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La spirale dans l'oeuvre de Normand Chaurette de 1980 à 1986 /

Villemure, Geneviève. January 1997 (has links)
The semantic organization of Normand Chaurette's Reve d'une nuit d'hopital, Provincetown Playhouse ... and Fragments d'une lettre d'adieu ... plays is quite mysterious. It requires scrupulous deciphering in order to understand the author's sense of direction. This is accomplished by studying the movement of madness, that of writing itself. This movement is heliocoidal, spiral shaped; it is a collection of repeated themes nourished with redundancies, replications, insistence and depth. The spiral symbolizes the cyclonic tendency of the characters' torment, a tendency reaching to embrace the heart of this torment. But this insanity cannot be reasonably revealed. The mystery that sustains Chaurette's plays remains complete. / This study brings out the repetitive spiral structures present in each text in order to explain their presence and their dynamic. It is an attempt to spell out what the text's language remains unable to say: the essence of one soul's insanity. (Abstract shortened by UMI.)
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La spirale dans l'oeuvre de Normand Chaurette de 1980 à 1986 /

Villemure, Geneviève. January 1997 (has links)
No description available.
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Étude sur l'esthétique du plagiat dans trois oeuvres de Normand Chaurette ; suivie d'une récriture d'un texte dramatique à l'aide de cinq pièces de la dramaturgie québécoise : Le caractère unique du flocon

Beaudry, Marie-Hélène 02 1900 (has links) (PDF)
Condamnable sous son aspect juridique, le plagiat, lorsqu'il est abordé d'un point de vue littéraire et artistique, peut être considéré comme une esthétique. Le plagiat est un des procédés qu'embrasse la notion d'intertextualité ; il est commun, en cela, à la citation, la parodie, le pastiche, etc. L'intertextualité est la voie par laquelle sont analysés ces procédés par lesquels un texte entre en relation avec un ou plusieurs autres textes et les modalités à partir desquelles ceux-ci dialoguent entre eux. Le concept a contribué largement à remettre en question le mythe de l'auteur et du génie créateur, hérité du romantisme. Il a surtout servi à remettre le texte au cœur de l'analyse textuelle (littéraire, dramatique) en considérant celui-ci comme phénomène de production. L'intertextualité remet donc en cause l'idée que l'auteur soit un sujet unique dont le discours serait homogène. Dans l'esprit de l'intertextualité, il n'existe qu'un seul grand livre dont tout le monde s'inspire et que chacun pille allègrement. La mort de l'auteur, décrétée par Roland Barthes en 1968, renvoie à bien des égards à cette figure de l'écrivain plagiaire. L'essentiel consiste alors à voir le travail du texte dans ses nombreux commerces avec la littérature et, plus largement, avec le langage, ce qui exclut de fait tout positionnement moral face au plagiat. Ce mémoire entend examiner ces questions de deux manières. Dans un premier temps, en faisant l'étude de l'esthétique du plagiat dans l'œuvre de l'écrivain québécois Normand Chaurette. Trois œuvres dramatiques de cet auteur seront soumises à examen : Le Passage de l'Indiana (1996), Fragments d'une lettre d'adieu lus par des géologues (2000) et Provincetown Playhouse, juillet 1919, j'avais 19 ans (1981). Cette partie interroge, outre les procédés plagiaires proprement dits, la figure du créateur qui se trouve au centre de l'univers chaurettien. Dans un deuxième temps, en proposant à notre tour un texte fabriqué sur le modèle du centon, soit un collage de répliques empruntées à divers textes appartenant à la dramaturgie québécoise récente : Aphrodite en 04 (2006) d'Evelyne de la Chenelière, Lentement la beauté (2004) de Michel Nadeau et le Théâtre Niveau Parking, Les enfants d'Irène (2000) de Claude Poissant, Téléroman (1999) de Larry Tremblay et Pitié pour les vieilles chiennes sales (1999) de Marie-Ève Gagnon. Notre texte s'intitule Le caractère unique du flocon. À la fois œuvre originale et exercice de style inspiré des travaux de l'Oulipo, cette pièce se lit comme la décantation d'une expérience de lecture et ainsi comporte une dimension réflexive, qui n'emprunte pas la voie classique du commentaire, à propos d'un certain théâtre québécois contemporain. ______________________________________________________________________________
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Des masques et des marques, après la catastrophe : étude comparée des oeuvres de Normand Chaurette et de Daniel Danis

