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Identités linguistiques et représentations des langues en usage en Algérie (Enquête auprès de jeunes algériens en France et en Algérie). / Linguistic identities and representations of the languages in use throughout Algeria (a sociolinguistic study with young Algerians in France and in Algeria)

Dahou, Chahrazed 27 November 2017 (has links)
Cette recherche opère un renversement du mode de construction de l’objet de la recherche en sciences du langage. Elle tente de comprendre, à travers une enquête sociolinguistique par entretiens, le rapport subjectif de jeunes locuteurs algériens à l’égard de leurs langues (algérienne, arabe, tamazight, français). Bien que les attitudes à l’égard de ces langues se sont imposées à l’analyse pour préciser le statut particulièrement complexe des langues en usage en Algérie, cette recherche tente plus particulièrement de comprendre un rapport souvent considéré comme allant de soi : le rapport subjectif à leur langue dite de « religion », « la langue arabe » (sans autre précision). Nombreuses sont les questions qui ont animées l’enquête sociolinguistique et anthropologique à partir de laquelle part le questionnement centré sur le mythe du sacré dans la langue arabe.Intrinsèquement liée au Coran, ce corps d’une ‘Umma imaginaire à laquelle tout algérien s’imagine appartenir ou ne pas appartenir, la langue arabe suscite des positionnements ambivalents chez ses tenants : quelles sont les positions subjectives d’étudiants algériens motivés par la réussite, mus par leurs rêves, à l’égard de la langue arabe de religion ? La dimension diglossique qui inspire les désignations fluctuantes « langue/dialecte » entraineraient-elles des spécificités chez les locuteurs arabophones et/ou berbérophones algériens ? Si oui, quelles attitudes et représentations renferme cette idéologie dieu-glossique ? Les locuteurs assument-ils la désignation « sacré » associée à la langue arabe ? Cet imaginaire linguistique (« langue d’Adam, du Paradis, pure, NOtre langue, langue de l’intercompréhension ») serait-il de nature à influencer les comportements linguistiques des locuteurs arabophones ? En effet, qui mieux qu’un locuteur arabophone pour expliquer le clivage entre une sorte de respect exagéré de la forme de ce qui est désignée « langue » d’un côté, en même temps, sa stigmatisation de l’autre ? Serait-ce de l’ordre du fétichisme de la langue ? Le traitement de ces questions révèle la manière dont chacun et chacune des jeunes locuteurs et locutrices algériennes interrogé.e.s exprime son rapport subjectif à sa langue de religion et de scolarisation : sublime pour l’un, horrible pour l’Autre, la langue sacrée a « plus d’un tour dans son sacre ». / This research operates a change in the mode of construction of research object in the sciences of Linguistics. It tries to understand, through an anthropological and sociolinguistic survey by interviews, the subjective relationship of young Algerian speakers with regard to their languages (Algerian, Arabic, Tamazight, French). Although attitudes towards these languages have been imposed on the analysis in order to clarify the particularly complex status of the languages used in Algeria, this research attempts more particularly to understand a relationship often taken for granted: the subjective relationship to their so-called language of "religion", "the Arabic language" (without further specification). Many questions have prompted the sociolinguistic and anthropological inquiry from which the questioning centered on the myth of the sacred in the Arabic language begins.Intrinsically linked to the Koran, this body of an imaginary Umma to which all Algerian Arabic and Berber speaker imagine belonging to or not, the Arabic language creates ambivalent positions among its speakers. What are the subjectives positions of Algerian students motivated by success, driven by their dreams, with regard to the Arabic language of religion? Does the multi-diglossic dimension that inspires the fluctuating positions ("language / dialect") designations lead to specificities among Algerian-speaking and / or Berber-speaking speakers? If so, what attitudes and representations contain this god-glossic ideology? Do the speakers assume the "sacred" designation associated with the Arabic language? Is the linguistic imagination (the language of Adam, of Paradise, pure, our language, the language of intercomprehension) likely to influence the linguistic behavior of Arabic speakers? Indeed, who better than an Arabic speaker to explain the cleavage between a kind of exaggerated respect for the form of what is designated "language" on one side, at the same time, its stigmatization on the other. Could it be the order of the fetishism of language? Answering these questions reveals how each of the young Algerian speakers interviewed expresses their subjective relationship to their language of religion and schooling: sublime for one, horrible for the Other, the sacred language has "More than one trick up its sleeve "
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Being anglophone : language, place and identity in Quebec's eastern townships

Vieira, Aimée January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Being anglophone : language, place and identity in Quebec's eastern townships

Vieira, Aimée January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Une construction du français à Douala-Cameroun

