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The role of aspect in paraphrase operations

Schluter, Natalie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Titrage automatique de documents textuels / Automatic titling of textual documents

Lopez, Cédric 01 October 2012 (has links)
Au cours du premier millénaire avant notre ère, les bibliothèques, qui apparaissent avec le besoin d'organiser la conservation des textes, sont immédiatement confrontées aux difficultés de l'indexation. Le titre apparaît alors comme une première solution, permettant d'identifier rapidement chaque type d'ouvrage et éventuellement de discerner des ouvrages thématiquement proches.Alors que dans la Grèce Antique, les titres ont une fonction peu informative, mais ont toujours pour objectif d'identifier le document, l'invention de l'imprimerie à caractères mobiles (Gutenberg, XVème siècle) a entraîné une forte augmentation du nombre de documents, offrant désormais une diffusion à grande échelle. Avec la recrudescence des textes imprimés, le titre acquiert peu à peu de nouvelles fonctions, conduisant très souvent à des enjeux d'influence socioculturelle ou politique (notamment dans le cas des articles journalistiques).Aujourd'hui, que le document soit sous forme électronique ou papier, la présence d'un ou de plusieurs titres est très souvent constatée, permettant de créer un premier lien entre le lecteur et le sujet abordé dans le document. Mais comment quelques mots peuvent-ils avoir une si grande influence ? Quelles fonctions les titres doivent-ils remplir en ce début du XXIème siècle ? Comment générer automatiquement des titres respectant ces fonctions ?Le titrage automatique de documents textuels est avant tout un des domaines clés de l'accessibilité des pages Web (standards W3C) tel que défini par la norme proposée par les associations sur le handicap. Côté lecteur, l'objectif est d'augmenter la lisibilité des pages obtenues à partir d'une recherche sur mot-clé(s) et dont la pertinence est souvent faible, décourageant les lecteurs devant fournir de grands efforts cognitifs. Côté producteur de site Web, l'objectif est d'améliorer l'indexation des pages pour une recherche plus pertinente. D'autres intérêts motivent cette étude (titrage de pages Web commerciales, titrage pour la génération automatique de sommaires, titrage pour fournir des éléments d'appui pour la tâche de résumé automatique,).Afin de traiter à grande échelle le titrage automatique de documents textuels, nous employons dans cette étude des méthodes et systèmes de TALN (Traitement Automatique du Langage Naturel). Alors que de nombreux travaux ont été publiés à propos de l'indexation et du résumé automatique, le titrage automatique demeurait jusqu'alors discret et connaissait quelques difficultés quant à son positionnement dans le domaine du TALN. Nous soutenons dans cette étude que le titrage automatique doit pourtant être considéré comme une tâche à part entière.Après avoir défini les problématiques liées au titrage automatique, et après avoir positionné cette tâche parmi les tâches déjà existantes, nous proposons une série de méthodes permettant de produire des titres syntaxiquement corrects selon plusieurs objectifs. En particulier, nous nous intéressons à la production de titres informatifs, et, pour la première fois dans l'histoire du titrage automatique, de titres accrocheurs. Notre système TIT', constitué de trois méthodes (POSTIT, NOMIT et CATIT), permet de produire des ensembles de titres informatifs dans 81% des cas et accrocheurs dans 78% des cas. / During the first millennium BC, the already existing libraries needed to organize texts preservation, and were thus immediately confronted with the difficulties of indexation. The use of a title occurred then as a first solution, enabling a quick indentification of every work, and in most of the cases, helping to discern works thematically close to a given one. While in Ancient Greece, titles have had a little informative function, although still performing an indentification function, the invention of the printing office with mobile characters (Gutenberg, XVth century AD) dramatically increased the number of documents, which are today spread on a large-scale. The title acquired little by little new functions, leaning very often to sociocultural or political influence (in particular in journalistic articles).Today, for both electronic and paper documents, the presence of one or several titles is very often noticed. It helps creating a first link between the reader and the subject of the document. But how some words can have a so big influence? What functions do the titles have to perform at this beginning of the XXIth century? How can one automatically generate titles respecting these functions? The automatic titling of textual documents is one of the key domains of Web pages accessibility (W3C standards) such as defined in a standard given by associations about the disabled. For a given reader, the goal is to increase the readability of pages obtained from a search, since usual searches are often disheartening readers who must supply big cognitive efforts. For a Website designer, the aim is to improve