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La première consultation en odontologie pédiatriqueGouré, Tony Dajean-Trutaud, Sylvie. January 2005 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Université de Nantes : 2005. / Bibliogr. f. 114-123 [77 réf.].
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De l'obligation de moyens à l'obligation de résultat ? réflexion sur l'évolution du rapport de confiance entre le chirurgien-dentiste et son patient /Coirier, François Amador del Valle, Gilles. Cadeau, Emmanuel. January 2009 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2009. / Bibliogr.
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Motivation à l'hygiène bucco-dentaire des patients traités en orthopédie dento-facialeJoly Trouilleau, Charlène Rouvre, Michel. January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Les interrelations entre l'esprit et le corps dans la prise en charge odontologiqueCao, Xuan-Huong Bohne, Wolf. Guihard, Jacques. January 2009 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2009. / Bibliogr.
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Adaptation québécoise-française et validation de l'index of dental anxiety and fear (échelle de peur et d'anxiété des traitements dentaires)Quenneville, Isabelle 19 April 2018 (has links)
Il existe actuellement peu de tests validés de façon convaincante de langue québécoise-française pour mesurer l’anxiété liée aux soins dentaires chez l’adulte. On retrouve par ailleurs un tel test validé en langue anglaise, l’IDAF-4C+ (Annexe IV), dont les détails ont été publiés en 2010 [1]. L’objectif de la présente étude était de traduire l’IDAF-4C+ en langue québécoise-française utilisée au Canada, de l’adapter et de le valider. Un groupe d’experts a été consulté afin de discuter de la traduction. La clarté des questions a été vérifiée auprès de patients. La consistance interne et la stabilité temporelle ont été établies par analyse statistique. Finalement, on a démontré la validité du test à l’aide d’une corrélation positive entre l’Échelle de Peur et d’Anxiété des Traitements Dentaires (EPATD) et des tests d’anxiété générale et situationnelle bien établis dans le domaine de la psychologie (Annexes VII). La validité transculturelle des tests utilisés a été démontrée. Des tests physiologiques ont également été utilisés pour valider les résultats.
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Les troubles alimentaires de l'anorexie à l'obésité /Dore-Jourdain, Dorothée Bohne, Wolf. January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Prise en charge de l'enfant hyperactif au cabinet dentaireMauroy, Aurélie Dajean-Trutaud, Sylvie. January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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L'anxiété de l'enfant et de l'adolescent en odontologieRichard Leborgne, Hélène Dajean-Trutaud, Sylvie. Roy, Elisabeth January 2007 (has links)
Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2007. / Bibliogr.
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Accessibilité aux services buccodentaires des personnes vivant avec le VIH-SIDA au QuébecCharbonneau, Anne 06 1900 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur. / Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Problème : De nombreuses pathologies des muqueuses buccales et du parodonte sont associées à l'infection au VIH. Il est donc primordial que les personnes vivant avec le VIH-SIDA aient accès aux services d'un dentiste. Or au Québec, des témoignages non documentés indiquent que certaines d'entre elles se sont vues refuser des services après avoir divulgué leur état de séropositivité au dentiste. Objectifs : Cette recherche visait à répondre aux questions de recherche suivantes : • Est-ce que les personnes vivant avec le VIH-SIDA au Québec divulguent leur séropositivité lorsqu'elles consultent un dentiste? • Est-ce qu'au Québec il y a de la discrimination envers les personnes vivant avec le VIH-SIDA lorsqu'elles consultent un dentiste? • Est-ce que les personnes vivant avec le VIH-SIDA au Québec reçoivent et veulent des soins buccodentaires spécialisés? Méthodologie : Une enquête anonyme à l'aide d'un questionnaire auto-administré a été menée au Québec, de 1993 à 1995, auprès de 463 personnes vivant avec le VIHSIDA recrutées à partir de plusieurs sources. Parmi les répondants, 50 % avaient des symptômes du SIDA. Résultats : Plus de 80 % des répondants ont rapporté avoir consulté un dentiste depuis le diagnostic de leur infection au VIH. De ceux-ci, 54 % ont rapporté avoir toujours divulgué leur séropositivité au dentiste, alors que 24 % ont rapporté ne l'avoir jamais divulguée au dentiste. Les raisons que ces derniers donnaient pour ne pas divulguer leur état au dentiste incluaient l'obligation des dentistes d'utiliser les précautions universelles quel que soit le statut de séropositivité du patient, la crainte d'un bris de confidentialité, la peur d'être refusé ou mal jugé par le dentiste. Toutefois, 83 % des répondants préféraient que le dentiste soit au courant de leur séropositivité. Plus du quart des répondants ayant divulgué leur séropositivité au dentiste se sont vus refuser des soins buccodentaires. Par ailleurs, 2/3 de ceux-ci n'auraient pas été référés à un autre dentiste. Le refus est associé chez les répondants à l'utilisation de drogues injectables et chez les dentistes au sexe féminin et à la pratique privée. Les répondants ayant consulté un dentiste depuis le diagnostic de leur séropositivité ont reçu principalement des soins buccodentaires de base. En outre, 60 % des répondants ont indiqué qu'ils préféraient recevoir leurs soins dans une clinique dentaire régulière. Ce choix était justifié principalement par le souci de ne pas être discriminés. Ceux qui préféraient aller dans une clinique spécialisée se sont aussi montrés soucieux de la discrimination en plus de vouloir des soins adaptés à leur condition de santé. Conclusions : Les résultats de l'étude suggèrent qu'au Québec les personnes vivant avec le VIH-SIDA font face à des problèmes d'accessibilité aux services buccodentaires. Des efforts supplémentaires devraient être faits pour faciliter à cette clientèle l'accès sans discrimination des services buccodentaires dans les cliniques régulières. Les personnes vivant avec le VIH-SIDA pourraient ainsi se sentir moins réticentes à divulguer leur état de santé au dentiste et plus confiantes de recevoir des services de qualité adaptés à leur condition de santé.
