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The role of Tenascin-R in human neurodevelopmental disorders associated with cerebellar dysfunctions

Pecora, Alessandra 26 January 2023 (has links)
Environ 500 000 enfants au Canada souffrent de maladies génétiques rares. Chacune de ces pathologies causant divers problèmes de santé et touchant un nombre restreint d'individus, nos connaissances des mécanismes sous-jacents et des possibles approches thérapeutiques sont ainsi limitées. Néanmoins, les progrès actuels des technologies de séquençage de l'ADN permettent désormais de découvrir efficacement de nouveaux gènes impliqués dans les maladies neuronales. Grâce à cette approche, le gène de la Tenascin R (TNR) a récemment été identifié comme étant à l'origine d'une maladie neurologique rare. Jusqu'ici, il a été montré chez un enfant souffrant de troubles du développement neurologique que des mutations de la TNR sont associées à une ataxie cérébelleuse et un retard de développement global. TNR est une glycoprotéine de la matrice extracellulaire exclusivement exprimée dans le système nerveux central. Elle participe à la régulation de l'extension et la régénération de l'axone, mais également à la synaptogenèse, la croissance et la migration neuronales. Néanmoins, nos connaissances du rôle de la TNR dans les processus neurodéveloppementaux se basent sur des travaux réalisés chez des rongeurs, et la fonction de cette protéine au cours du développement du cerveau humain demeure inconnue. L'objectif de mon projet de recherche est d'investiguer le profil développemental de cellules progénitrices neuronales humaines (NPCs) issues du patient mentionné ci-dessus, et de déterminer si les anomalies observées au sein du cerveau humain présentant une mutation de TNR sont liées à une altération de la migration, maturation ou encore intégration fonctionnelle des neurones. Grâce à ces travaux, il sera possible d'acquérir des informations importantes sur la fonction de la TNR dans la migration et la maturation des neurones humains. Ce programme de recherche approfondira également notre compréhension des mécanismes fondamentaux régulant le développement neuronal des NPCs issues de patients, ceci étant essentiel à la conception de stratégies thérapeutiques ainsi qu'à la validation de médicaments. / Approximately 500,000 children in Canada are affected by rare genetic disorders. Each specific disorder causes several health problems and affects a small number of individuals, therefore our knowledge about mechanisms underlying the disease and possible therapeutic interventions are strongly limited. However, the progress in DNA sequencing technologies now provides an effective way to discover new genes involved in neuronal diseases. Using this innovative approach, Tenascin R (TNR) gene has been recently identified as novel rare neurological disease-causing gene. So far, it has been showed, in a child affected by neurodevelopmental disorder, that mutations in TNR correlate with cerebellar ataxia and global development delay. TNR is a member of extracellular matrix glycoproteins and is exclusively expressed in the central nervous system. TNR contributes to the regulation of axon extension and regeneration, but also to synaptogenesis, neuronal growth and migration. However, our knowledge about the role of TNR in different neurodevelopmental processes is based on experimental work performed in rodents, and the function of this protein in human brain development remains unknown. The aim of this research project is to study the developmental profile of human neuronal progenitor cells (NPCs) derived from the above-mentioned patient and control subjects and to determine whether abnormalities observed in the human brain with TNR mutation are linked to affected neuronal migration, maturation or functional integration. This work will provide crucial information on TNR function during migration and maturation of human neurons. This research project will also deepen our understanding of fundamental mechanisms regulating neuronal development of patient-derived NPCs which will be crucial for designing treatment strategies and drug testing/validation.
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Vitesse de traitement de l'information et évaluation précoce chez les accidentés vasculaires cérébraux

Lussier, Jacques 09 March 2021 (has links)
Le développement de moyens d'évaluation à visées diagnostique et prédictive adaptés aux clientèles victimes d’un accident vasculaire cérébral (AVC) constitue un enjeu important pour les milieux d'intervention et les individus concernés. La recherche contemporaine dans le domaine préconise donc de plus en plus le développement de moyens d’évaluation capables d’orienter, d’appuyer et de justifier l’application des interventions et ce, dès l’entrée en centre de réadaptation. La présente étude explore la contribution des variables de vitesse de traitement de l’information à l'évaluation précoce de cette clientèle. Le degré d’incapacité fonctionnelle des 39 participants à l’étude est évalué à partir des résultats à la Mesure d’indépendance fonctionnelle (MIF) administrée dans les 72 heures suivant l’entrée en réadaptation. Les relations entretenues entre les résultats à cette épreuve et ceux obtenus à un test informatisé permettant la mesure des temps de réaction à différentes tâches élémentaires de comparaison et de catégorisation (Test de rendement cognitif) indiquent des corrélations allant de 0,73 à 0,81 entre la portion cognitive de la MIF et les indices du Test. Lorsque la classification des sujets, quant à la sévérité de leurs atteintes, est effectuée sur la base de la sous-échelle cognitive de la MIF, des différences significatives à p< 0,0001 peuvent être observées pour les indices du Test de rendement cognitif entre les groupes d’atteinte légère et sévère de même que sévère et modérée, et à p < 0,05 entre les groupes d’atteinte légère et modérée. Les résultats sont discutés en fonction de leurs implications sur le suivi de ces clientèles en phase de réadaptation.
