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La complémentation en créole martiniquais

Dionne, Claude 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une étude de la complémentation en créole martiniquais. Il est démontré que les complétives des verbes émotifs de cette langue ont des contraintes qui n'existent pas pour les complétives des verbes propositionnels. Par exemple, les complétives du verbe lé 'vouloir' ne peuvent pas recevoir toutes les marques de temps et de mode possibles dans les complétives du verbe di 'dire'. La coréférence entre les sujets n'a pas non plus des comportements identiques avec les deux classes de verbes. Ces différences subtiles existent même si le martiniquais n'a pas de complémenteur visible. Cette absence d'un complémenteur manifeste dans les complétives du martiniquais basilectal serait susceptible d'appuyer une analyse où les verbes sélectionnent des compléments de type IP plutôt que de type CP. Toutefois, la possibilité d'adjoindre des syntagmes aux complétives sélectionnées pourrait plutôt favoriser une analyse où le CP est éclaté en plusieurs projections. Un choix définitif entre ces analyses exigera probablement que le fonctionnement de la complémentation soit mieux compris, notamment ses liens avec les types de verbes et la modalité en général. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : classes de verbes, complémenteur nul, complétive, créole martiniquais, théorie syntaxique
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La complétive objet en chinois

Jiang, Shuaijun 07 December 2012 (has links) (PDF)
Notre thèse traite la complétive objet et ses prédicats introducteurs en chinois. Nous adoptons, dans l'ensemble, le cadre théorique du lexique-grammaire de Gross (1984) et dans l'analyse concrète, celle de la structure prédicative de Muller (2001). Elle est divisée en cinq chapitres. Dans le premier " Etat des lieux ", nous présentons la conception de la complétive en tant qu'un type de subordonnée et nous adoptons l'analyse de la dépendance énonciative de Muller (1996). Ensuite nous présentons quelques analyses qui intègre la sémantique dans l'analyse de la complétive. Le chapitre 2 a pour objectif de délimiter notre objet d'étude, qui inclut trois sous-types : la complétive propositionnelle, le complément verbal sans sujet syntaxique (l'équivalent de la complétive infinitive du français) et l'interrogative indirecte dont la spécificité sémantique est bien prise en compte.Dans le troisième chapitre nous étudions les propriétés de sélection des prédicats introducteurs de la complétive en chinois : celles concernant le complément nominal et verbal sans sujet syntaxique d'une part, et celle entre la complétive déclarative et l'II d'autre part, à propos de laquelle nous étudions aussi les éléments qui la modifient. Dans le chapitre 4 la complétive objet est mise en parallèles avec trois autre types de constructions qui partagent le même schéma de construction [(SN1) +SV1+SN2+SV2] avec elle et qui impliquent aussi une relation de dépendance entre deux prédicats, ce sont la construction à double complément, la construction à 2nd complément et la construction à contrôle objet. Nous tenterons de fournir quelques outils de distinction d'ordre lexical ou contextuel.Le chapitre 5 concerne les propriétés syntaxiques de la complétive objet. Nous discuterons d'abord du morphème 'shuo' à propos de son statut de 'conjonction émergente' et de quelques caractéristiques d'intégration sous le terme de " main clause phenomena ". Ensuite seront scrutés les verbes " recteurs faibles " dans les termes de Blanche-Benveniste (1988) qui s'avéreront assez similaires à leurs équivalents en français et en anglais. Enfin nous analyserons les références temporelles dans la construction complétive. Nous postulerons qu'elles se basent principalement sur la télicité des prédicats matrice et la sémantique de leurs arguments ; les marqueurs aspectuels -le, -guo et -zhe modifient cette interprétation par défaut selon leur sémantique propre. Et nous donnerons une analyse détaillée des contraintes de différents degrés imposées sur les différents types de prédicats.
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La complétive objet en chinois / The clausal object in Chinese

