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Only the vague outline of my original shape remains, the miscarriage of autobiography in the novels of Audrey Thomas

Reeds, Nolan January 1996 (has links) (PDF)
No description available.
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Autobiographische Verarbeitungen gesellschaftlichen Scheiterns die Eliten der amerikanischen Südstaaten nach 1865 und der DDR nach 1989

Zahlmann, Stefan January 2009 (has links)
Zugl.: Konstanz, Univ., Habil.-Schr.
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Jacques Derrida et Hélène Cixous : entrechocs et entrechats entre philosophie et littérature

Clément, Andrée-Madeleine January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les éléments autobiographiques dans "La Damnation de Faust" d'Hector Berlioz / The Autobiographical Elements in "The Damnation of Faust" by Hector Berlioz

Jubault, Geoffrey 12 December 2011 (has links)
La Damnation de Faust d'Hector Berlioz est une oeuvre inclassable parmi les genres musicaux usuels. A mi-chemin entre la pièce de concert et l'opéra, elle est inspirée du Faust de Goethe (dans la traduction de Nerval), mais semble-t-il également, de la vie du compositeur. Cette thèse décrit le processus de composition et met en lumière les éléments autobiographiques. Ces derniers ont été divisés en deux catégories. La première catégorie explore les éléments autobiographiques supposés, à savoir les anecdotes des Mémoires et de la correspondance concordant avec le scénario de La Damnation, l'analogie de certains personnages réels avec ceux du livret et enfin, les influences musicales et littéraires que le compositeur a pu recevoir. La seconde regroupe les éléments autobiographiques avérés englobant la réutilisation de certaines compositions du jeune Berlioz, l'application des préceptes du traité et leur insertion dans La Damnation. / Hector Berlioz's Damnation of Faust cannot be classified among the usual musical genres. Halfway between the piece of concert and the opera, it is not only inspired by Goethe's Faust (translated by Nerval), but apparently also, by the composer's life. This thesis describes the composition process and highlights the autobiographical elements. These were divided into two categories. The first category investigates the supposedly autobiographical elements, namely the anecdotes of Berlioz's memoirs and correspondence consistent with the synopsis of the Damnation, the analogy of some genuine persons with those of the libretto and finally, the musical and literary influences the composer may have received. The second category regroups the proven autobiographical elements, including the reuse of some of his early compositions, the application of the precepts of the treaty and their integration into La Damnation.
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L’autobiographie « collective » d’Annie Ernaux : une étude féministe de l’instance narrative dans Les années

Sylvester, Katelyn A 13 September 2011 (has links)
Dans son œuvre récente, Les années, Annie Ernaux, écrivaine française, abandonne le « je » autobiographique qui caractérise ses textes précédents afin d'opter pour une voix narrative collective (« nous » et « on ») et à la troisième personne (« elle »), passant de son histoire individuelle à une sorte d'autobiographie collective. Cette nouvelle voix narrative permet à l'auteure de présenter l'Histoire d'une génération dans le contexte de la société française de l'après-guerre à aujourd'hui, société qui repose sur les constructions sociales, entre autres, de sexe et de classe sociale. À l'aide d'une perspective féministe, cette thèse s'intéresse d'abord aux transgressions des formes littéraires établies qu'opère Ernaux par sa pratique narrative. Ensuite, la perspective féministe intersectionnelle souligne les multiples façons dont les rapports de sexe entrent en interrelation avec d‘autres aspects de l'identité sociale dans cette œuvre, mettant en relief la complexité et la multiplicité des expériences sociales. Finalement, la théorie du dialogisme met en lumière le caractère polyphonique de cette narration qui permet à l'auteure de présenter une histoire davantage inclusive, c'est-à-dire qui représente diverses expériences de vie dans une variété de contextes socio-historiques.
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L’autobiographie « collective » d’Annie Ernaux : une étude féministe de l’instance narrative dans Les années

Sylvester, Katelyn A 13 September 2011 (has links)
Dans son œuvre récente, Les années, Annie Ernaux, écrivaine française, abandonne le « je » autobiographique qui caractérise ses textes précédents afin d'opter pour une voix narrative collective (« nous » et « on ») et à la troisième personne (« elle »), passant de son histoire individuelle à une sorte d'autobiographie collective. Cette nouvelle voix narrative permet à l'auteure de présenter l'Histoire d'une génération dans le contexte de la société française de l'après-guerre à aujourd'hui, société qui repose sur les constructions sociales, entre autres, de sexe et de classe sociale. À l'aide d'une perspective féministe, cette thèse s'intéresse d'abord aux transgressions des formes littéraires établies qu'opère Ernaux par sa pratique narrative. Ensuite, la perspective féministe intersectionnelle souligne les multiples façons dont les rapports de sexe entrent en interrelation avec d‘autres aspects de l'identité sociale dans cette œuvre, mettant en relief la complexité et la multiplicité des expériences sociales. Finalement, la théorie du dialogisme met en lumière le caractère polyphonique de cette narration qui permet à l'auteure de présenter une histoire davantage inclusive, c'est-à-dire qui représente diverses expériences de vie dans une variété de contextes socio-historiques.
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Le bruit du monde : suivi de S'attacher et s'arracher

