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Le dieu Sol dans l’empire romain des antonins à Julien l’Apostat. Conventions iconographiques, lecture symbolique et portée politique / The Sun god in the Roman Empire from the Antonines to Julian the Apostate. Iconographic conventions, symbolic and political reading

Romagnan, David 11 January 2014 (has links)
Le dieu Sol, personnification de l’astre du jour, est documenté à Rome et en Italie bien avant l’avènement de l’empire. Dieu longtemps secondaire, ce n’est que durant l’Antiquité tardive qu’il gagne en importance, mais jamais au point de supplanter Jupiter et de devenir la divinité suprême. Cette étude a pour but d’offrir une approche renouvelée de l’interprétation de son image, en mettant en valeur la constance de son iconographie, l’uniformité des messages qui lui sont associés, son importance croissante dans l’idéologie politique impériale, et ensuite de les expliquer et de les réintégrer dans une perspective plus globale du IIe au IVe siècle. Cette présente thèse a ainsi pour but d’étudier les représentations du dieu Sol, à la fois personne divine et personnification de l’astre diurne, puis d’en déduire la nature du pouvoir cosmique du dieu, notamment par l’étude des documents dans lesquels il est mis en relation directe ou indirecte avec d’autres divinités, et de mettre en relief la spécificité de l’utilisation de l’image du dieu Sol dans un contexte impérial. / The Sun deity was documented in Rome and in Italy well before the advent of the Empire. Considered secondary for a long time, this god’s importance grows only during the late Antiquity.This study aims at offering a renewed approach of its image by emphasizing the constancy of its iconography, the uniformity of the messages associated to it, and its increasing importance in the imperial political ideology which we are to explain and place in a more global perspective from the 2nd to the 4th century.Within this thesis we will study the representations of the Sun deity, as a god and as the personification of the sun. From the analysis of its documented relationship to other divinities we will establish its cosmic power and the particular use of its image in an imperial context.
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Constantin Chatzopoulos en tant que critique littéraire / Constantinos Chatzopoulos as a literary critic

Nikolaou, Dimitrios 02 October 2010 (has links)
La critique littéraire représente une part non négligeable de l’œuvre de Constantin Chatzopoulos (Agrinion 1868 - Brindisi 1920). Comparée aux autres genres littéraires, auxquels il a sacrifié (poésie, prose, traduction, essais politiques), elle demeure jusqu’à nos jours le volet le moins connu de son œuvre. La première démarche indispensable afin de proposer une étude de son œuvre critique la plus complète possible, était de réunir l’ensemble de ses articles, parallèlement à ceux qui déjà étaient connus. Tel est l’objectif de la première partie de ce travail qui fait le point de la recherche. La seconde partie, théorique, suit la critique littéraire de Chatzopoulos dans le cadre des deux périodes de son développement : a) l’influence symboliste et nietzschéenne (1898-1902) et b) l’influence sociologique et marxiste (1907-1916). Sont présentés, pour ces deux phases, les revues littéraires qui ont accueilli les textes de l’écrivain. Chatzopoulos représente un chapitre important de l’histoire de la pensée critique grecque, car son œuvre rend compte des courants esthétiques et idéologiques de son époque auxquels elle est intimement liée. Dans la Grèce des débuts du siècle passé, il fut le premier à introduire les principes sociologiques et marxistes dans l’approche d’une œuvre littéraire. / Literary criticism represents an interesting part of the Constantinos Chatzopoulos’ (Agrinion 1968 - Prindisi 1920) writing creation. Until our days it remains the least known compared to other literature types, which he served (poetry, prose, translation, political essay). A condition for a fuller study of his work as a critic was the collection of his articles, in addition to those which were already known. Hence this is the aim of all the elements which compose the first research part of our thesis. The second, theoretical part of the thesis monitors the Chatzopoulos’ literary criticism works within the pale of the two phases it occurs: a) the symbolistic - nietzscheic (1898-1902) and sociological - marxist (1907-1916). In both stages the presentation of the literary publications in which works by the author appeared is preceded. Chatzopoulos represents an important asset in the history of the Greek critical thinking, because his work was associated with aesthetic and ideological movements of his time. In Greece of the early past century, he is the first to introduce the sociological and Marxist values into the approach of literary work.
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La défense et l'organisation militaire des Gaules de 284 au repli sur Arles des services administratifs romains au début du Ve siècle

