Orientador: Nuno César Pereira de Abreu / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Artes / Made available in DSpace on 2018-08-16T22:09:17Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Velasco_DiogoCavalcanti_M.pdf: 950407 bytes, checksum: efdfd5c7569cb154df742f3da3c9809f (MD5) Previous issue date: 2010 / Resumo: O Sertão Nordestino sempre permeou o imaginário do homem brasileiro por meio dos discursos que a história produziu. Vários campos discursivos, como a política, a economia, as ciências sociais e as artes, sedimentaram um universo simbólico acerca desse espaço. Logo, o cinema também contribuiu nessa simbolização, principalmente nos ciclos do Nordestern e do Cinema Novo. Agora, nos anos 2000, ele volta a ter novas correntes de representação cinematográfica. Uma delas se encontra no grupo de produtores do Nordeste, que faz asserções sobre os seus Sertões e os ressignifica de acordo com um mundo contemporâneo globalizado, característico de sua época. A presente pesquisa busca, por meio da metodologia analítica de Pierre Sorlin, mostrar como isso acontece num grupo de quatro filmes: Cinema, Aspirinas e Urubus (Marcelo Gomes, 2005), Árido Movie (Lírio Ferreira, 2006), Céu de Suely (Karim Ainouz, 2006) e Deserto Feliz (Paulo Caldas, 2007) / Abstract: The Sertão Nordestino has always been in Brazilian people imagination through the history discourses that has been produced. Several fields of discourses, like politics, economy, social sciences and arts, created a symbolic universe about this space. Therefore, the Movies also contributed in this symbolization, mainly in the Nordestern and Cinema Novo cycles. Nowadays, in the 2000s, there are new currents of cinematographic representation. One of them is the group of Nordeste that wants to talk about their Sertões and gives them new meanings according to a contemporary globalized world. This present dissertations searches, through the analytical methodology of Pierre Sorlin, to show how this happens in a group of four films: Cinema, Aspirinas e Urubus (Marcelo Gomes, 2005), Árido Movie (Lírio Ferreira, 2006), Céu de Suely (Karim Ainouz, 2006) e Deserto Feliz (Paulo Caldas, 2007) / Mestrado / Mestre em Multimeios

Dans une société qui avait déjà fait une large place, non au monothéisme en tant que tel, mais à un certain hénothéisme, le christianisme a pu apparaître comme un phénomène inédit, en comparaison du polythéisme traditionnel. Plusieurs originalités le caractérisent, même si séparément, elles peuvent se retrouver dans d'autres mouvements religieux. Dans l'histoire de l'Afrique romaine cependant, l'élément déterminant qui peut expliquer la généralisation des conversions au christianisme se situe peut-être moins dans une croyance en un au-delà meilleur ou dans un rapport d'intimité inédit avec le sacré, que dans les aspects matériels mis en place par l'Église - assistance charitable, réseau d'évêchés, encadrement ecclésiastique - et dans le choix du Prince de faire de son empire un monde chrétien. Cette décision politique, initiée par Constantin et majoritairement suivie par ses successeurs, a sans doute représenté l'un des outils les plus efficaces de la christianisation dans la longue durée, mais elle pose la question des limites du processus, dans la mesure où les individus christianisés n'en sont pas pour autant nécessairement chrétiens, selon la définition que l'on retient pour ce terme. La dimension religieuse et individuelle est essentielle à la compréhension d'un processus qui, malgré la popularité de certaines pratiques, comme le culte des martyrs, a rencontré de nombreux obstacles : depuis le judaïsme et le paganisme, jusqu'au schisme donatiste et aux violences qui lui sont corrélées. Dans sa volonté de les annihiler, le pouvoir a donné à la christianisation de l'empire une dimension politique qui a renforcé l'institution ecclésiastique et sa légitimité. / .