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Chiefs and gods : religious and social elements in the S outh Eastern Bantu kingship /

Pettersson, Olof. January 1953 (has links)
Texte remanié de: Thèse--University of Lund. / Bibliogr. p. 368-391. Index.
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Das Gebet bei den Südost-Bantustämmen

Galvin, Patrick. January 1900 (has links)
Inaug. Diss. - Freiburg. / "Mit Erlaubnis der philosophischen Fakultät der Universität Freiburg ... gelangt hier nur ein Teil der dissertation zum abdruck." "Verzeichnis der benützen literatur": p. 4-8.
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The Bantu in the city : a study of cultural adjustment on the Witwatersrand /

Phillips, Ray Edmund. January 1977 (has links)
Th. Ph. D.--Faculty of the graduate school--Yale univeristy, 1937. / Bibliogr. p. 394-406. Notes bibliogr. Index.
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Chiefs and gods religious and social elements in the south eastern Bantu kingship.

Pettersson, Olof. January 1953 (has links)
Inaug.-Diss.--Lund. / Extra t.p., with thesis statement, inserted. Bibliography: p. 368-391.
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Des premières communautés villageoises au sociétés complexes sur le littoral méridional du Cameroun

Gouem Gouem, Bienvenu 19 May 2011 (has links)
Ce travail est le résultat de recherches réalisées d’abord dans le cadre d’un programme d’archéologie préventive (2001-2004), puis d’une bourse doctorale à l’ULB entre 2004 et 2010 (Introduction générale). Les sites étudiés sont localisés dans la région de Kribi (côte camerounaise) et sont essentiellement composés de fosses, qui sont très certainement les vestiges des premières entités villageoises ayant habité la zone forestière atlantique du Cameroun vers ca. 3000BP (Chap. 1). La méthodologie adoptée varie sensiblement selon les deux programmes (Chap. 2). Le matériel analysé, surtout la céramique (Chap. 3, 4 et 5), a été récolté au cours des fouilles de sauvetage et programmées et a permis de définir une chronoséquence générale entre ca. 1000 BC et ca. AD 1000 (Chap. 6) qui comprend trois traditions céramiques : la Tradition de Bissiang (période de Transition Âge de la Pierre/Âge du Fer, Cal 1000-400 BC), le Groupe de Mpoengu (Âge du Fer I, Cal 400-50 BC) et la Tradition de Bidjoka (Âge du Fer II, Cal AD 0-1000). Cette dernière tradition est aussi contemporaine de l’apparition de sociétés complexes sur la côte méridionale camerounaise et ses environs, dont les sites se caractérisent surtout par la présence de ce qui semble être des structures funéraires, dans lesquelles on trouve de nombreux objets en fer (parures, armes, etc.) disposés de manière particulière et généralement associés à de poteries carénées décorées. Une étude comparative de la chronoséquence de la zone côtière a été faite avec celles déjà établies pour les zones avoisinantes, notamment au centre du Cameroun et dans les pays voisins (Chap. 7). Ce rapprochement a permis de conclure, entre autres, à une parenté culturelle entre la Tradition de Bissiang et celle d’Obobogo identifiée dans la région de Yaoundé (zone de forêt mixte). Enfin, l’ensemble des études comparatives a aussi conduit à faire quelques spéculations sur le peuplement de l’Afrique Centrale forestière depuis environ 3000 BP (Conclusion générale).
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Population and Ceramic Traditions : Revisiting the Tana Ware of Coastal Kenya (7th-14th Century AD) / Peuplement et traditions céramiques : la « Tana ware » de la côte kényane revisitée (7ème-14ème siècle après JC)