Rousseau, Annie January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire est constitué de deux parties distinctes: une partie création et une partie réflexive. La partie création du mémoire est un récit à la croisée du récit de voyage, du fragment littéraire et de l'autofiction. Cette forme permet de rendre compte des aventures du personnage, de la fragmentation de son identité qui résonne avec celle du texte. Le voyage est un lieu propice à l'introspection: le regard se tourne vers l'intérieur, lieu de toutes les confrontations. Ainsi, à travers les villes qu'elle traverse, la narratrice voit sa subjectivité ébranlée par la prise de conscience de l'étrangeté qu'elle rencontre en voyage: identités, langues, cultures, corps, rapports sociologiques de sexes, tout se lie et se délie, forgeant la personnalité de la femme, de la voyageuse, de l'auteure. Chaque titre de chapitre correspond à un nom de lieu, à travers lesquels sont intercalés des chapitres exprimant le silence du monde. Ces moments de réflexion poétique portent le titre de « No Woman's Land » afin d'indiquer l'errance et la difficulté du personnage principal de trouver des repères en elle-même et autour d'elle. L'essai réflexif est divisé en cinq parties liant le récit de voyage à son mode d'expression fragmentaire et autofictionnel. 1. « S'attacher et s'arracher », une expression de Nicolas Bouvier, reprend l'aspect dialectique propre à l'état nomade et tente d'expliquer le lien entre la pulsion du voyage et celle de l'écriture. 2. « Détacher les mots de soi » aborde les exigences de l'écriture de voyage et le désir de matérialiser l'émotion vécue pour la mettre à distance. 3. « Faction: à la frontière de sa réalité » trace un parallèle entre l'autofiction et le récit de voyage, deux genres entrant dans la composition du Bruit du monde, où la quête de vérité se mêle à la fabulation de soi. 4. « Mosaïque » exprime toute l'idée du fragment (aire), qui sillonne à la fois le récit de voyage et l'autofiction, résonnant par le fait même avec le voyage et la quête de subjectivité. 5. « La solitude comme un vertige » raconte l'isolement nécessaire au voyage et à l'écriture, afin de trouver les mots pour exprimer la compréhension du monde obtenue par la réflexion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Récit de voyage, Autofiction, Écriture de soi, Fragment, Subjectivité, Femme.
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Exposition de soi : étude de certaines modalités autoreprésentationnelles au théâtre suivie d'un essai scénique qui les applique dans une forme performative

Robillard, Claudine January 2006 (has links) (PDF)
Rendre le spectateur actif en lui remettant entre les mains le discernement du vrai et du faux de la représentation. Tenter, par l'exploration de différentes modalités d'exposition de soi, de mettre en scène des individus plus que des personnages. Flouer les limites du réel et de la fiction en faisant s'entrecroiser sur scène (parfois s'entrechoquer même) récit autobiographique, actions performatives et faire-semblant. Telles sont les étincelles qui ont permis à cette recherche de s'embraser, puis de perdurer durant tout le processus de réflexion et d'expérimentation ayant mené à la rédaction de ce mémoire et à la création de « C'est comme un photomaton... mais en mieux ». Si nous sommes parvenue, à travers l'expérience de « C'est comme un photomaton... » à rendre le spectateur actif, le chemin pour y arriver n'a pas été précisément celui auquel, a priori, nous pensions. Plus que la juxtaposition du jeu et de la performance à l'intérieur de la représentation, plus que l'entrecroisement de vérités et de pseudo-vérités inhérent à l'élaboration de l'essai scénique, le doute et les remises en question des spectateurs semblent avoir été suscités surtout par la liberté d'interprétation permise par la structure de l'essai scénique. Privé d'une grille de compréhension claire et précise, les ficelles de la métaphore photographique à tisser entre les mains, le spectateur devait s'efforcer de faire naître du sens à partir de ce qui lui était présenté. Cet ouvrage en trois temps se veut un espace de réflexion sur l'application au théâtre des concepts d'autoreprésentation et d'autobiographie, sur la démarche ethnographique ainsi que sur le théâtre performatif. Bousculant nécessairement la notion de personnage, le rapport entre l'acteur et la représentation et, par conséquent, entre lui et le spectateur, les modalités d'exposition de soi au théâtre appellent un autre processus de création (qui repose davantage sur la subjectivité, la personnalité et le vécu de l'acteur que sur ses compétences professionnelles) et une autre forme, plus performative celle-là, ancrée aux limites du théâtre et de la performance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Autobiographie, Autoreprésentation, Représentation théâtrale, Théâtre performatif, Exposition de soi.
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Tour sud ; suivi de, Chantiers