Gauthier, François 12 1900 (has links)
L’armée de Gaule sous le Bas-Empire fut une des trois armées principales de l’Empire romain. Son évolution de la fin du IIIe siècle jusqu’au début du Ve fut marquée par une réorganisation graduelle dans le commandement, ainsi que dans l’organisation des troupes et des fortifications. Ces réformes ont fait l’objet d’études qui ont dressé un schéma de déploiement des troupes resté longtemps populaire. À ce schéma s’est ensuite ajoutée l’idée de la stratégie à grande échelle qui y aurait été associée. Ce mémoire tâche de dresser une synthèse des derniers travaux sur l’armée romaine tardive en Gaule. L’approche choisie repose sur une réévaluation des sources sans l’influence d’un schéma défensif préconçu, ainsi que sur une critique de certaines idées reçues concernant l’armée romaine du IVe siècle. / The army stationed in Gaul during the Later Empire was one of the three main armies available to the Roman Empire. Its evolution from the late IIIrd century to the early Vth century was marked by reforms applied gradually to the high command, and to the organization of troops and fortifications. These measures have interested scholars who established a model of troop deployment which enjoyed great popularity over a long period of time. The idea of strategy applied on a great scale was later included in this concept. This thesis proposes a synthesis of the latest research on the late Roman army in Gaul. The selected approach of analysis is based on a reevaluation of the sources without the bias of a preconceived defensive model. Some obsolete ideas regarding the late Roman army will also be subject to criticism.
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Un encyclopédiste méconnu du XIIIe siècle : Arnold de Saxe

