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La conservation du Nitassinan : besoins et intérêts des ilnus de Mashteuiatsh

Noury, Céline 17 April 2018 (has links)
Depuis 1996, le gouvernement du Québec s'est engagé à encourager la participation des Premières nations au maintien de la diversité biologique, notamment dans la mise en place des aires protégées. En collaboration avec la communauté ilnue de Mashteuiatsh, cette recherche dégage, en premier lieu, les facteurs contextuels, sociopolitiques, historiques et ontologiques qui interviennent dans la participation et la perception de la communauté à la conservation institutionnelle sur son territoire, le Nitassinan. En second lieu, les besoins et intérêts de la communauté permettent d'identifier les objectifs ilnus dans la conservation de leur territoire, soient la protection de l'identité culturelle, le développement socioéconomique et la pérennité des ressources naturelles. Ils mettent en relief que la conservation ilnue émerge d'une compréhension cosmologique du monde et s'inscrit dans un paradigme socioculturel. Finalement, l'analyse des résultats permet d'explorer trois propositions de ponts entre les objectifs institutionnels et ilnus de la conservation du territoire.
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Évolution de la gestion des formes urbaines sur la Colline parlementaire de Québec : de la rénovation urbaine au nouvel urbanisme

Dumont, Jean-Philippe. 12 April 2018 (has links)
La gestion des formes urbaines sur la Colline parlementaire est au cœur de l'évolution de la ville de Québec. Cette gestion a évolué avec le temps et s'est graduellement adaptée aux fonctions de la ville et aux besoins de ses citoyens. Cette gestion s'opère par le biais de l'interaction entre trois principaux acteurs urbains : les acteurs gouvernementaux et corporatifs ainsi que des mouvements sociaux. Ces acteurs interagissent sur le territoire de la ville et leurs actions contribuent à créer un paysage urbain spécifique. L'acteur gouvernemental (État québécois et municipalité) est particulièrement intéressé par le statut de capitale, qui attribue à Québec une visibilité et un prestige accrus et auxquels il sera particulièrement attentif. Parallèlement aux actions des paliers gouvernementaux, les acteurs corporatifs expriment également leurs besoins en espace urbain pour des immeubles tels des tours à bureaux, de grands hôtels et des édifices bancaires. Préférant la centralité géographique, ceux-ci se sont établis à proximité de la Colline parlementaire, près du lieu de pouvoir du Gouvernement. Les acteurs gouvernementaux utilisent successivement deux types bien distincts de gestion des formes urbaines: la rénovation urbaine, appuyée par les acteurs corporatifs, et le nouvel urbanisme. Durant les années soixante et soixante-dix, la rénovation urbaine a grandement transformé la Colline parlementaire de Québec par des réaménagements qui se sont traduits principalement par la construction d'édifices en hauteur dans des secteurs traditionnellement voués à la fonction résidentielle. La rénovation urbaine a évolué dans un contexte particulier, dans lequel les citoyens aux ressources les plus modestes se retrouvaient concentrés surtout dans les quartiers centraux populaires où les édifices montraient déjà des signes de dépérissement avancé. Durant les années quatre-vingt-dix, la Colline parlementaire de Québec a subi une nouvelle vague de réaménagement. Le nouvel urbanisme amène un vent de renouveau avec des aménagements innovateurs. Faisant également partie de la mouvance nord-américaine, le nouvel urbanisme s'accompagne d'un autre mode de gestion des formes urbaines qui fait sentir sa présence au centre-ville de Québec. Les aménagements urbains qui en résultent sont bien différents de ceux qui prévalaient quelques années auparavant. En effet, il est maintenant entre autre question de percées visuelles, d'éléments de design urbain et même de création d'espaces verts. De plus, une certaine démocratisation du processus de gestion des formes urbaines fait davantage place au citoyen. Les aménagements se font à une échelle plus près du citoyen. La gestion des formes urbaines à Québec a fortement évolué avec le temps. Chaque mode de gestion possédait son modus operandi et s'opérait dans un contexte social et économique propre à sa période. Les éléments de ce contexte étaient de portée agissant à diverses échelles : fonctions et affectation de l'espace urbain de Québec, une trame urbaine très ancienne et possédant des attributs rares; courants urbanistiques oeuvrant à l'échelle de l'Amérique du Nord. Le défi était d'adapter les actions aménagistes au cas spécifique de la ville de Québec. L'interaction entre les différents acteurs a contribué à faire évoluer la gestion des formes urbaines sur la Colline parlementaire dans un contexte particulier où chacun des acteurs possédait son propre agenda et ses priorités. Le résultat de la gestion des formes urbaines est le paysage urbain qu'offre Québec aujourd'hui. C'est de cette évolution dans la gestion des formes urbaines, appréhendée par le biais du rôle des différents acteurs en présence, dont la thèse fait le récit.
