• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 64
  • 8
  • 4
  • Tagged with
  • 84
  • 50
  • 33
  • 21
  • 18
  • 18
  • 13
  • 12
  • 12
  • 9
  • 9
  • 9
  • 9
  • 8
  • 7
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Étude des liens entre l'écoute de la musique rap et les comportements déviants à l'adolescence

Miranda, Dave January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
2

Un regard qualitatif sur le cheminement d'adolescentes en Centre jeunesse : usage de substances psychoactives et autres comportements qualifiés de déviants

Martel, Caroline January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
3

Un regard qualitatif sur le cheminement d'adolescentes en Centre jeunesse : usage de substances psychoactives et autres comportements qualifiés de déviants

Martel, Caroline January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
4

Les "cités" de Montrimond et ses "bandes de jeunes". Ethnographie des relations d'amitié, de complicité et d'inimitié dans la proche banlieue parisienne (1970-2015) / The "gangs" of Montrimond. Ethnogragy of friendship, enmity and complicity in a parisian housing projects (1970-2015)

Boukir, Kamel 19 May 2017 (has links)
À Montrimond certains jeunes sont connus pour squatter les halls et les places publiques. Ce sont les « mecs de cité ». Dans cette banlieue parisienne, ces jeunes résident dans les deux « quartiers sensibles », le Belvédère et le Val. Fruit d’une enquête ethnographique conduite au sein de la famille Aïth Ali pendant plus de six ans, cette thèse décrit l’expérience de cette affiliation juvénile depuis la perspective des jeunes, à hauteur de ce qui suscite leurs passions et leurs haines. Qu’est-ce que signifie au quotidien d’« être un mec de cité » ? Quelles pratiques soutiennent ce sentiment d’appartenance ? Quels liens font tenir cette collectivité juvénile de pied d’immeuble ? Une partie liminaire examine sur le plan historique l’émergence de ces « quartiers sensibles ». Elle montre les raisons pour lesquelles certains jeunes incarnent au tournant des années 1960 et 1970 une angoisse sociale particulière : la disparition du « vieux Montrimond ». Face à ces nouveaux venus perçus comme des outsiders, les Montriots des « origines » se sentent menacés. En creux, les jeunes de cités deviennent alors responsables de ce monde qui s’en va. Face à cette légende des origines, les jeunes de cité se taillent un autre récit de fondation pour inscrire leur biographie dans cette histoire urbaine. Être un « mec de cité » c’est s’identifier à un ordre temporel grâce auquel chacun trouve sa place, celle d’« ancien », de « grand » ou de « petit ». Cet ordre générationnel fournit un cadre narratif sur lequel s’appuyer pour donner du sens à sa vie. On peut alors dire qu’on est un « mec » d’ici, du « quartier » ou de la « cité ». Puis, l’enquête décrit les réseaux d’amitié au sein desquels prennent forme ces rassemblements de jeunes. Elle suit plusieurs fratries depuis leur prime enfance, leur passage des bacs à sable à l’école primaire et secondaire, et en parallèle, les institutions municipales de délégation éducative, comme les MJC, les clubs de sport et les centres de loisirs. Une société juvénile, avec ses propres standards moraux, se développe dans les réseaux de relations qui lient ces trajectoires de socialisation. Véritable pierre de touche sur laquelle s’échafaude tout un univers éthique, cet entre-soi juvénile s’organise autour de trois figures relationnelles : l’ami, le complice et l’ennemi. Une question se pose alors : qu’advient-il de la moralité ordinaire qui lie ces amis d’enfance quand ils deviennent complices dans la délinquance ou le crime (deal de stupéfiants, vols, braquages, etc.) ? La hantise de la déloyauté, de l’arnaque et de la délation sape le ressort sur lequel reposait la certitude de la bonne foi d’autrui, sa sincérité. Ce contexte de vulnérabilité affective et éthique place les complices dans un cercle vicieux où les intentions de leurs proches souffrent d’une double lecture. Face à l’indétermination du futur, l’angoisse de la trahison poussera les plus déterminés à anticiper les mauvais coups et à céder à la violence. L’enquête sondera alors les ressorts psychosociologiques du passage à l’acte ainsi que les conditions d’exercice du jugement moral face à la violence. / At the bottom of housing projects in Montrimond, young men gather in building entrances and public places. In this small city located in the ring of suburbs, next to Paris, a few adolescents and young adults see themselves as the “guys from the hood”. The “guys from the Belvedere” and the “guys from the Val” wander around in the so-called “sensitive neighborhoods” the city hall has labeled as such. This thesis shed light upon the lived experience and the meanings of this juvenile affiliation. What does that mean to “be a guy from the hood” on a daily basis? On which everyday activities this affiliation relies on? How some boys come to be morally bound together? Initially, the thesis investigates the historical and ecological aspects in the genesis of the so-called “sensitive neighborhoods.” It shows how youth came to embody a social phobia that yields the residents to see them as outsiders. Then, this social fear is related to the narrative of foundation youth tells their own origin. Through the order of generation upon which they tell the history of their “hood”, anyone can be assigned to a place of either an “ancestor,” an “elder” or a “young.” Here we describe the networks of friendships that shape those generational gatherings. In the interstices of educational institutions of the city, like family, school and youth center, those “guys” cultivate an esprit de corps with its own moral standards. This esprit de corps is the touchstone upon which they give rise to a moral world that revolves around three ethical figures: the friend, the partner in crime (accomplice) and the enemy. Finally, the thesis unfolds the psychosociological dynamics entailed in the metamorphosis of commitment friends are engaged in while becoming deviant (drug dealing, robbery, stick-ups, etc.). In the context of deviant careers, friends cannot believe anymore in the sincerity of their alter ego. Facing the possibility of disloyalty, scam and snitch, they start doubting the honesty that was at the core of their mutual respect. In this distrust process, the ethical and emotional vulnerability undermines the faith in the future, engaging each other in a vicious circle of predicting the betrayal of the old friend. Some would go as far as killing a would-be enemy, others would be cruel in retaliation when certain would withdraw from violence to save their sense of humanity.
5