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La valeur pronostique de la protéine S-100B et de l'énolase neurone-spécifique suivant un traumatisme craniocérébral modéré ou grave : revues systématiques et méta-analyses

Mercier, Éric 24 April 2018 (has links)
Cette étude a pour objectif de déterminer la valeur pronostique de la protéine S-100ß et de l’énolase neurone-spécifique (NSE) chez les patients ayant subi un traumatisme craniocérébral (TCC) modéré ou grave. Deux revues systématiques et méta-analyses ont été effectuées afin de recenser les études présentant un dosage de ces biomarqueurs en lien avec la mortalité ou le pronostic fonctionnel évalué à l’aide du score du Glasgow outcome scale (GOS). Des 9228 résultats de la recherche, 41 et 26 études ont été incluses, respectivement, pour la protéine S-100ß et la NSE. Il existe une association entre le dosage sérique de la protéine S-100ß et de la NSE avec une issue clinique défavorable, c’est-à-dire la mortalité ou un score du GOS ≤ 3. Une concentration sérique entre 1,38 et 10,50 µg/L pour la protéine S-100ß est 100 % spécifique pour prédire le décès. La présence de lésions extracérébrales n’influençait pas cette association. / The main objective of this study is to determine the prognostic value of S-100ß protein and neuron-specific enolase (NSE) following a moderate or severe traumatic brain injury (TBI). Two systematic reviews and meta-analysis were performed to find the studies having evaluated the link between a level of those biomarkers and the mortality or the Glasgow outcome scale (GOS). Of the 9228 citations, 41 and 26 studies were finally included respectively for S-100ß protein and NSE. We observed a significant association between blood levels of S-100ß protein and NSE and an unfavorable outcome such as the mortality or the GOS ≤ 3. A 100% specificity serum level threshold for mortality was between 1.38 to 10.50 µg/L for the S-100ß protein. The association showed consistent results despite the presence of significant extracranial injuries.
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Transfusion sanguine chez les patients en état critique suivant un traumatisme craniocérébral

Lessard Bonaventure, Paule 17 December 2020 (has links)
Introduction: Le recours à une stratégie transfusionnelle restrictive est préconisé chez les patients en état critique. Une incertitude demeure toutefois quant aux seuils optimaux de transfusion pour les patients atteints de traumatisme craniocérébral considérant que le cerveau lésé est susceptible aux lésions hypoxémiques. Nous avons tenté d’identifier les croyances de pratique des cliniciens quant aux facteurs déterminant l’ordonnance d’une transfusion et les seuils de transfusion considérés comme optimaux dans cette population. Méthodologie: Nous avons développé une enquête de pratique destinée aux intensivistes et aux neurochirurgiens canadiens, australiens et britanniques responsables des soins des patients ayant subi un traumatisme craniocérébral. Le questionnaire a été élaboré par un groupe d’experts à l’aide d’un processus structuré (génération et réduction de domaines/items). Le questionnaire a été validé pour garantir sa sensibilité clinique, sa fiabilité et son contenu. Résultats: Le taux de réponse était de 28,7% (218/760). Lorsque nous avons soumis aux répondants le cas hypothétique d’un jeune adulte ayant subi un traumatisme craniocérébral, nous avons observé une hétérogénéité de pratiques transfusionnelles, 47% (intervalle de confiance [IC] à 95%, 41 à 54%) des répondants étant en faveur d’une transfusion à partir d’un taux d’hémoglobine ≤70 g·L–1 dans la phase aiguë de soins, alors que 73% (IC 95%, 67 à 79%) utiliseraient ce seuil dans la phase chronique. Les traumatismes multiples, les données de monitorage neurologique, un choc hémorragique et une chirurgie programmée constituaient les principaux facteurs influençant le besoin perçu de transfusion. L’absence de données probantes et de recommandations était responsable de l’incertitude concernant les stratégies de transfusion chez cette population. Conclusion: Dans notre étude, les cliniciens mentionnent que leur pratique transfusionnelle est influencée par l’acuité des soins, les caractéristiques des patients et le monitorage neurologique. L’incertitude clinique concernant la stratégie de transfusion optimale est principalement attribuable à l’absence de données probantes ou de recommandations. Des études randomisées contrôlées sont nécessaires afin de déterminer quelles stratégies de transfusion seraient optimales pour cette population. / Introduction: Restrictive transfusion strategy has been advocated in critically ill patients. Nevertheless, considerable uncertainty exists regarding optimal transfusion thresholds in patients with traumatic brain injury because the injured brain is susceptible to hypoxemic damage. We aimed to identify the determinants of red blood cell transfusion and the perceived optimal transfusion thresholds in adult patients with moderate-to-severe traumatic brain injury. Methods: We conducted an electronic, self-administered survey targeting critical care specialists and neurosurgeons from Canada, Australia, and the United Kingdom caring for patients with traumatic brain injury. The questionnaire was initially developed by a panel of experts using a structured process (domains/items