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Spolupráce EU - AKT na příkladu Haiti / EU-ACP Cooperation with a case study on HaitiPalková, Anežka January 2011 (has links)
This thesis focuses on cooperation of the European Union with the African, Carribean and Pacific Group of States. Its aim is to describe the relations in a complex way and to record the changes that are connected with the evolution of cooperation. Attention is also paid to conditionality of cooperation. Introductory part describes EU development cooperation and humanitarian aid. Historical evolution of EU-ACP cooperation follows together with the details on the Cotonou Agreement. Last part is the case study on Haiti.
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Human rights implications of including services in Economic Partnership Agreements: the case of banking services in GhanaLasseko, Matilda E.K. January 2008 (has links)
With the banking sector showing remarkable growth in Ghana, it is a probable target for liberalisation by the European Union to enable their banks to enter this market. The author addresses the following research questions: (1) What are the possible outcomes of increased foreign participation through commercial presence upon liberalising the banking sector under Economic Partnership Agreements (EPAs)? (2) Which recognised human rights, that Ghana has an obligation to respect, could be affected by liberalising the banking sector in Ghana under EPAs? (3) What are the outcomes of liberalising the banking sector on poverty reduction and development in Ghana? / Thesis (LLM (Human Rights and Democratisation in Africa))--University of Pretoria, 2008. / Dissertation submitted to the Faculty of Law University of Pretoria, in partial fulfilment of the requirements for the degree Masters of Law (LLM in Human Rights and Democratisation in Africa). Prepared under the supervision of Mr K.K.K. Ampofo, Faculty of Law, University of Ghana, Legon / http://www.chr.up.ac.za/ / Centre for Human Rights / LLM
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EU-ACP economic agreements and WTO/GATT compatibility : options for ACP countries under Cotonou AgreementOjiambo, Colbert 04 October 2010 (has links)
The member states of European Union (EU) and a group of African, Caribbean and Pacific (ACP) states are currently negotiating for new trading agreements compatible with World Trade Organization‘s (WTO) rules. Whereas both the EU and the ACP states are in agreement that the new trading arrangements must be WTO compatible, there is no consensus on the format of the new trading agreements. The EU has insisted that the new trading arrangements should be in the form of free trade agreements, established under Article XXIV of General Agreement on Tariffs and Trade (GATT). Unlike the previous EU – ACP trade agreements which were non – reciprocal, Article XXIV requires that the new trading agreements should be reciprocal. Consequently the EU has gone ahead to negotiate for reciprocal Economic Partnership Agreements (EPAs) with some of the ACP states. Some ACP countries which are opposed to reciprocity have proposed that the new trading arrangements should be established under the provisions of Enabling Clause. Others have suggested that EU should attempt to apply for a WTO waiver. The Cotonou Agreement, under which the new trading agreements are being negotiated, provides that in case of those countries which are not ready to negotiate for EPAs, the EU should examine alternative possibilities, in order to provide these countries with a new framework for trade which is equivalent to their existing situation and in conformity with WTO rules. So far no alternative trading arrangements have been proposed. Although some ACP countries have agreed to negotiate for Economic Partnership Agreements under article XXIV of GAAT, there is no consensus on the interpretation of key provisions of Article XXIV. Under Article XXIV, the parties are required to remove substantially all trade barriers between themselves within reasonable time. The meaning of the phrases 'substantially all' and 'reasonable time‘ has remained controversial with each party giving an interpretation that favours its interests. Lack of consensus on the meaning of these phrases has hindered the conclusion of negotiations for EPAs. In a nutshell, the question of WTO compatibility presents the biggest hurdle to the conclusion of the new trading arrangements between the EU and the ACP group. This paper is an evaluation of the options available to the ACP countries to conclude WTO compatible trading arrangements with the EU. Chapter one of this paper is an introductory chapter which offers an overview of the entire paper. Chapter two sets out in details the historical background of the economic relationship between the EU and the ACP states. This chapter illustrates the historical background from which the new trading agreements have evolved to help the reader understand certain key features of the current economic partnership agreements. Chapter three looks at the GATT/WTO provisions relevant to the establishment of WTO compatible trading arrangements between EU and ACP countries. Particular emphasis is placed on Article XXIV, the Enabling Clause and the WTO waiver. Chapter four is the main chapter in which the paper explores the possibilities of concluding WTO compatible trading agreements under Article XXIV, Enabling clause and the WTO waiver. Chapter five draws the conclusions of this paper. / Dissertation (LLM)--University of Pretoria, 2010. / Centre for Human Rights / unrestricted
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L'accord de Cotonou et les contradictions du droit international : l'intégration des règles de l'Organisation mondiale du commerce et des droits humains dans la coopération ACP-CEGallie, Martin January 2006 (has links)
"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures de l'Université de Montréal en vue de l'obtention du grade de Docteur en Droit (LL.D.) Et à A la faculté de droit Jean Monnet en vue de l'obtention du doctorat en Sciences Juridiques" / Ce travail poursuit deux objectifs principaux: un objectif juridique et un objectif d'ordre
épistémologique.