Fortin, Julien 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire est composé de deux sections : la première partie d'un roman intitulé Tour Sud et un dossier d'accompagnement intitulé Chantiers. Tour Sud raconte l'histoire d'Yvan Dastou, un monteur de structures d'acier quittant en 1970 le Bas-Saint-Laurent pour rejoindre son frère aîné, Jocelyn, à East Orange, un quartier noir du New Jersey. Tous deux participent à la construction du World Trade Center, en œuvrant pour le compte d'une compagnie américaine aux côtés d'une soixantaine d'autres Québécois, Mohawks et États-Uniens. Cette situation ranime un conflit latent entre les deux frères qui, au fil des mois, apprennent pourtant à mieux se connaître. Elle met aussi en lumière le dilemme d'Yvan, qui doit choisir entre une vie traditionnelle sur la ferme où il est né ou une vie d'immigrant aux États-Unis. Ce roman aux assises à la fois biographiques et autobiographiques fait alterner des chapitres du présent et d'autres du passé des deux frères. Écrit à la première personne, il fait donc partager le point de vue du narrateur tout en privilégiant un style simple, dépouillé, à l'image du protagoniste, qui est un ouvrier. De même, il adopte ce que Patrick Saint-Amand appelle une esthétique de la surface : le narrateur a tendance à raconter les faits plutôt qu'à privilégier l'introspection, ce qui correspond à sa condition d'homme peu scolarisé. Chantiers donne lieu à une réflexion sur la « construction » de la mémoire dans le roman. À partir de théories développées entre autres par Jean-Yves et Marc Tadié, Paul Ricoeur et Maurice Halbwachs, l'essai aborde la mémoire comme une élaboration fictive qui n'est pas à l'opposé de l'écriture romanesque. Tour Sud étant inspiré de personnes réelles qui, dans les années 1970, ont émigré à New York pour y travailler, l'essai pose la question de la vérité romanesque, en lien avec la question de la biographie et de l'autobiographie, mais aussi avec le contexte historique. En effet, comme l'historien, l'auteur d'un roman se constitue une preuve documentaire lui permettant d'établir un récit plausible, écrit Paul Ricoeur. Mais si la vraisemblance d'un roman tient à la fois de la mémoire individuelle et de la mémoire collective, c'est aussi en se détachant des faits historiques, des souvenirs et de l'expérience d'un auteur que le roman prend forme et arrive à exprimer un contenu de vérité, pour reprendre une expression de Bakhtine, qui réussit à rendre la réalité. Il ne s'agit pas de respecter les faits, mais de réaliser un tout qui se tienne et trouve une valeur esthétique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : roman, mémoire, histoire, vraisemblance, biographie, autobiographie.
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Un pan de soleil ; suivi de, Récits de vie

Beaudoin, Nancy 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire est constitué de deux parties. La première, Un pan de soleil devant la fonderie, est un récit composé de dix tableaux sous-divisés en fragments. On y suit le parcours et la pensée d'une narratrice qui déambule dans le quartier de son enfance pour rejoindre, à la toute fin, la maison de ses parents. Ce récit autobiographique est accompagné d'une nouvelle, Le sanctuaire inviolable, laquelle est une mise en fiction des lieux et des personnages décrits dans la déambulation. Ces deux textes forment un tout, dans lequel le matériau autobiographique sert de base à l'exploration des frontières, des limites entre expérience vécue et transposition romanesque. Par l'utilisation de différentes tonalités dans l'énonciation, il s'agit de reprendre contact avec les lieux de l'enfance, de questionner les figures parentales et d'affirmer le lien à une communauté. La seconde partie, Récits de vie, aborde les différentes sortes d'écriture du moi à travers le temps, du Moyen Âge à nos jours. Ce survol rapide de la constitution du genre de l'autobiographie met en rapport deux aspects fondamentaux du discours sur soi : la référence à une réalité vécue et le dévoilement d'une intimité. Elle tend aussi à montrer comment, à partir des formes usuelles de l'autobiographie, se sont développées des pratiques alternatives, comme l'autofiction et le récit transpersonnel, lesquelles sont la pierre de touche d'un nouveau questionnement sur l'argumentation problématique entre histoire de soi et histoire du monde. ______________________________________________________________________________

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