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Évolution des processus identitaires subjectifs et intersubjectifs d'élèves franco-québécois et atikamekw nehirowisiwok au cours d'une séquence de français oral

Desgagné, Joanie 09 April 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 28 mars 2024) / Dans cette recherche, nous nous intéressons à l'évolution des processus identitaires subjectifs et intersubjectifs d'élèves franco-québécois et atikamekw nehirowisiwok au cours d'une séquence de français oral inspirée de la pédagogie de la réconciliation. Nous soutenons que l'enseignement du français oral, par l'entremise des cercles interculturels de l'imaginaire, peut contribuer à la quête de reconnaissance des élèves, à l'expression de soi et à l'affirmation de soi, à une meilleure conscience de soi et des autres dans une dynamique d'assimilation et de différenciation, à une plus grande compréhension de ses relations avec l'apprendre et le savoir et permet, en outre, de soutenir la dynamique de réconciliation dans le contexte scolaire urbain. En cohérence avec une approche inspirée de la phénoménologie pour l'analyse de nos résultats, nous avons conçu, dans un esprit de partenariat avec des experts du milieu autochtone et urbain, une séquence didactique et pédagogique qui se fonde sur la pédagogie interculturelle, l'ethnologie de l'interculturel et l'approche groupale en psychologie de l'identité. Notre dispositif intègre les traditions orales atikamekw et franco-québécoise pour soutenir la réception, l'interprétation et la production de récits oraux dans le cours de français oral. Ce dispositif a ensuite été expérimenté par la chercheure dans une classe de français au secondaire en milieu urbain québécois où se côtoient les élèves atikamekw nehirowisiwok et franco-québécois. Notre approche se veut cohérente avec l'interactionnisme symbolique et l'épistémologie autochtone. Notre méthodologie qualitative vise la compréhension approfondie de l'expérience de six élèves par l'entremise de récits phénoménologiques et d'une présentation diachronique du parcours identitaire de deux Atikamekws et de quatre Franco-Québécois. L'étude confirme que les élèves arrivent à exprimer une forme de réconciliation avec soi et les autres dans une perspective subjective et intersubjective de l'identité et ce, grâce aux échanges vécus pendant les cercles interculturels de l'imaginaire et aux récits oraux produits et reçus.
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Identification des déterminants de l'intention de marcher pour faire de l'exercice chez des autochtones âgés entre 30 et 50 ans

Bourque, Monique 12 April 2018 (has links)
Cette étude avait pour but d'identifier les déterminants de la marche chez des autochtones âgés entre 30 et 50 ans résidant dans trois villages autochtones du Québec. La théorie du comportement planifié de Ajzen (1988) a servi de cadre théorique. Des 150 questionnaires auto administrés distribués dans les casiers postaux des participants, 46 ont pu être considérés pour l'étude. La moyenne d'âge des participants est de 39 ans (± 5,5). La régression logistique indique que le statut diabétique est-la variable contribuant le plus à prédire l'intention de marcher pour faire de l'exercice. Suivent le comportement antérieur puis l'attitude face à la marche et la perception de contrôle. Cette étude permet de mieux comprendre les facteurs sous-jacents à l'adoption d'un comportement favorable à la santé. Les résultats seront utiles pour mettre en place des stratégies pour améliorer la motivation des membres des communautés autochtones à pratiquer la marche régulièrement.
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Les feux de forêt comme processus sociaux plus-qu’humains. Une analyse des rapports dynamiques et enchevêtrés entre Atikamekw Nehirowisiwok, pompiers forestiers, feux et forêts au sein du Nitaskinan

