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Spatial exclusion and the abject other in Canadian urban literatureBeneventi, Domenic A. January 2004 (has links)
Thesis (Ph.D.)--Université de Montréal, 2004. / Title from screen (viewed on July 23, 2009). Department of Comparative Literature, Université de Montréal. Includes bibliographical references (leaves [235]-265).
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American recognition of Canadian authors writing in English, 1890-1960Rogers, Amos Robert, January 1964 (has links)
Thesis--University of Michigan. / eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record.
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The colonial tradition in French Canadian sculptureHubbard, R. H. January 1942 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1942. / Typescript. Includes abstract and vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves 167-172).
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L'histoire de la vie privée au Canada entre 1960 et 1990: Les perspectives des ministres et des députés de la Chambre des communes sur la vie privéeCharlebois, Éric January 2007 (has links)
Le droit de la vie privée au Canada est-il reconnu comme un droit fondamental par les ministres et les députés de la Chambre des communes? C'est la question que nous étudions ici en écrivant l'histoire des perspectives des ministres et des députés de la Chambre des communes concernant la vie privée, telles qu'enregistrées entre 1960 et 1990 dans les Comptes rendus officiels des Débats de la Chambre des communes. Pour y répondre, nous étudions en premier lieu la conception qu' avaient les ministres et les députés de la Chambre des communes de la question de la vie privée et la valeur qu' ils lui accordaient. Nous examinons ensuite la façon dont fut tracé l'équilibre entre le droit à la vie privée et les valeurs concurrentes. Par valeurs concurrentes, nous voulons dire la protection de la sécurité nationale, le maintien de l'ordre public et l'amélioration de l'efficacité administrative du gouvernement du Canada. En gros, nous avons trouve qu'entre 1960 et 1990, les ministres et députés de la Chambre des communes reconnurent la vie privée non seulement comme un droit, mais également comme un droit essentiel au citoyen et à la société démocratique. À cet égard, la Chambre promulgua diverses lois pour protéger ce droit, mais elle n'inclut pas de façon explicite le droit du citoyen à la vie privée dans la Charte des droits et libertés. Or, comment reconnaître le droit à la vie privée comme un droit fondamental compte tenu du fait que le gouvernement ne l'enchassa pas, en 1982, dans la Charte canadienne des droits et libertés, document réservé à la protection des droits fondamentaux? Ces questions sont, dans cette thèse, étudiées en cinq étapes: le contexte entourant les débats; le courant idéologique de la Chambre des communes; les débats sur l'écoute électronique; les débats sur la protection des renseignements personnels; et, enfin, l'exclusion d'une clause explicite sur la vie privée dans la Charte canadienne des droits et libertés.
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"L'Union fait la force?": La concurrence comme élément déterminant de l'évolution de l'Union Saint-Joseph du Canada (1863--1920)Labbé, Pierrick January 2007 (has links)
Cette thèse aborde le sujet de la concurrence entre l'Union Saint-Joseph du Canada et les sociétés de secours mutuels canadiennes-françaises, entre sa fondation en 1863 et l'atteinte de sa solvabilité actuarielle en 1920. Au départ, cette petite association locale avait pour objectif d'offrir une protection en cas de mort ou de maladie aux travailleurs canadiens-français d'Ottawa.
L'arrivée de nouvelles sociétes de secours mutuels locales et succursales de sociétés fraternelles dans la ville changea le statut de l'association qui n'était plus la seule à vouloir recruter les Canadiens français dans ses rangs. Au début des années 1890, le recrutement devint de plus en plus difficile, au point de menacer sa stabilité financière.
C'est en s'inspirant des sociétés fraternelles que l'Union Saint-Joseph d'Ottawa trouva une solution à cette crise. Une structure administrative de type fédéral fut mise sur pied afin de permettre à l'organisation d'étendre ses activités hors des limites de la ville. Cette société de secours mutuels passa rapidement d'une simple association locale de travailleurs à une grande societe nationale, avec des ramifications dans plus de six cents communautés canadiennes-françaises du Canada et des États-Unis.
Cette nouvelle structure administrative transforma le caractère originel de l'organisation en diminuant la démocratie participative, caractéristique importante de sa gestion avant 1895. Cette situation donnait une grande partie du pouvoir décisionnel à l'élite dirigeante. Ainsi, l'organisation perdit sa vocation de bienfaisance au profit d'une gestion économique plus proche des valeurs actuarielles. Cependant, grâce à sa mission sociale imprégnée d'un catholicisme social et d'un nationalisme canadien-français, elle attira plus de 25000 Canadiens français à participer à ses activités.
Ainsi, durant les années 1910, l'Union Saint-Joseph était devenue une association nationale, luttant pour l'autonomie économique des Canadiens français. Parfois, ses actions dépassaient le secteur économique. Par exemple, son réseau de succursales permit de joindre bon nombre de Canadiens français afin de les réunir pour former ce qui allait devenir l'Association canadienne-française d'éducation d'Ontario.
