Spelling suggestions: "subject:"citoyens"" "subject:"mitoyens""
101 |
Le discours politique et ses sources doctrinales dans les chroniques florentines du XIVe siècle / The political discourse and its doctrinal sources in Fourteenth century Florentine chroniclesValligny, Anne-Claire 23 March 2013 (has links)
Cette étude porte sur un corpus de chroniques du XIVe siècle qui comprend les trois principaux textes historiographiques florentins en langue vulgaire de cette période – Cronica delle cose occorrenti ne’ tempi suoi de Dino Compagni, Nuova Cronica de Giovanni Villani et Cronaca fiorentina de Marchionne di Coppo Stefani – et se fixe pour objet l’analyse des principaux concepts employés pour décrire le fonctionnement de la cité et ses enjeux, ainsi que l’identification des sources présentes dans les chroniques. L’analyse prend en compte à la fois l’écriture du fait politique et la valeur de celui-ci dans l’élaboration du discours de la cité.Pour mettre en évidence ce qui transparaît des principaux rouages politiques de la cité, les textes du corpus sont abordés selon les trois axes suivants : les rapports entre cité et citoyens dans le contexte de l’affirmation de la souveraineté du Comune et en regard des notions d’unité et de division ; la question de la liberté à Florence, ses principes fondamentaux, ses formes et ses représentations, par opposition à la tyrannie ; les liens entre cité céleste et cité des hommes à partir de l’analyse de la réception des signes célestes et des notions de providence, fortune et libre arbitre. L’approche retenue s’arrête sur les enjeux et les représentations propres à chacun de ces axes.De cette analyse conceptuelle il ressort que les trois sources principales du discours de la cité sont les auteurs de l’Antiquité gréco-romaine, la théologie chrétienne et le droit. On trouve également des sources contemporaines des chroniqueurs : textes officiels et documents produits par la cité, auteurs de référence pour la période comme Dante Alighieri. / This study focuses on a corpus of chronicles of the Fourteenth century consisting in three main historiographical Florentine texts written in vernacular in this period, namely Cronica delle cose occorrenti ne’ tempi suoi by Dino Compagni, Nuova Cronica by Giovanni Villani and Cronaca fiorentina by Marchionne di Coppo Stefani. It aims at analyzing the principal concepts describing the running of the city and its stakes, as well as identifying the sources present in these chronicles. The analysis takes in account both the operation of writing the political experience and its value in elaborating the discourse on the city.To highlight what can be seen from the main aspects of political machinery in the city, the approach to the texts is threefold : the connections between city and citizens both in the context of the Comune’s increasing sovereignty and in the light of the concepts of unity and division ; the question of freedom in Florence, its fundamental principles, its forms and representations, in opposition to tyranny ; the links between the celestial city and the city of men based on the analysis of the reading of celestial omens and the concepts of Providence, Fortune and Free Will. The approach chosen concentrates on the stakes and representations peculiar to each of those subjects.From this conceptual analysis it emerges that the three main sources to the discourse on the city are the authors of Classical Antiquity, Christian Theology and Law. Contemporary sources of the chroniclers also can be found : official texts and documents produced by the city, noted authors in the period as, for instance, Dante Alighieri.
