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La contribution des habitants et des usages à la production des espaces publics : le cas du tremblement de terre et tsunami au chili, février 2010 / The contribution of the inhabitants and of the usages to the production of public spaces : the case of earthquake and tsunami in chile, february, 2010

Andersen, Karen 28 January 2015 (has links)
Souvent négligées dans les pratiques urbanistiques, la thèse explore les formes de représentations des aspects sensibles de l'habiter mobilisables dans un processus de conception urbaine. À travers deux enquêtes de terrain nous montrons comment les habitants participent à la production d'un espace public créatif et résilient. Par espace public nous entendons sa double filiation théorique : lieu physique et espace politique. Nous ciblons l'observation sur les processus de transformation des lieux publics à travers la modification des usages et des significations que ces lieux ont pour les habitants. Nous traitons également l'espace public comme le lieu du débat politique, de la rencontre et du conflit dans la forme d'une pratique démocratique. Cet espace public particulier sera nommé : « espace public spontané ». Il est public et aussi spontané : il n'est pas conçu à l'avance, il n'est pas prémédité ou planifié. Lorsqu'il surgit spontanément, il peut disparaître de la même manière. Il est produit à partir des conditions et des vécus locaux. Une enquête ethnographique dont l'objet porte sur les espaces publics et sur les perceptions issues de l'expérience vécue et perçue par les habitants et les communautés, donne une intentionnalité à l'analyse de l'expérience sensible, car elle ne se limite pas aux dimensions de l'expérience sensible mais intègre également des aspects observés ou bien relevés par les habitants. Après le tremblement de terre et le tsunami du 27 février 2010 au Chili, nous avons remarqué comment dans une situation de bouleversement et de reconstruction des espaces de représentation, la dimension sensible joue un rôle clé. La situation catastrophique est génératrice d'espaces publics spontanés, elle génère un engagement pratique des habitants, mobilise des réactions sensibles et exacerbe le caractère hospitalier et résilient de l'espace public. À partir de l'étude de deux cas concrets, illustré par le campement d'urgence El Molino de Dichato et par la ville de Talca après la catastrophe, nous avons ciblé l'observation sur les pratiques d'implication des habitants pendant tout le processus de reconstruction de leur environnement, de leurs espaces publics et privés, ainsi que de leurs sphères d'intimité. Ces pratiques englobent l'ensemble des actions des habitants, depuis leurs actions les plus spontanées et éphémère visant à faire face à la reconstruction, à l'état d'urgence et aux vulnérabilités générées par les situations post-catastrophe, jusqu'aux actions les plus formalisées. Nous voulons compléter la compréhension d'une conception urbaine « participative » par cette notion d'investissement d'un espace public spontané, vécu comme un tiers inclus et capable d'introduire dans le débat des variables sensibles. Cette recherche donne lieu à des interrogations sur la conception urbaine en tant qu'espace commun d'expression, d'entendement et de traduction des aspects sensibles de l'expérience des habitants, où la distinction existante entre expert et novice peut être surpassé / Often neglected by the practice of urban planning, this thesis explores the forms of representation of the sensitive aspects of urban life in a process of urban design. Through two field surveys we show how the inhabitants participate in the production of a creative and resilient public space. By public space we understand its double theoretical filiation: physical and political. We target the observation in the transformation processes of the public places through the modification of the practices and the meanings that these places have for the inhabitants. We also handle the public space as the place of the political debate, the meeting and the conflict in the shape of a democratic practice. This particular public space will be named: “spontaneous public space”. It is spontaneous, because it is not designed and it is not planned. As it appears spontaneously, it can disappear in the same way. It is produced from real-life experiences and from local conditions. An ethnographical field survey focused on the experiences and perception of public spaces by the inhabitants and the communities, give an intentionality to the analysis of the sensitive experience, because it does not limit itself to the dimensions of the sensitive experience but integrates what is observed or either found by inhabitants. After the earthquake and the tsunami that occurred on February 27, 2010, off the coast of south-central Chile, we noticed how in a situation of upheaval and reconstruction of the spaces of representation, the sensitive plays a key-role. The catastrophic situation generates spontaneous public spaces; it generates a practical commitment of the inhabitants, mobilizes sensitive reactions and makes the public space more hospitable and resilient. From the study of two concrete cases -corresponding to the emergency camp El Molino of Dichato and to the city of Talca after the disaster- we focus the observation in the practices of implication of the inhabitants during all the process of reconstruction of their public and private spaces as well as their intimate spheres. These practices include all the actions of the inhabitants, from their most spontaneous and short-lived actions to face the reconstruction and the state of emergency and vulnerability of the situation post-disaster, to the most formalized actions. We want to complete the idea of a “participative” urban design with the notion of a spontaneous public space - autonomous of the participative plans - as an inclusive third space capable of introducing sensitive aspects in the debate. This research gives rise to questioning the urban design as a common space of expression and understanding, where the decoupling existing between the expertise and the novice can be surpassed
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La réception des modèles urbains dans la pratique urbanistique : une entrée par les références en situation de conception / The uses of urban models in working practices : a focus on references in urban design situations