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L'enjeu spirituel des enfants non baptisés: La protection des enfants à naître et des nouveau-nés dans le gouvernement de Montréal entre 1693 et 1760Poirier, Nathalie January 2007 (has links)
Cet ouvrage s'intéresse à la protection des enfants à naiîre et des nouveau-nés en raison de l'enjeu spirituel particulier auquel étaient confrontés ces derniers. Entre 1693 et 1760, le tribunal royal de Montréal eut ainsi à traiter diverses causes impliquant directement (grossesse cachée, avortement, infanticide et abandon) ou indirectement (violence sur femme enceinte, séduction, viol et paternité) des enfants à naître et des nouveau-nés. En fait, les crimes perpétrés contre des enfants non baptisés étaient perçus aux yeux de la société traditionnelle comme étant très graves non-seulement parce qu'ils étaient susceptibles de priver un être de la vie, mais surtout parce qu'ils risquaient ainsi d'empêcher l'âme de ce dernier d'entrer au paradis, la condamnant à errer dans les limbes pour l'éternité. Pour cette raison, l'Église, secondée par l'État, entendait réprimer sévèrement les crimes commis envers cette catégorie d'individus. Cependant, les délits tels l'avortement et l'infanticide étant généralement commis en toute clandestinité, peu de ces cas se retrouvèrent devant les tribunaux de la Nouvelle-France. En contrepartie, de nombreuses causes de violence sur des femmes enceintes, de séduction, de viol et de paternité furent intentées devant le tribunal royal de Montréal, les plaignants pouvant dans ces cas espérer un dédommagement favorable. Le système judiciaire de la colonie, ne pouvant compter uniquement sur ses effectifs insuffisants pour retracer les criminels, dépendait grandement de l'aide de la population à cet effet. Or, même dans les cas de crimes graves, impliquant notamment des enfants à naître ou des nouveau-nés, lorsque les membres de la communauté n'avaient rien à gagner dans la dénonciation, ceux-ci préféraient souvent s'abstenir de livrer le coupable aux autorités ou encore régler l'affaire par le biais d'une transaction infrajudiciaire.
Si les lois et ordonnances relatives à la protection des enfants à naître et des nouveau-nés implantées dans la colonie démontrent une volonté des législateur de châtier sévèrement tout coupable, l'étude des dossiers judiciaires révèle plutôt que les magistrats avaient tendances à prononcer des jugements moins durs que ceux prescrits par la loi. Le fréquent manque de preuves, le climat de tolérance commençant à s'installer dans la société occidentale de même que la volonté d'émettre des jugements avantageux pour la partie lésée jouèrent un rôle en ce sens. Ainsi, bien qu'en théorie tout menait à une répression rigoureuse des crimes commis à l'égard des enfants non baptisés, leur répression réelle s'avéra dans les faits plutôt limitée.
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La campagne antisémite d'Adrien Arcand d'après-guerre: 1945 a 1967Théoret, Hugues January 2009 (has links)
Adrien Arcand a été le principal porte-voix de l'antisémitisme au Canada durant l'entre-deux-guerres. Si son discours a trouvé écho au Canada français, il a eu aussi des retentissements au Canada anglais, aux États-Unis et en Europe. Adrien Arcand a puise son antisémitisme dans la judéophobie catholique qu'a perpétuée à travers les siècles l'aile radicale du catholicisme selon laquelle les Juifs conspiraient pour dominer le monde et détruire les bases de l'Église catholique romaine. Ces théories issues du Moyen Âge ont été reprises dans des écrits antisémites, tels que les Protocoles des Sages de Sion, qui ont circulé en Europe à partir de la fin du XIXe siècle, et que Arcand s'est évertué à diffuser sur tous les continents jusque dans les années 1960.
En 1945, la guerre est terminée. Aux yeux des autorités canadiennes, Adrien Arcand ne constitue plus une menace pour la sécurité nationale. Avec l'affaire Gouzenko et la Guerre froide, le danger du communisme retient toute l'attention. Adrien Arcand profite de l'occasion pour enfourcher le cheval de la lutte anticommuniste qui lui sert de véhicule pour ses diatribes antisémites. Si le Parti de l'Unité nationale du Canada a connu ses années de gloire en 1938 et en 1939, son mouvement a connu un succès mitigé dans le Canada français de l'après-guerre. Les échecs politiques d'Arcand sur la scène fédérale dans les années 1950 en sont la plus belle illustration. Néanmoins, en épousant la cause anticommuniste, les idées d'Arcand ont rejoint un certain nombre d'adeptes au pays dans les années 1950 et 1960 et son influence sur la scène mondiale a eu un impact sur la naissance de courants antisémites, tel que le négationnisme, notamment avec le Germano-Canadien Ernest Zundel qui considérait Adrien Arcand comme son mentor.