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La négociation du pouvoir dans le processus d'empowerment communautaire

Gingras, Marie-Ève 13 April 2018 (has links)
Au fil du temps, les citoyens québécois ont appris à remettre leur pouvoir dans les mains de gens extérieurs à eux. L'État-providence et le néolibéralisme ont inculqué chez les gens l'idée qu'ils ont dorénavant besoin d'experts pour gérer les différentes sphères de leur vie. Dans les mots d'aujourd'hui, on pourrait employer le néologisme ± désempoweré ¿ pour qualifier le citoyen moyen. L'empowerment est une approche qui émerge de façon importante dans le but de contester cette domination des experts sur le citoyen. Son principal objectif est de sortir le citoyen de son rôle de consommateur de services d'experts et lui redonner son pouvoir sur sa vie. L'approche d'empowerment apporte des pistes de solution pour contrer les effets pervers liés à l'aide professionnelle traditionnelle, cependant, il semble qu'elle soit difficile à mettre en pratique. Le principal problème rencontré s'avère être que le fait de donner du pouvoir aux clients ouvre la porte à toutes sortes de contestations et de conflits qu'il est difficile pour les intervenants des ressources de gérer au quotidien. La présente étude s'intéresse exactement à cette difficulté et se demande : ± Comment se gèrent les situations conflictuelles découlant de la négociation du pouvoir dans les organismes communautaires en santé mentale qui travaillent dans une perspective à d'empowerment communautaire ? ¿. Pour ce faire, seize entrevues semidirigées (huit avec des intervenants et huit avec des clients) et de l'observation structurée ont été réalisées dans quatre organismes communautaires en santé mentale de la région du Saguenay-Lac-St-Jean. L'analyse des données d'entrevue et d'observation montre que le paradigme technocratique de l'empowerment domine encore et que par le fait même, les rapports de pouvoir entre les intervenants et les clients sont inégaux. Somme toute, cette étude aura permis de porter un regard critique sur la pratique de l'empowerment de certains organismes communautaires et alternatifs en santé mentale. De plus, les réflexions suscitées par l'analyse des données recueillies ont donné de bonnes pistes d'intervention pouvant être appliquées afin de mieux favoriser la négociation du pouvoir dans le processus d'empowerment communautaire.