Il s'agit tout d'abord de rendre compte d'un point de vue juridique et empirique les
implications du passage des Conventions de Lomé à l'Accord de Cotonou. Nous examinons
les implications de la redéfinition des accords de coopération sur les politiques de
développement des Etats ACP, et plus précisément l'évolution des obligations à la charge des
deux groupes de pays dans les domaines du commerce international et des droits humains.
Dans un premier temps, nous montrons que la non réciprocité des obligations commerciales
entre les deux groupes de pays qui caractérisait les Conventions de Lomé est définitivement
écartée au profit d'obligations réciproques et identiques pour les deux groupes de pays en
conformité des dispositions de l'Organisation mondiale du commerce. Le principe de
l'inégalité compensatrice est abandonné au profit de la libéralisation commerciale. Le
traitement spécial et différencié, pourtant consacré dans l'Accord instituant l'OMC, apparaît
ainsi dépourvu d'une grande partie de son intérêt.
Dans un deuxième temps, ce sont les obligations relatives au respect des droits humains qui
retiennent notre attention. L'élargissement du champ de la coopération à des questions
considérées depuis l'indépendance comme des questions relevant de la compétence interne
des Etats, se traduit par une remise en cause de la souveraineté des Etats ACP. Le principe de
non-ingérence dans les affaires intérieures, héritage de la décolonisation, est ainsi remis en
question. Mais surtout, nous établissons que tous les droits humains ne sont pas concernés par
cet élargissement.
Le deuxième objectif de ce travail est d'ordre épistémologique. Il VIse à démontrer le
caractère heuristique d'une analyse constructiviste du droit pour la compréhension de notre
objet mais aussi l'intérêt de ce type d'approche au regard des débats qui structurent le champ
disciplinaire sur les rapports entre les droits humains et le droit du commerce international. A
travers l'étude de l'Accord de Cotonou, nous tentons de mettre en lumière le fait que les droits
humains et règles de l'OMC n'évoluent ni de manière complémentaire ni séparément et qu'il
ne suffit pas de raisonner en termes de «rattrapage» et de correctifs ponctuels afin
d'harmoniser ces deux champs de règles.
En conclusion nous constatons que cinq ans ont suffi aux institutions européennes pour
réaliser un véritable «exploit» politique. Elles ont réussi à renverser l'ensemble des
obligations économiques qui étaient à la charge des deux groupes de pays, à supprimer les
protocoles produits en faveur des ACP, à faire adopter un programme de libéralisation
commercial qui va au-delà de tout ce qui a été négocié jusqu'ici au niveau multilatéral et ce,
sous couvert de mise en conformité avec les dispositions de l'ÜMC. Enfin, l'DE a fragilisé le
Groupe ACP en le morcelant en six régions, dont certaines n'ont aucune existence
institutionnelle, avec lesquelles elle négocie actuellement un vaste programme de
libéralisation commerciale.