The integration of the computer hacker in the information economy

Assié, Christopher K. January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
6

Utilisation de l'approche de la déviance positive pour améliorer l'impact d'un programme de supplémentation en fer-folate des femmes enceintes au Sénégal

Ndiaye, Mamadou January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
7

Existential criminology : a profile of phantom killers

Steck, Stephen M. January 2005 (has links)
No description available.
8

L'influence qu'exercent la satisfaction à l'égard du travail et la satisfaction à l'égard des collègues sur les comportements déviants au travail

Daher, Bernadette 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise porte sur les comportements déviants au travail, c'est-à-dire les « mauvais comportements » qui nuisent à l'organisation ou à ses membres. En raison des conséquences négatives qu'engendrent ces comportements, ces derniers suscitent plus que jamais l'intérêt des chercheurs et des praticiens. Ils se sont alors penchés sur les facteurs à l'origine de ces comportements et sur les éléments contextuels qui favorisent ou empêchent les individus d'en commettre. Ce mémoire poursuit dans cette voie. Son objectif consiste à déterminer l'effet modérateur qu'exercent la satisfaction à l'égard des collègues et la satisfaction à l'égard du travail en soi sur le lien entre la justice organisationnelle et les comportements déviants. Les nombreuses études empiriques et les méta-analyses réalisées jusqu'à maintenant révèlent que la justice organisationnelle - la perception de justice en milieu de travail - constitue l'un des déterminants des comportements déviants au travail. Les quatre dimensions de la justice organisationnelle seraient des éléments déclencheurs des comportements déviants : la justice procédurale, la justice distributive, la justice relationnelle et la justice informationnelle. Or, l'examen des résultats de ces études révèle que la force du lien entre les dimensions de la justice et les comportements déviants est très variable selon les études. Ainsi, selon toute vraisemblance, il existerait des variables modératrices, c'est-à-dire des éléments contextuels qui accentuent ou atténuent le lien entre les dimensions de la justice et les comportements déviants. À notre connaissance, aucune étude jusqu'à maintenant n'aurait porté sur l'effet modérateur de la satisfaction à l'égard du travail en soi et des collègues de travail. Cela confère à notre mémoire son originalité et contribue à combler certaines lacunes de la littérature. Afin de réaliser notre objectif de recherche, nous avons d'abord analysé en profondeur le concept de comportement déviant au travail et retenu la définition que proposent Robinson et Bennett (1997). Nous avons ensuite présenté la typologie des comportements déviants de Robinson et Bennett (1995), laquelle permet de classer les comportements déviants en quatre catégories selon la cible des comportements et leur gravité. Dans notre recherche, nous nous sommes intéressés plus particulièrement à la déviance liée à la production (en faire le moins possible au travail), à la déviance liée à la propriété (saboter le système de production, endommager le matériel ou voler son employeur), et à la déviance politique (nuire à la réputation d'un collègue de travail). La déviance personnelle n'a pas été retenue. En vue d'élaborer notre modèle d'analyse, nous avons d'abord utilisé le modèle théorique de la déviance au travail de Robinson et Bennett (1997). Selon ce modèle, les comportements déviants constitueraient une réponse à divers types de provocations dont les individus se sentent victimes en milieu de travail, par exemple, les injustices. Ces provocations engendreraient deux types de motivation à adopter des comportements déviants, à savoir, la motivation à rétablir la situation (motivation