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People for green infrastructure : Exploring participatory initiatives in Paris

Bozzi, Alberica Domitilla January 2020 (has links)
Since the early 2000s, the city of Paris has launched several greening initiatives with the scope of, among many, strengthening its green infrastructure (henceforth, GI). With the support of the municipality, citizens actively participate in this transformation, for instance by reactivating and managing former wasteland sites, making the streets blossom, covering walls and roofs with plants and creating new micro-ecosystems. But what is their impact? Citizens engaged in selected participatory initiatives along the local GI have been questioned and interviewed to find out more about their projects. Citizens - either alone, in small groups, organised in local associations, start-ups or companies - act for different reasons and do not always know the concept of GI. Questionnaire respondents value their project first of all because it improves their living environment, but also because it facilitates reconnecting with nature and promotes biodiversity. However, their actions are not coordinated as to effectively reinforce GI. In other words, people’s projects spread everywhere and not particularly where they are most needed. Through the revision of local planning and policy documents, as well as interviews with key actors, this work also highlights contradictions between definition, strategies, maps and meanings of the GI in Paris. Some recommendations are provided to expand the ecological and public GI of today into a veritable multifunctional GI through multidisciplinary and participatory approaches. / Sedan början av 2000-talet har staden Paris startat flera grönskande initiativ med syfte attbland annat återinföra naturen i staden och stärka dess gröna infrastruktur (GI). Med kommunens stöd deltar medborgarna aktivt i denna omvandling, till exempel genom att återaktivera och gemensamt sköta tidigare ödemarker, få gatorna att blomma, täcka väggar och tak med växter och skapa nya mikroekosystem. Men vad är deras inverkan? Medborgare som deltar i utvalda deltagande initiativ längs den lokala GI har utfrågats och intervjuats för att ta reda på mer om sina projekt. Medborgare - antingen ensamma, i små grupper, organiserade i lokala föreningar, nystartade företag eller företag - agerar av olika skäl och känner inte alltid till begreppet grön infrastruktur. De som svarar på frågeformuläret värderar först sitt projekt eftersom det förbättrar deras livsmiljö, men också för att det underlättar återanslutning med naturen och främjar biologisk mångfald. Men deras handlingar samordnas inte för att effektivt stärka GI, eller delar av det. Med andra ord, människor som grönar projekt sprids överallt och inte särskilt där de behövs mest. Genom översynen av lokala planerings- och policydokument, samt intervjuer med nyckelaktörer, belyser detta arbete också motsägelser mellan GI-definition, strategier, kartor och betydelser. Vissa rekommendationer tillhandahålls för att utöka dagens ekologiska och offentliga GI till en verifierbar multifunktionell GI genom multidisciplinära och deltagande strategier. / Depuis le début des années 2000, la ville de Paris a lancé plusieurs initiatives de végétalisation pour réintroduire la nature dans la ville et renforcer ses trames vertes et bleues (TVB). Avec le soutien de la municipalité, les citoyens participent activement à cette transformation, par exemple en réactivant et en gérant d’anciennes friches, en faisant fleurir les rues, en recouvrant les murs et les toits de végétaux et en créant de nouveaux microécosystèmes. Mais quel est leur impact ? Les citoyens engagés dans des initiatives participatives sélectionnées le long de la TVB locale ont été interrogés et interviewés pour en savoir plus sur leurs projets. Les citoyens - seuls, en petits groupes, organisés en associations locales, start-up ou entreprises - agissent pour des raisons différentes et ne connaissent pas toujours le concept de TVB. Les répondants au questionnaire valorisent d’abord leur projet parce qu’il améliore leur cadre de vie, mais aussi parce qu’il facilite la reconnexion avec la nature et favorise la biodiversité. Cependant, leurs actions ne sont pas coordonnées pour renforcer efficacement les TVB. En d’autres termes, les projets de végétalisation des citoyens se répandent partout et pas particulièrement là où ils sont les plus nécessaires. À travers l’analyse des documents de planification locaux, ainsi que des entretiens avec des acteurs clés, ce travail met également en évidence les contradictions entre la définition, les stratégies, les cartes et les significations des TVB. Quelques recommandations sont formulées pour faire de la TVB écologique et publique d’aujourd’hui une véritable TVB multifonctionnelle à travers des approches multidisciplinaires et participatives.