generation and reduction). The questionnaire was validated for clinical sensibility, reliability, and content. Results: Our response rate was 28.7% (218/760). When presented with the hypothetical scenario of a young adult patient with traumatic brain injury, a wide range of transfusion practices was observed, with 47% (95% confidence interval [CI], 41 to 54%) favoring red blood cell transfusion at a hemoglobin level of ≤70 g·L-1 in the acute phase of care, while 73% (95% CI, 67 to 79%) would use this trigger in the plateau phase of care. Multiple trauma, neuro-monitoring data, hemorrhagic shock, and planned surgery were the main factors that influenced the need for transfusion. The lack of clinical evidence and guidelines was responsible for uncertainty regarding red blood cell transfusion strategies in this patient population. Conclusion: In our survey about critically ill patients with traumatic brain injury, intensivists and neurosurgeons believed that transfusion practice is mainly influenced by the acuity of care, patient characteristics, and neuro-monitoring. Clinical equipoise regarding optimal transfusion strategy is believed to be mainly attributed to the lack of clear clinical evidence and guidelines. Appropriate randomized-controlled trials are required to determine the optimal transfusion strategies in critically ill patients with traumatic brain injury
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Validation statistique de mesures de gravité des traumatismes craniocérébraux basées sur la classification internationale des maladies

Gagné, Mathieu 24 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017. / La Classification internationale des maladies (CIM) est le principal système de classification utilisé pour les activités de surveillance des blessures, mais ne contient pas d’information directe sur la gravité des blessures. Des mesures de gravité des blessures basées sur la CIM peuvent être dérivées empiriquement ou appariées, mais aucune approche n’a été formellement recommandée, notamment pour les traumatismes craniocérébraux (TCC). Deux études ont été menées afin de combler cette lacune. L’objectif de la première étude consistait à examiner de manière systématique les résultats des études qui ont évalué les performances des mesures de gravité des blessures basées sur la CIM pour prédire la mortalité intra-hospitalière chez les blessés hospitalisés. Cet examen systématique suggère que les mesures de gravité des blessures dérivées empiriquement des codes CIM procurent des capacités de discrimination supérieures à celle des autres candidats examinés. L’ICISS-Multiplicative et le TMPM-ICD offrent une capacité de discrimination plus élevée que les autres mesures considérées. L’objectif de la seconde étude était de comparer la validité prédictive des mesures de gravité des blessures basées sur la CIM pour prédire la mortalité intra-hospitalière et l’admission en unité de soins intensifs chez les patients hospitalisés à la suite d’un TCC au Québec. Nos résultats indiquent que les mesures de gravité des blessures basées sur la CIM affichent une validité acceptable pour prédire la mortalité intra-hospitalière et l’admission en unité de soins intensifs chez les patients hospitalisés à la suite d’un TCC. De manière générale, l’ICISS-Multiplicative a surclassé les autres candidats pour prédire la mortalité à l’hôpital et les admissions en unité de soins intensifs. Sur la base des résultats de ces deux études, nous recommandons que l’ICISS-Multiplicative soit utilisé pour calculer la gravité des TCC dans les bases de données médico-administratives dans lesquelles les diagnostics sont codifiés à l’aide de la CIM. / The International Classification of Diseases (ICD) is the main classification system used for the injury surveillance activities, but contains no direct information on the severity of injuries. ICD-based injury severity measures can be derived empirically or mapped to the Abbreviated Injury Scale, but no approach has been formally recommended, in particular for traumatic brain injury (TBI). Two studies were conducted to fill this gap. The objective of the first study was to systematically review the results of studies that have evaluated the performance of the ICD-based injury severity measures to predict in-hospital mortality among injury-related patients. The results of this systematic review suggest that injury severity measures empirically derived from ICD codes provided superior discriminative performance than other mapped candidates. ICISS-Multiplicative and TMPM-ICD predict mortality more accurately than other ICD-based measures. The objective of the second study was to compare the accuracy of ICD-based injury severity measures for predicting in-hospital mortality and intensive care unit (ICU) admission in TBI patients. Our results indicate that all ICD-based injury severity measures showed acceptable discrimination for predicting in-hospital mortality and ICU admission in TBI patients. ICISS-Multiplicative had generally higher predictive accuracy than alternative ICD-based injury severity measures for predicting in-hospital mortality and ICU admission. Based on the results of these two studies, we recommend that the ICISS-Multiplicative should be used for TBI severity adjustment in large routinely collected administrative data where TBI are coded with ICD.
