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De l’espace-diaspora indien à la confluence des rapports sociaux : cinéastes et héroïnes d'une communauté imaginée

Mesana, Virginie January 2014 (has links)
Dans les industries filmiques majoritaires encore dominées par des voix et des regards masculins, la production des réalisatrices, notamment en diaspora, demeure souvent méconnue. Cette recherche étudie le cas des cinéastes en diaspora indienne et le regard que celles-ci portent sur leurs sociétés d’origine et hôte. L’objectif est d’examiner les mécanismes discursifs de production filmique et la circulation de leurs films en festival à l’occasion de leur premier visionnement. Nous cernons ainsi comment les réalisatrices participent de la formation de la diaspora indienne entendue comme une « communauté imaginée » et rendent compte de l’appartenance genrée à celle-ci. Notre thèse s’articule alors autour de la question suivante : comment la mise en scène d’héroïnes en diaspora contribue-t-elle à produire des récits alternatifs constitutifs d’un imaginaire de l’espace-diaspora indien? Alors que la production des réalisatrices n’appartient à aucune des industries filmiques majoritaires (Bollywood et Hollywood), tout en empruntant certains de leurs référents et influences, elle se situe dans un entredeux filmique que nous examinons à la lumière des dimensions « matérielle et idéelle » de leurs pratiques cinématographiques. Celles-ci étant comprises au titre d’« imagination comme pratique sociale », nous prêtons plus spécifiquement attention à l’exercice de monstration de rapports sociaux consubstantiels de sexe, ethniques et de classe, en et hors diaspora, au sein des sociétés hôtes nord-américaines qu’elles dépeignent. Pour ce faire, nous mobilisons une approche méthodologique qualitative articulant l’analyse de données de trois ordres : 1. l’analyse d’un corpus de dix films réalisés par des cinéastes en diaspora indienne en Amérique du Nord ; 2. une série de six entretiens semi-dirigés avec leurs auteures ; 3. une observation à dimension participative du festival de films de la diaspora indienne à New York (NYIFF) à deux reprises, en 2012 et en 2013. Notre encadrement théorique tire profit du croisement conceptuel de plusieurs contributions issues de trois champs d’étude, soit des apports théoriques en sociologie de la culture et des Cultural Studies, des contributions en sociologie des relations ethniques et des travaux féministes sur la consubstantialité des rapports sociaux. Cet encadrement théorique inusité nous permet d’analyser les pratiques des réalisatrices en diaspora indienne et d’entrevoir leurs (re)positionnements au sein de relations sociales majoritaires/minoritaires, donnant lieu à l’expression d’un « majoritaire idéalisé » en diaspora et à l’expérience d’un « entre-majoritaires ».
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Out here it is different - The California Camera Club and community imagination through collective photographic practices : toward a critical historiography, 1890-1915 / Out here it is different - Le California Camera Club et l’imagination d’une communauté à travers les pratiques collectives de la photographie : vers une historiographie critique, 1890-1915

Görgen, Carolin 28 September 2018 (has links)
Le California Camera Club, un collectif de photographes amateurs et professionnels actif à San Francisco notamment entre 1890 et 1915, est une organisation constamment marginalisée dans l’histoire de la photographie et de l’Ouest américain. En adoptant une double approche d’histoire culturelle et matérielle, cette thèse éclaire une gamme d’activités et de productions de ce club largement inconnu, qui ont contribué à forger l’identité d’une communauté éloignée de l’Ouest. Par son approche inclusive, réunissant plus de 400 membres en 1900, le club doit être considéré comme une organisation localement ancrée, qui se sert de la photographie pour produire un récit esthétiquement attirant et historiquement cohérent de la ville et de l’État. Malgré son chevauchement chronologique avec le pictorialisme et son ambition de faire reconnaître le médium parmi les beaux-arts, le corpus du club ne peut être inséré dans un canon d’histoire de l’art de la photographie. En se basant sur diverses stratégies de diffusion et d’exposition, les membres adoptent plutôt une approche collective qui transforme l’aspiration à la reconnaissance en un désir de légitimation régionale. À travers une analyse de pratiques photographiques, d’usages et d’itinéraires des objets, cette thèse retrace la construction d’une représentation idiosyncratique de la culture et de l’histoire californiennes par un club qui participe à la conquête d’une place légitime pour l’État sur la scène nationale. En mettant l’accent sur la dimension collective de la photographie, cette analyse montre comment sa pratique dans un territoire isolé mène à la construction imaginaire d’une communauté dotée d’une compréhension commune de ses valeurs esthétiques et de son histoire. L’enjeu de cette thèse est ainsi de réviser un schéma linéaire et étroit de l’histoire de la photographie en élargissant les perspectives géographiques, socioculturelles et archivistiques / The California Camera Club, a collective of amateur and professional photographers, most active in San Francisco between 1890 and 1915, represents a constantly marginalized organization in the history of photography and of the American West. By adopting a two-fold cultural-historical and material approach, this thesis sheds light on a largely unknown variety of Club activities and productions that served as meaningful elements to forge the identity of a remote Western community. Through its inclusive outlook, unifying more than 400 members in 1900, the Club must be considered a locally embedded organization that mobilized photography to produce an aesthetically pleasing and historically coherent narrative of the city and the state. Despite its chronological position in the period of Pictorialism and the striving for institutional recognition, the Club corpus cannot be inserted into an art-historical canon of photography. Rather, by drawing on diverse strategies of dissemination and exhibition, the members adopted a collective approach to the medium that turned the striving for institutional recognition into a desire for regional legitimation. Through an examination of photographic practices, uses, and object trajectories, this thesis traces the construction of an idiosyncratic representation of Californian culture and history by the Club, which actively assisted the state’s search for a legitimate national place. By focusing on the collective dimension of photography, the analysis demonstrates how the practice in an isolated territory led to the imagination of a community with shared aesthetic and historical understandings. The object of this thesis is to revise both linear and narrow tropes in the history of photography by broadening its geographic, sociocultural, archival perspectives
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La cérémonie du Bounty Day : l’histoire des révoltés du Bounty comme récit fondateur sur les îles de Pitcairn et Norfolk et ses représentations en Occident

