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Intégration d'un chien d'assistance dans la famille d'un enfant présentant un TED : la contribution de la théorie de l'attachement parent-enfant

Fecteau, Stéphanie January 2008 (has links)
Ce projet de recherche, réalisé en collaboration avec la Fondation Mira, vise notamment à évaluer l'impact de la relation d'attachement mère-enfant sur l'établissement du lien d'attachement entre l'enfant autiste et un chien d'assistance récemment intégré dans la famille. Plus spécifiquement, l'étude cible la qualité de la relation d'attachement chez 27 enfants âgés entre 5 et 12 ans présentant un trouble envahissant du développement (autisme, trouble envahissant du développement non spécifié et Asperger). De plus, la sévérité des comportements autistes est abordée, de même que l'effet modérateur du stress parental sur la relation de l'attachement. Les modalités d'évaluation retenues sont diversifiées (entrevues, observations et questionnaires) et rendent compte de l'orientation conceptuelle du projet qui considère que l'étude de l'impact du chien sur l'enfant autiste doit de se référer à une approche écosystémique de la famille. D'ailleurs, peu de travaux de recherche ont abordé l'étude du fonctionnement quotidien de l'enfant autiste en contexte familial. Les résultats de la recherche démontrent en premier lieu que les enfants qui ont une évaluation élevée à l'indice de sévérité du trouble autistique se révèlent les plus jeunes de l'échantillon. Il s'avère également que les enfants qui ont le moins d'interaction avec l'adulte et la mère sont ceux où l'on a observé le plus de contacts avec celle-ci lors d'évaluation de l'attachement. Pour ce qui est de la contribution du stress familial, on relève une relation significative entre le degré de sévérité de l'autisme et le stress associé au rôle parental. Quant à l'attachement de l'enfant à la mère, une seule échelle corrèle significativement avec le stress, soit celle qui s'associe au contact de l'enfant avec la mère, et ce, chez les enfants plus âgés. Enfin, on relève que les comportements d'attachement de l'enfant et du chien ne corrèlent pas avec le construit d'attachement mère-enfant évalué un mois avant l'intégration de l'animal au domicile familial, mais plutôt avec le stress associé au rôle parental. Dans l'ensemble, le projet fournit une information contribuant à mieux nuancer le fonctionnement de l'enfant autiste dans son milieu familial.
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Évaluation de l'utilisation d'un chien d'assistance par des usagers de fauteuil roulant manuel exploration des impacts sur la participation sociale et la mobilité

Hubert, Geoffroy January 2010 (has links)
Au Québec, environ 595 690 personnes vivent avec une incapacité liée à la mobilité qui limite leurs déplacements. La capacité de se déplacer est une habilité élémentaire et nécessaire pour atteindre un certain niveau de qualité de vie. L'utilisation de fauteuils roulants à propulsion manuelle est physiquement exigeant, relativement inefficace, et peut entraîner de la douleur et une dégénérescence précoce aux membres supérieurs. La fréquence et l'intensité de la douleur est reliée à la durée d'utilisation d'un fauteuil roulant. La prévalence de ce problème se situe entre 32 et 100 % des usagers et après 20 ans d'utilisation, 100 % des usagers rapportent des douleurs aux épaules. Les chiens d'assistance peuvent venir en aide à ces personnes. Ils sont entraînés pour réaliser une variété de tâches comme ouvrir les portes, apporter le téléphone, ramasser des objets au sol et finalement tirer le fauteuil roulant. Utiliser le chien pour tirer le fauteuil roulant permet aux usagers d'utiliser leur fauteuil roulant avec moins d'effort et de travail. Ainsi, le chien d'assistance, agissant comme un facilitateur environnemental en complémentarité au fauteuil roulant, pourrait à la fois prévenir une utilisation excessive des membres supérieurs et faciliter la réalisation de certaines habitudes de vie, en aidant à franchir des obstacles de l'environnement physique. L'objectif de ce mémoire est de documenter de façon prospective la contribution d'un chien d'assistance sur la mobilité des usagers de fauteuil roulant manuel. Des mesures ont été prises dans le domaine de la mobilité par l'utilisation du Wheelchair Skills Test et d'une adaptation du test de marche de 12 minutes . Les douleurs aux épaules ont été mesurées avec le Wheelchair Users Shoulder Pain Index . La perception de la qualité de vie et la participation sociale ont, respectivement, été étudiées à l'aide de l'indice de perception de la qualité de vie et de la Mesure des habitudes de vie . Onze participants, quadriplégiques de niveau inférieur et paraplégiques utilisant exclusivement un fauteuil roulant manuel ont été évalués à trois reprises. La première évaluation était faite avant l'attribution du chien (Tl), la seconde l'était à la fin de la période de 19 jours d'entraînement de l'usager avec son chien (T2) et finalement, la dernière, après sept mois passés avec le chien (T3). Les résultats indiquent une augmentation significative des habiletés en fauteuil roulant, de la participation sociale et de la perception de la qualité de vie. La distance couverte en un temps donné est grandement améliorée et les efforts pour y parvenir son significativement moindres. Les douleurs aux épaules sont aussi diminuées de façon significative. Ce projet s'inscrit dans une démarche entreprise par le Ministère de la Santé et des Services Sociaux (MSSS) dans son énoncé d'orientation ministérielle en déficience physique pour 2004 -- 2009. Il y souligne qu'"Il est important de satisfaire des besoins qui ne sont pas satisfaits (ex. : fournir des chiens d'assistance") . Cette étude exploratoire a permis de recueillir des données de base qui serviront à l'élaboration de projets de plus grande envergure qui permettront de satisfaire la demande de l'Agence d'Évaluation des Technologies et des Modes d'Intervention en Santé (AETMIS) visant à évaluer l'utilisation du chien d'assistance.
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Régulation physiologique et perception de stress chez des parents d'enfants diagnostiqués d'un trouble du spectre de l'autisme : la contribution de la présence d'un chien d'assistance et des représentations associées à l'attachement