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L'utilisation de la solution de salin hypertonique dans le traitement des victimes de traumatisme craniocérébral grave à l'urgence

Berger Pelletier, Elyse 23 April 2018 (has links)
Le traumatisme craniocérébral grave (TCC grave) est une affection qui peut engendrer de graves séquelles aux victimes. Dans la dernière décennie, un nouveau traitement, la solution de salin hypertonique (SSH), a gagné en popularité. Toutefois, peu de données probantes appuient son utilisation. Nous présentons deux études sur l’utilisation de SSH. La première étude est une revue systématique avec méta-analyse d’études randomisées contrôlées. Les données des dix études incluses n’ont pas permis d’observer une amélioration de la survie. La deuxième étude est une enquête de pratique des médecins d’urgence québécois concernant l’utilisation des solutions hyperosmolaires dans la phase aiguë de réanimation des victimes de TCC grave. Cinquante-trois pour cent (53 %) des répondants ont répondu utiliser la SSH. Avec ces deux études, nous avons pu conclure que, malgré le manque de preuves suffisantes pour appuyer l’utilisation des SSH, les médecins québécois sont nombreux à l’utiliser.
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The prognostic value of magnetic resonance imaging in moderate and severe traumatic brain injury : a Systematic Review and Meta-Analysis

Haghbayan, Hourmazd 13 February 2021 (has links)
Les traumatismes craniocérébraux constituent une cause importante de mortalité et de morbidité à travers le monde, et représentent un fardeau socioéconomique important dans les pays développés en raison de l'incapacité résiduelle post-traumatique dont souffrent les patients après leur traumatisme. Malgré la fréquence élevée d'issues cliniques défavorables à long terme, il existe actuellement peu d'indicateurs pronostiques permettant de guider le clinicien dans la prise en charge aiguë de ces patients et de conseiller leurs familles et proches. Plus de quatre décennies d'études observationnelles ont examiné l'utilisation de l'imagerie par résonance magnétique effectuée en phase aiguë dans son rôle potentiel à distinguer rapidement l'issue clinique post-traumatisme à long terme chez ces patients. Le présent travail vise donc à déterminer la valeur pronostique de l'imagerie par résonance magnétique effectuée en phase aiguë de traitement suite à un traumatisme craniocérébral modéré ou grave chez l'adulte, en utilisant une méthodologie de revue systématique et méta-analyse pronostique, afin d'identifier toutes les études évaluant la relation entre les modèles de lésions identifiés par résonance magnétique et l'issue clinique à long terme. Nos travaux ont identifié 58 études individuelles. Après méta-analyse, les lésions localisées dans le tronc cérébral se sont révélées être associées à une mortalité augmentée (toutes causes confondues) et une issue neurologique défavorable alors que les lésions compatibles avec une lésion axonale diffuse ont été associées à une augmentation du risque d'issue neurologique défavorable. Deux échelles de classement basées sur la gravité de la lésion ont été associées à des issues neurologiques de plus en plus défavorables au fur et à mesure de l'augmentation du nombre de structures cérébrales caudales touchées, confirmant ainsi l'importance des lésions profondes. Ces résultats démontrent l'utilité pronostique de l'imagerie par résonance magnétique effectuée rapidement après un traumatisme craniocérébral et indiquent la nécessité d'entreprendre des études pronostiques de cohorte de haute qualité et bien contrôlées, en raison du risque élevé de biais dans la littérature actuelle. / Traumatic brain injury is a major cause of mortality and morbidity worldwide and represents a significant socioeconomic burden in developed nations due to residual post-trauma disability among survivors. Despite high rates of long-term unfavourable outcome, few prognostic indicators currently exist to guide early clinical management and counsel family and friends of patients. Over four decades of observational studies have examined the potential role of early magnetic resonance imaging of the brain to distinguish long-term clinical outcome by examining lesion patterns identifiable soon after trauma. This present work thus aims to determine the prognostic value of early magnetic resonance imaging following moderate or severe traumatic brain injury in adults by employing prognostic systematic review and meta-analysis methodology to identify all published studies assessing the relationship between magnetic resonance lesion patterns and long-term clinical outcome. Our search identified 58 individual studies; following meta-analysis, lesions located in the brainstem were associated with all-cause mortality and unfavourable neurological outcome while shear injury patterns compatible with diffuse axonal injury anywhere in the brain were associated with increased risk of unfavourable neurological outcome. Two scoring systems based on lesion depth were associated with progressively worse neurological outcomes as more caudal cerebral structures were affected, confirming the importance of deep lesions. These findings demonstrate the prognostic utility of magnetic resonance imaging early following traumatic brain injury and indicate the need for high quality, well-controlled, prognostic cohort studies given the elevated risk of bias in the current body of literature.