Feussi, Valentin 04 October 2006 (has links) (PDF)
Cette thèse s'est construite comme un travail visant à comprendre que les pratiques linguistiques inscrivent le locuteur dans un rapport d'altérité, par des phénomènes essentiellement sociaux et dynamiques. Ces dernières sont alors comprises comme des ressources de gestion relationnelle, des rites d'interaction. <br />Sur le plan méthodologique, la production d'observables s'est effectuée par des techniques classiques dans les sciences humaines et sociales, mais avec des adaptations pour le terrain : la participation observante, l'entretien compréhensif, des corpus non sollicités, mais aussi et surtout un travail sur l'expérience du terrain des acteurs de la recherche (enquêteur et témoins). Cette ouverture a permis de comprendre qu'il ne fallait pas s'accrocher à une démarche prédéfinie. Les approches ethnosociolinguistique et interprétiviste, nous sont alors apparues comme des démarches constructivistes, qui ont conduit à une dimension réflexive, grâce à la récursivité de la connaissance construite entre enquêteur, témoins et contextes de la recherche. <br />Se basant sur l'acceptation mutuelle des différents acteurs sociaux comme mode de vie, ce travail a revisité les concepts de norme et de communauté linguistique, et les a considérés comme des pratiques contextuelles. Le français dans ce cadre est apparu comme un ensemble de constructions représentationnelles (francanglais, bon français, « français personnalisé », mauvais français, français du quartier, français des enfants ou des apprenants). Les formes reconnues et privilégiées comme du français ou bien une autre langue, ont une pertinence contextuelle. Différents acteurs sont ainsi d'accord même sur les points de désaccord. Dans cette alchimie, le français du quartier, qui se présente dans la société doualaise, comme une pratique caractéristique à la fois de l'ouverture et du clivage social dans les rapports à autrui. Une des implications linguistiques de ces pratiques est l'ensemble des efforts pour l'appropriation du français qui, en étant la langue de jure, se présente comme un capital symbolique. Il donne du pouvoir, et permet d'accéder aux ressources rattachées au pouvoir. Parler français à Douala revient donc à revendiquer le pouvoir symbolique, c'est vouloir imposer SON français dans un contexte interactif, puisque LE français en soi n'existe pas. Il est simplement une langue en construction. <br />Le point essentiel à retenir de cette étude est que si la langue reste une construction sociale, la démarche pour y accéder ne peut occulter la contextualisation, avec les conséquences qui en découlent.
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Le conflit dialectique de la situation sociolinguistique en Algerie, de 1962 à nos jours / The dialectic conflict of the sociolinguistic in Algeria, from 1962 to the present day

Kebieche, Redouane 25 March 2016 (has links)
Cette recherche porte sur la situation sociolinguistique en Algérie et sur les conflits linguistiques qu’elle a connus de 1962 à nos jours. L’objet de notre thèse se situe au croisement des facteurs historiques, politiques, socioculturels et des enjeux éducatifs. Il s’agit de développer une approche sociolinguistique afin d’analyser un conflit dialectique devenu permanent. Une première partie de ce travail met en évidence des aspects de ce conflit générés par l’opposition binaire entre le colonisateur et le colonisé. Nous proposons un aperçu historique remontant à 1830, en nous basant sur des témoignages historiques relatifs à la naissance de ce conflit identitaire, socioculturel et linguistique. Une deuxième partie analyse la situation sociolinguistique de 1962 à nos jours, une nouvelle période qui a vu apparaître un autre type de conflit. Il s’agit là d’un conflit tripartite, cette fois entre trois communautés linguistiques (arabophone, francophone, berbérophone) et leurs relations complexes et ambiguës. Après avoir présenté et étudié la situation dans le Maghreb en général et en Algérie en particulier, nous cherchons à comprendre les phénomènes et les pratiques sociolinguistiques que l’on peut observer actuellement auprès de la population algérienne. Une troisième partie comporte une étude empirique des comportements linguistiques et de la perception des différentes langues sur le terrain. Nous l’avons effectuée à l’aide d’un questionnaire destiné aux trois communautés linguistiques qui nous a permis d’évaluer le paysage sociolinguistique de la société algérienne dans des situations formelles et informelles et dans le rapport entre la sphère privée et la sphère publique. Au travers de cette recherche nous nous interrogeons sur la tension instaurée par ce conflit dialectique d’ordre sociolinguistique, dans un pays en proie à des divergences historiques, politiques et socioculturelles, mis face aux conséquences des politiques éducatives controversés de ces dernières décennies. Notre recherche soulève la question des enjeux de l’idéologisation et de la politisation de la question linguistique, mettant au jour ses effets sur l’image des langues en présence dans les perspectives des locuteurs algériens. / The research undertaken in this thesis is centred on the conflictive sociolinguistic situation in Algeria from 1962 until the present day. The main focus of this study can be found at the crossroads of historical factors with political and sociocultural ones as well as with questions pertaining to education. The aim is to develop a sociolinguistic approach of a permanent dialectic conflict. The first part of the study puts to the fore elements that characterise this conflict in its binary dimension between coloniser and colonised. We propose a historical vision of events that go back to 1830, basing our work on historical accounts pertinent to the origins of a sociocultural and linguistic conflict of identity. The second part analyses the sociolinguistic situation from 1962 until the present, a new period that has witnessed the arrival of new forms of conflict of a threefold type in accordance to three components related to the three linguistic communities (Arab-speaking, French-speaking and Berber-speaking) and to the complex and ambiguous relationships they entertain with one another. After the presentation of this question as regards the wider field of North Africa, we centre our study specifically on Algeria and seek to understand the sociolinguistic phenomena and practices developed by Algerians. A third part is devoted to an empirical field study based on a questionnaire aimed at the three linguistic communities. This work has enabled us to evaluate the sociolinguistic landscape of Algerian society in formal and informal situations, and in the relationship between private and public space. This study questions the tensions arising from a sociolinguistic situation that evolved from historical, political, socio-cultural an educational reasons. It brings to light questions pertaining to a certain ideological and political use of the linguistic aspects of the country, highlighting the effects on the image of the languages concerned as regards the perspectives of Algerian speakers.

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