En ce qui a trait au respect des droits humains on constate qu'à la différence des normes de
l'OMC qui font l'objet de négociations permanentes et structurent le cadre institutionnel et le
fond de la coopération, le respect des droits humains ne fait pas ou peu l'objet de négociations
entre les deux groupes de pays. De plus, s'ils occupent désormais une place centrale dans le
discours des institutions communautaires en charge du développement, le seul mécanisme mis
en oeuvre pour sanctionner leurs violations est utilisé d'une manière partiale et sélective. Seule
l'DE peut l'utiliser et elle ne choisit de le faire que quand la sanction infligée à un pays ACP
ne met pas en péril ses propres intérêts. Bref, l'intégration des droits humains dans le cadre de
la coopération contribue davantage aujourd'hui à une remise en cause de l'égalité souveraine
des Etats qu'à la promotion des Pactes de 1966, au respect des normes de l'OIT ou du droit
des réfugiés. / This work pursues two aims. The first one is to seek to understand and to explain the stakes
and the implications of the transformation of the Lomé convention into the Cotonou
agreement, from a constructive approach of law. It is then a question of contributing to the
legal thought concerning the degree of complimentary and coherence between the two fields
of the internationallaw, human rights and international trade law.
The second aim led us to look into the question of the real integration, which proved to be
selective, of the standards coming from these two fields of law into the Cotonou Agreement.
In the cooperation, the breach of human rights, as the OMC standards, is appreciated in a
subjective and unilateral way by the E.U.
Far from contributing to a complementary approach, the cooperation reinforces the dichotomy
between these two fields of internationallaw, by treating them on a hierarchical basis.
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Les conventions ACP-EU et les sanctions économiques de l'Union européenne contre les Etats ACP : le cas du Togo / ACP-EU agreements and economic sanctions of European Union against ACP States : the case of TogoNikabou, Lantame Jean 09 November 2013 (has links)
L’Accord de Cotonou, signé en juin 2000 entre l’Union européenne et les États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP), se caractérise par un respect des droits de l’homme, des normes démocratiques et de l’État de droit d’une part, et la quête d’une conformité des normes aux principes de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), d’autre part. En effet, la politique de développement mise en place par l’Europe au profit des États ACP a vu le jour avec le Traité de Rome et la création du Fonds européen de développement au profit des ces pays. Pendant longtemps, le partenariat, essentiellement économique, a octroyé d’énormes avantages aux pays ACP en vue d’assurer leur développement. Depuis bientôt deux décennies que les normes politiques ont été insérées dans ce partenariat, force est de constater que quelques pays, dont le Togo, demeurent toujours réticents quant à l’instauration de réelles réformes démocratiques en vue d’assurer une véritable alternance politique. En dépit des sanctions infligées çà et là par l’Union européenne, ces pays trouvent un appui auprès de la Chine qui mène, avec les pays d’Afrique, un partenariat en toute exclusion de la société civile. / Cotonou agreement, signed in June 2000, between the EU and African, Caribbean and Pacific (ACP) Countries, is characterized by the respect of Human Rights, Democratic standards and Rule of Law in one side, and the quest for compliance with the standards principles of World trade Organization (WTO) in the other side. Since then the development policy implemented by Europe for ACP Countries was created with the Treaty of Rome which established European Development Funds, in favor of these countries. For many years, this partnership, mainly economic, has given huge benefits to ACP countries to ensure their development. For almost two decades that the political standards rules were introduced into this partnership, no doubt to notice that some countries, including Togo, are still reluctant to introduce real democratic reforms to ensure effective political changes. Despite sanctions here and there from the European Union, these countries find support from China who treats with African countries, a specific partnership excluding any Civil Society.
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A new era for the EU-SADC trade relationship: a critical analysis of the EU-SADC EPA and the Impact on regional integration in SADC and South Africa's role in the negotiations.Keller, Sara Regina. January 2007 (has links)
<p>The EPA&rsquo / s will have an impact on regional integration in Africa, especially in the SADC region. The region has been split between the SADC and ESA EPA configuration therefore impacting on regional integration objectives set out under the SADC Trade Protocol.The EPA&rsquo / s will be concluded separately with six of the sub groupings under the ACP grouping. With the EU-SADC EPA negotiations has come a problem of overlapping of membership of the different regions which has created confusion and conflicts. Members of Southern African Development Cooperation (SADC) did not all enter into the EU-SADC EPA has one. The EU-SADC EPA configuration consists of Angola, Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibia, South Africa, Swaziland and Tanzania. The rest of the SADC member states are negotiating with the EU-ESA configuration. With South Africa having been allowed into the negotiations, its role should be examined and what it can contribute to the negotiations. Another conflict that has been created is the fact that South Africa has its own bilateral agreement with the EU thus putting stain on the trade relationship between South African and the rest of the SADC countries.</p>
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L'accord de Cotonou et les contradictions du droit international : l'intégration des règles de l'Organisation mondiale du commerce et des droits humains dans la coopération ACP-CEGallie, Martin January 2006 (has links)
Ce travail poursuit deux objectifs principaux: un objectif juridique et un objectif d'ordre
épistémologique.