the indexation of pages for a more relevant search. Other interests motivate this study (titling of commercial Web pages, titling in order to automatically generate contents, titling to bring elements to enhance automatic summarization).In this study, we use NLP (Natural Language Processing) methods and systems. While numerous works were published about indexation and automatic summarization, automatic titling remained discreet and knew some difficulties as for its positioning in NLP. We support in this study that the automatic titling must be nevertheless considered as a full task.Having defined problems connected to automatic titling, and having positioned this task among the already existing tasks, we provide a series of methods enabling syntactically correct titles production, according to several objectives. In particular, we are interested in the generation of informative titles, and, for the first time in the history of automatic titling, we introduce the concept of catchiness.Our TIT' system consists of three methods (POSTIT, NOMIT, and CATIT), that enables to produce sets of informative titles in 81% of the cases and catchy titles in 78% of the cases.
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Syntaxe des verbes de communication en coréen

Eum, Du-Eun 06 July 2004 (has links) (PDF)
Cette étude constitue une description syntaxique de la construction des verbes dits de communication en coréen, qui se définit par une structure syntaxique N0N2-EKE P-ko V0. IL s'agit d'une structure à deux compléments dont l'un est un complément datif, noté N2-EKE, et l'autre une complétive terminée par le suffixe conjonctif -ko (P-ko). Ce travail a pour modèle théorique le lexique-grammaire, qui a été élaboré par M. Gross (1975) au LADL, sur la base des principes de la syntaxe transformationnelle de Z. S. Harris (1968). Les propriétés syntaxiques, distributionnelles ou transformationnelles, des verbes entrant dans cette construction ont été examinées sur les 546 entrées de verbes de communication que nous avons recensées à partir des dictionnaires. Ce travail contribue à la construction du lexique-grammaire du coréen et fait partie de la classification des construction verbales, en particulier de celles qui entrent dans des structures syntaxiques complexes.
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L’expression linguistique du concret chez John Donne : le sentiment dans la langue / A linguistic definition of the ‘concrete’ in John Donne’s work : feeling and language

Neveux, Julie 29 June 2010 (has links)
Cette thèse travaille sur l’élucidation du sens poétique à l’aide d’outils linguistiques ; elle propose une définition cognitive, phénoménologique et énonciative de la distinction abstrait/concret à partir de statistiques établies sur l’œuvre de John Donne (1572-1631), Meditations upon Emergent Occasions et The Complete English Poems. Le concret résulterait d’une forme de lyrisme indirect, c’est-à-dire non sémiotisé, implicite, auquel le poète aurait recours lorsqu’il serait impliqué affectivement dans une situation de discours. L’expressivité du sujet parlant repose sur une décatégorisation momentanée de catégories disponibles en langue, décatégorisation qui lui permet de dénoncer (implicitement) l’insuffisance des cadres abstraits prévus pour tous pour désigner la singularité de son expérience sentimentale. Les noms en –ness constituent une métaphore grammaticale car ils résultent d’une décatégorisation grammaticale, tandis que les métaphores traditionnelles mettent en jeu une décatégorisation lexicale. La métaphore porte l’empreinte affective du sujet parlant, qui se réapproprie ainsi le langage. La poésie métaphysique de John Donne, oscillant entre métaphores et comparaisons, entre le concret et l’abstrait, apparaît alors comme l’expression d’un travail du sentiment, sentiment d’autant plus travaillé qu’il est religieux, et se construit en l’absence de l’être aimé. / This dissertation studies poetic meaning using linguistic tools. It offers a cognitive, phenomenological and enunciative definition of the distinction between the abstract and the concrete, based on statistics carried out on work of the metaphysical poet, John Donne (1572-1631): Meditations upon Emergent Occasions and The Complete English Poems. I argue that the “concrete” is the result of indirect – implied, unsemiotized – lyricism, a form of lyricism used by the poet when s/he is emotionally implicated in a speech situation. The speaker’s expressivity relies on a temporal decategorization enabling him to (implicitly) claim that generalized (abstract) terms are insufficient to articulate the specificity of his own sentimental experience. Words in –ness – grammatical metaphors – result from a grammatical decategorization, while traditional metaphors derive from a lexical decategorization. Metaphors reflect the affect of the incarnate speaker, who thus repossesses language. Lastly, I understand John Donne’s poetry – hinging on metaphors and comparisons, concrete and abstract elements – as expressing a working of feelings, which is the strongest when the feeling is religious and needs to make up for the absence of the beloved.
