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Zur entstehung des rhetorischen AttizismusHeck, Heinrich, January 1917 (has links)
Thesis.
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Estudios sobre el aticismo de Caritón de Afrodisias /Hernández Lara, Carlos. January 1994 (has links)
Extr. de: Tesis doct.--Murcia--Universidad, 1989. Titre de soutenance : Estudios sobre el estilo de Caritón de Afrodisias. / Listes de mots et membres de phrases grecques.
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Lucien et les langues Essai d'étude sociolinguistique de notations se rapportant à des faits de langue dans les oeuvres de Lucien de Samosate /Jouin, Patrick Hodot, René January 2005 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Langues et littératures anciennes : Nancy 2 : 2005. / Bibliographie. Index.
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Le Frein et l’aiguillon : éloquence musicale et nombre oratoire. Allemagne et Italie, 1600-1750 / The bit and the spur : musical eloquence and rhetorical number. Germany and Italy, 1600-1750Sueur, Agathe 17 December 2011 (has links)
Cette thèse, motivée par les recherches récentes sur la « rhétorique musicale », étudie le nombre éloquent, notion aux nombreuses ramifications dans les domaines oratoire et poétique, encore peu examinée dans le champ musical. L’approche est philologique, comparatiste et historique, et vise à déterminer dans quelle mesure, entre 1600 et 1750, les modes d’approche et de perception du nombre en poésie et dans l’art oratoire ont eu leur équivalent en musique, en Italie (jésuite essentiellement) et en Allemagne. Après une mise en perspective de la culture des spécialistes de musique, partagée entre rhétorique scolaire et éloquence adulte, l’examen du découpage conceptuel opéré par les Anciens entre oratio vincta et soluta permet d’identifier des modes de composition, d’écoute et de prononciation du discours musical vocal et instrumental. La perception de la stricte récurrence propre à la musique métrique (vincta) contraste avec celle de la bigarrure variée de la musique « en prose » (soluta), et les approches érudites et néophytes diffèrent. Au plan micro-structurel, les périodes musicales sont abordées à l’instar des périodes oratoires. Selon qu’elles sont « arrondies » ou « articulées », elles mettent en œuvre le nombre grâce aux rythmes, à la conduite harmonieuse et à un travail de structuration par amplification. L’écriture périodique apparaît comme un principe fondamental de composition. La réflexion sur l’éloquence du nombre en musique s’inscrit finalement dans le débat touchant le meilleur style. Tenants de la brièveté musicale et partisans de l’abondance s’opposent, appliquant au domaine musical les réflexions sur le laconisme, l’atticisme et l’enflure. / This dissertation was undertaken in the wake of the recent research about musical rhetoric and focuses on the rhetorical number, a concept of acknowledged significance in the field of oratory and poetry that as yet has seldom been examined in the field of music. Following a philological, comparative and historical approach, the present study aims at determining to what extent the modes of perception and approach of the numerus in poetry and rhetoric had counterparts in music in Italy (mainly among the Jesuits) and Germany between 1600 and 1750. The study first deals with the culture of music specialists, which relates partly to scholastic rhetoric and partly to mature eloquence, and then investigates the conceptual division set by the Ancients between oratio vincta and soluta, so as to show that such division makes it possible to delineate the composition and listening and pronunciation processes of musical discourse, both vocal and instrumental. Perception of the strict recurrence that is specific to metrical music (vincta) contrasts with the heterogeneous variety of « prose »music (soluta) and it differs among scholars and novices. As for the microstructures of discourse, musical periods are tackled similarly to oratorical periods. Whether they are « rounded » or « articulated », they become rhythmical thanks to metrical feet or harmonious structure as well as processes of amplification. Periodical style appears fundamental to composition. The present dissertation eventually shows that the discussion of musical oratio numerosa is related to the impassioned debate over the best musical style (brevity, abundance, laconism, atticism and bombast).
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La réception de Xénophon dans l'œuvre d'Ælius Aristide : rhétorique et imitation à l'époque impériale / The reception of Xenophon in the works of Ælius Aristides : rhetoric and imitation in the Imperial ageRubulotta, Gabriella 08 April 2019 (has links)
Nombre d’œuvres d’époque impériale montrent que Xénophon était considéré comme un modèle littéraire éminent. La présente thèse offre une analyse de la réception de Xénophon dans les discours de l’orateur Ælius Aristide, lesquels n’ont pas encore été traités sous cet angle. Les œuvres aristidiennes examinées sont : les Discours platoniciens (or. 2-4), le discours Sur la digression (or. 28), la déclamation En faveur de la paix avec les Athéniens (or. 8), l’ensemble des cinq Discours leuctriens (or. 11-15), les témoignages sur la déclamation perdue Callixène, le Panathénaïque (or. 1) et l’éloge À Rome (or. 26). L’histoire grecque a une importance cruciale dans cette enquête : Aristide s’est particulièrement intéressé aux événements de l’après Leuctres. L’analyse des références historiques aux Helléniques met en avant l’érudition de l’orateur et son intérêt pour les discours contenus dans cet ouvrage de Xénophon. L’examen du travail littéraire d’Aristide sur le texte de Xénophon pourra contribuer à améliorer l’exégèse des discours aristidiens analysés, et fournira un nouveau volet aux recherches sur la réception de Xénophon. / Several ancient literary works show that Xenophon was considered during the Imperial period as a preeminent model. The present study analyses the reception of Xenophon in Ælius Aristides’ speeches, which have never been explored from this perspective. The works taken into account are the Platonic speeches (or. 2-4), the speech Concerning a remark in passing (or. 28), the declamation On making peace with the Athenians (or. 8), the group of the five Leuctran orations (or. 11-15), the evidence of the lost declamation Callixenus, the Panathenaicus (or. 1) and the speech To Rome (or. 26). Greek history has a crucial importance in this investigation: Aristides was particularly concerned by the events following the battle of Leuctra. The examination of the historical allusions to Xenophon’s Hellenica reveals Aristides’ erudition and his interest in the speeches included in this work. Looking at Aristides’ use of Xenophon’s texts can contribute to improving the exegesis of the Aristidian works and open a new path into research on Xenophon’s reception.
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