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Sexualité, bien-être sexuel et actualisation sexuelle des individus à la retraite et en santé, âgés de 65 ans et plus et vivant en couple hétérosexuel

Boucher, Annabelle January 2014 (has links)
Résumé : L’expression de comportements sexuels et intimes sont directement reliés à la santé et à la qualité de vie au cours de la vie (Waite & Das, 2010). Pourtant, la sexualité et l’intimité des personnes âgées sont rarement abordées dans les écrits scientifiques ou dans la pratique professionnelle (Syme, 2014). Cette étude comble certaines lacunes de la recherche en approfondissant la compréhension des concepts de sexualité et bien-être sexuel des personnes âgées à partir de 15 entrevues qualitatives et d’une analyse thématique rigoureuse (Braun & Clarke, 2006). Chez les ainés à la retraite, vivant en couple hétérosexuel, en bonne santé générale et âgés de 65 ans et plus, cette recherche a permis d’explorer et de décrire 1) le sens donné à la sexualité, 2) le sens donné au bien-être sexuel, 3) les conditions et 4) les stratégies jugées favorables à leur bien-être sexuel. L’analyse thématique a conduit à l’élaboration de définitions de la sexualité et du bien-être sexuel chez les ainés répondant aux critères mentionnés ci-haut. Chez ces ainés, la sexualité se définit comme un processus dynamique en évolution constante orienté vers le bien-être sexuel et dépendant de la valeur, de la place et du sens qui sont attribués à quatre sources potentielles de sens : le répertoire génital, l’intimité affective, la communion/connexion sexuelle et les pertes sexuelles. Le bien-être sexuel est une composante de la sexualité, son sens fondamental et son but. Il comprend des sentiments de satisfaction physique et psychologique en lien avec la vie sexuelle, ainsi que des sentiments de bonheur avec soi-même et avec l’autre en général ?. La satisfaction sexuelle, enfin, comprend la satisfaction physique, c’est-à-dire le plaisir physique, la satisfaction de la fréquence des rapports sexuels, et la satisfaction psychologique, c’est-à-dire le plaisir de faire plaisir à l’autre et l’intimité affective du couple pendant et en dehors des relations sexuelles. Ces définitions inclusives de la sexualité et du bien-être sexuel des ainés ont été possibles grâce à un canevas de questions basé sur une théorie de l’actualisation du potentiel pendant le vieillissement en lien avec le sens à la vie de Leclerc (2007). C’est ainsi que ces définitions rejoignent des disciplines aussi diverses que la médecine, la psychologie humaniste, la gérontologie ou la sociologie. La présente recherche a permis de mettre en évidence et de décrire deux catégories de conditions favorables au bien-être sexuel des ainés : les conditions antérieures et les conditions actuelles. La compréhension de ces conditions pourra permettre aux professionnels de la santé de mieux orienter les ainés vers les conditions les plus propices à servir de point d’ancrage à leur actualisation sexuelle. Le thème des conditions antérieures est composé de l’éducation familiale, l’éducation religieuse et les relations précédentes. Le thème des conditions actuelles, quant à lui, regroupe les valeurs fondamentales, la retraite, le rapport au corps et la santé. Enfin, l’analyse des résultats a mis en évidence plusieurs stratégies relationnelles et sexuelles qui pourront être utilisées dans les plans d’intervention des professionnels de la santé ou les cours destinés aux retraités. Les stratégies relationnelles comprennent la création d’un climat positif, la gestion des activités et du temps et la gestion des conflits. Les stratégies sexuelles se composent de la gestion des relations sexuelles et de la gestion des problèmes sexuels. // Abstract : Sexuality, sexual well - being, and sexual actualization of healthy retired elderly the objective of this qualitative study was to explore: 1) the meaning given to sexuality and 2) sexual well - being, and 3) the conditions and 4) strategies fostering the elderly’s sexual well - being. The sample consisted of 15 healthy, retired individuals in heterosexual and committed relationships, aged between 65 and 7 8 from the province of Quebec, Canada. A thematic analysis (Braun & Clarke, 2006) revealed definitions of sexuality and sexual well - being. Sexuality in aging is a dynamic and evolving process leading to sexual well - being based on the value and place assigned to four sources of potential meaning: genital repertoire, emotional intimacy, communion /connection, and sexual losses. Sexual well - being includes feelings of physical and psychological sexual satisfaction and feelings of well - being and happiness with oneself, with others, and in general. Finally, results showed a series of previous and current conditions as well as relationship and sexual strategies fostering the elderly’s sexual well - being.