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.
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Le morphème d= en araméen-syriaque : étude d’une polyfonctionalité à plusieurs échelles syntaxiques / The morpheme d= in Aramaic-Syriac : a study on multifunctionality at several syntactic scales

Skaf, Roula 13 November 2015 (has links)
Le fonctionnement du morphème polyfonctionnel d= en syriaque des Évangiles de la Peshiṭta est décrit morphosyn-taxiquement et dans une perspective typologique, en synchronie et par comparaison, pour certains points, avec d’autres versions et avec d’autres langues sémitiques. Ancien démonstratif en proto-sémitique, d= est un relateur à plusieurs niveaux syntaxiques : support de détermination, marqueur des relations génitivales et relatives, introducteur de complétives et adverbiales. Un critère syntaxique distingue sémantiquement les syntagmes génitivaux aliénables et inaliénable même si cette distinction tend à s’estomper, à des degrés différents selon les catégories sémantiques d’inaliénables, termes de parentés et parties du corps. Si les structures syntaxiques sont semblables pour les relatives restrictives et les non-restrictives, il est impossible de relativiser ces dernières pour les relatives objet, dative et adjointe. La stratégie à trou syntaxique constitue la stratégie primaire dans la hiérarchie d’accessibilité, et toutes les fonctions de la tête dans la matrice, sauf l’objet de comparaison, sont relativisables.Les fonctions de complémenteur de d= sont plus larges qu’en sémitique ancien. d= s’emploie avec 12 des 14 types de prédicats de la classification typologique de Noonan au lieu de 3 en sémitique ancien. Le syriaque est conforme à la hiérarchie implicationnelle, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Le critère syntaxique de saturation de la valence verbale et des critères sémantiques et contextuels permettent de distinguer les adverbiales des complétives. Lorsque d= forme des locutions conjonctives avec des prépositions ou des adverbes, la polysémie des valeurs est désambigüisée grâce au contexte, à l’exception de la conjonction monosémique temporelle mo d=. Dans le discours rapporté, le discours Reproduit est majoritairement introduit sans d=, alors qu’il l’est avec d= pour le discours Reformulé. Le grec n’a eu aucune influence sur son utilisation. / The behaviour of the polyfunctional morpheme d= in the Syriac language of the Gospels of the Peshiṭta is described in a typological perspective, in synchrony and in comparison, for some properties, with other varieties of Syriac and with other Semitic languages. d=, a former demonstrative in Proto-Semitic, is a relator at various syntactic levels: a determination place-holder, a genitival and relative marker, an introducer of completive and adverbial clauses.Chapter 1 introduces the topic of the study and the theoretical framework and chapter 2 discusses the state of art.Chapter 3 is dedicated to the study of the genitive phrase. We discovered that a syntactic criterion allows to distinguish semantically between alienable and inalienable phrases, to different degrees according to the semantic categories of the inalienable set, i.e. kinship and body part terms.In chapter 4, we showed that even though syntactic structures are similar for restrictive and non-restrictive relative clauses, it is impossible to relativize the latter for object, dative and adjoint relatives clauses. The syntactic gap strategy constitutes the primary strategy in the accessibility hierarchy and all the