M'Mbogori, Freda Nkirote Joy 12 December 2011 (has links)
Cette thèse se démarque des études traditionnelles des assemblages céramiques archéologiques conduites au Kenya qui mettent l’accent sur les décorations et les formes. L’approche ici privilégiée est l’approche technologique. Elle a pour objectif d’offrir des informations additionnelles sur une poterie dont la caractérisation ethno-linguistique soulève des débats contradictoires. Cette thèse pose la question de l’origine de la « Tana Ware » (7ème siècle avant JC), où le terme de « ware » décrit un ensemble d’attributs intrinsèques (style et matériau). En appliquant l’approche technologique à la Tana ware, cette recherche a pour objectif : -d’une part de tester l’hypothèse d’Abungu (1989) d’après laquelle la Tana ware est une production des groupes Cushitic,-d’autre part de tester l’hypothèse de Chami (1994) d’après laquelle la Tana ware est une production des groupes Bantu.La thèse ici présentée aboutit aux résultats suivants : 1. La Tana Ware a été faite par des groupes Bantu ; 2. Le groupe Meru-Tigania dont la tradition est proche de celle de la Tana ware pourrait correspondre à un groupe qui vécu sur la côte jusqu’au 17ème siècle ; 3. Les décorations de la Tana ware ont été empruntées auprès des Cushitic. Cette thèse avance que ces emprunts sont issus d’interactions entre les deux groupes ethnolinguistiques durant l’âge de fer ou même avant ; 4. les interactions entre les deux groupes ont pu être de l’ordre non seulement du contact, mais aussi du mariage, la technique de façonnage du colombin pour faire le bord, telle qu’elle est observable sur la Tana ware, ayant pu résulter d’un emprunt auprès des Cushitic. Cet emprunt pourrait précéder l’âge du Fer et ne concerner qu’une partie du groupe Bantu. Les résultats obtenus au cours de cette thèse ouvrent dès à présent de nouvelles perspectives pour identifier les groupes ethnolinguistiques qui ont participé au peuplement du Kenya. En particulier, ils invitent à revoir les assemblages céramiques Urewe, Kwale et Gatung’ang’a considérés jusqu’à présent comme des marqueurs de l’expansion Bantu. / This thesis is a departure from the traditional archaeological pottery analysis in Kenya, where emphasis has been on decorations and forms. It uses a technological approach to offer additional information on Bantu pottery whose social boundary has been a cause of disagreement between different researchers. Pottery decorations and forms have been/are still powerful instruments in defining archaeological spatial and temporal distribution of prehistoric populations, but the ability of these attributes as social boundary markers is limited by their overt visibility on the finished product. Whilst this explicit visibility is an advantage for archaeologists who seek to explore temporal and spatial distributions of different wares, it is also disadvantageous since it makes it possible for communities which are socially, ethnically, and linguistically distinct to copy from each other hence making these two salient pottery features unreliable indicators of social boundaries. Therefore, this study puts emphasis on the forming stage, which is not obvious on the finished product and must be learnt by apprenticeship only through kinship, as demonstrated by numerous ethnographic studies. Using chaîne opératoire as an analytical tool for archaeological material and ethnographic, experimental and ethno-historical data as reference and interpretive tools, this study sought to establish the social boundaries of makers of Tana ware which is a disputed Iron Age pottery of Bantu speakers. Some archaeologists attribute its origins to Bantu speakers whilst others attribute it to Cushitic speakers. Archaeological data was collected from Manda and Ungwana sites assemblages and ethnographic reference data was collected from Cushitic and Bantuspeakers from the Coastal and Highland regions of Kenya. Ethno-historical data was derived from library resources while experimental data were obtained from the field. This study demonstrated that due to the nature of archaeological peopling and interactions which exposed different ethnolinguistic groups to material cultures of the other, borrowing of cultural traits took place causing distinct populations to have pottery of similar decorations and forms. It has also demonstrated that pottery chaîne opératoire can show population continuity or discontinuity from archaeological to modern times. Most importantly, this thesis has demonstrated that Tana ware has its origins from Bantu speakers, and that its decorations have their origins from Cushitic speakers. It has also confirmed the movement of Meru ethnic group from the Coast of Kenya to Mt. Kenya region, by providing tangible data to linguistic, historical and oral evidences. The last part of this work gives directions of future research on pottery analysis in Kenya, and outlines some questions pertaining to Bantu and Cushitic speakers which remain to be answered.
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Utilisation des plantes en médecine traditionnelle par les Pygmées (Ba-Twa) et les Bantous (Ba-Oto) du territoire de Bikoro, Province de l’Equateur en République Démocratique du Congo/Use of plants in traditional medicine by Pygmies ( Ba-Twa) and the Bantus ( Ba-Oto) of the territory of Bikoro, Province of Ecuador in Democratic Republic of the Congo