Gonzalez, Noémie 09 September 2022 (has links)
Les feux de forêt sont plus en plus fréquents et intenses ces dernières années, notamment en raison des changements climatiques. De nombreuses communautés autochtones se trouvent en milieu forestier et donc exposées à cet aléa. Dans ce contexte, il est pertinent de se pencher sur les dynamiques des rapports sociaux entre organismes de gestion des feux de forêts, communautés autochtones, forêts et feux. C'est ce que fait cette thèse à travers l'étude spécifique du paysage plus-qu'humain qui s'est constitué autour de trois feux de forêt qui ont menacé la communauté atikamekw de Wemotaci en 1977, 1997 et 2010. Au niveau théorique, cette recherche se place au croisement entre l'anthropologie des catastrophes (Oliver-Smith et Hoffman 2020) et les études autochtones, tout en se positionnant au sein de l'écologie politique (Akrich, Callon et Latour 2006; Tsing 2017; Berkes, Colding et Folke 2003a). La méthodologie déployée mobilise des approches relationnelles inspirées des méthodologies autochtones (Smith 2012; Kovach 2009; Wilson 2008; Absolon Minogiizhigokwe 2011) et les apports des féminismes autochtones (Green 2017a) afin de produire une recherche aux visées anticoloniales et anti-oppressives. L'analyse de ces trois situations de feux de forêt met en lumière une tension. D'une part, elle met en évidence des procédures et politiques officielles de gestion des feux de forêt et des urgences qui considèrent les Autochtones comme devant être pris en charge et les excluent souvent des processus décisionnels. D'autre part, elle documente comment les membres de la communauté atikamekw ont été actifs lors des situations de feu en protégeant leur village et en s'occupant de leurs évacué·e·s. L'analyse des rapports de pouvoir et des mécanismes d'exclusion ont montré que plusieurs dynamiques nourrissent ce processus d'exclusion : une approche biopolitique de la gestion des feux de forêt, une domination du savoir-expert et d'une épistémologie eurocentrée, une essentialisation de certaines différences entre Autochtones et non-autochtones cristallisée autour de la temporalité et de la relation au territoire, et enfin la présence d'une masculinité hégémonique dans le domaine de la lutte contre les feux de forêt. Pourtant cette recherche montre aussi que les Atikamekw Nehirowisiwok sont porteurs et porteuses d'une expertise propre en ce qui concerne la gestion des feux de forêt et des urgences, en lien avec la responsabilité de prendre soin du territoire et de la communauté. Cette analyse montre aussi comment le colonialisme patriarcal est présent lors des événements de feux de forêt connectant l'expérience des hommes et femmes atikamekw aux dynamiques genrées du domaine de la gestion des feux et au contexte colonial plus global qui lie communautés autochtones et institutions non-autochtones. Cette recherche permet également d'ouvrir une discussion sur les futurismes atikamekw et notamment les possibilités d'avenir qui ont émergé suite aux situations de feux, au-delà des systèmes d'oppressions mis en évidence. Ces résultats permettent d'imaginer une gestion des feux et des urgences différente qui laisserait place à diverses épistémologies et intègrerait les acteurs et savoirs locaux de manière significative dans ses processus. Cette recherche a l'originalité d'apporter une analyse genrée de situations de feux de forêt, en dialogue avec les féminismes autochtones. La place donnée aux entités non-humaines, y compris le feu iel-même, dans l'analyse de ce réseau multiacteur, permet également d'en arriver à la conclusion que les feux de forêt, et les catastrophes en général sont des processus sociaux plus-qu'humain dans lesquels des futurs peuvent être produits malgré les rapports de pouvoir qui s'y manifestent. / Forest fires have become more frequent and intense in recent years, particularly due to climate change. Many indigenous communities are located in forest areas and are therefore exposed to this hazard. In this context, it is relevant to examine the dynamics of social relationships between forest fire management organizations, Indigenous communities, forests and fires. This is what this thesis does through the specific study of the more-than-human landscape that was formed around three forest fires that threatened the Atikamekw community of Wemotaci in 1977, 1997 and 2010. At the theoretical level, this research is placed at the intersection of the anthropology of disasters (Oliver-Smith and Hoffman 2020) and Indigenous studies, while positioning itself within political ecology (Akrich, Callon, and Latour 2006; Tsing 2017; Berkes, Colding, and Folke 2003a). The methodology deployed mobilizes relational approaches inspired by Indigenous methodologies (Smith 2012; Kovach 2009; Wilson 2008; Absolon Minogiizhigokwe 2011) and contributions from Indigenous feminisms (Green 2017a) to produce a research with anti-colonial and anti-oppressive aims. The analysis of these three wildfire situations highlights a tension. On the one hand, it highlights official wildfire and emergency management procedures and policies that view Indigenous people as needing to be cared for and often exclude them from decision-making processes. On the other hand, it documents how Atikamekw community members were active during the fire situations by protecting their village and caring for their evacuees. The analysis of power relations and mechanisms of exclusion showed that several dynamics feed this process of exclusion: a biopolitical approach to forest fire management, a domination of expert knowledge and a Eurocentric epistemology, an essentialization of certain differences between Indigenous and non-Indigenous people crystallized around temporality and the relationship with the land, and finally the presence of a hegemonic masculinity in the field of forest firefighting. However, this research also shows that the Atikamekw Nehirowisiwok have their own expertise in wildifre and emergency management, linked to the responsibility of taking care of the land and the community. It also shows how patriarchal colonialism is present during wildfire events, connecting the experience of Atikamekw men and women to the gendered dynamics of the fire management field and to the broader colonial context that links Indigenous communities and non-Indigenous institutions. This research also opens up a discussion on Atikamekw futurisms and, in particular, the possibilities of futures that have emerged as a result of fire situations, beyond the systems of oppression that have been highlighted. These results make it possible to imagine a different kind of wildfire and emergency management that would leave room for various epistemologies and would integrate local actors and knowledge in a significant way in its processes. This research has the originality of providing a gendered analysis of forest fire situations, in dialogue with Indigenous feminisms. The place given to non-human entities, including fire itself, in the analysis of this multi-actor network, also allows us to conclude that forest fires, and disasters in general, are more-than-human social processes in which futures can be produced despite the power inequalities that are present.
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Guérison communautaire en milieu Atikamekw : l'expérience du Cercle Mikisiw pour l'espoir à Manawan