|
102 |
Les dynamiques associatives dans la gestion du littorale en CorseGraziani, Claire Taugeron 18 April 2018 (has links)
On observe une forte réactivité en Corse au sujet de l’environnement, et cela se manifeste notamment par une forte mobilisation associative et citoyenne, particulièrement concernant le littoral et la gestion qui en est faite. Cela suscite plusieurs interrogations quant aux aspects de la gouvernance actuelle qui sont problématiques du point de vue des associations de défense de l’environnement. De ces divergences naissent des conflits territoriaux, et la présente recherche est centrée sur les modalités de manifestation des dynamiques associatives au moment où émergent les conflits. La réflexion porte sur les objectifs, les moyens d’action des associations, et les effets que peuvent avoir leur mobilisation sur la gestion du littoral et les politiques locales Nous nous sommes interrogés sur les différents intérêts, économiques, identitaires et écologiques qui impulsent ces conflits et les justifient. Le mémoire présente les résultats d’une enquête menée auprès des membres des associations de défense de l’environnement en Corse. Pour réaliser cette enquête des entretiens semi-dirigés ont été effectués, dont l’objectif était de saisir les enjeux environnementaux, sociaux et politiques de la gestion littorale en Corse. / The current question of Corsica’s coastal regions has been the subject of many debates. Various associations and citizen groups have made public their disapproval of the current politics surrounding the matter, stirring up many questions in regards to the current governance of the territory, problematic in the eyes of the associations and concerned citizens. This has lead to many territorial conflicts that have yet to be resolved. Therefore this research focuses on the diagnostics of the associations when the conflicts emerge. Also it is of interest to know the means of action used by these associations, their objectives, and the effects of their actions on the coastal governance.
|
103 |
Le projet pilote de réfection de la rue Anna à Québec : les leçons d'une expérimentation locale de gouvernanceBizier, Christian 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise en aménagement du territoire et développement régional (M.ATDR) s’intéresse à un cas d’étude à Québec pour analyser les transformations de la gouverne de l’action publique via le concept d’expérimentation locale. Le projet pilote de réfection de la rue Anna, réalisé dans le quartier Saint-Sauveur par la Ville de Québec de 2014 à 2016, a fourni l’opportunité aux citoyens et intervenants locaux de s’exprimer quant à la manière dont ils voulaient que la rue soit refaite. Parallèlement, les services municipaux impliqués ont expérimenté différentes façons de collaborer entre eux pour améliorer l’environnement urbain et agir sur certains impacts des changements climatiques. Le cas d’étude se distingue puisqu’il semble en partie répondre à des demandes citoyennes antérieures dans l’arrondissement de La-Cité-Limoilou. Un certain nombre de questions sont conséquemment soulevées. Comment les demandes citoyennes en faveur de réfections de rues intégrées ont-elles été reçues et traitées par l’administration municipale ? Ont-elles exercé une influence sur les pratiques conventionnelles de la Ville de Québec ? Devant l’opportunité d’intervenir directement dans leur cadre de vie, les citoyens consultés ont-ils adhéré d’emblée à des options différentes de ce qui est habituellement réalisé ? La réfection de la rue Anna est explicitement abordée sous l’angle expérimental par la Ville de Québec : le projet est destiné à évaluer la pertinence d’une démarche participative et intégrée, c’est-à-dire intersectorielle au sein de l’appareil municipal, pour contribuer à la lutte au phénomène d’îlots de chaleur urbains. Nous abordons aussi la manière dont le discours technique de certains citoyens a pu marquer les esprits et réussir à percoler dans l’administration municipale. En ce sens, la mobilisation citoyenne aux marges des institutions est un élément central de notre cadre théorique. Ces deux perspectives, l’une municipale et l’autre citoyenne, sont étudiées à partir de la notion d’expérimentation locale dans le domaine des interventions relatives à l’adaptation aux changements climatiques. En observant comment ces phénomènes s’articulent, nous tentons d’en saisir les effets sur la décision publique en aménagement. Jusqu’à quel point y a-t-il un lien entre des mobilisations citoyennes et la volonté apparente de la Ville de Québec de concevoir l’aménagement des rues d’une façon intégrée et participative ? Mots-clés : expérimentation, gouvernance, rues, revitalisation, citoyens, professionnels, conseillers municipaux, verdissement, îlots de chaleur, changements climatiques. / This master’s thesis in territory planning and regional development is