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??tude sur la sant?? et l'exp??rience de vie des femmes de Kitcisakik

Brisson, Mario January 2014 (has links)
Contexte : La violence subie par les femmes autochtones est reconnue comme un probl??me de sant?? publique majeur, mais les donn??es pour juger de son ampleur r??elle sont peu disponibles. Cette ??tude a pour but de documenter ce ph??nom??ne dans une communaut?? algonquine du Qu??bec. Objectifs : 1) Mesurer la pr??valence de la violence physique, sexuelle et psychologique provenant d'un partenaire intime dans une population de 116 femmes ??g??es de 15-49 ans, pour l'ann??e qui a pr??c??d?? l'??tude et pour la vie enti??re; 2) confirmer les associations entre la violence et certains facteurs de risque d??j?? identifi??s dans la litt??rature : abus sexuels pendant l'enfance, surpeuplement des logements, niveau de scolarit??, consommation d'alcool, pr??sence de violence familiale pendant l'enfance, violence physique ou sexuelle subie apr??s l'??ge de 15 ans; 3) v??rifier l'association entre la violence subie et la pr??sence de troubles psychologiques; 4) mais aussi avec l'auto??valuation de la sant?? des r??pondantes. M??thodologie : ??tude descriptive transversale ?? l'aide d'un questionnaire standardis?? et d'une m??thodologie d??velopp??e par l'OMS, administr?? par des intervieweuses d'origine autochtone sp??cialement form??es. L'association entre les variables est examin??e en utilisant des tests de Mantel-Haentzel. R??sultats et conclusion : 80,5 % (I.C. 95 % : 72,0-89,1 %) des femmes ayant eu un partenaire intime ont d??clar?? la pr??sence de violence physique ou sexuelle au moins une fois au cours de leur vie et 43,9 % (I.C. 95 % : 33,2-54,7 %) au cours de l'ann??e qui a pr??c??d?? la collecte de donn??es. Les facteurs de risque pour lesquels une association a ??t?? identifi??e avec la pr??sence de violence physique ou sexuelle sont pour la vie enti??re : l'agression de la m??re de la r??pondante par son propre partenaire intime (R.C. 2,9, I.C. 95 % 0,9-9,1, p=0,071), la violence physique provenant d'autres personnes > 15 ans (R.C. 4,1, I.C. 95 % 1,2-14,0, p=0,026) et la violence sexuelle > 15 ans subie d'autres personnes (R.C. 11,8, I.C. 95 % 1,5-94,3, p=0,020). Pour l'ann??e pr??c??dente, la consommation d'alcool par la r??pondante a ??t?? li??e ?? la pr??sence de la violence (R.C. 6,5, I.C. 95 % 1,2-24,3, p=0,006) et la violence sexuelle d'autres personnes > 15 ans (R.C. 3,6, I.C. 95 % 1,4-9,1, p=0,008). Il y a une association significative (p < 0,05), sauf pour la violence sexuelle (p=0,094), entre toutes les formes de violence subie pendant la derni??re ann??e et la pr??sence de d??tresse psychologique au cours des quatre semaines qui pr??c??dent le questionnaire. L'auto??valuation de la sant?? n'a pu ??tre associ??e ?? aucune des formes de violence mesur??e. Ces r??sultats seront utiles pour estimer la situation d'autres communaut??s aux caract??ristiques semblables et pour identifier des interventions pertinentes au milieu autochtone.
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Étude sur la santé et l'expérience de vie des femmes de Kitcisakik