Clément, Sarah 12 April 2018 (has links)
Étroitement lié au mouvement de réaffirmation identitaire et culturelle ainsi que de réassertion des droits des peuples autochtones, un mouvement de guérison autochtone s'est propagé à travers le Canada et le monde dans les dernières décennies. Ce mouvement de guérison, qui est en quelque sorte une thérapie de décolonisation, regroupe une multitude de programmes et d'initiatives, parmi lesquels la guérison communautaire se démarque particulièrement en ce qu'elle représente une initiative locale interpellant l'ensemble des membres d'une communauté afin de remédier à la souffrance individuelle et collective. À Manawan, une communauté atikamekw située au Québec, un processus de guérison communautaire a vu le jour en 1989, suite à une réflexion communautaire engendrée par un mouvement contre l'abus d'alcool et de drogues. Cette réflexion a été reprise et poussée plus loin par des femmes, en 1992, lors d'un processus de divulgation et de dénonciation des abus sexuels et de la violence sous toutes ses formes. De la création du Groupe de travail de Manawan sur la violence, en 1992, à celle du Cercle communautaire et intersectoriel Mikisiw pour l'espoir, en 1998, le mot-clé est « mamo », c'est-à-dire ensemble. A toutes les étapes du processus de guérison communautaire, les membres du Cercle Mikisiw apprennent à travailler en équipe, avec les gens et les ressources du milieu. Or, les processus de guérison communautaire sont des processus non linéaires qui suivent des cycles de mobilisation et de démobilisation. Le Cercle Mikisiw pour l'espoir n'a pas échappé à ces cycles qui ont été notamment conditionnés par certaines difficultés qui sont présentées dans ce mémoire.
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Relations interculturelles entre les Atikamekw et les colons canadiens en Mauricie entre 1870 et 1910