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Contribution à la durabilité de la gestion de la biomasse solide en République Démocratique du Congo

Shuku, Nicolas Onemba 30 August 2022 (has links)
Cette étude porte sur la contribution des acteurs de la biomasse solide (BS) à la durabilité de la gestion de celle-ci en République démocratique du Congo (RDC). La problématique s'articule sur la question centrale suivante : la gestion de la biomasse solide peut-elle favoriser la durabilité de cette ressource énergétique en RDC? À cet égard, trois axes majeurs ont été étudiés pour cerner les facteurs susceptibles de compromettre ou de promouvoir la gestion durable de la BS en RDC : • Les facteurs qui agissent sur la filière de la BS concernant les aspects techniques, allant de la production à la carbonisation, au défournement, à la récolte, au transport et enfin à la commercialisation de ladite ressource en RDC; • Les facteurs liés aux aspects règlementaires concernant le cadre juridique appliqué à la BS en RDC; • Les facteurs en lien avec les aspects organisationnels, institutionnels et ceux de la gouvernance forestière en RDC. Les trois objectifs suivants permettent d'analyser la question de la durabilité de gestion de la biomasse solide :1. Réaliser le diagnostic du contexte et de la pratique de l'utilisation de la BS en RDC en vue de ressortir les facteurs qui contribuent aux forces et faiblesses de cette pratique. De ce fait, l'approche d'analyse stratégique « forces, faiblesses, opportunités, menaces » (FFOM ou SWOT en anglais) a aidé à déceler les maillons qui permettent de définir les conditions et les occasions favorisant les trois piliers du développement durable que sont l'environnement, le social et l'économie; 2. Évaluer le degré de durabilité d'utilisation de la BS actuelle. Cela a conduit à faire une analyse des cadres législatifs, règlementaires et normatifs, ainsi que des aspects organisationnels, institutionnels et modernes de la gestion de la BS en RDC. Par conséquent, une esquisse de la gouvernance de la BS en RDC a été proposée pour stimuler l'analyse des instruments qui traitent des questions de cadres juridiques et coutumiers susceptibles d'influencer ces normes; 3. Proposer des éléments d'amélioration du contexte, de la pratique et du respect de la réglementation de l'utilisation de la BS qui favorisent un modèle de la gestion participative de l'utilisation durable de cette énergie. Pour ce faire, l'étude présente les facteurs de la durabilité de la gestion de la bioénergie et leurs interrelations dans le but de mettre sur pied un modèle de gestion participative de la bioénergie permettant de répondre au développement durable de la BS en RDC. Au regard des axes clés énumérés, la nécessité de faire ressortir un modèle de réponses fiables et palpables avec à la clé la gestion et l'utilisation de la BS respectant les principes du développement durable s'avère indispensable en RDC. De ce fait, le modèle de table de concertation des acteurs de la BS en RDC est élaboré. / This thesis focuses on the contribution to the sustainability of the management of solid biomass (SB) in the Democratic Republic of Congo (DRC). This study revolves around the following central question: Can the management of solid biomass promote the sustainability of this energy resource in the DRC? Three major axes were studied to identify the factors likely to compromise or promote the sustainable management of SB in the DRC: • The factors acting on the SB sector focus on the related technical aspects, ranging from production, carbonization, excavation, harvesting, transport and to the marketing of this resource in the DRC; • Factors related to regulatory aspects concerning the legal framework applied to SB in the DRC; • The factors structuring the organizational and institutional aspects and those of forest governance in the DRC. The three following objectives were analyzed to answer the issue of the sustainability of solid biomass management: 1. Carry out the diagnosis of the context and practice of the use of SB in the DRC to highlight the factors that contribute to the strengths and weaknesses of this practice. The SWOT strategic analysis approach was used to identify the links that define the strengths, weaknesses, opportunities and threats for the three pillars of sustainable development that are environmental, social and economic. 2. Assess the level of sustainability of the actual use of SB with a focus on improving the factors of non-sustainability. This led to an analysis of the legislative, regulatory and normative frameworks, as well as the organizational, institutional and modern aspects of BS management in the DRC. An outline of SB governance in the DRC has been proposed to stimulate analysis of instruments addressing issues of legal frameworks and customary that influence these norms. 3. Propose elements for improving the context, practice, and compliance with the regulations for the use of SB that promote a participatory management model for the sustainable use of this energy source. To do this, the factors of the sustainability of bioenergy management and their interrelationships were presented with the aim of setting up a participatory bioenergy management model to respond to the development of SB in DRC. Regarding the key axes listed above, the need to develop and implement a model of reliable and tangible responses, with the management and use of SB thus respecting the principles of sustainable development, is essential in the DRC. As a result, the consultation table model for SB actors in the DRC is elaborated.
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Quelles innovations sociales pour une gestion participative et intégrée de l'eau du Rio Salado, Puebla (Mexique) ? Analyse de la gestion intégrée de l'eau d'un sous-bassin / ¿Qué innovaciones sociales para la gestión participativa e integrada del agua en Río Salado, Puebla (México)? Análisis de la gestión integrada del agua de una subcuenca.