instrumentale), ou la motivation à punir l'offenseur (motivation expressive). L'adoption de comportements déviants et le choix des comportements déviants dépendraient alors de la présence de contraintes dans le milieu de travail. Ainsi, les différentes contraintes du milieu de travail constitueraient des variables modératrices intensifiant ou atténuant l'effet des provocations (injustices) sur les comportements déviants. Nos six hypothèses de recherche concernent précisément le rôle modérateur de la satisfaction à l'égard du travail en soi et la satisfaction à l'égard des collègues de travail. L'argumentation qui fonde nos hypothèses s'appuie à la fois sur le modèle théorique de la déviance au travail de Robinson et Bennett (1997), et sur les théories suivantes : 1) la théorie des caractéristiques des tâches de Hackman et al. (1975), 2) la théorie des liens sociaux appliquée à l'organisation de Hollinger (1986), 3) la théorie de l'échange social de Blau (1964) et 4) les travaux sur le support social effectués par Cohen et Wills (1985). En vue de mettre à l'épreuve des faits nos six hypothèses de recherche, nous avons opté pour un devis corrélationnel synchronique. À l'aide de la technique du questionnaire auto-administré en groupe, nous avons collecté les données auprès d'étudiants qui suivent le cours intitulé « Comportement organisationnel » à l'ESG-UQAM. Le taux de réponse s'élève à 59%, soit 152 répondants. Les instruments de mesure utilisés dans cette étude sont des outils existant dont la validité et la fidélité ont déjà été démontrées. Des analyses factorielles en composantes principales et des analyses d'homogénéité interne ont d'ailleurs permis de vérifier la validité de la structure des données ainsi que la fiabilité des données. Comme prévu, l'analyse factorielle a permis d'extraire un facteur représentant la déviance liée à la production et un facteur reflétant la déviance liée à la propriété (sabotage). En revanche, contrairement à ce qui était anticipé, la déviance politique fait référence à deux types distincts de comportements déviants, la déviance politique dissimilée et la déviance politique non dissimulé. Afin de vérifier empiriquement nos six hypothèses de recherche, nous avons utilisé la technique de la régression linéaire multiple. Nous avons obtenu des résultats non significatifs pour cinq des six hypothèses. En revanche, nous avons accepté partiellement l'hypothèse no 3. Nos résultats montrent ainsi que dans la mesure où les individus s'estiment injustement récompensés, ceux qui sont satisfaits de leurs tâches sont plus susceptibles de nuire à leurs collègues que ceux qui se montrent insatisfaits. Ils ont donc davantage tendance à lancer ou à répéter des rumeurs qui nuisent à l'image de leurs collègues ou/et leur supérieur immédiat, à critiquer publiquement leurs collègues ou leur dire des choses blessantes. Bref, lorsque les individus sont provoqués par une injustice distributive, la satisfaction à l'égard du travail en soi joue un rôle modérateur. Finalement, cette étude contribue à l'avancement des connaissances en ce qu'elle permet de faire les constats suivants : 1) les dimensions de la justice constituent des offenses d'une gravité variable selon la dimension de la justice en question, de sorte que les individus réagissent plus fortement à la justice distributive qu'aux autres dimensions de la justice, 2) la satisfaction à l'égard du travail en soi constitue une variable modératrice qui influence la satisfaction que procure les comportements déviants, faisant en sorte que les individus choisissent la déviance politique. ______________________________________________________________________________
9

De la vidéoprojection à la vidéosurveillance : une étude sur l'acceptabilité sociale de la caméra / From video protection to video surveillance : a study on the social acceptability of the camera