Jusqu'à sa mort en 1967, Adrien Arcand a tenté de prouver l'authenticité des théories d'un complot de domination mondiale des Juifs, nie la Shoah et accuse les Juifs de crimes de guerre contre les Palestiniens lors de la création de l'État d'Israël en 1948. Adrien Arcand est décédé en 1967 quelques mois à peine après que le Vatican eut nié toute responsabilité au peuple juif dans la mort du Christ. Malgré cette réparation historique, le discours haineux d'Arcand a survécu à l'homme par le biais de ses héritiers de la section québécoise du Parti de l'Unité nationale du Canada qui ont continué à publier ses discours et ses écrits jusqu'à l'aube du XXIe siècle.
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Pres d'un siècle au service des clercs: Étude de l'évolution et de l'héritage de la Société ecclésiastique de Saint-Michel, 1799--1886Jutras Beaulac, Élizabeth January 2009 (has links)
La Société ecclésiastique de Saint-Michel (SESM) est une société de secours mutuels établie dans le diocèse de Québec en 1799 afin de porter secours aux membres indigents du clergé. Sa création est le résultat de l'isolement dans lequel l'Église catholique canadienne s'est retrouvée au lendemain de la cession du Canada à la Grande-Bretagne par la France.
La SESM a été modelée, dans sa première phase d'existence (1799 a 1834), par le haut clergé afin que ses ressources contribuent de manière immédiate à la croissance de l'appareil institutionnel. Quoique l'épiscopat et le bas-clergé aient des vues différentes à l'époque sur l'identité que la SESM doit adopter, la reproduction de la dynamique sociale de l'Église catholique canadienne-française au sein de cette Caisse a permis à l'épiscopat d'opérer la SESM selon une logique charitable. Cette façon d'agir perdurera tant et aussi longtemps que les circonstances le permettront.
Ainsi, lorsque la situation de l'Église catholique canadienne-française change dans les années 1830, celle de la SESM en fait, réciproquement, autant. Le Renouveau religieux et ses effets précurseurs transforment de manière considérable la réalité catholique canadienne-française. L'appareil de l'Église entre dans une période de croissance inégalée et l'enjeu diocésain devient progressivement plus important. Les conséquences de ces changements affectent grandement la SESM au début de sa deuxième phase d'existence (1834 à 1876). En effet, les besoins de ses membres augmentent de plus en plus. En conséquence, le haut clergé ne peut plus opérer aussi librement au sein de la SESM puisque les ressources de cette dernière doivent maintenant être canalisées afin qu'elle puisse être en mesure d'offrir un soutien adéquat à ses adhérents indigents. Parallèlement à cela, la SESM fait face à la défection de ses membres montréalais qui choisissent de créer leur propre caisse ecclésiastique distincte. Suite aux efforts de ses administrateurs, la SESM s'adapte sensiblement à sa nouvelle réalité. Par la suite, ses dirigeants s'affairent à obtenir un acte d'incorporation pour assurer sa continuité et adoptent des mesures plus rigides, et parfois même inspirées de principes assurantiels, dans le but de faire prospérer l'organisation. Ces changements ne s'avèrent toutefois pas suffisants puisque la SESM est démantelée en 1876 pour laisser la place à de nouvelles caisses ecclésiastiques établies, maintenant, selon des bases diocésaines.
Pour conclure, le développement de la mutualité religieuse au Québec a été intrinsèquement conditionné par les changements qui ont affectés l'Église catholique canadienne-française pendant le 19e siècle. C'est donc dans cette optique que le démantelement de la SESM doit être compris. En effet, l'Église catholique québécoise est en mutation dans la deuxième partie du 19e siècle. Le nombre de diocèses augmenté et les jeux de pouvoirs se jouent à de nouveaux niveaux. La séparation de la SESM constitue donc, dans un sens, son adaptation ultime à la nouvelle réalité catholique.
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"The 'fightin'est' Canadian general:" Brigadier Christopher Vokes and his approach to military command, June 1942 -- August 1943Case, G. Christopher January 2009 (has links)
This thesis evaluates the manner in which Brigadier Christopher Yokes dealt with the technical and human aspects of command while commanding the 2nd Canadian Infantry Brigade from 25 June 1942 until the end of the Sicilian campaign in August 1943. It seeks to promote a greater understanding of brigade-level command and to rehabilitate Vokes's reputation as a commander, which has largely been based on certain negative personality traits. The author argues that Yokes was a successful commander because he maintained a good balance between technical skills such as planning and directing operations and his ability to understand, motivate, and lead soldiers, and because his actions were guided by a sound philosophy of command based on personal leadership and teamwork. These elements allowed Christopher Yokes to train and lead a highly effective and cohesive fighting force that defeated some of Germany's best troops in the physically demanding environment of the Sicilian battlefield.
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La Seigneurie de Beauharnois, 1729-1867 : les seigneurs, l'espace et l'argent.LaRose, André. January 1988 (has links)
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