founded on a case study in Quebec city in order to analyse the transformations of public action governance with the concept of local experimentation. The project of renovation for Anna street, realized from 2014 to 2016 in the Sauveur neighborhood, provided the opportunity for citizens and local actors to express themselves about how they wanted the street to be built again. At the same time, the municipal services involved experimented new ways to collaborate, in a context of general reflexion about improving the urban environment and act on certain impacts of climate change. This case study stands out because it seems to answer, at least partially, citizen claims expressed before in the borough of La-Cité-Limoilou. A certain number of questions are consequently raised. How citizen claims in favor of integrated street renovations have been received and treated by the municipal administration ? Have they exerted influence on conventional practises of territory planning in Quebec City ? Faced with the opportunity to intervene directly in their urban environment, have the citizens supported spontaneously different options than what is usually realised ? The pilot project for the renovation of Anna street is explicitly considered from the experimental angle by Quebec City officials : it is intended to assess the relevance of a participative and integrated approach, i.e. intersectorial in the municipal administration, to help tackle the urban heat island phenomenon. We consider particularly how the technical language of some citizens made an impression and successfully percolated through local institutions. In this regard, marginal citizen mobilisation is a central element of our theoretical framework. These two perspectives, from the municipal institution on and from the citizens, are studied here in regards to the concept of local experimentation in the sphere of climate change adaptation interventions. While observig how these initiatives articulate themselves, we try to understand their effect on public decision-making in urban planning. Up to what extent is there a link between citizen mobilizations and the apparent will of Quebec City’s officials to shift towards a more integrated and participative way of making streets different ? Keywords : experimentation, governance, streets, revitalization, citizens, professionals, city officials, greening, urban heat islands, climate change.
|
104 |
La parole en action : dissensus sur les accommodements raisonnables lors des auditions en commission parlementaire au Québec (2010-2011)Ben Romdhane, Samar 24 April 2018 (has links)
La question du pluralisme religieux est au Québec, l’objet de désaccords et de variations dans son mode de régulation et ses instruments d’action publique. La consultation publique sur le projet loi n° 94, Loi établissant les balises encadrant les demandes d’accommodement dans l’Administration gouvernementale et dans certains établissements, est au cœur de ceux-ci. En se basant sur l'analyse des séances d’auditions publiques en commission parlementaire qui ont eu lieu au Québec entre mai 2010 et janvier 2011 sur le projet de loi n° 94, cette thèse vise à interroger les enjeux liés à la publicisation des prises de positions et de l’échange d’arguments entre différents acteurs. À partir d’une méthodologie par théorisation enracinée et d’un cadre conceptuel qui se rattache à la communication publique, cette thèse cherche à mettre en évidence quelques-unes des propriétés des interactions verbales et non verbales qui composent et incarnent cette activité délibérative. Elle approche ces interactions du point de vue de leur publicisation en s’appuyant sur deux principes : la participation publique en tant qu’un instant de la construction du problème public et l’audition publique en commission parlementaire comme maillon d’un réseau dialogique qui participe à la publicisation du désaccord sur les accommodements raisonnables. Mettant l’accent sur l’usage du langage (verbal, non verbal et para verbal), l’objectif de cette thèse est de mieux comprendre comment des groupes minoritaires et majoritaires, engagés dans une arène publique où les points de vue par rapport aux accommodements raisonnables sont confrontés et mis en visibilité, gèrent leur situation de parole publique. La démarche de recherche a combiné deux stratégies d’analyse : la première stratégie d’inspiration conversationnelle, qui observe chaque séquence comme objet indépendant, a permis de saisir le déroulement des séances d’audition en respectant le caractère séquentiel des tours de parole La deuxième stratégie reviens sur les principaux résultats de l’analyse des séances d’auditions pour valider les résultats et parvenir à la saturation théorique pour élaborer une modélisation. L’exploitation des données selon cette approche qualitative a abouti au repérage de trois dynamiques. La première fait état