Véricel, Ludivine 06 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire est né du désir de comprendre le rôle du motif de la catastrophe inaugurale dans les rhapsodies de la mémoire du théâtre québécois des années 1980 à nos jours. Pour cela, nous avons choisi un corpus d'envergure, c'est-à-dire les œuvres complètes de deux auteurs qui marquent fortement le paysage théâtral contemporain : Daniel Danis et Normand Chaurette. Notre travail de recherche fait apparaître le caractère structurant du motif non seulement au sein des pièces considérées séparément, mais aussi dans l'ensemble des œuvres. En effet, celles-ci s'articulent autour d'une même problématique. Elles inscrivent leur cheminement dans sa remise en jeu, et le redéploiement autour de celle-ci d'un nombre limité de motifs. Notre démarche comparatiste nous permet de mettre en valeur les choix et les partis esthétiques des deux auteurs en montrant la complémentarité de démarches rarement rapprochées. Au sein des deux œuvres, la catastrophe inaugurale provoque les mouvements qui animent le texte. Le premier que nous identifions est « horizontal » : la catastrophe déclenche le mouvement des corps dans un espace donné. Nous l'abordons à l'aune du concept de « déterritorialisation » élaboré par Gilles Deuleuze et Félix Guattari dans L'Anti-Œdipe et Mille Plateaux. Ce mouvement est situé au sein d'un espace territorial caractérisé par une certaine organisation sociale, dont il va venir éprouver les rapports de pouvoir. Au sein du texte, ce mouvement est lui-même emporté par un autre : celui du retour. Les œuvres de notre corpus présentent en effet une dimension métapoétique, et réfléchissent sur leur propre genèse. Au centre de cette réflexion se trouve à nouveau l'événement catastrophique, qui, par son intensité, vient confronter le langage au silence de l'expérience sensible. C'est à l'aune du concept de « répétition », élaboré par G. Deleuze dans Différence et répétition, que nous interrogeons la dimension métapoétique de la forme rhapsodique, cherchant à comprendre comment le langage met en scène l'opération de sélection par laquelle il est parvenu à sa propre forme stylisée. Loin de résoudre les paradoxes qu'elle met en scène, la rhapsodie épouse les conflits qu'elle représente pour remettre sans cesse en jeu les interrogations qui la travaillent : comment transmet-on la mémoire catastrophique? Quels rôles l'écriture dramaturgique peut-elle tenir dans cette transmission? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : dramaturgie québécoise des années 80 à nos jours, mémoire, catastrophe, rhapsodie, conflit des codes, mouvement.
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Au théâtre on meurt pour rien : essai ; suivi de Le plancher sous la moquette : théâtre.

