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La nature dans l’oeuvre de Colette.Coultis, Rosa Jane Blanche. January 1949 (has links)
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Le je(u) de l'écriture et l'enjeu autofictionnel dans La naissance du jour, de ColetteDamaceno, Taiane Meirelles January 2016 (has links)
Le présent mémoire a pour but de procéder à une étude de l’oeuvre La Naissance du Jour, de Colette, parue en 1928. Pour atteindre cet objectif, un parcours de trois chapitres a été proposé. D’abord, les données biographiques et bibliographiques sont mises en évidence, lors du premier chapitre. Dans le second chapitre, l’analyse de l’oeuvre é réalisée, à la lumière de ses composants, ses thèmes et ses éléments fondamentaux. Les réflexions principales éveillées lors de la lecture de l’oeuvre sont exposées dans le dernier chapitre. Les observations originaires de l’appréhension de ce parcours d’analyse tiennent à montrer que La Naissance du Jour suscite une discussion notable sur le « réel » et le « fictionnel » à travers la confrontation des genres autobiographique et autofictionnel et le traitement spécifique de la catégorie espace-temps. D’après les différentes conceptions d’écriture dégagées de l’oeuvre colettienne, nous arrivons à comprendre l’acte d’écrire chez Colette comme un jeu de sensations et de sens où le sujet, le « je », est immergé dans un miroir de langage, par lequel il se (re)construit. / Esta dissertação tem por objetivo proceder ao estudo da obra La Naissance du Jour, de Colette, publicada em 1928. Para tanto, foi proposto um percurso de três capítulos. Primeiramente, os dados biográficos e bibliográficos são evidenciados no primeiro capítulo. No segundo capítulo, a análise da obra se faz, à luz de seus componentes, temas e elementos fundamentais. As principais reflexões despertadas durante a leitura da obra são apresentadas no último capítulo. As considerações originadas por este percurso de análise mostram que a obra suscita uma importante discussão sobre o “real” e o “ficcional”, por meio da confrontação dos gêneros autobiográfico e autoficcional e o tratamento específico da categoria espaço-tempo. De acordo com as diferentes concepções de escrita obtidas na obra de Colette, nós podemos chegar à compreensão do ato de escrever como um jogo de sensações e de sentidos em que o sujeito, “eu”, permanece imerso em um espelho de linguagem, pelo qual ele se (re)constrói.
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Le je(u) de l'écriture et l'enjeu autofictionnel dans La naissance du jour, de ColetteDamaceno, Taiane Meirelles January 2016 (has links)
Le présent mémoire a pour but de procéder à une étude de l’oeuvre La Naissance du Jour, de Colette, parue en 1928. Pour atteindre cet objectif, un parcours de trois chapitres a été proposé. D’abord, les données biographiques et bibliographiques sont mises en évidence, lors du premier chapitre. Dans le second chapitre, l’analyse de l’oeuvre é réalisée, à la lumière de ses composants, ses thèmes et ses éléments fondamentaux. Les réflexions principales éveillées lors de la lecture de l’oeuvre sont exposées dans le dernier chapitre. Les observations originaires de l’appréhension de ce parcours d’analyse tiennent à montrer que La Naissance du Jour suscite une discussion notable sur le « réel » et le « fictionnel » à travers la confrontation des genres autobiographique et autofictionnel et le traitement spécifique de la catégorie espace-temps. D’après les différentes conceptions d’écriture dégagées de l’oeuvre colettienne, nous arrivons à comprendre l’acte d’écrire chez Colette comme un jeu de sensations et de sens où le sujet, le « je », est immergé dans un miroir de langage, par lequel il se (re)construit. / Esta dissertação tem por objetivo proceder ao estudo da obra La Naissance du Jour, de Colette, publicada em 1928. Para tanto, foi proposto um percurso de três capítulos. Primeiramente, os dados biográficos e bibliográficos são evidenciados no primeiro capítulo. No segundo capítulo, a análise da obra se faz, à luz de seus componentes, temas e elementos fundamentais. As principais reflexões despertadas durante a leitura da obra são apresentadas no último capítulo. As considerações originadas por este percurso de análise mostram que a obra suscita uma importante discussão sobre o “real” e o “ficcional”, por meio da confrontação dos gêneros autobiográfico e autoficcional e o tratamento específico da categoria espaço-tempo. De acordo com as diferentes concepções de escrita obtidas na obra de Colette, nós podemos chegar à compreensão do ato de escrever como um jogo de sensações e de sentidos em que o sujeito, “eu”, permanece imerso em um espelho de linguagem, pelo qual ele se (re)constrói.