Lebel, Sylvie 11 April 2018 (has links)
Les Atikamekw de la Mauricie et les colons Canadiens arrivant dans la région entre 1870 et 1910 ont rarement été étudiés dans le même cadre. Pourtant, ils entretenaient à cette époque des relations soutenues sur plusieurs plans qui témoignent d'une certaine histoire commune entre les deux groupes. Ils entraient d'abord en contact dans le cadre du commerce des fourrures dans les postes de traite. Ils se rencontraient également dans les chantiers d'exploitation forestière ainsi que dans les petits villages du front pionnier. Les célébrations religieuses lors des missions chez les Atikamekw et chez les colons constituaient d'autres facteurs de rencontre, tout comme l'amitié et l'alcool. Tous ces contacts favorisaient les échanges économiques, mais aussi sociaux et culturels. Les Canadiens et les Atikamekw cohabitaient dans certains endroits et en s'unissant donnaient naissance à une population métisse. Les transferts culturels étaient nombreux et ces échanges favorisaient la différenciation des colons du front pionnier d'avec les gens de la vallée du Saint-Laurent. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Expérience artistique d'une jeunesse atikamekw : l'art comme médiation favorisant le dialogue et la communauté comme lieu d'affirmation identitaire

Basile-Martel, Sonia 20 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Ce mémoire porte sur les apprentissages pouvant émerger d’une expérience artistique basée sur le partage, la rencontre, la réflexion et le dialogue entre une artiste intervenante et des adolescents de sa communauté autochtone d’appartenance. Plus précisément, cette recherche ethnographique à caractère autoethnographique tente de démontrer de quelles façons l’art communautaire, au cœur d’une démarche réflexive, peut contribuer à l’affirmation identitaire d’une jeunesse atikamekw.
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Les enjeux et stratégies identitaires des Atikamekw Nehirowisiwok de Manawan

Béland, Jessica 03 March 2021 (has links)
Au Canada, de nombreux chercheurs se sont intéressés aux générations d’Autochtones qui ont vécu les pensionnats. L’attention des chercheurs se tournent maintenant de plus en plus vers les générations plus jeunes. Je propose dans ce mémoire de chercher à saisir les dynamiques et les enjeux identitaires des jeunes adultes (18-35 ans) Atikamekw Nehirowisiwok de Manawan, soit les enfants et les petits-enfants de la génération des pensionnats. L’objectif principal est de tenter de mieux saisir la façon dont ceux-ci appréhendent le devenir de leur identité et de leur communauté. Parmi les facettes à explorer: qu’implique d’être un Atikamekw Nehirowisiw de Manawan, aujourd’hui, pour ces agents culturels? De quelles manières s’articulent les relations intergénérationnelles et familiales dans la co-construction et la transmission de l’identité Nehirowisiw à Manawan? Quels sont leurs défis, enjeux et stratégies identitaires? Mais aussi, et il s’agit de la question de recherche principale: Comment les jeunes adultes Nehirowisiwok de Manawan conçoivent-ils le Miro pimatisiwin (Bien Vivre) et le devenir de l’identité Nehirowisiw (Atikamekw)? / In Canada, many researchers have focused on the generations of Aboriginal people who lived through residential schools. Researchers are now increasingly turning their attention to younger generations. In this master thesis, I propose to try to grasp the dynamics and identity issues of the young adults (18-35 years) Atikamekw Nehirowisiwok of Manawan, that is, the children and grandchildren of the residential school generation. The main objective is to try to better understand the way they apprehend the future of their identity and their community. Among the facets to be explored: what does it mean to be an Atikamekw Nehirowisiw of Manawan today for these cultural agents? In what ways are intergenerational and family relationships articulated in the co-construction and transmission of the Nehirowisiw identity in Manawan? What are their challenges, issues and identity strategies? But also, and this is the main research question: How do Nehirowisiwok young adults in Manawan conceive the Miro pimatisiwin (Living Well) and the future of the Nehirowisiw (Atikamekw) identity?

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