Fecteau, Stéphanie January 2012 (has links)
Les troubles du spectre de l'autisme (TSAR se caractérisent par des altérations au niveau de la réciprocité des interactions sociales, des habiletés de communication verbale et non verbale, ainsi que la présence de comportements et champs d'intérêts stéréotypés. Compte tenu des conclusions décrivant leurs parents comme vivant plus de stress comparativement aux parents d'enfants non diagnostiqués sur le spectre de l'autisme, il devient nécessaire d'offrir un soutien susceptible d'alléger leur quotidien et celui de leur enfant. Le recueil de données sur l'application d'une intervention novatrice qu'est l'intégration permanente d'un chien d'assistance au sein du milieu familial offrirait une contribution considérable basée sur les conclusions des études précédentes. Le modèle conceptuel de la présente étude réfère aux transactions entre la régulation diurne du cortisol, la perception de stress parental, la sévérité des atteintes comportementales de l'enfant ainsi que les représentations d'attachement de la mère. L'approche analytique s'oriente ainsi sur le caractère multidimensionnel des variables et s'intéresse particulièrement aux différences intra-individuelles dans l'adaptation parentale illustrée par l'activité totale de cortisol sur une période de 15 semaines. L'ensemble des données soulève la présence d'une sous-activation de l'axe 1-IPA ainsi qu'une perception de niveaux élevés de stress parental. Suivant une approche centrée sur la personne, les analyses ont permis de dégager deux profils distincts de régulation basés sur l'activité totale de cortisol salivaire. La présence du chien d'assistance au sein de la famille apporte des changements notables décrits par une diminution de la réponse du cortisol au réveil spécifique au sous-groupe de mères ayant un profil de sécrétion supérieur. L'étude apporte une démonstration empirique d'une hétérogénéité des patrons de régulation hormonale issus d'un même échantillon caractérisé par le vécu d'un stress chronique. L'efficacité d'une nouvelle forme d'intervention pouvant soulager les difficultés rencontrées par les parents est discutée selon un point de vue transdisciplinaire.
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Impact d'un chien d'assistance sur les pratiques de parents ayant un enfant présentant un TSA

Gagné, Patricia January 2015 (has links)
La présente étude avait comme principal objectif d’évaluer l’impact de la venue d’un chien d'assistance sur les pratiques parentales de parents ayant des enfants présentant un trouble du spectre de l’autisme TSA dans le cadre d’un devis prétest-posttest. À cet égard, 75 familles (40 provenant du groupe expérimental et 35 du groupe témoin) ont participé à l’étude au premier temps de mesure. Suite à une visite au domicile familial, une observatrice a complété le questionnaire Coder Impression Inventory (CII) (McMahon et Lengua 1996) qui permet d’évaluer plusieurs caractéristiques des pratiques parentales regroupées sur sept échelles. La sévérité des symptômes de l’enfant TSA a été également contrôlée à l’aide du Childhood Autism Rating Scale (CARS : Schopler et al., 1980). Ces questionnaires ont été remplis à deux reprises, soit 3 semaines avant l’arrivée du chien d’assistance (T1) ainsi que six mois suivant l’introduction de celui-ci (T2). Les résultats montrent que les parents n’ayant pas accueilli un chien d’assistance pour leur enfant utilisent davantage des pratiques permissives que ceux qui en ont accueilli un. Également, les familles ayant accueilli un chien d’assistance vivent dans un moins bon environnement physique à l’enfant comparativement à ceux de familles n’en n’ayant pas encore reçu un.

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