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Soutenir ses collègues : Oui, mais comment ? Exploration du soutien positif et négatif offert par les collègues aux travailleurs en protection de la jeunesse exposés à un événement traumatique au travail

Lebrun, Gabrielle 09 1900 (has links)
Les travailleurs qui œuvrent en protection de la jeunesse sont régulièrement exposés à des événements traumatiques (ÉT) au travail. De ces événements découlent de nombreuses conséquences individuelles (hypervigilance, dépression, trouble de stress post-traumatique, etc.) et organisationnelles (absentéisme, arrêts de travail, démissions, etc.), celles-ci pouvant perdurer dans le temps, voire s’amplifier, sans intervention adéquate. Les meilleures pratiques à favoriser dans la phase aiguë (0-30 jours) suivant un ÉT demeurent nébuleuses et ne nous permettent actuellement pas d’offrir un soutien optimal aux travailleurs qui expérimentent des réactions post-traumatiques plus ou moins sévères dans les jours/semaines suivant l’ÉT. Or, le soutien social est reconnu pour être un facteur déterminant dans le rétablissement des individus exposés à un ÉT, le soutien des collègues étant particulièrement important en contexte de travail. Toutefois, nous ignorons comment le soutien des collègues se manifeste après un ÉT et comment celui-ci est perçu par les travailleurs victimes. Objectif. Explorer les différentes actions de soutien posées par les collègues en protection de la jeunesse et les distinguer selon qu’elles étaient perçues comme du soutien positif ou négatif par les travailleurs victimes d’ÉT. Méthode. Une méthode qualitative de type exploratoire a permis de procéder à une analyse thématique (inter-cas) et à des études de cas typiques (intra-cas). Des entrevues semi-structurées de 30 travailleurs victimes d’ÉT au cours des 30 derniers jours ont été analysées. Résultats. Les actions de soutien rapportées par les participants pouvaient être assimilées aux catégories de House (1981) - soutien émotionnel, instrumental, informationnel et d’évaluation. Le type de soutien le plus fréquemment rapporté était le soutien émotionnel et la majorité des participants ont rapporté avoir reçu du soutien positif de la part de leurs collègues. Les différentes actions positives et négatives sont détaillées. Conclusion. Le soutien positif concorde avec les principes essentiels d’intervention post-traumatique tandis que le soutien négatif renvoie principalement à un manque de ressources organisationnelles et à une culture de normalisation de la violence. / Child protection workers are regularly exposed to traumatic events at work. From these events arise numerous individual consequences (hypervigilance, depression, post-traumatic stress disorder, etc.) and organizational consequences (absenteeism, sick leave, turnover, etc.), which can last over time or even amplify without adequate intervention. The best practices to promote in the acute phase (0-30 days) following a traumatic event remain unclear and do not currently allow us to offer optimal support to workers who experience more or less severe post-traumatic reactions in the days/weeks following a trauma. Social support is recognized to be a determining factor in the recovery of individuals exposed to traumatic events, support from colleagues being particularly important for events occurring in the workplace. However, we do not know how the support of colleagues manifests itself after a traumatic event neither how it is perceived by exposed employees. Objective. Explore the support offered by colleagues after trauma and distinguish support actions according to whether they were perceived as positive or negative by employees. Method. An exploratory qualitative method was used to conduct a thematic analysis (inter-case) and typical case studies (intra-case). Semi-structured interviews of 30 employees exposed to a traumatic event in the past 0-30 days were analyzed. Results. Support actions reported by participants could fit the typology of House (1981), namely emotional, instrumental, informational and evaluation support. The most frequently reported type of support was emotional support, and the majority of participants reported receiving positive support from colleagues. Positive and negative actions are detailed. Conclusion. Positive support offered by colleagues is consistent with the essential principles of early post-traumatic intervention, while negative support refers mainly to a lack of organizational resources and a culture where violence is trivialized. The study suggests that organizations should invest in an approach based on emotional support rather than trivialization.
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Les conflits sévères de séparation : les ajustements à la pratique habituelle des intervenants en protection de la jeunesse