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Le risque de transmission d'agents infectieux en cabinet dentaire : une étude transversale sur les connaissances et attitudes des patients et des étudiants de dernière année de médecine dentaire du QuébecBeaulieu Dagenais, Dominique 27 January 2024 (has links)
À travers le monde, il existe encore des attitudes discriminantes chez des dentistes, des étudiants ou des patients envers des personnes ayant des infections transmissibles par le sang comme celles causées par le virus de l’immunodéficience humaine, le virus de l’hépatite B ou le virus de l’hépatite C. De plus, aucune étude québécoise ou même canadienne récente n’a été faite à ce sujet. But : Le but du projet de recherche était d’évaluer les connaissances sur les risques de transmission d’infections et les attitudes des patients et des étudiants de dernière année de médecine dentaire du Québec et d’établir si des associations existaient entre ces variables. Matériel et méthodes : Des questionnaires distincts ont été construits à partir de ceux utilisés dans des études comparables conduites à l’étranger. Les questionnaires incluaient des choix de réponse de type fermé et des échelles de niveau d’accord par rapport à des énoncés. Soixante-neuf étudiants de dernière année de médecine dentaire de l’Université de Montréal ainsi que de l’Université Laval ont participé au projet de recherche (taux de participation de 56,6 %) et cent-quarante-deux patients de la clinique de Résidence Multidisciplinaire de l’Université Laval ont été recrutés. Des analyses descriptives ont permis de décrire les populations étudiées et les associations possibles entre les variables ont été analysées en utilisant la corrélation de Spearman, letest de Wilcoxon ainsi que le test de Kruskal-Wallis. Résultats : Les connaissances des étudiants et des patients étaient limitées et les attitudes discriminantes étaient exprimées par 17,4 % des étudiants et 41,8 % des patients. Aucune association statistiquement significative n’a été notée entre les connaissances et les attitudes des étudiants (p > 0,05)alors qu’il y en avait une pour les patients (p < 0,05). Conclusions : Dans les limites de cette étude transversale, les connaissances des étudiants n’avaient pas d’effet sur leurs attitudes, alors que les connaissances des patients affectaient leurs attitudes. De meilleures connaissances au sujet de la transmission d’infections en cabinet dentaire pourraient s’avérer bénéfiques tant pour les patients que pour les étudiants. / Worldwide, negative attitudes still remain from dentists, students or patients concerningpeople infected with blood borne pathogens (human immunodeficiency virus, hepatitis Bvirus and hepatitis C virus). Furthermore, there is no actual study from Quebec or any recentCanadian study regarding this topic. Aim: To evaluate the knowledge and attitudes towardthe risk of transmission of infections in dentistry and to see if an association exists betweenthese variables. The studied population was patients and senior year dental students fromQuebec. Methods: Distinct questionnaires were developed from those used in other similarstudies. The questionnaires included closed-ended questions and Likert-type scaleevaluations of agreement with statements. Sixty-nine senior year dental students fromUniversity of Montreal and Laval University (participation rate of 56.6 %) and one hundredforty-two patients from the Multidisciplinary Residency Program of Laval University wereincluded in the study. Descriptive analysis was used to describe the studied population andthe possible associations between variables were analyzed using the Spearman correlation,the Wilcoxon Test as well as the Kruskal-Wallis Test. Results: The students’ knowledgeand the patients’ knowledge were both limited and negative attitudes were expressed by17.4 % of the students and 41.8 % of the patients. There was no significant statisticalassociation between the knowledge and the attitudes of the students (p > 0,05). However,there was for the patients (p < 0,05). Conclusions: In the limit of this cross-sectional study,the knowledge of the students did not affect their attitudes while the knowledge of thepatients did. Educational efforts are needed to enhance and increase the knowledge of bothpatients and students about the risk of transmission of infections in dental settings.
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