Draelants, Isabelle 20 January 2001 (has links) (PDF)
En Occident au XIIIe siècle, pour répondre au nouvel afflux de connaissances issues des traductions gréco-latines et arabo-latines du siècle précédent, s'organisent des milieux d'enseignement et de diffusion, sinon de vulgarisation de la philosophie et de la science. Les universités naissent alors, mais les collèges d'ordres religieux surtout s'établissent en relais du savoir ; parmi eux, les ordres mendiants prennent une part essentielle. En parallèle se met en place un outillage mental et intellectuel capable d'assimiler et de manier ces nouveaux contenus qui ouvrent peu à peu à une autre conception du monde : on découvre les œuvres sur la nature d'Aristote après avoir usé longuement de sa seule logique. On comprend mieux Platon à la lumière des écrits arabes. On décrit les astres, les animaux, les plantes, les maladies, grâce à des critères qui mêlent à la fois une typologie neuve influencée par Aristote et des héritages de l'Antiquité tardive. Dans ce processus dynamique, Arnold de Saxe est un des premiers à satisfaire une telle demande intellectuelle en offrant une compilation-florilège de philosophie naturelle et morale intitulée "De floribus rerum naturalium" ; celle-ci compte quatre livres de véritables "fleurs de la nature" et un cinquième consacré à la morale où s'organisent des citations puisées dans la littérature latine disponible. Ce travail de doctorat s'intéresse à Arnold de Saxe à travers une étude complète de l'ensemble de sa production, qui permet de déterminer quels furent son milieu d'activité et son époque, la France et l'Allemagne des deuxième et troisième quarts du XIIIe siècle. Avant cette étude, Arnoldus Saxo, Arnoldus Luca ou Arnoldus de Saxonia n'était connu qu'à travers le "De floribus" (erronément appelé "De finibus" par V. Rose), qu'on situait entre 1220 et 1230. L'étude met au jour huit nouveaux manuscrits de l'ouvrage encyclopédique qui s'ajoutent aux quatre déjà connus [depuis la thèse déposée en nov. 2000, j'ai découvert deux autres manuscrits partiels du De floribus rerum naturalium]. En outre, la thèse a permis la découverte et l'étude de trois autres ouvrages du même auteur : un traité de médecine "a capite ad calcem" qui intègre les progrès récents de la science médicale ; un dialogue en forme de disputatio en quatre parties sur les vertus et des vices ("De iudiciis virtutum et viciorum"), et une brève " consolation " imitée de celle attribuée à Sénèque. La thèse, centrée sur l'histoire des textes et l'assimilation du savoir, caractérise les sources d'information philosophiques et scientifiques d'Arnold de Saxe. Chacune des œuvres dont l'auteur a fait des extraits est identifiée précisément, l'origine possible de l'information est caractérisée, et l'utilisation qu'en fait Arnold de Saxe est comparée à celle des philosophes contemporains. L'analyse est articulée sur les matières présentes dans la production de l'auteur : physique du ciel et de la terre ; animaux, plantes et médecine ; minéralogie ; morale. Dans ces différents domaines, la documentation est composée d'un tiers de traités sous le nom d'Aristote, dont les petites œuvres authentiques sur la nature et quelques textes importants comme les Météorologiques, ou le De animalibus, et l'Ethique, mais aussi de nombreux pseudépigraphes, comme le "De causis" néoplatonicien ou un De speculis (Catroptique d'Euclide). S'ajoutent au corpus aristotélicien des textes issus de la tradition médicale et hermétique arabe, dont certains sont peu répandus mais se couvrent de noms connus comme Pythagore, Esculape ou Hermès. Les versions de tous ces textes sont des traductions gréco-latines de Jacques de Venise et Burgundio de Pise, et arabo-latines de Dominicus Gundissalvi, Johannes Hispanus, Jean de Séville et de Limia, Gérard de Crémone et Michel Scot ; toutes ces traductions sont antérieures à celles de Robert Grosseteste et de Guillaume de Moerbeke. Les joyaux de l'Antiquité, sertis dans la monture du christianisme mais souvent transformés et légués par les Arabes, devaient une certaine lumière à la tradition hermétique. La troisième part du corpus documentaire d'Arnold de Saxe est constituée d'œuvres latines anciennes, dans le domaine de la cosmologie et de la morale : Macrobe et Martianus Capella y côtoient Sénèque et Cicéron. Le tout forme un ensemble qui hésite entre néo-platonisme et aristotélisme de la pensée, entre tradition et nouveauté de la documentation. Arnold de Saxe a collecté cette documentation au début de son activité, dans une sorte de compendium qui ne semble pas avoir survécu. L'auteur fait mention de cette première étape de son travail sous l'intitulé vague de "Sermo de libris philosophorum", dont les sources du "De floribus rerum naturalium" sont manifestement en grande partie issues. Arnold de Saxe leur sera fidèle par volonté et dépendant par nécessité : il s'applique à respecter la lettre, tout en abrégeant de manière sévère, et il utilise la documentation disponible, quelle que soit sa qualité. Le "De uirtutibus lapidum" (Livre des pierres) est la part scientifique la plus originale de l'encyclopédie naturelle "De floribus", dont elle constitue un traité particulier plusieurs fois remanié ; elle est aussi celle qui aura un succès immédiat considérable via la reprise intégrale de son contenu chez Albert le Grand, (De mineralibus, tr. 2 et 3), et Vincent de Beauvais (Speculum naturale, livre VIII). Au "De floribus rerum naturalium" en quatre livres sera ajouté un cinquième, "De moralibus", qui a également circulé comme œuvre indépendante. Le traité de médecine (Practica medicine) qui a suivi ces premiers travaux assimile les apports de l'école de Salerne et fait preuve d'une connaissance de l'évolution médicale contemporaine. En effet, Avicenne y tient une place importante en rival de Constantin l'Africain et un chapitre particulier est consacré à la maladie d'amour (De amore hereos). Le traité éthique des vertus et des vices, rédigé en fin de parcours sous la forme d'un dialogue scolastique aux accents d'humanisme chrétien, s'inspire surtout des auteurs antiques, déjà cités dans le "De moralibus", la cinquième partie du De floribus. L'homme et le démon s'y affrontent verbalement l'homme et le démon sous l'œil du juge suprême qu'est Dieu. Paradoxalement pour un tel sujet, on n'y trouve ni sentences bibliques ou patristiques, ni préceptes religieux issus de textes médiévaux, car Sénèque y domine sur l'Ethique d'Aristote. Le penchant stoïcien se confirme dans la courte "consolation". En plus de ces œuvres, il est possible qu'Arnold de Saxe soit l'auteur d'une introduction à l'astronomie/astrologie, trouvée dans un manuscrit copié à Bâle au début du XVe siècle. A partir du contenu de ses œuvres, destinées surtout à répondre à l'"utilitas" d'une communauté qu'il est difficile de caractériser, on ne peut faire d'Arnold de Saxe un penseur ; mais il s'agit d'un "philosophe" au sens médiéval du terme, dans la mesure où il produit une œuvre de compilation multiple et originale à partir de la seule littérature profane et est rompu aux techniques intellectuelles de son temps. Naturaliste, féru de médecine, c'était aussi un enseignant amoureux de la morale classique. Sa diffusion, relativement limitée, fut surtout germanique (manuscrits d'origine allemande et du tiers nord de la France). En revanche, sa réception, pour l'étude des pierres et la description du monde animal, fut immédiate dans la littérature didactique, chez le franciscain Barthélemy l'Anglais et chez les dominicains Vincent de Beauvais et Albert le Grand. Arnold a alimenté, dans le De mineralibus d'Albert le Grand, la conception hermétique de la "vertu universelle" et de la vertu spécifique qu'on trouve chez Avicenne pour expliquer l'action thérapeutique de certaines substances et voir dans tout élément naturel un principe actif ; il a aussi fourni à Albert toutes les citations d'Evax et Aaron et la plupart des extraits du lapidaire d'Aristote. Arnold de Saxe a par ailleurs été le relais de savoirs qui se seraient sans lui perdus, comme la biologie des plantes et des animaux de Iorach (qu'il faut identifier avec Iuba, roi de Mauritanie, qui écrivit en grec au Ier siècle) et le traité des pierres attribué à Aristote dont il retient entre autres les notions de pôle et d'aimant. Arnold de Saxe conserve des extraits de la minéralogie d'Aristote en deux versions distinctes, secundum Dioscoridem et secundum Gerardi, ce qui met sur la piste d'une traduction de Gérard de Crémone qui n'avait pas été mise au jour jusqu'ici. L'analyse de sa documentation et des influences qu'il subit ou qu'il propage montrent que les foyers de l'activité d'Arnold ont dû être Magdeburg, où il connut sans doute le franciscain Barthélemy l'Anglais qui s'y trouvait dès 1231 (le manuscrit d'Heidelberg attribue le traité des pierres à Arnoldus Saxo Magdeburgensis); Cologne, où il rencontra peut-être le dominicain Albert le Grand qui y fut lecteur, comme l'induisent les citations réciproques (Albert est cité dans le traité de médecine) ; Paris, où il croisa sans doute les médecins du temps et fit connaître son encyclopédie ; Erfurt peut-être, où ses œuvres sont conservées mieux qu'ailleurs. Faut-il voir dans Arnold de Saxe, appelé "Arnoldus Luca Magdeburgensis" dans le manuscrit d'Heidelberg, le maître de l'école cathédrale de Magdeburg, qui disparaît des documents diplomatiques vers 1243 ? Arnoldus Luca n'est-il pas aussi l'"Arnoldus Luscus" dominicain expérimenté en astronomie que cite avec admiration Berthold von Moosburg, un disciple de l'albertinisme à Cologne au XIVe siècle ? En dehors de l'histoire des textes, des documents qui l'attesteraient restent encore à découvrir. Comme les autres encyclopédistes de son époque, le Saxon a privilégié une information tirée d'auteurs qui nourrissaient déjà une volonté de synthèse totale, c'est-à-dire - pour ce qui le concerne - Aristote, Avicenne, Constantin l'Africain. Mais il a évité pour sa part les textes rabattus de Pline et d'Isidore de Séville pour se tourner vers ce qu'il appelle des "philosophes modernes", à savoir les médecins et naturalistes arabes, Aristote, mais aussi Sénèque, Boèce et Martianus Capella. Ensemble, ces "auctoritates" donnent au "De floribus rerum naturalium" l'allure néoplatonisante d'une synthèse naturaliste faite de métaphysique, de physique et d'éléments hermétiques qui accompagnèrent le célébrissime Aristote à travers les étapes de sa transmission grecque, syriaque, arabe et latine.
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La défense et l'organisation militaire des Gaules de 284 au repli sur Arles des services administratifs romains au début du Ve siècle