Morin, Myriam 05 1900 (has links)
No description available.
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Qualité de vie professionnelle et bien-être au travail en protection de la jeunesse : l’influence des rôles de genre sur la violence au travail et ses conséquences

Dufour, Renaud 07 1900 (has links)
L'exposition à la violence au travail peut avoir des conséquences professionnelles négatives pour les travailleurs en protection de la jeunesse. Bien que des études antérieures aient identifié des facteurs de protection et de risque en lien avec cet enjeu, les différences individuelles liées aux rôles de genre restent encore à être explorées. Allant au-delà du sexe, ce mémoire vise à examiner comment les rôles de genre influencent l'exposition à la violence au travail, la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail chez les travailleurs en protection de la jeunesse. Un échantillon randomisé stratifié par sexe de 301 travailleurs en protection de la jeunesse canadiens (hommes: 15,6%, femmes: 84,4%) a été recruté afin que les participants remplissent des questionnaires validés portant sur l’exposition à la violence au travail, les rôles de genre, la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail. Les différences de moyennes pour l’exposition à la violence au travail, la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail selon le rôle de genre ont ensuite été évalué à l’aide d’ANCOVA en contrôlant pour l'expérience clinique et le type de travail. L'effet modérateur des rôles de genre sur les autres variables a été évalué par le biais de régressions linéaires multiples hiérarchiques. L'androgynie (masculinité élevée et féminité élevée) était associée à des scores plus élevés sur les indicateurs positifs de la qualité de vie professionnelle et du bien-être au travail. Cependant, les rôles de genre n'ont montré aucun effet modérateur significatif sur la relation entre l'exposition à la violence et les indicateurs de bien-être psychologique au travail. Les résultats montrent comment les analyses comparatives entre les genres peuvent fournir davantage d’information sur les mécanismes entourant la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail. Ils suggèrent également que l'androgynie pourrait être liée à des avantages psychosociaux potentiels pour les travailleurs en protection de la jeunesse. / Exposure to workplace violence puts child protection workers at risk for adverse occupational outcomes. While previous studies have identified protective and risk factors, individual differences in gender roles have yet to be explored. Moving beyond sex, the present thesis aims to examine the ways in which gender roles influence exposure to workplace violence, professional quality of life and wellbeing at work among child protection workers. A randomised sample stratified by sex of 301 Canadian child protection workers (Male: 15.6%, Female: 84.4%) completed validated questionnaires of exposure to workplace violence, gender roles, professional quality of life, and wellbeing at work. Mean differences in workplace violence, professional quality of life, and wellbeing at work according to gender role were then assessed using ANCOVAs controlling for clinical experience and type of work. The moderating effect of gender roles on other variables was assessed through hierarchical multiple linear regressions. Androgyny (high masculinity and high femininity) was associated with higher scores on positive indicators of professional quality of life and wellbeing at work. However, gender roles showed no significant moderating effect on the relationship between exposure to violence and indicators of psychological wellbeing at work. Results show how gender-based analyses can provide additional insights into the dynamics surrounding professional quality of life and wellbeing at work. They also suggest that androgyny could be related to potential psychosocial benefits for child protection workers.
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Aggression and accountability : how caregivers and law enforcers cope