Brisson, Mario January 2014 (has links)
Contexte : La violence subie par les femmes autochtones est reconnue comme un problème de santé publique majeur, mais les données pour juger de son ampleur réelle sont peu disponibles. Cette étude a pour but de documenter ce phénomène dans une communauté algonquine du Québec. Objectifs : 1) Mesurer la prévalence de la violence physique, sexuelle et psychologique provenant d'un partenaire intime dans une population de 116 femmes âgées de 15-49 ans, pour l'année qui a précédé l'étude et pour la vie entière; 2) confirmer les associations entre la violence et certains facteurs de risque déjà identifiés dans la littérature : abus sexuels pendant l'enfance, surpeuplement des logements, niveau de scolarité, consommation d'alcool, présence de violence familiale pendant l'enfance, violence physique ou sexuelle subie après l'âge de 15 ans; 3) vérifier l'association entre la violence subie et la présence de troubles psychologiques; 4) mais aussi avec l'autoévaluation de la santé des répondantes. Méthodologie : Étude descriptive transversale à l'aide d'un questionnaire standardisé et d'une méthodologie développée par l'OMS, administré par des intervieweuses d'origine autochtone spécialement formées. L'association entre les variables est examinée en utilisant des tests de Mantel-Haentzel. Résultats et conclusion : 80,5 % (I.C. 95 % : 72,0-89,1 %) des femmes ayant eu un partenaire intime ont déclaré la présence de violence physique ou sexuelle au moins une fois au cours de leur vie et 43,9 % (I.C. 95 % : 33,2-54,7 %) au cours de l'année qui a précédé la collecte de données. Les facteurs de risque pour lesquels une association a été identifiée avec la présence de violence physique ou sexuelle sont pour la vie entière : l'agression de la mère de la répondante par son propre partenaire intime (R.C. 2,9, I.C. 95 % 0,9-9,1, p=0,071), la violence physique provenant d'autres personnes > 15 ans (R.C. 4,1, I.C. 95 % 1,2-14,0, p=0,026) et la violence sexuelle > 15 ans subie d'autres personnes (R.C. 11,8, I.C. 95 % 1,5-94,3, p=0,020). Pour l'année précédente, la consommation d'alcool par la répondante a été liée à la présence de la violence (R.C. 6,5, I.C. 95 % 1,2-24,3, p=0,006) et la violence sexuelle d'autres personnes > 15 ans (R.C. 3,6, I.C. 95 % 1,4-9,1, p=0,008). Il y a une association significative (p < 0,05), sauf pour la violence sexuelle (p=0,094), entre toutes les formes de violence subie pendant la dernière année et la présence de détresse psychologique au cours des quatre semaines qui précèdent le questionnaire. L'autoévaluation de la santé n'a pu être associée à aucune des formes de violence mesurée. Ces résultats seront utiles pour estimer la situation d'autres communautés aux caractéristiques semblables et pour identifier des interventions pertinentes au milieu autochtone.
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Théorisations féministes d'une citoyenneté plurielle : paradoxes et tensions de l'inclusion des femmes

Morales Hudon, Anahi January 2007 (has links) (PDF)
Penser la citoyenneté au-delà de ses formes restreintes et exclusives exige de reconfigurer celle-ci dans un horizon pluriel et inclusif. Les théories féministes égalitaristes et différentialistes ont rendu compte de l'étroitesse des conceptions classiques de la citoyenneté, tout comme de ses mécanismes d'exclusion. Ces théories se sont toutefois polarisées dans le débat égalité/différence qui a limité l'articulation des différences avec la visée égalitariste de la citoyenneté. Cherchant à dépasser le dilemme entre universalisme et particularismes qui polarise les théories féministes de la citoyenneté, nous analysons les propositions conceptuelles qui visent une citoyenneté inclusive tout en conservant l'horizon d'égalité comme idéal politique. En ce sens, la citoyenneté est entrevue comme paradoxale, car se situant continuellement dans les tensions entre identités de groupe et droits individuels. Une telle conception articule à la fois la reconnaissance des différences, comme condition même de l'égalité formelle, ainsi que l'élimination de diverses formes d'oppression systémiques, comme condition d'une égalité réelle. De plus, pour penser la question de l'inclusion réelle dans la citoyenneté, et donc le plein exercice de celle-ci, l'entrée du sujet dans le collectif est entrevue par le concept d'individuation. Cette reconfiguration théorique de la citoyenneté sera analysée à la lumière des formes émergentes d'action politique que mettent de l'avant les femmes autochtones au Chiapas, Mexique. Mobilisation qui rend compte des nouvelles articulations entre enjeux identitaires et droits individuels dans l'accès au plein exercice de la citoyenneté. Par ce dialogue théorie/pratique, nous tenterons d'asseoir les bases d'une réflexion politique cherchant à dépasser les impasses des débats actuels sur l'inclusion à la citoyenneté et son plein exercice. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Féminisme, Citoyenneté paradoxale, Citoyenneté plurielle, Exclusion/inclusion, Individuation, Différences, Identité, Droits des femmes, Femmes autochtones du Chiapas, Articulation genre/ethnicité/classe.
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Entre-deux mondes : métissage, identité et histoire sur les traces de Sonia Robertson, Sylvie Paré et Rebecca Belmore, ou, Les parcours artistiques de trois femmes artistes autochtones, entre la mémoire et l'audace