Ory, Murielle 21 September 2012 (has links)
Des élus politiques, des membres des forces de l’ordre et des citoyens s’opposent sur la question du bien fondé de l’utilisation de la vidéosurveillance en milieu urbain lorsqu’on la met au service de la gestion de la sécurité. Si les uns voient dans l’installation de ces systèmes un danger pour les libertés fondamentales du citoyen, les autres considèrent que l’usage de la vidéosurveillance se justifie par la pression de l’insécurité. Il s’agit dans cette recherche de présenter les argumentaires des partisans et des détracteurs de la vidéosurveillance en distinguant les éléments divergents ou contradictoires du débat public sur ces dispositifs. Je me penche d’autre part sur la réception de ces systèmes par une population d’enquêtés strasbourgeois. L’analyse des discours recueillis permet à la fois de mettre en lumière des systèmes de représentations et de croyances concernant la surveillance vidéo de la ville dans laquelle ces vidéosurveillés vivent et agissent quotidiennement et de dégager les éléments qui entrent en considération lorsqu’un acteur formule une appréciation individuelle sur la légitimité de la vidéosurveillance. On verra que le type d’impression que provoque la caméra sur celui qui la perçoit n’est jamais constant mais qu’il varie selon la construction de la figure du vidéosurveillant, avec la nature du lieu dans lequel l’expérience de la vidéosurveillance est vécue mais aussi en fonction de la valeur attribuée à l’image du corps dans les différents espaces filmés. / Elected representatives, members of the police and citizens are at odds concerning the appropriateness of using video surveillance (closed-circuit television) in towns for security management purposes. Some see the implementation of these systems as a danger for the fundamental freedoms of citizens, while others consider that the use of video surveillance can be justified by the pressure of insecurity. The point of this research is to present the arguments of the supporters and critics of video surveillance by distinguishing the divergent and contradictory factors of the public debate on these devices. Furthermore, I focus on the reception of these systems by the people from Strasbourg, I have interviewed. Not only does the analysis of the gathered speeches highlight systems of representation and belief, relative to the video surveillance of the town in which the video-monitored people live and behave, on a daily basis, but it also reveals the factors to be taken into account when a person formulates an individual judgement on the legitimacy of video surveillance. We will see that the type of impression the camera provokes on the person who perceives it, is never constant, and varies according to the construction of the character/behaviour of the video surveillance operator, to the nature of the place in which the video surveillance experience is carried out, and also according to the value attributed to the image of the body, in the different filmed places.
10

Représentations de la déviance fiscale en France du consentement sous contrôle à la concertation citoyenne / Representation of tax deviance in France. From consent under control to civic dialogue

Péclat, Mélanie 26 May 2015 (has links)
Cette thèse se fonde sur les résultats d’une enquête sur les représentations de la déviance fiscale construites par l’opinion publique en France et donne une réponse nouvelle à la question du consentement à l’impôt. Mêlant les méthodes quantitatives et qualitatives et se situant au carrefour de la science politique, de la sociologie, de la philosophie et de la psychologie, cette enquête révèle la manière dont la considération des représentations de la déviance fiscale peut conduire à la construction du civisme fiscal. En partant de l’influence des valeurs et des normes sous-jacentes aux représentations des évitements légaux et illégaux de l’impôt sur le comportement du contribuables, cette thèse propose une réflexion sur la nécessité d’un dépassement de l’opposition binaire entre le légal et l’illégal imposée par les réponses administratives et judiciaires aux évitements de l’impôt. Pour être efficace, la lutte contre l’« insécurité fiscale », pensée comme une voie de sortie possible de la crise économique, doit se construire dans et par la réappropriation citoyenne de la question fiscale et dans la défense d’une conception particulière du juste soutenue par un renouvellement du contrat social fiscal. / This dissertation is based on the results from a survey on the representations of tax deviance constructed by public opinion in France and gives a novel answer to the question of tax compliance. This research, situated at the crossroads between political science, sociology, philosophy and psychology, uses both quantitative and qualitative methods to reveal how the consideration of tax deviance representations can lead to the construction of fiscal civism. Looking first at the influence of values and norms which underlie the representations of legal and illegal tax avoidance on taxpayers’ behavior, this dissertation offers a reflection on the need to move beyond the binary opposition between the legal and illegal imposed by the administrative and judicial responses to tax avoidance. In order to be efficient, the fight against “fiscal insecurity”, considered as a possible way out of the economic crisis, must construct itself in and by the civic reappropriation of the fiscal question and in the defense of a particular conception of fairness supported by a renewal of the fiscal social contract.

Page generated in 0.0395 seconds