Il s'agit tout d'abord de rendre compte d'un point de vue juridique et empirique les
implications du passage des Conventions de Lomé à l'Accord de Cotonou. Nous examinons
les implications de la redéfinition des accords de coopération sur les politiques de
développement des Etats ACP, et plus précisément l'évolution des obligations à la charge des
deux groupes de pays dans les domaines du commerce international et des droits humains.
Dans un premier temps, nous montrons que la non réciprocité des obligations commerciales
entre les deux groupes de pays qui caractérisait les Conventions de Lomé est définitivement
écartée au profit d'obligations réciproques et identiques pour les deux groupes de pays en
conformité des dispositions de l'Organisation mondiale du commerce. Le principe de
l'inégalité compensatrice est abandonné au profit de la libéralisation commerciale. Le
traitement spécial et différencié, pourtant consacré dans l'Accord instituant l'OMC, apparaît
ainsi dépourvu d'une grande partie de son intérêt.
Dans un deuxième temps, ce sont les obligations relatives au respect des droits humains qui
retiennent notre attention. L'élargissement du champ de la coopération à des questions
considérées depuis l'indépendance comme des questions relevant de la compétence interne
des Etats, se traduit par une remise en cause de la souveraineté des Etats ACP. Le principe de
non-ingérence dans les affaires intérieures, héritage de la décolonisation, est ainsi remis en
question. Mais surtout, nous établissons que tous les droits humains ne sont pas concernés par
cet élargissement.
Le deuxième objectif de ce travail est d'ordre épistémologique. Il VIse à démontrer le
caractère heuristique d'une analyse constructiviste du droit pour la compréhension de notre
objet mais aussi l'intérêt de ce type d'approche au regard des débats qui structurent le champ
disciplinaire sur les rapports entre les droits humains et le droit du commerce international. A
travers l'étude de l'Accord de Cotonou, nous tentons de mettre en lumière le fait que les droits
humains et règles de l'OMC n'évoluent ni de manière complémentaire ni séparément et qu'il
ne suffit pas de raisonner en termes de «rattrapage» et de correctifs ponctuels afin
d'harmoniser ces deux champs de règles.
En conclusion nous constatons que cinq ans ont suffi aux institutions européennes pour
réaliser un véritable «exploit» politique. Elles ont réussi à renverser l'ensemble des
obligations économiques qui étaient à la charge des deux groupes de pays, à supprimer les
protocoles produits en faveur des ACP, à faire adopter un programme de libéralisation
commercial qui va au-delà de tout ce qui a été négocié jusqu'ici au niveau multilatéral et ce,
sous couvert de mise en conformité avec les dispositions de l'ÜMC. Enfin, l'DE a fragilisé le
Groupe ACP en le morcelant en six régions, dont certaines n'ont aucune existence
institutionnelle, avec lesquelles elle négocie actuellement un vaste programme de
libéralisation commerciale.
En ce qui a trait au respect des droits humains on constate qu'à la différence des normes de
l'OMC qui font l'objet de négociations permanentes et structurent le cadre institutionnel et le
fond de la coopération, le respect des droits humains ne fait pas ou peu l'objet de négociations
entre les deux groupes de pays. De plus, s'ils occupent désormais une place centrale dans le
discours des institutions communautaires en charge du développement, le seul mécanisme mis
en oeuvre pour sanctionner leurs violations est utilisé d'une manière partiale et sélective. Seule
l'DE peut l'utiliser et elle ne choisit de le faire que quand la sanction infligée à un pays ACP
ne met pas en péril ses propres intérêts. Bref, l'intégration des droits humains dans le cadre de
la coopération contribue davantage aujourd'hui à une remise en cause de l'égalité souveraine
des Etats qu'à la promotion des Pactes de 1966, au respect des normes de l'OIT ou du droit
des réfugiés. / This work pursues two aims. The first one is to seek to understand and to explain the stakes
and the implications of the transformation of the Lomé convention into the Cotonou
agreement, from a constructive approach of law. It is then a question of contributing to the
legal thought concerning the degree of complimentary and coherence between the two fields
of the internationallaw, human rights and international trade law.