Tomé Hernández, Griselda 12 September 2019 (has links)
Face à la grave crise de l’eau qui frappe l’humanité, aujourd’hui, l’étude de la gestion de l’eau et de la gouvernance devient de plus en plus nécessaire. En ce sens, la présente recherche se concentre sur l’identification et l’analyse des modalités de gestion de l’eau mises en place dans le sous-bassin du Río Salado, ainsi que leurs structures de gouvernance afin de proposer un modèle de gestion qui met en évidence les principaux facteurs qui facilitent la participation des citoyens et le renforcement des structures de gouvernance sur le territoire. Pour délimiter, analyser et interpréter la réalité étudiée, nous nous appuyons sur l’approche de la gestion intégrée des ressources en eau par bassin versant (GIRE) et sur les concepts de gouvernance de l’eau et du Water Soft Path (voie douce de l’eau, en français). À l’aide de méthodes mixtes de recherche, les résultats montrent que sur le territoire il existe deux modèles de gestion de l’eau: l’un public, l’autre, social. Le premier est sous la responsabilité de la Commission nationale de l’eau (CONAGUA, en espagnol) et le deuxième, des utilisateurs agricoles et urbains-municipaux. Bien que le système de gouvernance du modèle public de gestion de l’eau englobe certaines des dimensions analytiques de la gouvernance de l’eau, cela ne couvre pas les besoins en eau des différents utilisateurs sectoriels et n’offre pas une possibilité réelle de participation citoyenne dans la prise de décision aux échelles sous-régionale et locale. Au contraire, le modèle de gestion sociale de l’eau montre un système de gouvernance innovant, basé sur des processus participatifs bidirectionnels (descendant et ascendant) et inclusifs qui permettent aux utilisateurs de gérer l’eau de manière efficace, inclusive et équitable. Ceci nous conduit à affirmer que cette manière innovante de gérer l’eau peut aider à améliorer l’opérativité du système de gouvernance du modèle public de gestion de l’eau mis en place sur le territoire. / In view of the serious water crisis currently facing the humanity, the study of water management and governance is becoming increasingly necessary. In this sense, this research focuses on identifying and analyzing the water management models implemented in the sub-basin of the Salado River; as well as its governance system, in order to propose a management model that highlights the main factors that facilitate citizen participation and the strengthening of governance structures in the territory. To delimit, analyze and interpret the reality studied, we rely on the Integrated Water Resources Management approach (IWRM) and the concepts of water governance and water soft path. With the help of mixed research methods, the results show that in the territory there are two models of water management: public and social. The first is the responsibility of CONAGUA and the second of agricultural and urban public users. Although the governance system of the public water management model presents some of the analytical dimensions of water governance, it does not cover the water needs of the different sectoral users and does not offer an effective opportunity for citizen participation in decisionmaking at the subregional and local scales. On the contrary, the social water management model shows innovative governance system, based on bidirectional participatory (top down and bottom up) and inclusive processes that allows local stakeholders to manage water efficiently, inclusively and equitably. All of which leads us to affirm that this innovative way of managing water can help to improve the operability of the governance system of the public water management model applied in the territory. / Ante la grave crisis del agua que enfrenta actualmente la humanidad, el estudio de la gestión y gobernanza del agua se torna cada vez más necesario. En ese sentido, la presente investigación se centra en identificar y analizar los modelos de gestión del agua implementados en la subcuenca Río Salado; así como sus sistemas de gobernanza con el fin de proponer un modelo de gestión que resalte los principales factores que facilitan la participación ciudadana y el fortalecimiento de las estructuras de gobernanza en el territorio. Para delimitar, analizar e interpretar la realidad estudiada nos apoyamos en el enfoque de Gestión Integrada de los Recursos Hídricos de Cuencas Hidrográficas (GIRH) y en los conceptos de gobernanza del agua y Water Soft Path. Con la ayuda de métodos mixtos de investigación, los resultados muestran que en el territorio existen dos modelos de gestión del agua: pública y social. El primero está a cargo de la Comisión Nacional del Agua (CONAGUA) y el segundo de los usuarios agrícolas y urbanos. A pesar de que el sistema de gobernanza del modelo de gestión pública del agua presenta algunas de las dimensiones analíticas de la gobernanza del agua, éste no cubre las necesidades de agua de los diferentes usuarios sectoriales, y tampoco ofrece una oportunidad efectiva para la participación ciudadana en la toma de decisiones tanto a la escala subregional como local. Por el contrario, el modelo de gestión social del agua muestra un sistema de gobernanza innovador, sustentado en procesos participativos bidireccionales (« top down » y « bottom up ») e incluyentes que permite a los actores locales gestionar el agua de manera eficiente, incluyente y equitativa. Todo esto nos lleva a afirmar que esta innovadora forma de gestionar el agua puede ayudar a mejorar la operatividad del sistema de gobernanza del modelo de gestión pública del agua aplicado en el territorio. Palabras clave: Gobernanza del agua, gestión del agua, gestión integrada de los recursos hídricos, cuenca hidrográfica, sistema de gobernanza del agua, participación y subcuenca Río Salado.