Jiang, Shuaijun 07 December 2012 (has links)
Notre thèse traite la complétive objet et ses prédicats introducteurs en chinois. Nous adoptons, dans l’ensemble, le cadre théorique du lexique-grammaire de Gross (1984) et dans l’analyse concrète, celle de la structure prédicative de Muller (2001). Elle est divisée en cinq chapitres. Dans le premier « Etat des lieux », nous présentons la conception de la complétive en tant qu’un type de subordonnée et nous adoptons l’analyse de la dépendance énonciative de Muller (1996). Ensuite nous présentons quelques analyses qui intègre la sémantique dans l’analyse de la complétive. Le chapitre 2 a pour objectif de délimiter notre objet d’étude, qui inclut trois sous-types : la complétive propositionnelle, le complément verbal sans sujet syntaxique (l’équivalent de la complétive infinitive du français) et l’interrogative indirecte dont la spécificité sémantique est bien prise en compte.Dans le troisième chapitre nous étudions les propriétés de sélection des prédicats introducteurs de la complétive en chinois : celles concernant le complément nominal et verbal sans sujet syntaxique d’une part, et celle entre la complétive déclarative et l’II d’autre part, à propos de laquelle nous étudions aussi les éléments qui la modifient. Dans le chapitre 4 la complétive objet est mise en parallèles avec trois autre types de constructions qui partagent le même schéma de construction [(SN1) +SV1+SN2+SV2] avec elle et qui impliquent aussi une relation de dépendance entre deux prédicats, ce sont la construction à double complément, la construction à 2nd complément et la construction à contrôle objet. Nous tenterons de fournir quelques outils de distinction d’ordre lexical ou contextuel.Le chapitre 5 concerne les propriétés syntaxiques de la complétive objet. Nous discuterons d’abord du morphème ‘shuo’ à propos de son statut de ‘conjonction émergente’ et de quelques caractéristiques d’intégration sous le terme de « main clause phenomena ». Ensuite seront scrutés les verbes « recteurs faibles » dans les termes de Blanche-Benveniste (1988) qui s’avéreront assez similaires à leurs équivalents en français et en anglais. Enfin nous analyserons les références temporelles dans la construction complétive. Nous postulerons qu’elles se basent principalement sur la télicité des prédicats matrice et la sémantique de leurs arguments ; les marqueurs aspectuels –le, -guo et –zhe modifient cette interprétation par défaut selon leur sémantique propre. Et nous donnerons une analyse détaillée des contraintes de différents degrés imposées sur les différents types de prédicats. / Our thesis deals with the clausal object in Chinese and the predicats which select this type of complementation. In general we adopt the theoretical framework of the lexicon-grammar (Gross 1984) ; in concrete analysis, we adopte the analysis of the predicative structure (Muller 2001). It is divided into five chapters.In the first chaptre, we present the general conception of the clausal object as a type of propositional complement and we adopt the analysis of the dependence enunciative (Muller 1996). Then we present several articles which integrate the semantic aspect in the analysis of the clausal object.Chapter 2 aims to delimitate our object of study, which includes three subtypes: the propositional complement with that, the verbal complement without syntactic subject (the equivalent of the infinitive construction in French) and the embedded questions whose semantic specificity is taken into account.In the third chapter we study the other selectional properties of the prédicats compatible with that clause, firstly with regard to noun complement and verbal complement without syntactic subject, secondly with regard to that clause and the embedded questions. We also study the elements which can change the second type of selection.In Chapter 4 the completive object is placed in parallel with three other types of constructions that share the same construction scheme [(SN1) + SV1 + SV2 + SN2] with that clause and also imply a relationship of dependence between two predicates. They are : construction with double complement, construction with 2nd complement and construction of object control. We will try to provide some lexical or contextual parameters in order to distinguish them.In Chapter 5 we study the syntactic properties of the clausal object. We first discuss the morpheme 'shuo' about his status of 'emerging conjunction' and some characteristics of integration under the term of "main clause phenomena." Then are scrutinized the verbs of assertion under the name of ‘recteur faible’ (Blanche-Benveniste 1988) ; they are proved to be quite similar to their equivalents in French and English. Finally, we analyze the temporal references in the construction with clausal object. We postulate that it relies primarily on the telicity of matrix predicates and the semantics of their arguments ; the aspectual markers -le,-guo and –zhe can modify this interpretation by defaut according to their semantics. And we give a detailed analysis of constraints of different degrees imposed on different types of predicates.
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.

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