functions of the head in the main clause, except the object of comparison, are relativizable.Chapter 5 deals with the functions of d= as a complementizer and an introducer of adverbial clauses. The complementizer uses are wider than in Old Semitic. d= is employed with 12 of the 14 types of predicates of Noonan's typological classification as against 3 in Old Semitic. Syriac conforms to the implicational hierarchy named Complement Deranking-Argument Hierarchy. For adverbial clauses, the syntactic criterion of saturation of the verbal valency as well as semantic and contextual criteria permit to distinguish adverbial clauses from complement clauses. When d= forms conjunctive locutions with prepositions or adverbs, the polysemy of values is disambiguated thanks to the context. Only the conjunction mo d= is monosemous (with a temporal meaning).In the last chapter (chap. 6) on reported speech, we showed that direct reported speech is mostly introduced without d=, whereas it is always the case for indirect speech. Greek did not have any influence on the use of d=. / Il funzionamento del morfema polifunzionale d= del siriaco nei Vangeli della Peshiṭta è descritto in una prospettiva tipologica, in sincronia e attraverso la comparazione, in alcuni punti, con altre versioni e con altre lingue semitiche. Tale morfema deriva dal pronome dimostrativo proto-semitico *ḏV e funge da relatore in diversi livelli sintattici: supporto di determinazione, indicatore delle relazioni genitivali e relative, introduttore delle proposizioni completive e avverbiali. Il capitolo 1 introduce la problematica della ricerca e dell’ambito teorico; il capitolo 2 presenta uno stato dell’arte sull’argomento.Il capitolo 3 è consacrato allo studio del sintagma genitivale. Un criterio sintattico ha permesso di distinguere semanticamente i sintagmi genitivali alienabili e inalienabili, anche se questa distinzione tende ad attenuarsi, in diversi punti, secondo le categorie semantiche d’inalienabile, termini di parentela e parti del corpo.Nel capitolo 4 abbiamo mostrato che, se da una parte le strutture sintattiche sono simili per le relative restrittive e le non-restrittive, dall’altra è impossibile relativizzare le ultime per le relative complemento oggetto, complemento di termine e complemento circostanziale. La strategia con gap sintattico è la strategia primaria nella gerarchia d’accessibilità e tutte le funzioni della testa nella proposizione matrice, tranne l’oggetto della comparazione, sono relativizzabili.Il capitolo 5 tratta le funzioni di d= come complementatore e introduttore di proposizioni avverbiali. Gli impieghi del complementatore sono più ampi rispetto al semitico più antico. Il morfema d= si impiega infatti per 12 dei 14 tipi di predicato della classificazione tipologica di Noonan invece dei 3 del semitico più antico. Il siriaco è conforme alla gerarchia implicativa, Complement Deranking-Argument Hierarchy. Per le proposizioni avverbiali, il criterio sintattico di saturazione della valenza verbale e dei criteri semantici e contestuali permettono di distinguere le avverbiali dalle completive.Quando d= forma delle locuzioni congiuntive con delle preposizioni o degli avverbi, la polisemia dei valori è disambiguato grazie al contesto, fatta eccezione della congiunzione monosemica temporale mo d=Nell’ultimo capitolo, sul discorso indiretto, mostriamo che il discorso “riprodotto” è introdotto senza d= nella maggior parte dei casi, mentre si usa d= nel discorso “riformulato”. Il greco non ha alcuna influenza sul suo utilizzo.