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Besoins et attentes des Cris de Waswanipi pour la protection des cours d'eau et sites associés de l'Eeyou Istchee

Hébert, Julie 12 April 2018 (has links)
Les Cris de la Baie-James sont connus au Canada et à l'international pour leurs négociations dans la reconnaissance de leurs droits ancestraux et cela, particulièrement dans les dossiers relatifs à l'exploitation des ressources naturelles de leur territoire, l’Eeyou Istchee. Au Québec, un des principaux objets de discussion est celui concernant l'acceptabilité sociale de l'aménagement forestier en territoire cri. Dans l'objectif d'atteindre un développement durable des ressources sur l’Eeyou Istchee, il est urgent d'intégrer les préoccupations des principaux utilisateurs touchés par les activités forestières. La présente étude se penche plus particulièrement sur la protection des milieux aquatiques et riverains sur le territoire de la communauté crie de Waswanipi. Afin de définir les besoins et attentes des Cris pour la gestion de ces habitats jugés prioritaires, la représentation des cours d'eau et sites associés, selon leur point de vue, était préalablement déterminée. Pour ce faire, une série d'entretiens semi directifs a été réalisée sur 20 différents territoires de trappe (trapline) de Waswanipi. Cinq types de cours d'eau et sites associés ont ainsi été définis soit 1) les cours d'eau du patrimoine 2) les sites communautaires culturels 3) les routes d'eau 4) les sites familiaux et 5) les sites d'intérêts fauniques, divisés en quatre sous-types a) la halte migratoire b) l'habitat de l'orignal c) l'habitat du castor et d) les sites de pêche. La suite des entretiens concernait directement les exigences des répondants pour la protection et l'aménagement de chacune de ces catégories : tout d'abord dans un contexte d'exploitation forestière et puis à travers un projet pour le développement d'une aire protégée qui toucherait le réseau hydrographique du territoire. Dans le premier cas, il apparaît évident que les mesures actuellement utilisées par les aménagistes forestiers pour la protection des milieux riverains et aquatiques n'intègrent pas les besoins et attentes des principaux utilisateurs cris concernés. Leurs recommandations visent la poursuite de leurs activités traditionnelles, autant du point de vue de la protection de la qualité visuelle des paysages que celle des habitats fauniques exploités. En ce qui a trait au développement d'une aire protégée, il est intéressant de constater que bien que la gestion et l'utilisation des traplines se fait d'une manière indépendante par clan familial, une vision communautaire du territoire existe et pourrait permettre la création d'une réserve aquatique d'un seul tenant, acceptée et partagée par les gens de Waswanipi.