des contraintes discursives. La seconde met en évidence le rôle des dimensions motivationnelles et socioculturelles dans la construction des positionnements et dans l’adoption d’un registre polémique. La troisième souligne la portée de la parole publique en termes d’actualisation des rapports de pouvoir et de confirmation de son caractère polémique. La modélisation proposée par cette thèse représente le registre polémique comme un élément constitutif de l’engagement argumentatif des acteurs sociaux mais qui est considérablement enchâssé dans d’autres éléments contextuels et motivationnels qui vont orienter sa portée. En tant qu’elle est exprimée dans un site dialogique, la parole publique en situation d’audition publique en commission parlementaire est en mesure de créer de nouvelles intrigues et d’une possibilité de coexister dans le dissensus. Le principal apport de cette thèse est qu’elle propose une articulation, concrète et originale entre une approche de la parole publique en tant que révélatrice d’autre chose que d’elle-même (nécessaire à tout éclaircissement des points de vue dans cette controverse) et une approche de la parole publique en tant que performance conduisant à la transformation du monde social. D’où, le titre de la thèse : la parole en action. Mots clefs : parole publique, discours, arène publique, pluralisme religieux, accommodements raisonnables, controverses, dissensus, théorisation enracinée / Quebec's religious pluralism brings a firestorm of controversy to the foreground as well as a various styles of regulation and a numerous public action instruments. The public consultation of the Bill No. 94, an Act that establishes guidelines for governing accommodation requests within the Administration and certain institutions, is in the corner stone of this phenomenon. Based on the analysis of public hearings sessions of the parliamentary committee that took place in Quebec between May 2010 and January 2011, within the framework of public consultations on Bill 94, this thesis aims to examine issues related to the publicization of antagonistic positions. It endeavors to explore properties of the verbal and nonverbal interactions embodied in this deliberative activity by using the grounded theory methodology and the conceptual framework related to the domain of public communication. It approaches these interactions in terms of their publicization, based on two principles: the public participation as a moment of the public issue construction and the public hearings as a bond in a dialogic network participating in the publicization of the dissensus regarding the reasonable accommodations. By focusing on the use of the language (verbal and nonverbal), the goal of this thesis is to explain how minority and majority groups manage the situation of public speaking once they are engaged in a public arena where points of views about reasonable accommodations are confronted and visibilized, The research approach combined two analytical strategies: the first strategy is inspired by the conversational analysis that consists on observing every sequence independently. In fact, it has allowed understanding the progress of auditing sessions by respecting the sequential nature of speaking slots. The second strategy is directed to the main results of the analysis of hearing sessions. The main goal is to validate results and to achieve the theoretical saturation that will develop a modeling. According to this qualitative approach, the use of data led to the identification of three features of talk: the first reports discursive constraints; the second notices the role of motivational and sociocultural dimensions in adopting a positioning and in choosing the discursive register; the third one highlights the range of public speaking in terms of updating the relations of power and in terms of confirmation of its polemical form. The modeling proposed by this thesis represents the polemical register as a fundamental element of the social actor’s argumentative commitment. At the same time, this register is significantly embedded in other contextual and motivational elements that influences its outcome. As it is expressed in a dialogical site, public speaking during parliamentary committee hearings is able to create a new intriguers and a possibility to coexist in the dissensus. The main contribution of this thesis, is that it offers a practical and original dual approach combining between a perspective approaching public speech as indicator of many things other than itself (necessary for the positions and opinions explanation) and a perspective approaching public speaking as performance leading to the transformation of the social world. Hence, the title of the thesis: the speaking in action. Keywords: public speaking, public arena, religious pluralism, reasonable accommodations, controversies, discourse, grounded theory, dissensus.