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Les effets de différentes approches en réadaptation à la suite d'un traumatisme craniocérébral léger

Langevin, Pierre 18 October 2022 (has links)
Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) est un problème de santé publique reconnu. Les consensus d'experts les plus récents ainsi que les plus récents guides de pratique clinique recommandent des interventions physiques pour les symptômes persistants à la suite d'un TCCL. Une approche en réadaptation individualisée comprenant des exercices en aérobie sous le seuil des symptômes et des interventions en physiothérapie ciblant la colonne cervicale et le système vestibulaire sont recommandées. Cependant, les données probantes appuyant l'utilisation de ces interventions sont limitées. Le principal objectif de ce projet de doctorat était de comparer les effets d'un programme de réadaptation cervico-vestibulaire combiné à un programme d'exercices en aérobie sous le seuil des symptômes (EASS) à un programme d'EASS seul chez les adultes présentant des symptômes persistants à la suite d'un TCCL sur l'intensité des symptômes et sur d'autres indicateurs cliniques. Avant de réaliser le projet de recherche principal, deux autres projets de recherche ont été entrepris. Le premier de ces deux projets était une revue systématique et une méta-analyse portant sur l'efficacité des programmes d'EASS sur les TCCL. Nos résultats ont démontré que de tels programmes d'exercices sont bénéfiques pour améliorer les symptômes à la suite d'un TCCL. Ce type de programme d'exercices a été utilisé dans le projet principal comme méthode d'intervention chez tous les participants sachant que son efficacité était reconnue chez une population ayant subi un TCCL. De plus, puisque la sensibilité au changement des questionnaires utilisés pour le projet principal n'avait pas été évaluée dans le passé sur une population TCCL, nous avons entrepris un 2e projet parallèle pour la déterminer. Une étude de cohorte prospective a permis de déterminer que tous les questionnaires, y compris la mesure primaire du projet principal, le Post-Concussion Symptoms Scale (PCSS), étaient très sensibles aux changements. Ainsi, nous proposons aux cliniciens et chercheurs de les utiliser pour évaluer l'évolution dans le temps de cette population. Cette trouvaille a donc confirmé notre choix de questionnaires pour le projet principal. Le projet principal de ce doctorat était un essai contrôlé randomisé avec groupes parallèles à simple insu. Soixante adultes présentant des symptômes persistants à la suite d'un TCCL ont été assignés aléatoirement à : 1) un programme d'EASS d'une durée de 6 semaines ou 2) un programme de réadaptation cervico-vestibulaire d'une durée de 6 semaines combiné à un programme d'EASS. Tous les participants ont participé à quatre séances d'évaluation (évaluation initiale, 6, 12 et 26 semaines) réalisées par un évaluateur à l'aveugle. La variable dépendante primaire était le PCSS. Les variables secondaires étaient le Numerical Pain Rating Scale (NPRS), Neck Disability Index (NDI), Headache Disability Inventory (HDI), Dizziness Handicap Inventory (DHI), le temps pour un retour à la fonction et des mesures physiques cervicales et vestibulaires. À la suite de la collecte de données, une analyse non paramétrique pour données longitudinales (NparLD) a été utilisée pour évaluer l'effet des interventions sur la variable primaire et les variables secondaires. Pour le PCSS, NPRS, NDI, HDI, DHI et le retour à la fonction, il n'y a eu aucune interaction groupe-par-temps (p>0,05). Un effet temps statistiquement et cliniquement significatif a toutefois été observé à tous les temps de mesure par rapport à l'évaluation initiale (p<0,05). Il y a eu des interactions groupe-par-temps pour le réflexe vestibulo-oculaire (p<0,003) et les mesures de mobilité cranio-vertébrales (p< 0,001) en faveur du groupe de réadaptation cervico-vestibulaire. L'étude indique qu'un programme de réadaptation cervico-vestibulaire combiné à de l'exercice en aérobie sous le seuil des symptômes n'était pas supérieur à un programme d'exercice en aérobie seul en ce qui concerne les symptômes et l'amélioration fonctionnelle, mais a permis d'améliorer les fonctions cervicale