Ilumbe Bayeli, Guy 21 December 2010 (has links)
Résumé En République Démocratique du Congo, la crise économique nationale, la dévaluation du franc Congolais et les guerres de ces dernières années ont entraîné une dépendance croissante des populations des villes et des campagnes vis-à-vis de la médecine traditionnelle. Deux types de médecines traditionnelles sont pratiqués par les bantous et les pygmées de Bikoro. La médecine traditionnelle populaire, c'est-à-dire celle connue de la majorité de la population du village et la médecine traditionnelle spécialisée, c'est-à-dire pratiquée par les spécialistes (Guérisseurs). Une enquête ethnobotanique sur l’utilisation des plantes en médecine traditionnelle par les bantous et les pygmées a été réalisée dans 10 villages du territoire de Bikoro, durant 11 mois. Dans chaque village, l’enquête s’est déroulée en deux étapes : la première sur les maladies soignées, les plantes et les recettes utilisées en médecine traditionnelle populaire et la seconde sur les maladies soignées, les plantes et les recettes utilisées en médecine traditionnelle spécialisée. Les informations relatives à la médecine traditionnelle populaire ont été récoltées au cours d’entretiens collectifs en utilisant un questionnaire semi-structuré, tandis que celles relatives à la médecine traditionnelle spécialisée ont été collectées au cours d’entretiens directs en utilisant le même type de questionnaire. Au total, 133 affections sont soignées en médecine traditionnelle par les pygmées et les bantous de Bikoro. Elles font intervenir 205 espèces botaniques et 976 recettes. En médecine traditionnelle populaire, les pygmées soignent 42 affections, utilisent 73 espèces botaniques et emploient 150 recettes. Les bantous soignent 41 affections, utilisent 62 espèces botaniques et 128 recettes. En médecine traditionnelle spécialisée, les pygmées soignent 54 affections, utilisent 74 espèces botaniques et 151 recettes. Les spécialistes bantous soignent 119 affections, utilisent 185 espèces botaniques et 704 recettes. En médecine traditionnelle populaire de Bikoro, les bantous et les pygmées utilisent souvent les mêmes organes végétaux, les mêmes modes de préparation des drogues et les mêmes modes d’administration de recettes. Ils soignent en général les mêmes maladies. Les différences s’observent au niveau des plantes utilisées et des recettes préparées par chaque communauté. Si les pygmées Twa et leurs voisins Oto utilisent les mêmes organes des plantes et emploient les mêmes modes de préparation et d’administration de recettes en médecine traditionnelle spécialisée, il existe une différence significative entre les maladies soignées, les plantes utilisées et les recettes préparées par ces deux communautés. Cette étude a permis de caractériser le territoire de Bikoro concernant son recours à la médecine traditionnelle et a mis en évidence l’existence des flux d’utilisations des plantes entre la médecine traditionnelle populaire (bantoue et pygmée) et la médecine traditionnelle spécialisée (bantoue et pygmée). Mots clés : Plantes, Médecine traditionnelle populaire, Médecine traditionnelle spécialisée, Bantous, Pygmées, Bikoro. Abstract In the Democratic republic of Congo, the national economic crisis, the devaluation of the Congolese franc and the wars of the last decades involved an increasing dependence of the populations of the cities and rural areas with respect to traditional medicine. Two types of traditional medicines are practiced by the bantus (Oto) and the pygmies (Twa) of Bikoro. Popular traditional medicine, that is to say the one known to the majority of the village population, and specialized traditional medicine, which is only practiced by specialists (Healers). An ethnobotanic investigation on plant use in traditional medicine by the Bantus and the pygmies was carried out in 10 villages of the territory of Bikoro, during 11 months. In each village, the investigation proceeded in two stages: the first concerning the treated diseases, as well as the plants and the recipes used in popular traditional medicine and the second concerning the treated on the looked after diseases, as well as the plants and the recipes used in specialized traditional medicine. The information relative to popular traditional medicine were collected during collective meetings with the help of a semi-structured questionnaire, while those relating to specialized traditional medicine were collected during direct interviews with the same type of questionnaire. On the whole, 133 affections are treated in traditional medicine by the pygmies and the Bantu of Bikoro. They make use of 205 botanical species and 976 recipes. In popular traditional medicine, the pygmies Twa address 42 affections, use 73 botanical species and employ 150 recipes. The Bantu (Oto) address 41 affections use 62 botanical species and 128 recipes. In specialized traditional medicine, the pygmies address 54 affections, use 74 botanical species and 151 recipes. The specialists Bantu address 119 affections use 185 botanical species and 704 recipes. In the Bikoro region, both Bantus (Oto) and pygmies (Twa) do use the same plant parts, the same modes of preparing drogues and the same processes of administering drogues in their respective popular traditional medicine. There are differences in plant species used and drogue types prepared by each community. If the Twa pygmies and their neighbors Oto use the plant parts and the same processes in administering drogues in their specialized medical practices, there is, nevertheless, a significant difference between types of treated diseases, utilized plant species and prepared drogues between the two communities. This study made possible the characterization of the territory of Bikoro concerning its recourse to traditional medicine and highlighted the existence of flows of plant uses between popular traditional medicine (bantu and pygmy) and specialized traditional medicine (bantu and pygmy). Key words: Plants, popular traditional Medicine, specialized traditional Medicine, Bantus, Pygmies, Bikoro.
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Porridge deconstructed: a comparative linguistic approach to the history of staple starch food preparations in Bantuphone Africa

