sacré et de la sexualité, n'est toujours atteinte qu'illusoirement et non sans heurt.
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Le jardin comme environnement numériqueArdila Torres, Natalia 11 1900 (has links) (PDF)
De nos jours, nous sommes dans l’un des contextes les plus dynamiques dans lesquels nous avons existé en tant que société. Les progrès et le changement sont partout. Le milieu éducatif et le secteur économique essaient d’être à l’avant-garde et de promouvoir le développement technologique. Nos appareils intelligents s’éloignent de plus en plus de la forme carrée de l’écran à laquelle ils étaient traditionnellement liés et ils s’intègrent dans notre quotidien, dans nos espaces. Une nouvelle voie se dessine : quels aspects adoptera la technologie maintenant ? De quelle façon ces nouvelles présentations changeront-elles notre rapport à la technologie ? Le jardin comme environnement numérique est un projet de recherche-création qui prend le jardin comme champ d’exploration pour aborder ces questions et le transforme en une métaphore qui évolue et change en fonction de l’échelle à laquelle elle est examinée. Ainsi, depuis une perspective poétique, je présente une proposition sur la forme que la technologie pourrait prendre dans notre quotidien et sur la manière dont elle pourrait modifier nos rapports entre nous comme avec nos espaces. L’intention de cette recherche n’est pas de faire une dissertation sur ce que la technologie devrait être ou sur le rôle qu’elle devrait prendre dans nos vies, mais d’ouvrir et de proposer une conversation continue sur ce sujet à travers une pratique de l’art et du design. Ce mémoire d’accompagnement montre le parcours et la méthodologie utilisés pour mener la recherche théorique et pratique qui a conduit à l’élaboration du projet de recherche création. Pour conclure, l’exposition La récolte est présentée, et j’expose de quelle manière ce projet peut contribuer au développement de ma pratique, en tenant compte de ses limitations et des voies qui pourraient induire de nouvelles recherches.
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Dissensus créateur ou L’infiltration du Décepteur dans le territoire de l’artFillion, Caroline January 2017 (has links) (PDF)
Ce mémoire accompagne l’oeuvre réalisée dans le cadre d’une résidence au centre d’art actuel Bang à Chicoutimi. Une oeuvre furtive, dénuée volontairement de tout public et de médiatisation. Cette recherche création est un regard singulier porté sur les méthodes de légitimation de l’art à travers ses institutions. Une réflexion sur le rapport entre l’oeuvre, l’artiste et le commentaire qui les précède. Cette recherche création repose sur une conjonction symbolique, une métaphore, détournant les postulats traditionnels du milieu de l’art en recourant à la manoeuvre, à l’insertion, à l’art furtif et en s’incarnant dans un personnage emprunt des caractéristiques de l’archétype du décepteur se révélant être la coexistence d’opposés dans une même réalité. Le milieu de l’art est ici vu comme un territoire, un écosystème composé de relations entre agents, entre objets et entre espaces à l’écologie précaire. Cette recherche propose de se positionner sur la frontière, sur le seuil de ce territoire. Se situer entre deux mondes engendrant un dissensus créant ainsi du politique.
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Les signatures de l’artéfact imprimé en 3D : l'oeuvre d'art comme reproduction ou simulacre?Lemire, Christian January 2017 (has links) (PDF)
Ce mémoire s’interroge sur l’ambiguïté quant à la notion d’oeuvre originale compte tenu du caractère reproductible de la création numérique associé à l’impression 3D. Comment exploiter le potentiel expressif des technologies pour créer des oeuvres d’art numériques établissant un dialogue entre l’immatérielle et le tangible? Quand considère-t-on une reproduction une oeuvre d’art et à quel moment elle ne l’est plus? Devons-nous envisager ce type de création en tant que reproduction ou plutôt comme simulacre ? Il s’agit d’un mémoire de type recherche-création avec comme intention de mieux comprendre comment s’inscrit l’impression 3D dans ce continuum technologique. Le mémoire est divisé en deux grandes parties : l’une théorique qui vise à mettre en lien certains concepts historiques liés à la reproduction, et l’autre volet qui ramène dans la sphère tangible, les sculptures 3D créées par ordinateur.
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