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Chiapas 1994-2001 : Analyse eines Konfliktes im Süden Mexikos /

Schmidt-Eule, Matthias, January 1900 (has links)
Diss.--Erlangen, 2002. / Bibliogr. p. 230-242.
2

Middle formative pyramidal platform complexes in Southern Chiapas, Mexico : structure and meaning /

McDonald, Andrew John. January 1999 (has links)
Dissertation--Austin--University of Texas, 1999. / Bibliogr. p. 254-278.
3

Resistencia y utopía /

García de León, Antonio. January 1985 (has links)
Th.--Hist.--Paris 1. / Bibliogr. en fin de volumes.
4

L'argent des migrations : moteur de développement des communautés rurales au Chiapas?

Tanguay, David. January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (M.Sc.Géogr. )--Université Laval, 2007. / Titre de l'écran-titre (visionné le 9 mai 2008). Bibliogr.
5

L'accès de l'armée zapatiste de libération nationale aux médias mexicains /

Guénette, Louise. January 1997 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. [162]-165. Publié aussi en version électronique.
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Santa Martha : Untersuchungen zur Ethnographie einer Tzotzilgemeinde in Mexiko /

Brockmann, Andreas. January 1992 (has links)
Diss.--Freiburg i. Breisgau--Universität, 1991. / Notes bibliogr. Bibliogr. p. 229-241.
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Théorisations féministes d'une citoyenneté plurielle : paradoxes et tensions de l'inclusion des femmes

Morales Hudon, Anahi January 2007 (has links) (PDF)
Penser la citoyenneté au-delà de ses formes restreintes et exclusives exige de reconfigurer celle-ci dans un horizon pluriel et inclusif. Les théories féministes égalitaristes et différentialistes ont rendu compte de l'étroitesse des conceptions classiques de la citoyenneté, tout comme de ses mécanismes d'exclusion. Ces théories se sont toutefois polarisées dans le débat égalité/différence qui a limité l'articulation des différences avec la visée égalitariste de la citoyenneté. Cherchant à dépasser le dilemme entre universalisme et particularismes qui polarise les théories féministes de la citoyenneté, nous analysons les propositions conceptuelles qui visent une citoyenneté inclusive tout en conservant l'horizon d'égalité comme idéal politique. En ce sens, la citoyenneté est entrevue comme paradoxale, car se situant continuellement dans les tensions entre identités de groupe et droits individuels. Une telle conception articule à la fois la reconnaissance des différences, comme condition même de l'égalité formelle, ainsi que l'élimination de diverses formes d'oppression systémiques, comme condition d'une égalité réelle. De plus, pour penser la question de l'inclusion réelle dans la citoyenneté, et donc le plein exercice de celle-ci, l'entrée du sujet dans le collectif est entrevue par le concept d'individuation. Cette reconfiguration théorique de la citoyenneté sera analysée à la lumière des formes émergentes d'action politique que mettent de l'avant les femmes autochtones au Chiapas, Mexique. Mobilisation qui rend compte des nouvelles articulations entre enjeux identitaires et droits individuels dans l'accès au plein exercice de la citoyenneté. Par ce dialogue théorie/pratique, nous tenterons d'asseoir les bases d'une réflexion politique cherchant à dépasser les impasses des débats actuels sur l'inclusion à la citoyenneté et son plein exercice. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Féminisme, Citoyenneté paradoxale, Citoyenneté plurielle, Exclusion/inclusion, Individuation, Différences, Identité, Droits des femmes, Femmes autochtones du Chiapas, Articulation genre/ethnicité/classe.
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Autonomie et développement territorial au Mexique zapatiste : la part des organisations sociales