Charce, Chloë January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire est globalement axé sur la légitimité de la notion d'identité dans les contextes postcolonial et postmoderne. Plus précisément, il porte sur le concept de métissage dans l'art actuel à l'heure de la mondialisation culturelle, lieu propice à un renouvellement de l'identité et de l'imaginaire pour les communautés des Premières Nations d'Amérique du Nord. Il est divisé en deux parties. Les deux premiers chapitres énoncent une perspective socio-ethnohistorique autour des notions d'identité et de métissage, alors que le troisième chapitre expose un point de vue analytique à partir d'un corpus d'oeuvres de trois femmes artistes autochtones du Québec et de l'Ontario s'exécutant sur la scène artistique contemporaine, soit Sonia Robertson, Sylvie Paré et Rebecca Belmore. Plus spécifiquement, le premier chapitre fait état des connaissances et des discours sur les définitions même d'identité et de métissage dans les contextes colonial / postcolonial et moderne / postmoderne. Par extension, je pose cette question concernant l'hybridité culturelle: s'agit-il d'un principe d'homogénéisation et d'essentialisation des cultures ou d'un facteur garant d'hétérogénéité, favorable au mélange et aux échanges interculturels ? Le deuxième chapitre, quant à lui, énonce les contextes de dépossession territoriale et d'exiguïté culturelle dans lesquels ont été contraints les peuples des Premières Nations depuis l'époque coloniale. Il fait aussi mention des métissages artistiques (post)postmodernes, qui contribuent à un renouveau de l'imaginaire amérindien. Dans un esprit à la fois de contestation face à l'image folklorisée de l'« Indien » et de transmission des valeurs traditionnelles, les artistes autochtones font place à la réappropriation culturelle. Enfin, le troisième chapitre souligne les parcours identitaires de Sonia Robertson (Ilnue), Sylvie Paré (métisse huronne-wendat) et Rebecca Belmore (Anishinabekwe). À titre de comparaison, j'analyse un corpus d'installations et de performances sous le thème de la mémoire et de l'identité en lien avec les concepts élaborés dans les chapitres précédents. Le choix d'examiner le travail de trois femmes artistes provenant de communautés différentes permet de rendre compte de réflexions personnelles de la part de femmes autochtones face à la culture dominante et par rapport à leur culture d'origine. Ce choix vise par ailleurs à circonscrire, au sein même de leur production, l'importance de la tradition en fonction de leur affirmation identitaire. Je souhaite ainsi étudier comment ces propositions se positionnent dans un contexte de déterritorialisation culturelle en fonction d'une réalité post(néo)colonialiste, corrélative d'un entre-deux mondes. Pour conclure, je reviens sur les questions d'identité, de mémoire et de territoire en soulignant l'importance idéologique du combat identitaire des communautés autochtones, qui vise la mise en échec des préjugés et des constructions mythiques persistantes entre le « Blanc » et l' « Indien ». Je mesure en ce sens l'impact que pourrait avoir la pensée universelle amérindienne sur nos sociétés hypermodernes en crise et en quête de valeurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Identité, Métissage, Mémoire, Premières Nations, Néocolonialisme.
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Préoccupations de genre, revendications autochtones et droits humains : les femmes autochtones à la confluence du dilemme identitaire?