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Recherche sur do (lexique et grammaire) / Lexical and grammatical investigations into the verb do

Sharifzadeh, Saghie 24 November 2012 (has links)
Étudier le verbe do dans ses emplois lexicaux et grammaticaux, c’est s’intéresser à un élément fondamental de l’anaphore prédicative. Les linguistes sont divisés sur la catégorisation du verbe do employé en contexte anaphorique, lui attribuant un statut tantôt auxiliaire, tantôt lexical, tantôt intermédiaire entre ces catégories lorsqu’une délimitation nette entre le lexical et le grammatical semble impossible. S’appuyant sur un examen à la fois diachronique et synchronique des occurrences de do, cette thèse met en lumière les caractéristiques propres aux différentes formes du verbe, tout en révélant un sens « factitif » commun à chacune de ces formes dès lors que do est suivi de quelque complémentation (complémentation verbale dans le cas du do auxiliaire, complémentation nominale ou adverbiale dans le cas du do lexical). L’étude de corpus électroniques en anglais contemporain montre que ce sens factitif commun rend poreuse la frontière entre les emplois lexicaux et grammaticaux du verbe. Sans une analyse approfondie des occurrences de do dans des configurations variées, les différences syntaxiques entre ses formes grammaticales et lexicales se verraient ainsi éclipsées par leur unité de sens. / Studying the lexical and grammatical uses of do means engaging with a pivotal element of predicative anaphora. Linguists fail to agree on how to categorise do as used in anaphoric contexts: some take it tobe an auxiliary, others to be a lexical verb and still others to be intermediate between those two categories whenever it seems impossible to draw a clear line between lexical and grammatical instances. Based on a diachronic and synchronic survey of the uses of do, this dissertation uncovers the specific properties of the various forms of the verb and brings to light a “factitive” meaning sharedby all those forms, provided do takes some complementation (verbal in the case of auxiliary do, nominal or adverbial in the case of lexical do). Close scrutiny of electronic corpora of present-day English reveals that this factitive meaning blurs the boundary between lexical and grammatical occurrences. If it were not for an in-depth analysis of do as it occurs in various sentential contexts, the syntactic differences between its grammatical and lexical uses might be obscured by their semantic unity.
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Translating between the lines : Decoding the syntactic condensation found in nominalisations and non-finite supplementive clauses

Marshall, Vivian January 2019 (has links)
The aim of this study is to examine how syntactically condensed structures are translated from English to Swedish in a non-fiction text. The analysis covers nominalisations and non-finite ing- and ed-clauses functioning as adverbials. The method for analysis is mainly quantitative, but in order to discuss why certain translation strategies are favoured, a qualitative analysis is also included. The results show that both obligatory and optional structural changes occur in the target text. These changes are induced by both grammatical and preferential differences between the source and target languages. As a result, the target text is often more explicit than the source text. While the most frequent translation strategy for ing-clauses is forming finite main clauses, subordinate clauses are the most frequently used correspondences for ed-clauses. Other strategies include coordination and prepositional phrases. Explicitation occurs by adding features such as finiteness and subordinating conjunctions in the target text structures. In contrast to the translation of non-finite clauses, the most commonly used correspondence when translating nominalisations is noun phrases identical to those in the source text. The second most frequent strategy is paraphrased noun phrases. Together, these two nominal strategies cover approximately two thirds of the translations. Clausal structures, which are generally more explicit, are more than three times less frequent, which opposes the idea of verbal preference in Swedish. When clausal translations are used, however, it is mainly due to the complexity of the noun phrase in which the nominalisation occurs.