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La participation citoyenne comme idéal éthique : intégrer les autochtones aux projets de recherche : le cas de l'Enquête de santé du Nunavik

Paquette-Dioury, Aisha 16 April 2018 (has links)
Dans le milieu de la recherche en santé autochtone, on fait de plus en plus pression pour que soient mis en place des processus de recherche participatifs. La recherche participative permettrait, entre autres, d'améliorer les relations houleuses entre équipes de recherche et groupes autochtones, et de favoriser le développement d'un pouvoir d'agir (empowerment). Par le passé, des abus de la part de certains chercheurs ont provoqué l'humiliation de groupes autochtones et la méfiance de l'ensemble de ces derniers face à la recherche. Toutefois, les enjeux de santé spécifiques aux communautés autochtones rendent nécessaire la poursuite de recherche et donc impérative la réconciliation entre chercheurs et Autochtones. Le présent mémoire présente l'étude de cas d'une initiative de recherche participative en santé auprès des Inuit: l'enquête Qanuippitaa semble avoir trouvé un moyen d'arriver à cette réconciliation. La mise en place d'un comité consultatif composé d'Inuit et de Blancs et l'embauche de plusieurs Inuit pour la collecte de données ont démontré que la mise en place de mécanismes de participation favorise le développement d'un pouvoir d'agir (empowerment) au sein de la communauté.
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Répondre en citoyen ordinaire: enquête sur les engagements profanes dans un dispositif d'urbanisme participatif à Bruxelles / Responding as an ordinary citizen

Berger, Mathieu 19 June 2009 (has links)
Cette thèse est le résultat de quatre années d’enquête ethnographique passées à observer, à enregistrer et à décrire les activités de commissions participatives de revitalisation urbaine en Région de Bruxelles-Capitale :les CLDI (Commissions Locales de Développement Intégré). Sur base de ce matériau ethnographique, je me suis intéressé à la stratification des contextes de communication en assemblée (dimensions institutionnelle, écologique, dialogique, historique), et à la manifestation de compétences et d’incompétences communicationnelles d’ordres différents dans les prises de parole des participants non spécialistes de ces assemblées (les « simples habitants », les « citoyens ordinaires », les « profanes »). Comme beaucoup d’autres l’ont déjà fait remarquer, dans l’environnement technocratique de ces commissions, où les titres de spécialistes ont déjà été décernés à l’élu, au chef de projet, à l’expert urbaniste, à l’association spécialisée (.), il est particulièrement incommode pour des participants profanes de faire agir une parole -au sens où l’entend la théorie des actes de discours. Privilégier une approche logocentrique dans l’analyse des matériaux, étudier exclusivement la « grammaire symbolique » (propositionnelle, figurative, discursive.) d’activités publiques systématiquement troublées par les interventions malheureuses de profanes semble conduire l’analyste à répéter continuellement le constat de l’incompétence de ces derniers, et à accréditer une sociologie de la domination, immédiatement critique de ces initiatives de démocratisation. En me référant à l’interactionnisme réaliste et naturaliste de Goffman, et à la lecture que fait Jean-Marc Ferry de la sémiotique peircienne (qui distingue les « symboles » des « indices » et des « icônes »), je montre que la voie empruntée avec le plus de succès par les profanes dans ces assemblées consiste à accentuer l’ordinarité de leurs engagements non pas en « montant en généralité » dans leurs propositions, mais au contraire en désertant le monde spécialisé et officiel des discours, en investissant les modes de signification infrasymboliques de l’ « iconique » et de l’ « indiciel », en jouant, en deçà d’une « grammaire discursive », de codes logiques respectivement « associatifs » et « imputatifs ». (Ferry, 2007). Plutôt que par l’intégration discursive de symboles (proposer, définir, conceptualiser, argumenter.), la contribution heureuse de non spécialistes à ces espaces de démocratie technique passerait par l'opération plus archaïque consistant à agencer provisoirement des icônes (associer, évoquer, rappeler, immiter.) et des indices (indiquer, montrer, pointer, signaler, adresser.). Prendre au sérieux ces formes de compétences primitives dans le cas d’acteurs politiques non spécialistes, c’est aussi pointer l’émergence d’une critique ordinaire qui serait dotée d’une certaine factualité. Plutôt que d’avancer un avis subjectif sur le discours objectif d’un expert urbaniste, un « simple habitant » peut lui même récolter, produire et publier ses « données », ses « objets », ses « images » - dans un espace public défini alors comme lieu d’interobjectivité –à partir des icones et des indices dont regorgent les situations de coprésence (ex :un habitant pointe de l’index l’attitude méprisante d’un élu) et les aventures collectives (ex :un habitant rappelle à l’expert ses propres propos en exhibant le procès-verbal de la réunion précédente et en le citant). Se dessine alors la figure d’un citoyen procédural attaché à l’ordre civil élémentaire de l’action conjointe et de l’expérience partagée :une figure essentielle, à mon sens, dans les dispositifs de concertation que nous connaissons aujourd’hui ;une figure pourtant négligée jusqu’ici par les philosophes et les sociologues de la démocratie. / Doctorat en sciences sociales, Orientation sociologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Contribution des regards citoyens dans le cadre d'une démarche de prospective paysagère en milieu périurbain

