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Bilingualer Geschichtsunterricht in Deutschland und Frankreich : ein Beitrag zu einem europäischen Geschichtsbewusstsein im Kontext der deutschfranzösischen Kulturbeziehungen seit 1945? / L’enseignement de l’Histoire dans les classes bilingues en Allemagne et en France : une contribution à la formation d’une conscience historique européenne dans le contexte des relations franco-allemandes ? / Bilingual history education in Gernmany and France : a contribution to the formation of a European historical consciousness in the context of Franco-German relations?

Flucke, Franziska 26 November 2018 (has links)
Pendant l’année scolaire 2012/13, la France et l’Allemagne célèbrent le cinquantième anniversaire du Traité de l’Elysée. Ce traité bilatéral, signé le 22 janvier 1963 par le président de la République française Charles de Gaulle et le chancelier allemand Konrad Adenauer, a scellé un partenariat d’exception entre la France et l’Allemagne dans le domaine de l’éducation. A la suite du traité, en 1969, des premiers cursus bilingues français-allemands ont été établis dans les lycées allemands et français. Les élèves allaient ainsi devoir améliorer leurs connaissances de la langue française ou allemande afin de créer une nouvelle élite franco-allemande pour une Europe commune construite comme une troisième puissance dans le contexte de la Guerre froide. L’Enseignement d’une Matière par l’Intégration d’une Langue Etrangère (= EMILE) se répandit rapidement à partir des années 1990 suite au contrat de Maastricht. Aujourd’hui, l’Enseignement d’une Discipline Non-Linguistique (= DNL) existe pour plusieurs langues et matières dans tout l’espace européen. Ce type d’enseignement est très prisé dans le cadre de la politique linguistique européenne afin de promouvoir le « plurilinguisme ». En France, les sections internationales ont été mises en place en 1981 et les sections européennes en 1992. La France et l’Allemagne ont été les premières à créer un double diplôme, « l’abibac » (en 1994), qui permet aux élèves d’intégrer les établissements d’enseignements supérieurs du partenaire plus facilement. La thèse vise à une comparaison et évaluation de la plus-value didactique de l’enseignement bilingue en Histoire en France et en Allemagne. Depuis les origines de ce type d’enseignement, les didacticiens des langues vivantes se mettent facilement d’accord pour affirmer que celui-ci contribue à développer les compétences linguistiques des élèves ; mais les historiens ont des avis divergents concernant l’acquisition des compétences liées à l’apprentissage de l’Histoire. C’est pourquoi cette thèse cherche à donner des éléments de réponse aux questions suivantes : Dans quelle mesure l’enseignement apporte-t-il une plus-value pour le savoir et les compétences historiques de l’élève ? Peut-on parler de l’acquisition d’une compétence franco-allemande ou/ et européenne ? Pour cela, l’auteure emprunte le concept allemand de la « conscience historique » (« Geschichtsbewusstsein ») comme instrument heuristique et le situe dans une perspective européenne. Ainsi, elle constate que l’enseignement bilingue permet aux jeunes de s’orienter dans des contextes européens en s’appuyant sur les savoirs et des savoir-faire historiques spécifiques acquis dans les filières à condition que cet enseignement soit basé sur une coopération étroite entre les acteurs des deux pays. L’auteure présente le développement de cette coopération dans le contexte historique et culturel du rapprochement franco-allemand et situe ainsi la problématique dans une perspective de longue durée / In 2013, France and Germany are celebrating the fiftieth anniversary of the Élysée Treaty. This bilateral treaty, signed on 22 January 1963 by the President of the French Republic Charles de Gaulle and the German Chancellor Conrad Adenauer, sealed an exceptional partnership between France and Germany in the field of education. Following the treaty in 1969, the first bilingual French-German classes were established in German and French high schools. The students had to improve their knowledge of the French or German language in order to create new elite for a common Europe built as a third power in the context of the Cold War. The concept of Content and Language Integrated Learning (= CLIL) spread rapidly from the 1990s onwards following the Maastricht contract. Today, it is highly valued in the context of European language policy in order to promote "multilingualism". In France, the international sections were set up in 1981 and the European sections in 1992. France and Germany were the first to create a double diploma, the "AbiBac", created in 1994, enables the students to pass the German and the French Secondary School examination simultaneously. The priority is to develop intercultural skills through the reciprocal knowledge of the two cultures. The thesis aims at a comparison and evaluation of the didactic added value of bilingual education in France and Germany and deals the following questions: To what extent does bilingual teaching add value to the student's historical knowledge and skills? Can we observe an acquisition of a Franco-German and/or European competence? For this, we use the German concept of "historical consciousness" ("Geschichtsbewusstsein") as a heuristic instrument and place it in a European perspective. In the first part of this thesis, we present the development of this cooperation in the historical and cultural context of the Franco-German cooperation. The second part deals with the daily teaching practice and die the cross cultural potential of history teaching as CLIL. Thus, we note that bilingual education enables young people to orient themselves in European contexts by using their specific historical knowledge and skills acquired in school, provided that the education is based on close cooperation between the actors of the two countries. The interdisciplinary and intercultural approach of this project, the association of university research and practical experience in High-schools are the keys of this thesis.
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L'Allemagne fédérale et la défense de l'Europe : Le débat sur les missions de la Bundeswehr, de la création de la RFA a l'unification allemande / The German Federal Republic and the Defence of Europe : The Debate on the Missions of the Bundeswehr, from the Creation of the FRG to German Unification