Giuge, Paola 08 1900 (has links)
Cette étude s’attache à analyser deux performances symboliques ayant cours sur les îles de Pitcairn et de Norfolk dans le Pacifique Sud. Les habitants de ces deux îles séparées par 6000km de distance partagent tout d’abord un événement historique ayant eu lieu en 1789, la révolte du Bounty, rendue célèbre par des réalisations cinématographiques hollywoodiennes et de nombreux ouvrages ; et également un rattachement à cette histoire et à leur filiation avec ces mutins qui prennent forme dans une performance annuellement répétée qu’ils nomment : le Bounty Day. Ici, nous verrons comment l’identité émerge de la manipulation de faits historiques, pour saisir non seulement l’importance du processus de construction identitaire, mais comment cette macro-identité influence certains aspects du micro-vécu. « L’histoire », dans l’analyse qui sera proposée, est un domaine rhétorique et un ensemble de valeurs qui lient les individus non seulement à un monde oublié mais à un monde invisible, à l’Autre lointain, inconnu et donc potentiellement menaçant. / This study focuses on the analysis of two symbolic performances occurring on the islands of Pitcairn and Norfolk in the South Pacific. The people who live on those two islands, separated by 6000 km, share a particular bond: through a historic event which took place in 1789, the Bounty mutiny, which was made famous by several well-known Hollywood film productions and by numerous books. They are joined by this story and by their heritage, as they share common ancestors, the mutineers. both also commemorate every year the mutiny and subsequent events by, a special ceremony : Bounty Day. This study shows how a specific identity emerges from the manipulation of the historical facts, which not only bears witness to the importance of the identity building process itself, but also how this macro-identity influences some aspects of everyday life on the individual level. Their “story”, in the following study, concerns a rhetorical purview and the enactment of a set of values that tie individuals not only to a forgotten world, but also to an invisible one, to the distant Other, unknown and potentially harmful.
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La cérémonie du Bounty Day : l’histoire des révoltés du Bounty comme récit fondateur sur les îles de Pitcairn et Norfolk et ses représentations en Occident

Giuge, Paola 08 1900 (has links)
Cette étude s’attache à analyser deux performances symboliques ayant cours sur les îles de Pitcairn et de Norfolk dans le Pacifique Sud. Les habitants de ces deux îles séparées par 6000km de distance partagent tout d’abord un événement historique ayant eu lieu en 1789, la révolte du Bounty, rendue célèbre par des réalisations cinématographiques hollywoodiennes et de nombreux ouvrages ; et également un rattachement à cette histoire et à leur filiation avec ces mutins qui prennent forme dans une performance annuellement répétée qu’ils nomment : le Bounty Day. Ici, nous verrons comment l’identité émerge de la manipulation de faits historiques, pour saisir non seulement l’importance du processus de construction identitaire, mais comment cette macro-identité influence certains aspects du micro-vécu. « L’histoire », dans l’analyse qui sera proposée, est un domaine rhétorique et un ensemble de valeurs qui lient les individus non seulement à un monde oublié mais à un monde invisible, à l’Autre lointain, inconnu et donc potentiellement menaçant. / This study focuses on the analysis of two symbolic performances occurring on the islands of Pitcairn and Norfolk in the South Pacific. The people who live on those two islands, separated by 6000 km, share a particular bond: through a historic event which took place in 1789, the Bounty mutiny, which was made famous by several well-known Hollywood film productions and by numerous books. They are joined by this story and by their heritage, as they share common ancestors, the mutineers. both also commemorate every year the mutiny and subsequent events by, a special ceremony : Bounty Day. This study shows how a specific identity emerges from the manipulation of the historical facts, which not only bears witness to the importance of the identity building process itself, but also how this macro-identity influences some aspects of everyday life on the individual level. Their “story”, in the following study, concerns a rhetorical purview and the enactment of a set of values that tie individuals not only to a forgotten world, but also to an invisible one, to the distant Other, unknown and potentially harmful.
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La fabrique des imaginaires de l’altérité dans les biennales internationales d’art contemporain depuis 1989 / Otherness as an imagined community in the contemporary international art biennials since 1989