The second aim led us to look into the question of the real integration, which proved to be
selective, of the standards coming from these two fields of law into the Cotonou Agreement.
In the cooperation, the breach of human rights, as the OMC standards, is appreciated in a
subjective and unilateral way by the E.U.
Far from contributing to a complementary approach, the cooperation reinforces the dichotomy
between these two fields of internationallaw, by treating them on a hierarchical basis. / "Thèse présentée à la Faculté des études supérieures de l'Université de Montréal en vue de l'obtention du grade de Docteur en Droit (LL.D.) Et à A la faculté de droit Jean Monnet en vue de l'obtention du doctorat en Sciences Juridiques"
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A new era for the EU-SADC trade relationship: a critical analysis of the EU-SADC EPA and the Impact on regional integration in SADC and South Africa's role in the negotiations.Keller, Sara Regina. January 2007 (has links)
<p>The EPA&rsquo / s will have an impact on regional integration in Africa, especially in the SADC region. The region has been split between the SADC and ESA EPA configuration therefore impacting on regional integration objectives set out under the SADC Trade Protocol.The EPA&rsquo / s will be concluded separately with six of the sub groupings under the ACP grouping. With the EU-SADC EPA negotiations has come a problem of overlapping of membership of the different regions which has created confusion and conflicts. Members of Southern African Development Cooperation (SADC) did not all enter into the EU-SADC EPA has one. The EU-SADC EPA configuration consists of Angola, Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibia, South Africa, Swaziland and Tanzania. The rest of the SADC member states are negotiating with the EU-ESA configuration. With South Africa having been allowed into the negotiations, its role should be examined and what it can contribute to the negotiations. Another conflict that has been created is the fact that South Africa has its own bilateral agreement with the EU thus putting stain on the trade relationship between South African and the rest of the SADC countries.</p>
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The European Union relationship to the Africa, Caribbean and Pacific countries in terms of the Cotonou Agreements: will the economic partnership agreements aid regional integrationLi, Jinxiang January 2005 (has links)
Magister Legum - LLM / The main purpose of this paper was to explore the role economic partnership agreements play in regional integration. The whole paper was premised on identifying the nature of economic partnership agreements that is conceived as a free trade arrangement. Therefore the paper discussed the feasibility of the reciprocal principle between the European Union and ACP countries, and further indicated that there is no need to implement the principle of reciprocity at present. The paper also discovered that, due to the fact that unequal trade relations between the EU and the ACP countries still exist, the implementation of the EPAs is most likely to generate the complementary but non-competitive trade relations between the EU and the ACP countries. Such a situation could result in the ACP countries over-independence on the EU's market. ACP countries are not expecting to such integration. In addition the paper ascertains that the EPAs themselves could contain the intrinsic negative impacts such as discrimination against the third countries on regional integration. / South Africa
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A new era for the eu-sadc trade relationship: a critical analysis of the EU-SADC EPA and the impact on regional integration in SADC and South Africa’s role in the negotiationsKeller, Sara Regina January 2007 (has links)
Magister Legum - LLM / The EPA’s will have an impact on regional integration in Africa, especially in the SADC region. The region has been split between the SADC and ESA EPA configuration therefore impacting on regional integration objectives set out under the SADC Trade Protocol.The EPA’s will be concluded separately with six of the sub groupings under the ACP grouping. With the EU-SADC EPA negotiations has come a problem of overlapping of membership of the different regions which has created confusion and conflicts. Members of Southern African Development Cooperation (SADC) did not all enter into the EU-SADC EPA has one. The EU-SADC EPA configuration consists of Angola, Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibia, South Africa, Swaziland and Tanzania. The rest of the SADC member states are negotiating with the EU-ESA configuration. With South Africa having been allowed into the negotiations, its role should be examined and what it can contribute to the negotiations. Another conflict that has been created is the fact that South Africa has its own bilateral agreement with the EU thus putting stain on the trade relationship between South African and the rest of the SADC countries.
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