et vestibulaire. Nous recommandons ainsi aux cliniciens d'utiliser l'EASS chez les patients à la suite d'un TCCL et d'appliquer la physiothérapie cervicale et vestibulaire lorsqu'il y a des déficiences à ces régions puisque celles-ci semblent persister avec le temps si elles ne sont pas directement traitées. De futures études sont nécessaires pour déterminer l'effet de la persistance de ces déficiences sur les récidives, l'incapacité, la qualité de vie et la recrudescence de symptômes à long terme. / Mild traumatic brain injury (mTBI) is an acknowledged public health problem. Most recent experts' consensus statements and clinical practice guidelines recommend physical intervention for persistent symptoms following an mTBI. An individualized rehabilitation approach including symptom-limited aerobic exercises and physiotherapy interventions targeting the cervical spine and the vestibular system are recommended based on a limited level of evidence. The main objective of this doctoral project was to compare the effects of a cervicovestibular rehabilitation program combined with a symptom-limited aerobic exercise (SLAE) program to a SLAE program alone in adults with persistent symptoms following an mTBI on severity of symptoms and other indicators of clinical recovery. Before completing the main research project, two other research projects were completed. The first side project was a systematic review and meta-analysis on the effectiveness of SLAE exercises on mTBI. Our findings demonstrated that a SLAE program is beneficial in improving symptoms following an mTBI. SLAE program was then used in the main project as an intervention method for all participants, knowing that its effectiveness was recognized in a population having undergone an mTBI. A second side project was realized to evaluate the responsiveness of the Post-Concussion Symptoms Scale (PCSS) and other questionnaires used in the main study as the responsiveness of those questionnaires was unknown. A prospective cohort study demonstrated that all questionnaires evaluated including the PCSS were highly responsive to monitor recovery. We proposed that clinicians and researchers use them when evaluating change over time in an mTBI population with persistent symptoms. This finding confirmed our choice of questionnaires for the main project of the thesis. The main project was a single-blind, parallel-group randomized controlled trial. Sixty adults with persistent symptoms following mTBI were randomly assigned to: 1) a 6-week SLAE program or 2) a 6-week cervicovestibular rehabilitation program combined with a SLAE program. All participants took part in four evaluation sessions (baseline, week 6, 12 and 26) performed by a blinded evaluator. The primary outcome was the PCSS. The secondary outcomes were Numerical Pain Rating Scale (NPRS), Neck Disability Index (NDI), Headache Disability Inventory (HDI), Dizziness Handicap Inventory (DHI), time to return to function, and physical cervical and vestibular measures. Nonparametric analysis for longitudinal data (NparLD) was used to evaluate and compare the effect of the interventions on the primary and secondary outcomes. For the PCSS, NPRS, NDI, HDI, DHI, and return to function, there were no group-by-time interactions (p>0.05); statistically and clinically significant time effects were, however, observed (p<0.05). There were group-by-time interactions for vestibulo-ocular reflex (p<0.003) and the cranio-vertebral mobility (p< 0.001) measures in favour of the cervicovestibular rehabilitation group. The study indicates that a cervicovestibular rehabilitation program combined with SLAE was not superior to a SLAE program alone in terms of symptoms and functional improvement but resulted in improved physical cervical and vestibular function. We therefore recommend that clinicians use SLAE program in patients following mTBI and apply cervical and vestibular physiotherapy when impairments in the cervical spine and/or vestibular system are found since these impairments seem to persist over time if they are not treated. Future studies are needed to determine the effect of the persistence of cervical and vestibular impairments on long-term recurrence, disability, quality of life, and symptoms worsening.