Fetnan, Rime 06 June 2019 (has links)
Cette thèse vise à interroger la façon dont les biennales internationales d’art contemporain, en tant qu’événements culturels et premiers temps d’historicisation des oeuvres et des artistes, contribuent à la fabrique des imaginaires de l’altérité. Le cadrage chronologique de notre recherche s’ancre à partir de 1989, date qui correspond à un « tournant global », un changement de paradigme qui aurait eu pour effet de repenser les rapports de domination et les logiques de centre/périphérie, notamment dans le champ de l’art contemporain. L’internationalisation de l’art contemporain et le renouvellement des cadres de pensées que l’on rattache au « tournant global » ont donné lieu à l’émergence d’un processus de labellisation de la différence, dont témoignent des catégories artistiques et esthétiques telles que « art non-occidental » ou « art global », porteuses d’imaginaires renouvelés que ce travail de recherche entend analyser. Notre démarche, qui s’appuie sur un corpus de six expositions ayant marqué le champ des événements culturels internationaux, est volontairement pluridisciplinaire et vise à considérer l’hétérogénéité du matériel qui compose ces expositions. En premier lieu, la mise en lumière des discours expographique résulte de l’analyse conjointe de trois composantes : les écrits, à partir desquels nous proposons une typologie spécifique qui considère la fois les intentions qui président à leur production et les usages qui en sont faits ; les pratiques artistiques, qui dans le cadre des biennales sont au service du discours expographique ; et les gestes de mise en exposition qui sont propres au dispositif médiatique spécifique des biennales. En deuxième lieu, la réalisation d’entretiens et la collecte d’archives ont permis de circonscrire le contexte d’énonciation et l’intentionnalité des événements. En tant que dispositif médiatique à part entière, le catalogue d’exposition a également donné lieu à une méthodologie adaptée à l’ensemble des éléments (discursifs et non discursifs) qui le caractérise. Plus particulièrement, les écrits de connaissances que l’on y trouve ont fait l’objet d’une analyse sémiolinguistique permettant de mettre en lumière les processus de concrétisation des concepts, et donc de saisir les imaginaires et valeurs qui sont attachés. L’approche privilégiée pour analyser ce corpus permet ainsi d’articuler à la fois les spécificités de chaque exposition (c'est-à-dire leur individuation à travers l’articulation de leur concept et de leur dispositif) et leur inscription dans un réseau (en tant que résultat d’un processus de réécriture), vis-à-vis du thème de l’altérité. / This research aims to examine how contemporary international art biennials, considered as cultural events and as first step in the historicization process of works and artists, contribute to the making of « otherness » as an imagined community. The chronologic frame of our research is anchored in 1989, which correspond to the « global turn », a shift of paradigm that would have led to the rethinking of domination relationship and the logic center/periphery, especially in the field of contemporary art. The internationalization of contemporary art and the renewal of the frameworks of thought that are often connected with the global turn have led to a process of labeling the difference, as evidenced by artistic and aesthetic categories such as « non-western art » or « global art » that carry renewed representations that this research intends to analyze. Our approach, which is based on a corpus of six exhibitions that have marked the field of international cultural events, is deliberately multidisciplinary and aims to consider the heterogeneity of the material that composes these exhibitions. First, we highlight the expographic discourses from the analysis of three components : the writings, from which we propose a specific typology that considers both the intentions that preside over their production and the uses that are made of them ; artistic practices, which in the context of biennials are at the service of the expographic discourse ; and the gestures of exhibitions which are characteristics of the specific media device of the biennials. Secondly, interviews and the collect of archival documents have led us to circumscribe the context of enunciation and the intentionality of the events. As a media device in its own right, the exhibition catalog also gave rise to a metholody adapted to all the elements (discursive and non-discursive) that characterize it. More particularly, the writings of knowledge have been the subject of semiolinguistic analysis to highlight the processes of concretization of concepts, and thus have led us to grasp the artistic values that are attached to the imagined otherness. The preferred approach to analyze this corpus thus makes it possible to articulate the specificities of each exhibition (i.e their individuation through the articulation of their concept and their device), and their inscription in a network (as a result of a process of rewriting) at the same time.
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«Moi j’suis pas francophone!» : discours, pratiques langagières et représentations identitaires d’élèves de francisation à Vancouver

Levasseur, Catherine 01 1900 (has links)
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