Geoffrion, Steve 02 1900 (has links)
Objectif. L’objectif est de comprendre comment les intervenants en relation d’aide et les agents des forces de l’ordre composent avec la violence au travail et le stress lié à l’imputabilité. Un cadre théorique basé sur l’identité professionnelle est proposé afin de comprendre la modulation de la santé psychologique au travail et testé via le Professional Quality of Life des intervenants en protection de la jeunesse. Les facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail et des impacts psychologiques de cette banalisation sont également étudiés. Méthodologie. Un sondage mené auprès d’un échantillon représentatif constitué de 301 intervenants en protection de la jeunesse a permis d’examiner le Professional Quality of Life. Les effets de l’exposition à la violence en milieu de travail, à l’exposition au matériel traumatique et du stress lié à l’imputabilité sur la fatigue de compassion ont été analysés à l’aide d’équation structurelle. Les effets indirects attribuables au genre, au soutien organisationnel perçu, à l’adhésion à l’identité professionnelle, aux stratégies d’adaptation et à la confiance en ses moyens pour gérer un client agressif ont été mesurés. Pour l’examen des facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les résultats d’un sondage mené auprès de 1141 intervenants en relation d’aide et des forces de l’ordre ont été analysés à l’aide de régression linéaire. L’analyse des réponses des 376 intervenants de cet échantillon ayant rapporté avoir été perturbé par un acte de violence au travail a permis de mesurer l’impact de la banalisation sur les conséquences psychologiques suite à une victimisation au travail. Les effets indirects attribuables à la banalisation de la violence ont été mesurés. Des analyses différenciées en fonction du sexe ont également été menées. Résultats. L’exposition à la violence, le sentiment d’imputabilité et l’évitement amplifiaient la fatigue de compassion chez les intervenants en protection de la jeunesse sondés. Les attitudes masculines, l’adhésion à l’identité professionnelle, la confiance en ses moyens pour gérer les clients agressifs l’atténuaient. Quant aux facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les participants masculins étaient plus enclins que les femmes à la normaliser. Les agents des forces de l’ordre percevaient davantage la violence comme tabou que les intervenants en relation d’aide. Les facteurs organisationnels avaient tous un effet négatif sur le tabou entourant la violence au travail. Finalement, l’âge, les victimisations antérieures, les blessures graves et percevoir la violence au travail comme un tabou augmentaient le nombre de conséquences psychologiques suite à une victimisation. Les analyses différenciées en fonction du sexe ont identifié des facteurs de prédiction spécifiques aux hommes et aux femmes. Implications. Lors de déploiement de stratégies organisationnelles afin d’aider les employés à gérer avec les stress liés au travail, les organisations doivent considérer l’identité professionnelle de leur travailleur ainsi que des différences en fonction du sexe et du genre. / Objective. The goal of this thesis is to understand how caregivers and law enforcers cope with workplace aggression and accountability. Relying on identity theory, a theoretical framework is put forth to understand mental health at work and examined through an adapted version of the Professional Quality of Life for child protection workers. Individual and organizational predictors of trivialization of workplace aggression are also investigated. The impact of trivializing workplace aggression on psychological wellbeing is assessed. Method. To examine the Professional Quality of Life, a survey conducted among a representative sample of 301 Canadian child protection workers was utilized. The effects of exposure to workplace aggression, exposure to traumatic material and stress emanating from accountability on compassion satisfaction and fatigue were evaluated in a path analysis model. The indirect effects through gender roles, perceived organizational support, adherence to professional identity, coping ability and confidence in coping with patient aggression were also tested. To identify predictors of workplace aggression, responses to a survey research conducted among a convenience sample 1141 Canadian caregivers and law enforcers were computed in linear regression modeling. Using the same dataset but only selecting victims of workplace aggression resulting in a sub-sample of 376 Canadian caregivers and law enforcers, individual and organizational factors were used in path analysis modeling in order to predict psychological consequences. Normalizing and tabooing were introduced as intervening variables. For the objectives regarding trivialization of workplace aggression, between group differences analyses were also conducted for women and men. Findings. Exposure to workplace aggression, felt accountability and avoidant coping strategies increased compassion fatigue among child protection workers while masculine attitudes, adherence to professional identity and confidence in coping with client aggression decreased it. As for predictors of trivialization of workplace aggression, male respondents were more likely than women to think that workplace aggression was normal. Law enforcers were more likely than caregivers to taboo workplace aggression. Organizational factors were all significant negative predictors of tabooing violence. Finally, being older, prior direct victimization, injury requiring hospitalization and tabooing workplace aggression were positively associated with negative psychological consequences following workplace aggression victimization. Gender-based analyses revealed specific predictors for males (e.g. normalizing). Implications. When developing and disseminating policies to help workers to cope with specific work-related stress, organizations must consider the “professional identity” promoted by the job as well as the gender of the workers. Adapted to these identities, they should sensitize workers on the impact of aggression and accountability in order to break the taboo while fostering strategies that dampen the impact of these stressors.

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