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La chose pour le dire : mono en japonais contemporain : approche sémantique, syntaxique et énonciative / Mono in contemporary japonese : a semantic, syntactic and enunciative approach

Bazantay, Jean 29 October 2013 (has links)
Cette thèse s'attache à décrire et à analyser les différents emplois de mono (chose, objet) en japonais contemporain. Comme le mot français chose, ce terme d’usage très courant a la particularité de ne pas avoir de signifié en propre mais de pouvoir tout aussi bien désigner un objet concret qu’un concept abstrait ou encore une classe d’individus partageant les mêmes traits. Nom « caméléon » aux propriétés référentielles singulières, mono est aussi fréquemment employé à des fins fonctionnelles, voire purement énonciatives.À travers des observations en discours, ce travail précise les contours de ces deux emplois référentiel et fonctionnel et explore la nature de la contribution sémantique de mono à la réalisation de tournures expressives plus ou moins figées.Sur le plan de la méthodologie, nous avons adopté une approche basée sur l’observation de données authentiques que nous avons analysées sous différents angles syntaxiques, sémantiques et énonciatifs. Pour cela nous avons constitué un corpus de travail réunissant des exemples extraits d’articles de journaux, de romans populaires, d’échanges sur internet ou de conversations informelles.Dans la première partie, nous avons cherché à identifier et à décrire les emplois « référentiels » au regard d’autres emplois essentiellement fonctionnels et, pour cela, nous avons exploré la notion de nom formel dont mono est considéré comme un des principaux représentants. Dans la deuxième partie, la tournure en « A-wa C MONO da » a plus particulièrement retenu notre attention pour sa fréquence et ses effets énonciatifs. Nous l’avons d’abord envisagée dans le cadre général de la phrase à prédicat nominal caractéristique du jugement catégorique. Une seconde approche a consisté à envisager « MONO DA » comme un opérateur modal venant surdéterminer une occurrence prédicative. Pour cette analyse, nous nous sommes appuyé sur les travaux de Nishiyama (1985), Kudo (1995, 2002), Teramura (1984, 1999) et Morita (1989).Dans une troisième partie, le point de vue de la modalité a permis de préciser la nature appréciative ou épistémique du jugement. Nous avons également analysé le fonctionnement de la modalité explicative propre aux écrits journalistiques et précisé l’emploi de mono du point de vue de sa contribution à la réalisation d’opérations argumentatives. L’approche pragmatique a enfin éclairé le processus conduisant à l’émergence de valeurs spécifiques dérivées de la valeur axiologique de l’expression d’une tendance générale.Ce travail se termine par une mise en perspective du point de vue de la grammaticalisation des différents emplois observés. / In this dissertation, we focus on the various uses of mono (thing, object) in contemporary Japanese. From a methodological point of view, we have adopted an approach based on the observation of authentic data which we have analyzed under several syntactical, semantic and enunciative criteria. Samples consist of various aspects of modern language (newspaper articles, contemporary novels, internet-based communication, informal conversation) collected from existing data sources, mainly from the Balanced Corpus of Contemporary Written Japanese (BCCWJ) and the Nagoya University Japanese Conversation Corpus.We have first attempted to identify and describe referential readings compared to other more functionnal uses. For this purpose, we have investigated the concept of ‘formal noun’ (keishiki meishi) of which mono is seen as a prototype.The second part is dedicated to the form 'A-wa C-MONO da' that particularly caught our attention because of its frequency and its enunciative effects. A first approach concentrates on nominal uses realized within the framework of a nominal sentence (meishi jutsugo bun). In this part, we propose a brief summary of research on nominal predication and present the different meanings of the sentences built around the bare noun mono. In a second approach, we consider it from the point of view of nominalization, where mono da can be seen as a purely enunciative operator. For this analysis, we have developped a theorical model based on Nishiyama (1985), Kudo (1995, 2002), Teramura (1984, 1999) and Morita (1989).In the third part, reference to the notion of modality has allowed us to specify the appreciative or epistemic nature of the judgment. We have also analyzed the function of mono as a discourse connector in journalist papers and shown its contribution to argumentative operations. The pragmatic approach highlights the process that drives the emergence of specific values derived from its underlying meaning of 'general tendency.' This work ends with an attempt to put the various uses of mono in perspective from the point of view of grammaticalization.

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