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Évolution longitudinale des symptômes d'insomnie à la suite d'un traumatisme craniocérébral

Gervais, Frédérique 22 June 2021 (has links)
L’objectif de ce projet est d’évaluer l’évolution de l’insomnie durant les quatre années suivant un TCC, en comparant entre les différents niveaux de sévérité du TCC, ainsi que d’identifier les facteurs de risque pour l’évolution vers différentes trajectoires (insomnie chronique, fluctuante ou absence d’insomnie). Les participants inclus dans cette étude sont des adultes âgés entre 18 et 65 ans (n=429) ayant été hospitalisés à la suite d’un TCC. Des questionnaires autorapportés ont été administrés à 4, 8, 12, 24, 36 et 48 mois post-TCC pour évaluer les symptômes d’insomnie (ISI), d’anxiété (HADS-A), de dépression (HADS-D) et de douleur (SF-36). Les résultats indiquent que les taux de prévalence d’insomnie demeurent élevés au cours des quatre années qui suivent un TCC, variant entre 52 et 58% dépendamment du temps de mesure. Les individus ayant subi un TCC léger présentent des symptômes d’insomnie plus prévalents (entre 57% et 67%) et plus sévères comparativement aux TCC modérés-sévères (résultat moyen à l’ISI: TCC léger= 10.46; TCC modéré-sévère = 8.44; F= 14.74, p<.001). Le tiers de l’échantillon présente une trajectoire chronique des symptômes d’insomnie au cours des quatre années qui suivent le TCC. Les principaux facteurs de risque pour les trajectoires d’évolution des symptômes d’insomnie post-TCC sont la présence de symptômes anxieux et dépressifs ainsi que la sévérité du TCC. En conclusion, l’insomnie est une condition fréquente et persistante, et ce, plusieurs années après le TCC. Une attention particulière de la part des professionnels de santé doit être portée sur les individus présentant un TCC léger et ceux manifestant des symptômes dépressifs et anxieux puisqu’ils présentent un pronostic plus défavorable quant à l’évolution de leurs symptômes d’insomnie. / The aim of the study was to assess the evolution of insomnia during the first four years following a traumatic brain injury (TBI) and to compare between different levels of severity of the TBI. This study also aimed to identify risk factors for different insomnia trajectory (chronic, fluctuating or absence of insomnia). Participants included in this study were adults aged between 18 and 65 years (n=429) and were recruited in a hospital setting and rehabilitation center. They completed several self-reported questionnaires at different time points (4, 8, 12, 24, 36 and 48 months post-TBI) to assess insomnia symptoms (ISI), anxiety and depressive symptoms (HADS) and pain (SF-36). Results showed that prevalence rates of insomnia remained high across assessment times points, varying between 52 and 58%. Symptoms were more prevalent among participants who sustained a mild TBI compared to those with moderate to severe TBI (57% vs 67%) and those symptoms were more severe in the mild compared to the moderate-severe TBI group (ISI mean score: mild TBI= 10.46; moderate-severe TBI = 8.44; F= 14.74, p <.001). One third of individuals who sustained a TBI presented a chronic trajectory of insomnia over the 4-year follow-up period. Those with mild TBI were significantly more represented in the subgroup with a chronic trajectory of insomnia compared to those with moderate-severe TBI (37.7% vs 23.2%, p<.001) Individuals presenting a low level of depressive symptoms paired with moderate anxious symptoms were at greater risk for a chronic course of insomnia symptoms. In conclusion, insomnia is a frequent condition following TBI and may impede recovery and quality of life. Patients with mild TBI and presenting depressive and anxious symptoms following TBI should be followed closely since they have a less favorable prognosis regarding the evolution of their insomnia symptoms.
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Utilisation de la trachéotomie chez les patients ayant subi un traumatisme craniocérébral

Villemure-Poliquin, Noémie 20 March 2023 (has links)
Introduction La trachéotomie est une intervention chirurgicale communément effectuée chez les patients admis à l'unité de soins intensifs (USI). Elle est fréquemment requise chez les patients victimes d'un traumatisme craniocérébral (TCC) modéré à grave, une clientèle qui une altération prolongée de l'état de conscience peut nécessiter une longue période d'assistance respiratoire mécanique. Alors que de nombreux cliniciens favorisent l'utilisation de la trachéotomie précoce (<10 jours) chez ces patients, les preuves en faveur de cette pratique restent insuffisantes. Les objectifs de notre étude étaient d'évaluer les bénéfices cliniques de la trachéotomie par rapport à l'intubation endotrachéale prolongée et de la trachéotomie précoce (<10 jours) versus tardive (≥10 jours) chez les patients ayant subi un TCC modéré à grave. Méthodes Nous avons effectué une étude de cohorte multicentrique rétrospective basée sur le système provincial intégré de traumatologie du Québec (Registre des traumatismes du Québec). La population de l'étude a été sélectionnée parmi les victimes de traumatismes adultes hospitalisés entre 2013 et 2018. Nous avons inclus des patients de 16 ans et plus atteints de TCC modéré à grave (score sur l'échelle de coma de Glasgow [GCS] <13) ayant nécessité une