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Facteurs relationnels favorisant le bien-être sexuel au quotidien et à plus long terme chez les couples de longue durée

Beaulieu, Noémie 08 1900 (has links)
Thèse de doctorat présenté en vue de l'obtention du doctorat en psychologie - recherche intervention, option psychologie clinique (Ph.D) / Le bien-être sexuel, soit l’évaluation subjective des aspects physiques, émotionnels, cognitifs et sociaux de sa sexualité, inclut la satisfaction sexuelle, les pensées, connaissances, émotions et expériences personnelles en lien avec la sexualité. Il est associé à plusieurs bienfaits physiques et psychologiques et constitue un ingrédient essentiel des relations amoureuses satisfaisantes. Or, la satisfaction sexuelle tend à diminuer pendant la relation et les difficultés sexuelles sont fréquentes chez les couples de longue durée. Il est donc nécessaire de s’intéresser aux facteurs favorisant le bien-être sexuel chez ces couples. Selon le Interpersonal Emotion Regulation Model of women’s sexual dysfunction (Rosen & Bergeron, 2019), des facteurs relationnels, comme les caractéristiques de la relation (p. ex. intimité), les caractéristiques individuelles des partenaires (p. ex. attachement) et les caractéristiques des activités sexuelles précises (p. ex. motivations sexuelles), doivent être considérés dans l’étude du bien-être sexuel des couples. Ainsi, la thèse visait à examiner des facteurs relationnels liés au bien-être sexuel chez les deux partenaires de couples de longue durée de la population générale. À l’aide d’un devis dyadique prospectif, la première étude a investigué le bien-être sexuel de manière globale : elle s’est penchée sur les associations entre l’intimité et la satisfaction sexuelle et conjugale pendant 13 mois chez 145 couples. Les résultats suggèrent la présence d’associations bidirectionnelles entre l’intimité et la satisfaction sexuelle ainsi qu’entre l’intimité et la satisfaction conjugale. Une perception d’intimité plus élevée était associée à des niveaux de satisfaction sexuelle et conjugale plus élevés dans le temps. En retour, des niveaux de satisfaction sexuelle et conjugale plus élevés étaient associés à une perception d’intimité plus élevée dans le temps. La deuxième étude a examiné le bien-être sexuel de façon plus proximale à l’aide d’un devis dyadique à journaux quotidiens (21 jours) : elle a investigué les associations entre les insécurités d’attachement, les motivations sexuelles d’attachement et de soutien ainsi que les émotions ressenties par les deux partenaires de 149 couples lors des activités sexuelles. Les résultats démontrent que les individus présentant plus d’évitement de l’intimité avaient moins tendance à rapporter des motivations sexuelles de soutien, ce qui était associé à des expériences émotionnelles plus négatives lors des activités sexuelles. Les personnes présentant plus d’anxiété d’abandon rapportaient davantage de motivations sexuelles d’attachement, ce qui était associé à des expériences émotionnelles plus négatives pendant les activités sexuelles pour les deux partenaires. Toutefois, les personnes présentant plus d’anxiété d’abandon rapportaient également plus de motivations sexuelles de soutien et cela était associé à des expériences émotionnelles plus positives pendant les activités sexuelles pour les deux partenaires. Les résultats de la thèse mettent en relief l’importance de considérer les prédispositions individuelles, les caractéristiques de la relation ainsi que les raisons pour lesquelles les individus s’engagent dans des interactions sexuelles pour mieux comprendre le bien-être sexuel des partenaires de couples de longue