Guimont-Marceau, Stéphane January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire se penche sur un mouvement social et sur sa relation au territoire. Le mouvement zapatiste a développé, depuis plus de 10 ans, une relation singulière au territoire, qui s'exprime particulièrement par l'autonomie defacto instaurée pour assurer sa gouverne. Il a bâti une structure de gestion à trois paliers (le local, le municipal et le régional) qui s'érige parallèlement à celle de l'État et se charge des affaires de la collectivité. Le niveau régional ayant été ajouté depuis peu, 2003, il nous intéressait de voir comment cette innovation se développe. Le mouvement zapatiste représente l'un des mouvements autochtones les plus importants de notre époque. Il s'inscrit clairement dans la «glocalisation» qui marque le monde actuellement et qui se traduit par la globalisation des flux financiers, l'érosion des pouvoirs de l'État et la «restructuration» de l'espace local et communautaire. Le mouvement zapatiste est altermondialiste et connu internationalement, mais aussi, et peut-être surtout, il constitue un mouvement local, à travers lequel des autochtones mexicains pauvres et marginalisés ont mis de l'avant des actions collectives qui tentent d'améliorer leur position au sein des rapports de pouvoir nationaux. Cette recherche a essayé de mettre au jour les stratégies et les moyens que ces exclus prennent pour s'organiser. En étudiant l'une des régions autonomes, celle de Los Altos de Chiapas et son chef-lieu, Oventic, nous nous sommes penchée sur l'organisation politique du mouvement zapatiste, sur les outils de gestion du territoire autonome qu'il élabore, ainsi que sur les organisations sociales de toutes sortes qui fleurissent sur ce territoire. Les zapatistes s'organisent, entre autres, à l'aide des collectifs (coopératives de production, de consommation, etc.) et des services de santé et d'éducation qui ont remplacé ceux de l'État. Ces organisations sociales innovent par de nouvelles pratiques socioterritoriales porteuses d'une nouvelle territorialité sociale. Ce sont ces pratiques qui territorialisent l'autonomie zapatiste et encouragent le dévéloppement du territoire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Autonomie, Développement territorial, Organisations sociales, Mouvements autochtones, Mouvement zapatiste.
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Autonomía y educación indígena : las escuelas zapatistas de las cañadas de la selva Lacandona de Chiapas, México / Autonomie et éducation indienne : les écoles zapatistes dans les vallées de la forêt Lacandone au Chiapas (Mexique) / Autonomy and Indigenous Education : The Zapatista Schools in Las Cañadas of The Lacandon Forest in Chiapas (Mexico)

Baronnet, Bruno 17 September 2009 (has links)
A partir des pratiques éducatives des paysans zapatistes du Chiapas, l’autonomie se conceptualise comme la construction collective d’un projet des peuples indiens dans un champ de domination et de résistance sociale. Au cœur de la dispute avec l’Etat nation, le contrôle des communautés sur les éducateurs qu’elles désignent et évaluent est mis en perspective avec d’autres contextes, discours et actions d’organisations politiques autochtones en Amérique latine. Avant 1994, des programmes indiens d’éducation, d’abord clandestins, comme dans le Quiché guatémaltèque et le Cauca colombien, constituent des antécédents à l’expérience zapatiste d’autonomie radicale. En tant que politiques endogènes, sui generis, et historiquement situés dans des territoires ou des refuges multiculturels, ils remettent en question la capacité et la légitimité de l’Etat nation dans la gestion administrative et pédagogique des écoles. Avec l’autorité de l’assemblée des familles et de nouvelles charges communautaires [notamment les « promoteurs d’éducation »], les relations de pouvoir et les positions d’intermédiation sociale se reconfigurent entre les acteurs de l’Etat et des territoires rebelles. La participation active des militants Tzeltal contribue à l’appropriation sociale de l’école, en étant un frein à la différenciation sociale et à l’assimilation culturelle. Elle est un moteur de la dignité et de la légitimité de gérer l’espace et le temps scolaire, mais aussi les méthodes et les contenus. Les changements liés à l’autonomie bousculent ainsi les continuités de l’organisation de l’école, du rôle politique et du travail des enseignants, et des choix pédagogiques pertinents du point de vue des Indiens zapatistes. / Based on the educational practices of the Zapatista peasants of Chiapas, autonomy is conceptualized as the collective construction of a project of Indian peoples in a field of domination and social resistance. At the center of the dispute with the nation state, control over educators by the communities who designate and evaluate them is put into perspective with other contexts, discourses and actions of indigenous political organizations in Latin America. Before 1994, Indian education programs, primarily clandestine, as in the Quiché [Guatemala] and Cauca [Colombia], were antecedents to the Zapatista experience of radical autonomy. As endogenous policies, sui generis, and historically located in multicultural territories or refuges, they call into question the capacity and legitimacy of the nation state in the administrative and pedagogical management of schools. With the authority of the assembly of families and of new communitarian roles! [including the “promoters of education”], the power relations and the social positions of intermediation are being reconfigured between State actors and rebel territories. The active participation of Tzeltal activists contributes to the social appropriation of the school, thus becoming a barrier against social differentiation and cultural assimilation. This participation is an engine for dignity and legitimacy in managing space and time at school, as well as methods and contents. Changes related to autonomy destabilize the status quo in terms of the organization of the school, the political role and work of teachers, and the educational choices relevant for Zapatistas indigenous people.
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Chiapas 1994 - 2001 : Analyse eines Konfliktes im Süden Mexikos /

Schmidt-Eule, Matthias, January 2002 (has links) (PDF)
Nürnberg, Univ., Diss.--Erlangen, 2002.

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