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Le je(u) de l'écriture et l'enjeu autofictionnel dans La naissance du jour, de ColetteDamaceno, Taiane Meirelles January 2016 (has links)
Le présent mémoire a pour but de procéder à une étude de l’oeuvre La Naissance du Jour, de Colette, parue en 1928. Pour atteindre cet objectif, un parcours de trois chapitres a été proposé. D’abord, les données biographiques et bibliographiques sont mises en évidence, lors du premier chapitre. Dans le second chapitre, l’analyse de l’oeuvre é réalisée, à la lumière de ses composants, ses thèmes et ses éléments fondamentaux. Les réflexions principales éveillées lors de la lecture de l’oeuvre sont exposées dans le dernier chapitre. Les observations originaires de l’appréhension de ce parcours d’analyse tiennent à montrer que La Naissance du Jour suscite une discussion notable sur le « réel » et le « fictionnel » à travers la confrontation des genres autobiographique et autofictionnel et le traitement spécifique de la catégorie espace-temps. D’après les différentes conceptions d’écriture dégagées de l’oeuvre colettienne, nous arrivons à comprendre l’acte d’écrire chez Colette comme un jeu de sensations et de sens où le sujet, le « je », est immergé dans un miroir de langage, par lequel il se (re)construit. / Esta dissertação tem por objetivo proceder ao estudo da obra La Naissance du Jour, de Colette, publicada em 1928. Para tanto, foi proposto um percurso de três capítulos. Primeiramente, os dados biográficos e bibliográficos são evidenciados no primeiro capítulo. No segundo capítulo, a análise da obra se faz, à luz de seus componentes, temas e elementos fundamentais. As principais reflexões despertadas durante a leitura da obra são apresentadas no último capítulo. As considerações originadas por este percurso de análise mostram que a obra suscita uma importante discussão sobre o “real” e o “ficcional”, por meio da confrontação dos gêneros autobiográfico e autoficcional e o tratamento específico da categoria espaço-tempo. De acordo com as diferentes concepções de escrita obtidas na obra de Colette, nós podemos chegar à compreensão do ato de escrever como um jogo de sensações e de sentidos em que o sujeito, “eu”, permanece imerso em um espelho de linguagem, pelo qual ele se (re)constrói.
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L'En-Amour, dialogue avec l'oeuvre de ColetteFreytag, Aurélie 12 1900 (has links)
Cet essai fut écrit sur le mode de la promenade, d’une promenade accompagnée par les voix, des voix. Parmi elles, celle de Colette, de certains de ses personnages, celles contenues en moi. L’écriture a été libre, a tenté de l’être au moins, en se séparant de l’idée qu’un but précis, qu’une destination finale devait être atteinte. Il s’agissait de me laisser guider par l’errance des mots, par le rythme que prend la plume quand elle pense. De Colette, je ne dis rien, ou presque. Mon but étant de l’entendre, c’est en tant que lectrice que j’ai pris place dans cette réflexion, lectrice amoureuse, c’est-à-dire, guidée par l’En-Amour, conçu comme personnage conceptuel. C’est donc de ce point de vue que les textes ont été abordés, afin de laisser place à la vie, à la mouvance, à ce qui grouille dans l’œuvre colettienne. De cette manière, il me semblait possible d’entrer réellement en relation avec les personnages, mais aussi avec la représentation que je me faisais de l’auteure. Il me fallait garder la poésie de l’écriture de Colette, y entrelacer la mienne et tenter ainsi de donner des mots à une sorte de silencieuse oralité. Et le chemin s’est poursuivi, jusqu’à une vérité relative, vérité de l’En-Amour, donnée et mise en forme par les récits colettiens et leurs sous-entendus. De cette façon, je voyais la possibilité de redonner foi et valeur au(x) discours amoureux comme potentiel(s) de vérité. / This essay was written in the manner of a stroll, a stroll in the company of voices. Among them: Colette’s, certain of her characters’ and my very own inner voices. The writing process was a free-form