durée. La thèse apporte une contribution théorique de par son investigation de postulats théoriques peu étudiés empiriquement à ce jour. Plusieurs implications cliniques découlent également des résultats et sont discutés dans la thèse. / Sexual well-being, i.e., subjective evaluation of physical, emotional, cognitive, and social aspects of one’s sexuality including, for instance, sexual satisfaction, thoughts, knowledge, emotions and personal experiences related to sexuality, is associated with important physical and psychological health benefits. It is also an essential ingredient of a satisfying romantic relationship for many adults. However sexual satisfaction tends to decrease with the length of the relationship, and sexual difficulties are often a concern for couples in relationship therapy. Thus, there is a need to address factors that may promote sexual well-being in long-term couples. According to the Interpersonal Emotion Regulation Model of women's sexual dysfunction (Rosen & Bergeron, 2019), multiple relational factors, such as relationship characteristics (e.g., intimacy), partners’ individual characteristics (e.g., attachment), and characteristics of sexual activities (e.g., sexual motivations), must be considered when studying couples' sexual well-being. As such, the overall purpose of this dissertation was to examine relational factors related to sexual well-being in both partners of long-term couples in the general population. The first study investigated global sexual well-being by examining its involvement in relationship dynamics with a longitudinal dyadic design. Specifically, this study examined the associations between intimacy and sexual and relationship satisfaction over a 13-month period in 145 couples. The results suggest that the associations between intimacy and sexual satisfaction as well as between intimacy and relationship satisfaction are bidirectional. Indeed, higher perceived intimacy was associated with higher levels of sexual and relationship satisfaction over time. In turn, higher levels of sexual and relationship satisfaction were also associated with higher perceived intimacy over time. The second study examined sexual well-being more proximally using a dyadic daily diary design (21 days). The purpose of this study was to investigate associations between attachment insecurities, attachment- and caregiving-related sexual motives, and emotions experienced during sexual activities by both partners of 149 couples. Analyses revealed that individuals with higher levels of attachment avoidance were less likely to report caregiving sexual motives, which was associated with more negative emotional experiences during sexual activities. Individuals with higher levels of attachment anxiety reported more attachment sexual motives, which was associated with more negative emotional experiences during sexual activities for these individuals and their partners. However, individuals with higher levels of attachment anxiety also reported more caregiving sexual motives and this was associated with more positive emotional experiences during sexual activities for both partners. Overall, the dissertation and its two articles highlight the importance of considering partners’ individual predispositions, relationship characteristics, as well as the reasons why individuals engage in sexual interactions to better understand the sexual well-being of partners in long-term couples. This research makes a substantial theoretical contribution by investigating theoretical assumptions that have rarely been studied empirically to date. Several clinical implications also arise from the findings and are discussed in the dissertation.