assistance respiratoire mécanique pendant 96 h ou plus. Notre critère d'évaluation principal était la mortalité à 30 jours. Les critères d'évaluation secondaires comprenaient la mortalité hospitalière et à l'USI, la mortalité à 6 mois, la durée d'assistance respiratoire mécanique, les pneumonies acquises en lien avec l'assistance respiratoire mécanique, les durées de séjour à l'USI et à l'hôpital ainsi que l'orientation des patients à leur sortie de l'hôpital. Un score de propension a été utilisé directement comme variable d'ajustement. Pour corriger l'effet du biais de temps immortel, un modèle de régression avec fragilité partagée Cox étendu a été utilisé pour comparer la mortalité et la durée de vie entre les groupes avec trachéotomie et sans trachéotomie. Résultats De 2013 à 2018, 12448 patients victimes de TCC ont été inscrits au Registre des traumatismes du Québec. Un total de 1009 patients ayant nécessité une intubation endotrachéale prolongée pendant 96 h ou plus ont été inclus dans l'étude, parmi lesquels 382 patients ont subi une trachéotomie et 627 sont demeurés intubés. Nous avons observé une réduction de la mortalité à 30 jours (aHR: 0,55 [0,22 - 0,55]) associée à la trachéotomie en comparaison à l'intubation endotrachéale prolongée. Cet effet a également été observé à l'USI ainsi qu'à 6 mois. La trachéotomie est associée à une augmentation de la durée d'assistance respiratoire mécanique sans augmentation de durée de séjour. Aucun effet sur la mortalité n'a été observé en lien avec une procédure de trachéotomie effectuée de façon plus précoce versus tardive. Une procédure précoce est associée à une diminution de la durée d'assistance respiratoire mécanique ainsi que la durée de séjour à l'USI et à l'hôpital. Conclusion Dans cette étude multicentrique de cohorte, nous avons observé que la trachéotomie chez les patients ayant subi un traumatisme craniocérébral modéré ou grave est associée à une diminution de la mortalité en comparaison à l'intubation endotrachéale prolongée. Cet effet ne semble pas modifié par le moment où est effectué la procédure dans l'hospitalisation. La généralisation et l'application de ces résultats restent toutefois limitées par des biais d'indication résiduels potentiels. / Introduction Tracheostomy is a surgical procedure that is commonly performed in patients admitted to the intensive care unit (ICU). It is frequently required in patients with moderate to severe traumatic brain injury (TBI), a subset of patients with prolonged altered state of consciousness that may require a long period of mechanical respiratory assistance. While many clinicians favor the use of early tracheostomy (<10 days) in TBI patients, the evidence in favor of this practice remains scarce. The aims of our study were to evaluate the clinical benefits of tracheostomy versus prolonged endotracheal intubation as well as early (<10 days) versus late (≥10 days) tracheostomy in patients with moderate to severe TBI. Methods We conducted a retrospective multicenter cohort study based on the provincial integrated trauma system of Québec (Québec Trauma Registry). The study population was selected from adult trauma patients hospitalized between 2013 and 2018. We included patients 16 years and older with moderate to severe TBI (Glasgow Coma Scale [GCS] score <13) who required mechanical ventilation for 96h or longer. Our primary outcome was 30-day mortality. Secondary outcomes included hospital and ICU mortality, 6-month mortality, duration of mechanical ventilation, ventilator-associated pneumonia, ICU and hospital length of stay as well as orientation of patients upon discharge from the hospital. A propensity score was used directly as an adjustment variable. To overcome the effect of immortal time bias, an extended Cox shared frailty regression model was used to compare mortality and lifespan between the tracheostomy and no tracheostomy groups. Results From 2013 to 2018, 12,448 patients with TBI were registered in the Quebec Trauma Registry. A total of 1009 patients who required prolonged endotracheal intubation for 96 h or more were included in the study, of which 382 patients underwent a tracheostomy and 627 remained intubated. We observed a reduction in 30-day mortality (aHR: 0.55 [0.22 - 0.55]) associated with tracheostomy compared to prolonged endotracheal intubation. This effect was also seen in the ICU as well as at 6 months. Tracheostomy, when compared to prolonged endotracheal intubation, was associated with an increase in the duration of mechanical respiratory assistance without any increase in the length of stay (LOS). No effect on mortality was observed when comparing early versus late tracheostomy procedures. An early procedure was associated with a reduction in the duration of mechanical respiratory support as well as the length of stay in the ICU and hospital. Conclusion In this multicenter cohort study, we observed that, in patients with moderate to severe traumatic brain injury, tracheostomy is associated with decreased mortality when compared to prolonged endotracheal intubation. This effect does not appear to be modified by the timing of the procedure in the hospital setting. However, the generalization and application of these results remains limited by potential residual indication bias.

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