|
105 |
Analyse sociologique des causes de la marginalisation des communautés locales et examen des conditions et conséquences de leur capacitation dans la gouvernance forestière au CamerounNlend V, Georges Boniface 06 February 2019 (has links)
La plupart des travaux réalisés depuis une vingtaine d’années sur la gouvernance forestière au Cameroun ont [exhaustivement] analysé l’économie forestière camerounaise, en en relevant particulièrement les dimensions problématiques et les aspects dysfonctionnels que Greenpeace (2007) résume en parlant d’un authentique échec. Ces travaux présentent un tableau détaillé qui indique entre autres constats rémanents, que le pouvoir de décision et les compétences de conduite des affaires sont plus que jamais confisqués dans les logiques néo-patrimoniales portées par les autorités étatiques et les élites, au détriment des populations indigènes et des communautés villageoises dont les diverses incompétences chroniques (intellectuelles, techniques, citoyennes et politiques) sont cependant atténuées par l’action de veille déployée par les organisations de la société civile. Cependant, ces travaux ne produisent pas un cadre général d’explication dans lequel l’ensemble des dysfonctionnements relevés s’articulent et se structurent. C’est cette omission théorique fondamentale de la recherche que vise à combler la présente thèse consacrée à l’analyse sociologique des causes de la marginalisation des communautés locales dans la gouvernance forestière au Cameroun, notamment à travers l’opérationnalisation d’une perspective d’explication socio-historique et d’une approche conceptuelle qui s’inscrivent dans la profondeur de la théorie critique et de l’économie politique. En effet, le souci de cette thèse –non monographique et essentiellement théorique –est de débusquer les logiques opératoires incarnées par les différents Régimes des forêts qui ont été pratiqués au Cameroun depuis l’époque coloniale allemande jusqu’à la Réforme dite environnementale et participative de 1994, avec l’objectif d’identifier les déterminants sous-jacents qui structurent la marginalité endémique des communautés locales, tout en favorisant aujourd’hui l’éclosion de dynamiques non étatiques de capacitation des communautés villageoises. Construite sur le concept de “contraintes structurelles”, notre thèse suggère une analyse novatrice dont la préoccupation est de proposer une explication générale des “trends séculaires” (Immanuel Wallerstein, 2000) qui soutendent l’exploitation industrielle des ressources forestières telle qu’elle s’est déployée jusqu’ici dans la modernité politique camerounaise. De l’analyse des données, il apparait qu’au regard du passage factice du régime colonial de la collectivité politique camerounaise au statut d’État indépendant, l’ouverture de l’activité industrielle forestière aux indigènes n’a jamais été concluante, notamment à cause de la rupture paradigmatique manifestée par l’irruption d’une modernité capitaliste dont les indigènes n’avaient jamais ni élaboré le projet, ni tenu les leviers opérationnels, autrement dit de l’opposition structurelle originaire qui plaçait la propriété des institutions, du pouvoir, du capital, bref toute la structure de l’économie forestière capitaliste et tout le système de la production forestière industrielle aux mains des Européens et des élites indigènes qui leur succèdent. En d’autres termes, la manifestation de dysfonctionnements irréductibles –dont la marginalisation des communautés villageoises semble être l’une des expressions les plus emblématiques –dans la mise en oeuvre des réformes trouve ultimement son explication dans l’abstraction historique des réformes du contexte dans lequel elles sont destinées à s’appliquer. Fondée sur la réflexivité critique et développée en examinant la structure de déploiement de l’histoire, l’originalité de notre thèse est de proposer une démarche radicale d’analyse de ce phénomène constamment établi par la littérature scientifique des vingt dernières années, en en révélant sa structuration complexe ainsi que son articulation à l’historicité problématique de la collectivité politique africaine moderne. En effet, à cause du caractère total de la violence coloniale et des conditions exogènes de naissance de l’État africain moderne, mais également de la cristallisation des modes arbitraires de conduite des affaires publiques et de gestion des ressources collectives et de l’enracinement structurel de la corruption, l’exploitation industrielle de la forêt va se déployer au détriment de la biodiversité et des systèmes écologiques, et surtout sur l’exclusion des communautés indigènes qui, au-delà de la profonde déstabilisation dont elles sont victimes du rapport colonial et capitaliste à la forêt, ne bénéficient d’aucune retombée substantielle et durable, tant sur le plan politique et de la participation citoyenne que sur le plan de la viabilité matérielle et des conditions socio-économiques de vie.
|
Page generated in 0.0292 seconds