Ricquier, Birgit 19 March 2013 (has links)
Despite the current interest in food studies, little is known about the culinary history of Central and Southern Africa. Using the methods of historical-comparative linguistics, this dissertation provides the first insights into the culinary traditions of early Bantu speech communities. The dissertation focuses on the history of staple starch food preparations, more specifically, the history of porridge and the integration of cassava into Kongo culinary traditions. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Des premières communautés villageoises aux sociétés complexes sur le littoral méridional du Cameroun

Gouem Gouem, Bienvenu 19 May 2011 (has links)
Ce travail est le résultat de recherches réalisées d’abord dans le cadre d’un programme d’archéologie préventive (2001-2004), puis d’une bourse doctorale à l’ULB entre 2004 et 2010 (Introduction générale). Les sites étudiés sont localisés dans la région de Kribi (côte camerounaise) et sont essentiellement composés de fosses, qui sont très certainement les vestiges des premières entités villageoises ayant habité la zone forestière atlantique du Cameroun vers ca. 3000BP (Chap. 1). La méthodologie adoptée varie sensiblement selon les deux programmes (Chap. 2). Le matériel analysé, surtout la céramique (Chap. 3, 4 et 5), a été récolté au cours des fouilles de sauvetage et programmées et a permis de définir une chronoséquence générale entre ca. 1000 BC et ca. AD 1000 (Chap. 6) qui comprend trois traditions céramiques :la Tradition de Bissiang (période de Transition Âge de la Pierre/Âge du Fer, Cal 1000-400 BC), le Groupe de Mpoengu (Âge du Fer I, Cal 400-50 BC) et la Tradition de Bidjoka (Âge du Fer II, Cal AD 0-1000). Cette dernière tradition est aussi contemporaine de l’apparition de sociétés complexes sur la côte méridionale camerounaise et ses environs, dont les sites se caractérisent surtout par la présence de ce qui semble être des structures funéraires, dans lesquelles on trouve de nombreux objets en fer (parures, armes, etc.) disposés de manière particulière et généralement associés à de poteries carénées décorées.<p>Une étude comparative de la chronoséquence de la zone côtière a été faite avec celles déjà établies pour les zones avoisinantes, notamment au centre du Cameroun et dans les pays voisins (Chap. 7). Ce rapprochement a permis de conclure, entre autres, à une parenté culturelle entre la Tradition de Bissiang et celle d’Obobogo identifiée dans la région de Yaoundé (zone de forêt mixte). Enfin, l’ensemble des études comparatives a aussi conduit à faire quelques spéculations sur le peuplement de l’Afrique Centrale forestière depuis environ 3000 BP (Conclusion générale). <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Utilisation des plantes en médecine traditionnelle par les Pygmées (Ba-Twa) et les Bantous (Ba-Oto) du territoire de Bikoro, Province de l'Equateur en République Démocratique du Congo / Use of plants in traditional medicine by Pygmies ( Ba-Twa) and the Bantus ( Ba-Oto) of the territory of Bikoro, Province of Ecuador in Democratic Republic of the Congo