Théroux, Jean-Michel 08 1900 (has links)
L’essai Au théâtre on meurt pour rien. Raconter la mort sans coupable, entre Maeterlinck et Chaurette, compare divers usages dramatiques du récit de mort sous l’éclairage de la généalogie nietzschéenne de l’inscription mémorielle. Pour illustrer l’hypothèse d’une fonction classique du témoin de la mort − donner sens au trépas en le situant dans une quête scénique de justice −, l’essai fait appel à des personnages-types chez Eschyle, Shakespeare et Racine. En contraste, des œuvres du dramaturge moderne Maeterlinck (Intérieur) et du dramaturge contemporain Normand Chaurette (Fragments d’une lettre d’adieu lus par des géologues, Stabat Mater II) sont interprétées comme logeant toute leur durée scénique dans un temps de la mort qui dépasserait la recherche d’un coupable absolu ; une étude approfondie les distingue toutefois par la valeur accordée à l’insolite et à la banalité, ainsi qu’à la singularité des personnages. Le plancher sous la moquette est une pièce de théâtre en trois scènes et trois registres de langue, pour deux comédiennes. Trois couples de sœurs se succèdent dans le salon d’un appartement, jadis une agence de détective qui a marqué leur imaginaire d’enfant. Thématiquement, la pièce déplace le lien propre aux films noirs entre l’enquête et la ville, en y juxtaposant le brouillage temporel qu’implique l’apparition de fantômes. Chacune des trois scènes déréalise les deux autres en redistribuant les mêmes données selon une tonalité autre, mais étrangement similaire, afin d’amener le spectateur à douter du hors-scène : le passé, l’appartement, Montréal. Son réflexe cartésien de traquer la vérité doit le mener à découvrir que les scènes ne vont pas de l’ombre à la lumière, mais qu’elles montrent plutôt que dans l’une et l’autre, la mort n’échappe pas aux trivialités de la mémoire. / The essay Au théâtre on meurt pour rien. Raconter la mort sans coupable, entre Maeterlinck et Chaurette (On stage death is useless. Recounting of death without culprit, between Maeterlinck and Chaurette) compare different dramatic uses of death testimony under the perspective of Nietzsche’s genealogy of memory recording. To illustrate the assumption of a classic function given to the death witness – making sense out of death by locking it in a scenic quest for justice −, the essay summons typical characters in Eschyle, Shakespeare and Racine. Then, plays by the modern playwright Maeterlinck (Intérieur) and the contemporary playwright Normand Chaurette (Fragments d’une lettre d’adieu lus par des géologues, Stabat Mater II) are interpreted as inscribing their whole plot in a death term where no definite culprit is needed; on the other hand, further reading reveals different values given in both proposition to triviality and strangeness, as to the singularity of characters. Le plancher sous la moquette (The floor under the carpet) is a play in three acts and three levels of speech for two actresses. Three couples of sisters come back into the living room of an apartment, once a detective agency that remained printed in their child memories. Thematically, the play moves the classic bind in "film-noir" between investigation and the city, by introducing the time interferences associated with ghosts. Each one of the three acts cast a shadow over the two others by re-enacting the same elements on a different but strangely similar tone, thus bringing the audience to doubt the existence of what is not on stage: the past, the other rooms, Montreal. The logical longing the audience has for the truth will lead it to discover that the scenes don’t enlighten the dark, but reveal that death never escapes the coarseness of memory.
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Au théâtre on meurt pour rien : essai ; suivi de Le plancher sous la moquette : théâtre

Théroux, Jean-Michel 08 1900 (has links)
No description available.
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Les figures du fou dans la dramaturgie québécoise : portraits esthétiques

Boucher, Gabrielle January 2016 (has links)
La folie dans la dramaturgie québécoise est davantage une métaphore méta-théâtrale qu’une qualité liée à la maladie mentale. Certes, avec la naissance des sciences humaines, les dramaturges occidentaux ont progressivement fait disparaître les personnages iconographiques au profit de patients (Smadja, 2009). Il n’en demeure pas moins que les manifestations contemporaines de ce « type » de personnage ne cessent de se multiplier, particulièrement dans le corpus dramaturgique québécois. En explorant le traitement réservé aux « fous » de ce même corpus, on découvre une série de chantiers exploratoires voués autant à la remise en question de la structure linéaire ou réaliste qu’à la réflexion ontologique. Ces questionnements quant à l’identité du personnage permettent de les cerner en tant que « figures », la conséquence d’une reconceptualisation du personnage théâtral, tributaire, quant à elle, d’un nouvel ordre dramaturgique (Ryngaert, 2008). Qui plus est, ces figures rappellent explicitement – et parfois ironiquement –, par leur lucidité et leur regard philosophique porté sur l’existence humaine, le traitement dramaturgique que Shakespeare réserve à Macbeth, Hamlet et Lear. Cette thèse propose d’étudier trois personnages de la dramaturgie québécoise – soit Mycroft Mixeudeim (La charge de l’orignal épormyable de Claude Gauvreau), Charles Charles (Provincetown Playhouse, juillet 1919, j’avais 19 ans de Normand Chaurette) et Miriam (Ce que nous avons fait de Pascal Brullemans) –, dans le but de dresser un portrait, aussi sommaire soit-il, des multiples déclinaisons de la figure du fou dans le théâtre québécois depuis les années 60. Cette analyse permettra de nuancer le point de vue de Foucault selon lequel la notion de folie s’est normalisée jusqu’à perdre son caractère a priori imagé ou iconographique (Foucault, 1964). Pour ce faire, elle s’articulera autour de grilles esthétiques empruntées à des courants des arts visuels, soit respectivement le romantisme, l’expressionnisme et le déconstructivisme. En repérant les ressemblances et les dissemblances dans le traitement esthétique des trois figures, nous serons en mesure de prouver que la figure du fou dans le théâtre québécois se veut plutôt un creuset pour se questionner sur l’Art, le langage et le théâtre comme moyens de mieux cerner la réalité.

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