Mullon, Rachel 20 December 2018 (has links)
Depuis une vingtaine d’années, les discours promotionnels en urbanisme attribuent à un nombre croissant de lieux et de processus le statut de modèles à suivre ou de bonnes pratiques. Cette thèse vise à comprendre comment les acteurs opérationnels réceptionnent et utilisent ces modèles lorsqu’ils conçoivent d’autres projets urbains. L’approche construite vise à suivre les acteurs au plus près de leurs pratiques opérationnelles. Pour ce faire, la notion de « modèle » est mise de côté le temps de l’analyse pour lui préférer celle de « référence » dont la définition prend une dimension méthodologique. Une référence est la représentation d’un objet utilisée dans une situation autre que celle dans laquelle il a été élaboré. Tout objet (idée, image, ou texte) peut devenir une référence, mais il ne le devient qu’à partir du moment où sa représentation est citée dans une autre situation. La notion de référence est étudiée dans le cadre de situations de conception, les moments au cours desquels les acteurs réfléchissent, discutent, se projettent seuls ou à plusieurs, et prennent des décisions pour la transformation des usages d’un espace. Deux méthodes sont utilisées. Une méthode par entretiens semi-directifs auprès de 30 acteurs opérationnels d’origines variées vise à comprendre la façon dont ces derniers se représentent leurs usages des références. Une méthode d’observation circonscrite de quatre situations de conception au cours desquelles les acteurs sont en train d’élaborer des plans directeurs permet de suivre les usages des références dans des projets en train d’être conçus. Les observations et entretiens réalisés en France et dans l’Oregon aux États-Unis, se complètent et se rejoignent, permettent de découvrir des constantes concernant les usages de références et de redéfinir la notion. Les références sont, au sein d’une grande diversité, urbaines, ancrées et locales. Elles sont utilisées à des fins multiples, aussi bien pour communiquer dans un groupe et y négocier sa place, que pour la forme d’un plan directeur, pour lire un contexte, et pour évaluer des propositions de transformation d’un espace. Cette approche permet d’obtenir une lecture fine de l’usage des références en situation de conception, lecture importante pour le débat actuel de la fabrique de la ville concernant les modèles urbains. En situation, il n’y a pas un modèle mais une multitude de références qui sont citées, mentionnées, analysées ; et chaque plan est le résultat d’un travail articulant le contexte et ces objets cités, des projets, des espaces existants, des formes et objets génériques, et des théories / Over the last twenty years, promotional discourse on urban development has been assigning the labels of “best practice” or “model to follow” to an increasing number of specific sites and processes. My thesis explores how these models are received and used by urban developers and other relevant actors. My approach aims at following actors as closely as possible with regard to their working practices. To do so, the notion of “model” is put aside and favored over by the notion of “reference”, whose definition is methodologically based. A reference is the representation of an object (idea, image, text) that is cited within a design situation other than the one it was initially conceived in. Any object can become a reference, but it only becomes a reference when its representation is cited in another design situation. The notion of reference is studied during multiple stages of urban design: from conception to moments during which actors think, talk and plan alone or collectively, to decision-making about the transformation of spatial uses. Two methods were used. First, I carried out semi-structured interviews with 30 actors with the aim of understanding how actors perceive their use of references. Second, I observed and analyzed four specific situations during which actors were designing urban masterplans in order to understand the use of references in the design process.Both methods were applied in France and in the USA (Oregon) and converged in their results, leading to a more precise understanding of the notion of reference. References are mainly urban, anchored within a territory and local. They have many purposes, from communicating and negotiating within a group, to making design decisions, as well as reading an urban context and evaluating design propositions. The present analysis of how references are used is particularly useful for the current debate in urban studies concerning policy and the mobility of ideas. In the design process, there is not one model but a multitude of urban objects that are cited, analyzed and described. Each masterplan is the result of a coordination between an actual context and these cited objects, projects, existing spaces, generic objects and forms, and theories
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ÉVOLUTION DES PRATIQUES DES PAYSAGISTES FACE AUX ENJEUX ÉCOLOGIQUES DE LA CONCEPTION URBAINE

Leger-Smith, Fanny-Anaïs 27 June 2014 (has links) (PDF)
Avec une population mondiale vivant majoritairement dans les villes, un rythme d'urbanisation rapide et une limitation des ressources, il est devenu indispensable de prendre en compte les enjeux écologiques de la conception urbaine. Cela se traduit depuis une dizaine d'années par l'introduction de critères écologiques dans les politiques publiques et un changement des pratiques professionnelles des acteurs urbains. Ce tournant écologique concerne notamment les paysagistes qui ont une pratique urbanistique propre définie par une démarche de projet de paysage. Le travail de thèse interroge l'impact du tournant écologique dans la conception urbaine sur l'évolution des pratiques des paysagistes. Nous étudions cette question dans trois domaines : les pratiques de discours des paysagistes à travers l'analyse du Landscape Urbanism et des mouvements similaires en France, la place des paysagistes dans les associations disciplinaires au sein des équipes de conception des marchés publics et enfin leurs pratiques de conception à travers l'analyse de huit cas d'étude de quartiers écologiques en France et au Royaume-Uni. La méthodologie de recherche est pluridisciplinaire et déploie divers outils provenant de la géographie, la linguistique et l'économie mais aussi l'analyse de projet de paysage. Nous n'observons pas de mutations fondamentales des pratiques paysagistes face au tournant écologique observé et montrons plutôt que ce tournant conforte la démarche traditionnelle de projet de paysage. Il constitue néanmoins un facteur de différenciation des pratiques paysagistes qui adaptent leur démarche aux spécificités, entre autres écologiques, du site.

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