one, tried to be so at least, separating itself from the idea of a precise goal or final destination to be reached. It was to be guided by the roaming of the words themselves instead, by the rhythm animating the pen when it is thinking. Of Colette, I say nothing, or barely. My objective being to hear her, it’s as a reader that I positioned myself thinking, as a loving reader guided by l’En-Amour, conceived as a conceptual character. The texts have thus been addressed from such a particular point of view, to let life, movement and all that sprouts in the colettian oeuvre its space to bloom. In such manner, it appeared possible to truly relate to both the characters and my own representation of the author. I had to keep alive the poetry of Colette’s writing, intertwining mine along with it, in an attempt to word a kind of unspoken oral form. And the path continued further along, up to a relative truth, the truth of l’En-Amour, given and shaped by the colettian narratives and their understated meanings. This way, I saw the possibility of valuing and renewing faith in a (the) discourse(s) of love as potential truth.
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L'En-Amour, dialogue avec l'oeuvre de ColetteFreytag, Aurélie 12 1900 (has links)
Cet essai fut écrit sur le mode de la promenade, d’une promenade accompagnée par les voix, des voix. Parmi elles, celle de Colette, de certains de ses personnages, celles contenues en moi. L’écriture a été libre, a tenté de l’être au moins, en se séparant de l’idée qu’un but précis, qu’une destination finale devait être atteinte. Il s’agissait de me laisser guider par l’errance des mots, par le rythme que prend la plume quand elle pense. De Colette, je ne dis rien, ou presque. Mon but étant de l’entendre, c’est en tant que lectrice que j’ai pris place dans cette réflexion, lectrice amoureuse, c’est-à-dire, guidée par l’En-Amour, conçu comme personnage conceptuel. C’est donc de ce point de vue que les textes ont été abordés, afin de laisser place à la vie, à la mouvance, à ce qui grouille dans l’œuvre colettienne. De cette manière, il me semblait possible d’entrer réellement en relation avec les personnages, mais aussi avec la représentation que je me faisais de l’auteure. Il me fallait garder la poésie de l’écriture de Colette, y entrelacer la mienne et tenter ainsi de donner des mots à une sorte de silencieuse oralité. Et le chemin s’est poursuivi, jusqu’à une vérité relative, vérité de l’En-Amour, donnée et mise en forme par les récits colettiens et leurs sous-entendus. De cette façon, je voyais la possibilité de redonner foi et valeur au(x) discours amoureux comme potentiel(s) de vérité. / This essay was written in the manner of a stroll, a stroll in the company of voices. Among them: Colette’s, certain of her characters’ and my very own inner voices. The writing process was a free-form one, tried to be so at least, separating itself from the idea of a precise goal or final destination to be reached. It was to be guided by the roaming of the words themselves instead, by the rhythm animating the pen when it is thinking. Of Colette, I say nothing, or barely. My objective being to hear her, it’s as a reader that I positioned myself thinking, as a loving reader guided by l’En-Amour, conceived as a conceptual character. The texts have thus been addressed from such a particular point of view, to let life, movement and all that sprouts in the colettian oeuvre its space to bloom. In such manner, it appeared possible to truly relate to both the characters and my own representation of the author. I had to keep alive the poetry of Colette’s writing, intertwining mine along with it, in an attempt to word a kind of unspoken oral form. And the path continued further along, up to a relative truth, the truth of l’En-Amour, given and shaped by the colettian narratives and their understated meanings. This way, I saw the possibility of valuing and renewing faith in a (the) discourse(s) of love as potential truth.
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