• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La philosophie politique de l'empirisme logique : Otto Neurath et le "Cercle de Vienne de gauche" / Politics of logical empiricism : Otto Neurath and the "Left Vienna Circle"

Aray, Basak 18 September 2015 (has links)
Malgré sa condamnation post-positiviste et sa réception négative par la gauche, l’empirisme logique regagne en intérêt. Cette thèse est une contribution à la littérature émergente du «Cercle de Vienne de gauche» (CVG). Autour de Neurath et quelques autres personnalités de l’aile gauche du Cercle (Carnap, Frank, Hahn, Zilsel), nous proposons de repenser la relation de l’empirisme logique avec le marxisme. Ces deux courants se rejoignent dans leur défense d’une «conception scientifique du monde» et leur sécularisme radical. Les critiques communistes et néo-marxistes (l’École de Francfort, l’épistémologie féministe) adressées à l’empirisme logique sont recensées et leur pertinence questionnée à travers les données de l’historiographie du CVG. La politique de l’empirisme logique est examinée à travers les textes économiques de Neurath et son œuvre d’infographiste. Son engagement pour l’économie socialiste planifiée et ses efforts en graphisme pour la popularisation des méthodes quantitatives (la méthode Isotype pour la visualisation des statistiques sociales) sont présentés en vue d’une évaluation politique du CVG, ainsi que les connexions de l’empirisme logique avec le mouvement pour une langue auxiliaire internationale. / Despite logical empiricism’s dismissal by ambient postpositivism in academia as well as by the Far Left, a growing interest in its previously unknown socialist origins has resulted in a new topic in the history of philosophy of science : «Left Vienna Circle» (LVC). This thesis dedicated to LVC studies aims to clarify the politics of European logical empiricism. A presentation of its major critics from the Left (from communist parties to neo-Marxist trends like Frankfurt School and feminist epistemology) is followed by more recent arguments about its socialist politics. The «scientific world conceptions» of logical empiricism and Marxism will be compared through the work of Neurath and some other representatives of LVC (Carnap, Frank, Zilsel, Hahn). Alongside the connections of logical empiricism to the movement for an international auxiliary language, Neurath’s economical writings and his efforts to popularize quantitative methods in social sciences (the Isotype method of visual statistics) will be presented in an attempt to evaluate the politics of logical empiricism.
2

De la conception empiriste du langage représentationnel au projet carnapien du réductionnisme logique : En quête d'une démarche empiriste libérale autour des années 1930 / The empiricist conception of language and Rudolf Carnap's logical reductionism. The quest for a liberal empiricism in the 1930s

Lengelo Muhenya, Junior-Placide 25 November 2016 (has links)
Une théorie empiriste de la connaissance affirme que le langage est doté de la capacité à « représenter » quelque chose d'autre que le langage lui-même. A la fin du XVIIe siècle, en effet, Locke et ses successeurs ont analysé empiriquement ce à quoi nos idées ressemblent et que les mots représentent mentalement. Autour des années trente, Schlick et ses camarades du Cercle de Vienne se servent des acquis linguistico-logiques de Frege, Russell et Wittgenstein pour analyser logiquement les propositions scientifiques, leur correspondance avec les états de choses qu'elles représentent. Avec eux, la philosophie analytique devra dorénavant ramener les problèmes de la connaissance au niveau de l'expérience langagière. C'est là que réside le caractère radical et réductionniste d'une démarche empiriste : les empiristes classiques ont fixé dans la perception la genèse chronologique de nos idées et nos pensées ; à leur tour, les Viennois déterminent le sens d'une proposition en la traduisant en propositions élémentaires, dites « Protokollsätze », qui renvoient directement au donné empirique. A la même période, Carnap se démarque des autres empiristes logiques en posant les problèmes du langage de la science en termes de reconstruction rationnelle des concepts et, cela, en introduisant de nouveaux concepts à partir de ceux déjà connus comme concepts de base phénoméniste (dans l'Aufbau en 1928) ou physicaliste (au cours des années trente). Tel est son réductionnisme logique qu'il renforce par la syntaxe logique. L'analyse logique ne porte pas sur le donné mais sur la proposition, et en particulier sur les propriétés formelles et des relations purement logiques qu'entretiennent les propositions dans un système. Carnap tente de libéraliser la démarche empiriste en assouplissant le critère de scientificité et, conformément à son « Principe de Tolérance », en adjoignant à l'ancrage empirique des questions de conventions pour la structure des propositions scientifiques. Il modère la critique viennoise de la métaphysique en attribuant à la philosophie, devenue « la logique de la science », la tâche de méthodes et formes adéquates pour la construction du langage de la science. / An empiricist theory of knowledge argues that language has the capacity to represent something other than itself. Beginning from the end of the 17th century, Locke and his successors analysed empirically what our ideas are reflections of and what words represent in the mind. At the beginning of the 1930s, Schlick and his Vienna Circle colleagues exploited the logico-linguistic advances of Frege, Russell and Wittgenstein in the logical analysis of scientific propositions, i.e. their correspondence with the states of affairs they represent. Following their example, analytic philosophy would henceforth reduce problems of knowledge to the level of linguistic experience. This is where the radical and reductionist character of the empiricist perspective is to be found: the classical empiricists identified the chronological genesis of our ideas and thoughts in perception; the Vienna Circle philosophers in their turn determine the meaning of a proposition by translating it into elementary propositions or Protokollsätze, which reflect directly an empirical “given”. During the same period, Carnap distances himself from his fellow empiricists by formulating the formulating the problems of scientific language in terms of the rational reconstruction of concepts by introducing new concepts based on those already identified as fundamental from a phenomenalist (the Aufbau, 1928) or physicalist (during the 1930s) perspective. This is the logical reductionism that Carnap reinforces through logical syntax. For him, logical analysis is less concerned with the given than with the proposition, and in particular with the formal properties and purely logical relations between propositions within a system. Carnap attempts in this way to “liberalize” empiricism, both by rendering more flexible and open its claim to be scientific and, in conformity to his “Tolerance Principle”, in adding questions of conventions to the empirical grounding of scientific propositions. In attributing to philosophy, understood as “the logic of science”, the task of elaborating forms and methods adequate to the construction of the language of science, he thus moderates the Viennese critique of metaphysics.
3