Badde-Revue, Magdalena Antonia 25 February 2010 (has links)
Du réarmement de l’Allemagne fédérale en 1955 jusqu’aux nouvelles missions actuelles à l’étranger mandatées par une organisation internationale et au nom de la défense des droits de l’homme, la Bundeswehr a accompli une évolution singulière, différente des armées des autres nations. Créée de toutes pièces, après la défaite de la 2e guerre mondiale, selon une conception tout opposée à la Wehrmacht et sous la contrainte qu’imposait la Guerre froide, elle s’est ensuite adaptée au gré des menaces et des détentes, mais sans jamais avoir d’autres missions que celle pour laquelle elle a été conçue : défendre l’Europe au sein de l’Alliance atlantique contre l’expansionnisme communiste. La RFA a cherché à se positionner parmi les nations non-nucléaires de l’OTAN et tout en tentant de participer la décision en matière nucléaire. Elle a cherché à faire valoir ses intérêts à travers l’influence que les gouvernements et les chanceliers de tous bords se succédant ont pu exercer sur les deux puissances à l’Est et à l’Ouest, mais aussi à travers l’engagement résolu pour la construction européenne, en concert avec la France. Elle a fait de même par les positions que ses ministres de la Défense et ses représentants civils et militaires ont occupées au sein de l’OTAN. Cette remarquable continuité a abouti à la chute du mur de Berlin et à la fin du monde bipolaire. La Bundeswehr a dû en conséquence à l’instar de son organisme de tutelle, l’Alliance atlantique, se redéfinir et prendre des responsabilités plus importantes dans les conflits européens et mondiaux, sans pour autant abandonner sa doctrine initiale liée à la « Loi fondamentale ». / From the rearmament of Western Germany in 1955 to the today « new missions » under UN mandate and on behalf of the protection of human rights, the “Bundeswehr”, i.e. the German Armed Forces, has been evolving in quite a different way from the other nations. As a matter of fact, the Bundeswehr was set up from scratch after the World War 2 defeat as an armed force based on a conception opposite of the previous Wehrmacht and under the constraints of the Cold War. It then tried to adapt to the various threats and policies of détente but without diverging from its fundamental mission: the defence of the European territory against communist expansion. At that time, Western Germany tried to find its place among the NATO non nuclear States while participating in the nuclear decision making process. It also pushed forward its national interests through the particular influence of its governments and prime ministers on both western and eastern nations and helped promote the EU construction in cooperation with France. It conducted the same policy within NATO. This remarkable political continuity led to the fall of the Berlin Wall and the end of the bipolar world. From that moment on, the Bundeswehr had, just as NATO, to redefine and accept wider responsibilities in European and world conflicts while maintaining its original political doctrine enshrined in its Fundamental Law.

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