Gauthier, François 12 1900 (has links)
L’armée de Gaule sous le Bas-Empire fut une des trois armées principales de l’Empire romain. Son évolution de la fin du IIIe siècle jusqu’au début du Ve fut marquée par une réorganisation graduelle dans le commandement, ainsi que dans l’organisation des troupes et des fortifications. Ces réformes ont fait l’objet d’études qui ont dressé un schéma de déploiement des troupes resté longtemps populaire. À ce schéma s’est ensuite ajoutée l’idée de la stratégie à grande échelle qui y aurait été associée. Ce mémoire tâche de dresser une synthèse des derniers travaux sur l’armée romaine tardive en Gaule. L’approche choisie repose sur une réévaluation des sources sans l’influence d’un schéma défensif préconçu, ainsi que sur une critique de certaines idées reçues concernant l’armée romaine du IVe siècle. / The army stationed in Gaul during the Later Empire was one of the three main armies available to the Roman Empire. Its evolution from the late IIIrd century to the early Vth century was marked by reforms applied gradually to the high command, and to the organization of troops and fortifications. These measures have interested scholars who established a model of troop deployment which enjoyed great popularity over a long period of time. The idea of strategy applied on a great scale was later included in this concept. This thesis proposes a synthesis of the latest research on the late Roman army in Gaul. The selected approach of analysis is based on a reevaluation of the sources without the bias of a preconceived defensive model. Some obsolete ideas regarding the late Roman army will also be subject to criticism.
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Franziska Krah: „Ein Ungeheuer, das wenigstens theoretisch besiegt sein muß.“ Pioniere der Antisemitismusforschung in Deutschland

Weber, Fabian 23 July 2019 (has links)
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Michel Apostolès et la survie des textes classiques grecs

Wittek, Martin January 1963 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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