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Sexualité et fertilité : facteurs contextuels et relationnels associés au bien-être sexuel des couples suivis en clinique de fertilité

El Amiri, Sawsane 02 1900 (has links)
Thèse de doctorat présenté en vue de l'obtention du doctorat en psychologie - recherche intervention, option psychologie clinique (Ph.D) / L'infertilité est reconnue non seulement comme une maladie médicale, mais aussi comme une condition sociale et émotionnelle (Burns et Covington, 2006; Pawar et al., 2020; The Lancet Global Health, 2022). Bien que les études aient, de plus en plus, commencé à étudier l'impact de l'infertilité sur le bien-être psychologique et social (p. ex., Drosdzol et Skrzypulec, 2008; Hasanpoor-Azghdy et al., 2015), les chercheurs en connaissent toujours peu sur le bien-être sexuel des couples qui suivent un traitement de fertilité. Des recherches ont montré que les couples ayant recours à la procréation médicalement assistée (PMA) sont plus susceptibles d'éprouver des difficultés sexuelles que les couples fertiles (Starc et al., 2019). Toutefois, les facteurs qui permettent d’expliquer ces difficultés chez les couples ayant recours à la PMA ont été très peu étudiés à ce jour. Ainsi, en utilisant une approche biopsychosociale de la compréhension de l’infertilité (Gerrity, 2001; Grinion, 2005; Williams et al., 1992) et de la sexualité (Althof et al., 2005; McCabe et al., 2010), cette thèse examine à la fois les facteurs spécifiques à l'infertilité et les facteurs dyadiques sous-jacents au bien-être sexuel des couples infertiles. Afin de mieux comprendre les facteurs spécifiques à l'infertilité associés à la fonction sexuelle des couples qui ont recours à la PMA, une première étude transversale dyadique a été menée auprès de 185 couples de sexes mixtes en processus de PMA qui ont rempli en ligne l’outil Fertility Quality of Life Tool et soit le Female Sexual Function Index (femmes) ou le International Index of Erectile Function (hommes). L'étude a examiné les facteurs de stress personnels et relationnels, et le désir sexuel, l’orgasme, l’excitation et la satisfaction sexuelle des deux partenaires. Les associations entre les caractéristiques liées au diagnostic de l’infertilité et au traitement et les domaines de fonction sexuelle et la satisfaction sexuelle des deux partenaires ont également été examinées pour déterminer si ces variables seraient incluses comme covariables dans les analyses principales. Les analyses acheminatoires ont révélé que pour les hommes et les femmes, les facteurs de stress émotionnels liés à l'infertilité étaient associés à leur propre désir sexuel et à celui de leurs partenaires. Pour les femmes, les facteurs de stress émotionnels liés à l'infertilité étaient également associés à une satisfaction sexuelle plus faible chez leur partenaire et les facteurs de stress corps-esprit étaient associés à une excitation sexuelle plus faible chez leur partenaire. Les facteurs de stress relationnels liés à l'infertilité étaient également associés à une excitation et satisfaction sexuelle plus faibles des individus et à une satisfaction sexuelle plus faible chez leur partenaire. Pour les femmes, les facteurs de stress relationnels liés à l'infertilité étaient également associés à leur propre désir sexuel et orgasme. Ces résultats suggèrent que les interventions portant sur les sphères émotionnelles, psychocorporelles et relationnelles des couples en PMA pourraient aider à faciliter l'amélioration de la fonction et de la satisfaction sexuelles et à mieux répondre aux besoins des couples infertiles. S'appuyant sur les résultats de la première étude, qui suggèrent que l'expérience subjective des couples en matière d'infertilité et de traitement, en particulier les facteurs de stress relationnels, semblent être plus fortement associés à leur santé sexuelle que les facteurs objectifs liés au traitement, le deuxième article visait à étudier les processus relationnels qui sous-tendent le bien-être sexuel des couples. Plus précisément, l'étude a examiné si les perceptions de gestion du stress dyadique (GSD) du partenaire et de la façon dont les deux partenaires gèrent ensemble le stress (GSD commun) sont associées au bien-être sexuel des deux partenaires chez les couples en processus de PMA. Les participants comprenaient 232 couples avec une infertilité médicale qui ont rempli des questionnaires évaluant la gestion du stress dyadique et le bien-être sexuel (préoccupations sexuelles liées à l'infertilité, détresse sexuelle et satisfaction sexuelle). Les analyses acheminatoires ont révélé que les perceptions que le partenaire utilise plus de stratégies de GSD négatives étaient associées à un bien-être sexuel plus faibles des individus. Les perceptions que le partenaire utilise plus de stratégies de GSD positives étaient associées à une satisfaction sexuelle plus élevée pour les hommes et à des préoccupations sexuelles liées à l'infertilité plus élevées pour les femmes. Les perceptions d’une utilisation plus élevée de GSD commun étaient associées à un bien-être sexuel plus élevé chez les deux