Ilumbe Bayeli, Guy 21 December 2010 (has links)
En République Démocratique du Congo, la crise économique nationale, la dévaluation du franc Congolais et les guerres de ces dernières années ont entraîné une dépendance croissante des populations des villes et des campagnes vis-à-vis de la médecine traditionnelle. Deux types de médecines traditionnelles sont pratiqués par les bantous et les pygmées de Bikoro. La médecine traditionnelle populaire, c'est-à-dire celle connue de la majorité de la population du village et la médecine traditionnelle spécialisée, c'est-à-dire pratiquée par les spécialistes (Guérisseurs).<p>Une enquête ethnobotanique sur l’utilisation des plantes en médecine traditionnelle par les bantous et les pygmées a été réalisée dans 10 villages du territoire de Bikoro, durant 11 mois. Dans chaque village, l’enquête s’est déroulée en deux étapes :la première sur les maladies soignées, les plantes et les recettes utilisées en médecine traditionnelle populaire et la seconde sur les maladies soignées, les plantes et les recettes utilisées en médecine traditionnelle spécialisée. Les informations relatives à la médecine traditionnelle populaire ont été récoltées au cours d’entretiens collectifs en utilisant un questionnaire semi-structuré, tandis que celles relatives à la médecine traditionnelle spécialisée ont été collectées au cours d’entretiens directs en utilisant le même type de questionnaire.<p>Au total, 133 affections sont soignées en médecine traditionnelle par les pygmées et les bantous de Bikoro. Elles font intervenir 205 espèces botaniques et 976 recettes. En médecine traditionnelle populaire, les pygmées soignent 42 affections, utilisent 73 espèces botaniques et emploient 150 recettes. Les bantous soignent 41 affections, utilisent 62 espèces botaniques et 128 recettes. En médecine traditionnelle spécialisée, les pygmées soignent 54 affections, utilisent 74 espèces botaniques et 151 recettes. Les spécialistes bantous soignent 119 affections, utilisent 185 espèces botaniques et 704 recettes.<p>En médecine traditionnelle populaire de Bikoro, les bantous et les pygmées utilisent souvent les mêmes organes végétaux, les mêmes modes de préparation des drogues et les mêmes modes d’administration de recettes. Ils soignent en général les mêmes maladies. Les différences s’observent au niveau des plantes utilisées et des recettes préparées par chaque communauté. Si les pygmées Twa et leurs voisins Oto utilisent les mêmes organes des plantes et emploient les mêmes modes de préparation et d’administration de recettes en médecine traditionnelle spécialisée, il existe une différence significative entre les maladies soignées, les plantes utilisées et les recettes préparées par ces deux communautés. <p>Cette étude a permis de caractériser le territoire de Bikoro concernant son recours à la médecine traditionnelle et a mis en évidence l’existence des flux d’utilisations des plantes entre la médecine traditionnelle populaire (bantoue et pygmée) et la médecine traditionnelle spécialisée (bantoue et pygmée). <p><p><p><p>Mots clés :Plantes, Médecine traditionnelle populaire, Médecine traditionnelle spécialisée, Bantous, Pygmées, Bikoro.<p> <p>Abstract<p>In the Democratic republic of Congo, the national economic crisis, the devaluation of the Congolese franc and the wars of the last decades involved an increasing dependence of the populations of the cities and rural areas with respect to traditional medicine. Two types of traditional medicines are practiced by the bantus (Oto) and the pygmies (Twa) of Bikoro. Popular traditional medicine, that is to say the one known to the majority of the village population, and specialized traditional medicine, which is only practiced by specialists (Healers).<p>An ethnobotanic investigation on plant use in traditional medicine by the Bantus and the pygmies was carried out in 10 villages of the territory of Bikoro, during 11 months. In each village, the investigation proceeded in two stages: the first concerning the treated diseases, as well as the plants and the recipes used in popular traditional medicine and the second concerning the treated on the looked after diseases, as well as the plants and the recipes used in specialized traditional medicine. The information relative to popular traditional medicine were collected during collective meetings with the help of a semi-structured questionnaire, while those relating to specialized traditional medicine were collected during direct interviews with the same type of questionnaire. <p>On the whole, 133 affections are treated in traditional medicine by the pygmies and the Bantu of Bikoro. They make use of 205 botanical species and 976 recipes. In popular traditional medicine, the pygmies Twa address 42 affections, use 73 botanical species and employ 150 recipes. The Bantu (Oto) address 41 affections use 62 botanical species and 128 recipes. In specialized traditional medicine, the pygmies address 54 affections, use 74 botanical species and 151 recipes. The specialists Bantu address 119 affections use 185 botanical species and 704 recipes. <p>In the Bikoro region, both Bantus (Oto) and pygmies (Twa) do use the same plant parts, the same modes of preparing drogues and the same processes of administering drogues in their respective popular traditional medicine. There are differences in plant species used and drogue types prepared by each community. If the Twa pygmies and their neighbors Oto use the plant parts and the same processes in administering drogues in their specialized medical practices, there is, nevertheless, a significant difference between types of treated diseases, utilized plant species and prepared drogues between the two communities.<p>This study made possible the characterization of the territory of Bikoro concerning its recourse to traditional medicine and highlighted the existence of flows of plant uses between popular traditional medicine (bantu and pygmy) and specialized traditional medicine (bantu and pygmy). <p><p><p><p><p>Key words: Plants, popular traditional Medicine, specialized traditional Medicine, Bantus, Pygmies, Bikoro. <p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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