Da “crise na razão” à “razão na crise”: a presença do Círculo de Viena no cenário intelectual francês da década de 1930 e o alvorecer de uma epistemologia histórica e uma história filosófica das ciências / De la “crise dans la raison” à la “raison dans la crise”: la présence du Cercle de Vienne dans le scénario intellectuel français des années 1930 e l’aube d’une épistémologie historique et une histoire philosophique des sciences

Machado, Hallhane 01 July 2016 (has links)
Submitted by Jaqueline Silva (jtas29@gmail.com) on 2016-10-18T18:57:37Z No. of bitstreams: 2 Dissertação - Hallhane Machado - 2016.pdf: 2209756 bytes, checksum: 8608379a53ecf24d5256ec218b0c4fae (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Approved for entry into archive by Jaqueline Silva (jtas29@gmail.com) on 2016-10-18T18:57:54Z (GMT) No. of bitstreams: 2 Dissertação - Hallhane Machado - 2016.pdf: 2209756 bytes, checksum: 8608379a53ecf24d5256ec218b0c4fae (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Made available in DSpace on 2016-10-18T18:57:54Z (GMT). No. of bitstreams: 2 Dissertação - Hallhane Machado - 2016.pdf: 2209756 bytes, checksum: 8608379a53ecf24d5256ec218b0c4fae (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) Previous issue date: 2016-07-01 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Dans les années 1930, tant les institutions que les auteurs dominants du contexte intellectuel français se sont interessés à un mouvement philosophique dont de nombreux concepts se distinguaient fortement de ceux admis par le milieu philosophique français: le Cercle de Vienne. Cet intérêt a donné lieu à des colloques ainsi qu’à des publications des traductions, des compte-rendus et présentations des théses de ce Mouvement autrichien. A la même période, émergeaient grâce à Gaston Bachelard et Alexandre Koyré une épistemologie historique et une histoire philosophique des sciences. Notre hypothése de travail dans cette étude est que de tels événements ne sont pas isolés. Le passage du Cercle de Vienne en France et les positions philosophiques bachelardiennes et koyréenne peuvent être conçues comme le résultat d’une même préoccupation : les crises des fondements de différents savoirs, les crises de la raison. Le milieu philosophique français a vu dans le Mouvement Viennois une possible solution, d’ailleurs écartée aprés examen et analyse d’auteurs comme Émile Meyerson, Jean Cavaillès, Albert Lautman, Gaston Bachelard, Alexandre Koyré et Federigo Enriques, au probléme des crises. Pour eux, la thése d’une raison catégorique et absolue était inadmissible. C’est donc au moment même où ils ont connu la proposition viennoise que Koyré e Bachelard ont élaboré une histoire philosophique et une épistémologie historique fondées sur une conception de la raison intégrant l’idée de crise. La raison n’est pas absolue, éternelle. Elle passe par des mutations, des révolutions. Les crises sont des périodes de transformations des fondements, aprés lesquelles la raison n’est pas détruite mais rénovée, transformée en un nouveau genre de raison. Koyré e Bachelard ont ainsi donné une nouvelle réponse aux crises, où les problémes de la thése autrichienne sont absents. / Nos anos 1930, instituições e autores proeminentes do contexto intelectual francês direcionaram sua atenção para um movimento filosófico que trazia em seu interior concepções muito distintas daquelas admitidas pelo meio filosófico da França: o Círculo de Viena. Realizaram congressos, publicaram traduções, resenhas e exposições das teses do Movimento austríaco. Nesse mesmo período, Gaston Bachelard e Alexandre Koyré traziam à luz uma epistemologia histórica e uma história filosófica das ciências. A hipótese sobre a qual nos debruçamos neste trabalho é a de que tais acontecimentos não estão isolados. A passagem do Círculo de Viena na França e as posturas filosóficas bachelardiana e koyreniana podem ser concebidas como frutos de uma mesma preocupação: as crises dos fundamentos de diversos saberes, as crises da razão. O meio filosófico francês viu no Movimento vienense uma possível solução ao problema das crises, que, logo após ser conhecida e analisada por autores como Émile Meyerson, Jean Cavaillès, Albert Lautman, Gaston Bachelard, Alexandre Koyré e Federigo Enriques, foi descartada. Para eles, era inadmissível uma proposta que delineasse uma concepção de razão categórica e absoluta. É nesse mesmo momento, em que se puseram a conhecer a proposta vienense, que Koyré e Bachelard elaboraram uma história filosófica e uma epistemologia histórica fundamentadas em uma concepção de razão que abarcava a ideia de crise. A razão não é absoluta, eterna, mas passa por mutações, revoluções. As crises são períodos de transformação de fundamentos, depois dos quais a razão não é destruída, mas renovada, tornando-se um novo tipo de razão. Assim, Koyré e Bachelard davam uma nova resposta às crises, onde não mais se faziam presentes os problemas da proposta austríaca.

Page generated in 0.0667 seconds