partenaires. Pour les hommes, les perceptions d’une utilisation plus élevée de GSD commun étaient également associées à des préoccupations sexuelles liées à l'infertilité plus faibles chez leur partenaire. Les analyses étaient ajustées pour la satisfaction relationnelle. Ces résultats suggèrent que le bien-être sexuel des couples pendant les traitements de fertilité pourrait être facilité en favorisant une gestion de stress dyadique commun plus élevée et soulignent que le contexte interpersonnel entourant la sexualité de ces couples devrait être systématiquement abordé auprès des deux membres du couple. / Infertility is recognized as being not only a medical illness, but also a social and emotional condition (Burns & Covington, 2006; Pawar et al., 2020; The Lancet Global Health, 2022). Although studies have increasingly begun to investigate the impact of infertility on psychological and social well-being (e.g., Drosdzol & Skrzypulec, 2008; Hasanpoor-Azghdy et al., 2015), little remains known about the sexual well-being of couples undergoing fertility treatment. Research has shown that couples seeking assisted reproductive technology (ART) are more likely to experience sexual difficulties than fertile couples (Starc et al., 2019). However, very few studies have examined the factors that may explain these difficulties in couples seeking ART. Hence, using a biopsychosocial approach to the understanding of infertility (Gerrity, 2001; Grinion, 2005; Williams et al., 1992) and sexuality (Althof et al., 2005; McCabe et al., 2010), this thesis examines both infertility-specific and dyadic factors underlying the sexual well-being of infertile couples. To better understand the infertility-specific factors associated with the sexual function of couples seeking ART, a first dyadic cross-sectional study was conducted with 185 mixed-sex couples seeking ART who completed online the Fertility Quality of Life Tool and either the Female Sexual Function Index (women) or the International Index of Erectile Function (men). The study examined the association between personal and relational stressors and the sexual desire, orgasm, arousal, and sexual satisfaction of couples seeking ART. The associations between diagnosis and treatment-related factors and both partners’ domains of sexual function and sexual satisfaction were also examined to determine whether these variables should be included as covariates in the main analyses. Path analyses revealed that for men and women, infertility-related emotional stressors were associated with their own and their partners’ lower sexual desire. For women, experiencing greater infertility-related emotional stressors was also associated with their partner’s lower sexual satisfaction and experiencing greater infertility-related mind-body stressors was associated with their partner’s lower sexual arousal. Infertility-related relational stressors were also associated with individuals’ own lower sexual arousal and satisfaction and their partner’s lower sexual satisfaction. For women, experiencing greater relational stressors was also associated with their own lower sexual desire and orgasm. These results suggest that interventions addressing the emotional, mind-body, and relational spheres of couples seeking ART may help facilitate improvements in sexual function and satisfaction and better serve infertile couples’ needs. Building on the results of the first study, which suggest that couples’ subjective experience of infertility and treatment, particularly relational stressors, seem to be more strongly associated with their sexual well-being than objective treatment-related factors, the second study aimed to investigate the relational processes that underly couples’ sexual well-being. More specifically, the study examined whether perceptions of the partner’s dyadic coping (DC) and of how both partners cope together (common DC) are associated with both partners’ sexual well-being in couples seeking ART. Participants included 232 couples with medical infertility who completed questionnaires assessing dyadic coping and sexual well-being (infertility-related sexual concerns, sexual distress, and sexual satisfaction). The path analyses revealed that perceptions of partners’ use of higher negative DC were associated with individuals’ own lower sexual well-being. Perceptions of partners’ use of higher positive DC were associated with higher sexual satisfaction for men and greater infertility-related sexual concerns for women. Perceptions of higher use of common DC were associated with both partners’ higher sexual well-being. For men, perceptions of higher use of common DC were also associated with their partner’s fewer infertility-related sexual concerns (partner effect). Analyses adjusted for relationship satisfaction. These results suggest that couples’ sexual well-being during fertility treatment could be facilitated by promoting greater common DC and highlight that the interpersonal context surrounding these couples’ sexuality should be routinely discussed with both members of the couple.

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