Bergeron, Julie 06 1900 (has links)
Au moment où les territoires périurbains se transforment rapidement sous l’impulsion des stratégies de développement de l’industrie immobilière, les préoccupations sociales en matière de qualité des paysages et des cadres de vie se font de plus en plus grandes. Devant ces enjeux, les actions aménagistes privilégient le plus souvent des solutions à partir d’un regard « expert » généralement étranger aux demandes sociales en présence. Devant l’insuffisance des connaissances des regards citoyens, il y a une urgence à développer des méthodes originales aptes à révéler ce savoir local. Une enquête menée à l’automne 2009 à Saint-Bruno-de-Montarville, sur la Rive-Sud de Montréal, révèle la pertinence d’une approche anthropologique sous-utilisée et novatrice en particulier pour les recherches en aménagement : celle du « récit-parcours ». Permettant un accès privilégié aux récits ancrés aux lieux de vies, cette méthode a permis de susciter des discours singuliers et collectifs sur le territoire, de révéler des propos sur les imaginaires portés sur la ville et d’offrir un espace d’expression des préoccupations, des valorisations et des aspirations des résidants. Les résultats de l’enquête à cet effet sont concluants : ce que nous révèlent les résidants de par leurs expériences vécues des lieux et leurs cheminements spatiaux est incontestablement riche et pertinent pour la compréhension des enjeux collectifs d’un milieu. Les logiques existantes derrière les transformations de ces territoires bénéficieraient grandement de ce savoir localisé, complexe et ingénieux dont dispose les résidants de la géographie, de l’environnement, de l’urbanisation et des caractéristiques sociales de leur ville. Ce faisant, le territoire change alors de statut : d’un objet d’évaluation experte, il devient une mise en scène dynamique où s’inscrivent des fragments significatifs d’histoires faisant référence à l’expérience du vécu quotidien, mais aussi, à la potentialité des lieux. Par le biais d’une telle démarche et en conjonction avec des méthodes participatives, il devient possible d’engager une véritable réflexion plurielle envers l’avenir des territoires périurbains, en résonance avec les aspirations locales. / While suburbs are being transformed at an alarming rate, under the pressures of the Real estate industry’s development strategies, social concerns regarding the quality of life and the resulting landscapes are currently on the rise. With these challenges to bear, stakeholders usually employ solutions from an "expert" perspective that remain impervious to existing social conditions and demands. Given the lack of knowledge from the citizens’ perspectives, there is an urgent need for developing novel methods that are capable of bringing forth this local knowledge. A survey conducted in fall 2009 with residents of Saint-Bruno-de-Montarville, on the south shore of Montreal, revealed the strength of an under-used and innovative method: the go-along. This method has demonstrated a particularly interesting technique to grasp the way dwellers qualify, imagine, value and move through their locality. Allowing privileged access to biographies and giving rise to improvised paths, the method has enabled placed-based narratives and has lead to an opening for expressing concerns, valuations and aspirations of citizens towards their community. In doing so, landscapes shift from expert evaluation to a dynamic scene where significant fragments of individual stories are told in relation to the experience of places in the everyday life. The study results conclude that the residents’ narratives and knowledge are undeniably rich and relevant to comprehending collective landscape issues and values. The existing logics and processes behind suburban landscape transformations would highly benefit from the collective wealth of dwellers’ extensive, situated and complex knowledge of the city’s geography, politics, economy and sociology. Furthermore, it can lead way to community participatory projects engaging multiple actors within a collective multifaceted reflection on the future of suburbs and the actions that should be taken towards a better future.

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