Riverin, Josée-Anne 06 1900 (has links) (PDF)
Le droit international des droits de la personne, en n'arrivant souvent à appréhender la discrimination que selon un seul axe exclusif, échoue à rendre visible les aspects complexes et intersectionnels de la discrimination. Cette vision sclérosée de l'identité et de l'expérience discriminatoire semble généralement contraindre ipso facto les femmes à choisir entre leur identité ethnique ou leur genre (ou tout autre aspect de leur identité) lorsqu'elles souhaitent revendiquer leur droit à la non-discrimination. En raison de leur situation de femmes et d'autochtones, les femmes autochtones se retrouvent parfois à la croisée des chemins : mettre de l'avant les situations de discrimination qui les affectent comme femme ou œuvrer à la survie culturelle de leur peuple dans un contexte de revendication collective. Devant ce dilemme, comment les femmes autochtones engagées au sein du mouvement autochtone parviennent-elles à concilier ces différents aspects identitaires dans leurs revendications? S'intéresser à l'engagement de ces femmes au sein du mouvement autochtone en Asie offre l'occasion de développer une meilleure compréhension des différents choix identitaires qu'elles sont amenées à faire et des diverses raisons pouvant motiver ces choix. Leurs perspectives et leurs pratiques peuvent également informer sur les différentes avenues permettant une meilleure harmonisation entre droit des femmes et droits collectifs et donc, dans une certaine mesure, de rallier les positions entre les défenseurs d'un universalisme radical et leurs détracteurs. Cette recherche qualitative interdisciplinaire, alliant à la fois les disciplines de la science sociale et du droit, se veut résolument exploratoire et démontre l'importance et la pertinence d'approfondir les recherches en Asie, région où les questions relatives aux problématiques autochtones - tout particulièrement celles relatives aux femmes autochtones - demeurent largement peu étudiées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Discrimination, femmes autochtones, identité, intersectionnalité, peuples autochtones.
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Le rôle de l'État bolivien face à l'impact de la justice communautaire sur les femmes campesinas

Trudel Bellefeuille, Janie 09 1900 (has links) (PDF)
La Bolivie a élu, en 2005, le premier président autochtone de la région, Evo Morales du parti du Movimiento al Socialismo. Depuis son élection, le MAS s'affaire à réformer les institutions étatiques qu'il qualifie de colonialistes, racistes et néolibérales, ayant contribué à l'exclusion de la majorité autochtone du pays. En 2009, la population bolivienne approuve, par référendum, la Nouvelle Constitution Politique de l'État qui se veut refondatrice de la société bolivienne. La Nouvelle Constitution accorde plusieurs droits aux autochtones, dont le droit à l'autodétermination. Elle octroie aux communautés autochtones, originaires et rurales une autonomie gouvernementale et territoriale incluant le droit à leurs propres systèmes politique, économique et juridique, confirmant l'égale dignité entre les systèmes autochtone et étatique. La Nouvelle Constitution garantit aussi les droits fondamentaux des individus. Les groupes de femmes se sont mobilisés afin de s'assurer que le texte constitutionnel est une transversale de genre qui inclut le droit à l'égalité et à la non-discrimination dans l'exercice des droits, ainsi que plusieurs droits individuels spécifiques pour les femmes. Ce mémoire prend l'exemple de la justice communautaire, afin de démontrer que les droits des femmes autochtones et rurales ne sont pas respectés dans les juridictions autochtones. En effet, elles ne peuvent exercer pleinement leur droit à la participation politique, à la propriété sur la terre et elles vivent de la violence familiale et conjugale. Les normes et pratiques des communautés autochtones et rurales sont discriminatoires envers les femmes et les maintiennent dans une position d'infériorité. Nous étudions donc le dilemme entre le respect des droits individuels des femmes autochtones et rurales et le respect du droit des communautés à l'autodétermination. L'État bolivien a contracté des obligations internationales envers le respect des droits fondamentaux. Toutefois, se qualifiant d'État autochtone, il lui est difficile d'intervenir dans les communautés afin de s'assurer du respect des droits humains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Bolivie, pluralisme juridique, justice communautaire, droit des femmes autochtones

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