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La conquête du quotidien dans "Sudbury" de Patrice Desbiens, suivie du recueil de poèmes "Voracites"

Blais, Mathieu, January 2007 (has links)
Thèse (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2007. / Titre de l'écran-titre (visionné le 1 février 2007). In ProQuest dissertations and theses. Publié aussi en version papier.
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Une prise de parole sur la langue : l'ambivalence générique dans l'écriture poétique de Gaston Miron et de Patrice Desbiens /

Lamoureux, Myriam. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 116-124. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Analyse comparative entre deux mobilisations sociales suite à la fermeture de deux usines : Lar Machinerie de Métabetchouan et St-Raymond Paper de Desbiens /

Bégin, Gilles, January 1994 (has links)
Mémoire (M.E.S.R.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1994. / Résumé disponible sur Internet. CaQCU Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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La poésie de Patrice Desbiens à l'épreuve de la scène : adaptation textuelle et scénique de L'Homme invisible/The Invisible Man

Proulx, Marie-Pierre 13 January 2012 (has links)
Depuis l’émergence d’une culture franco-ontarienne dans les années 1970, la poésie a été produite aux côtés du théâtre sur les scènes de la province. Si elle demeure une activité périphérique à la production théâtrale pendant plusieurs décennies, à l’aube des années 2000, elle s’allie réellement à la mise en scène dans le cadre de certaines productions phares. De fait, entre 1998 et 2004, trois metteurs en scène provenant des trois pôles traditionnels de production de l’Ontario français choisissent de porter à la scène les textes du poète Patrice Desbiens. Alors que la poésie est une forme littéraire qui se définit principalement par l’indissociabilité entre forme et contenu, ce mémoire propose une analyse des stratégies textuelles et scéniques privilégiées dans la plus récente des trois productions sus mentionnées : L’homme invisible/The Invisible Man, spectacle produit par le Théâtre de la Vieille 17 à Ottawa en 2004. À l’aide d’outils théoriques tirés des champs de l’adaptation et de la dramaturgie contemporaine, les spécificités propres au récit original et les opérations transformatives qui se sont opérées sont relevées. Les modalités organisatrices de la mise en scène sont ensuite étudiées. Les créateurs réalisent une « adaptation-non-adaptation » (Plana, 2004) dans laquelle, tout en conservant le caractère non-dramatique du texte, ils privilégient l’apparition d’un « métadialogue » (Sermon, 2005) qui s’appuie sur le caractère dualiste et bilingue du récit original. La mise en scène s’articule quant à elle dans la mise en tension de deux modes de figuration tributaires du récit poétique adapté : la métaphore et la métonymie, en faisant un détour par le mimétisme.
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La poésie de Patrice Desbiens à l'épreuve de la scène : adaptation textuelle et scénique de L'Homme invisible/The Invisible Man

Proulx, Marie-Pierre 13 January 2012 (has links)
Depuis l’émergence d’une culture franco-ontarienne dans les années 1970, la poésie a été produite aux côtés du théâtre sur les scènes de la province. Si elle demeure une activité périphérique à la production théâtrale pendant plusieurs décennies, à l’aube des années 2000, elle s’allie réellement à la mise en scène dans le cadre de certaines productions phares. De fait, entre 1998 et 2004, trois metteurs en scène provenant des trois pôles traditionnels de production de l’Ontario français choisissent de porter à la scène les textes du poète Patrice Desbiens. Alors que la poésie est une forme littéraire qui se définit principalement par l’indissociabilité entre forme et contenu, ce mémoire propose une analyse des stratégies textuelles et scéniques privilégiées dans la plus récente des trois productions sus mentionnées : L’homme invisible/The Invisible Man, spectacle produit par le Théâtre de la Vieille 17 à Ottawa en 2004. À l’aide d’outils théoriques tirés des champs de l’adaptation et de la dramaturgie contemporaine, les spécificités propres au récit original et les opérations transformatives qui se sont opérées sont relevées. Les modalités organisatrices de la mise en scène sont ensuite étudiées. Les créateurs réalisent une « adaptation-non-adaptation » (Plana, 2004) dans laquelle, tout en conservant le caractère non-dramatique du texte, ils privilégient l’apparition d’un « métadialogue » (Sermon, 2005) qui s’appuie sur le caractère dualiste et bilingue du récit original. La mise en scène s’articule quant à elle dans la mise en tension de deux modes de figuration tributaires du récit poétique adapté : la métaphore et la métonymie, en faisant un détour par le mimétisme.
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La poésie de Patrice Desbiens à l'épreuve de la scène : adaptation textuelle et scénique de L'Homme invisible/The Invisible Man

Proulx, Marie-Pierre 13 January 2012 (has links)
Depuis l’émergence d’une culture franco-ontarienne dans les années 1970, la poésie a été produite aux côtés du théâtre sur les scènes de la province. Si elle demeure une activité périphérique à la production théâtrale pendant plusieurs décennies, à l’aube des années 2000, elle s’allie réellement à la mise en scène dans le cadre de certaines productions phares. De fait, entre 1998 et 2004, trois metteurs en scène provenant des trois pôles traditionnels de production de l’Ontario français choisissent de porter à la scène les textes du poète Patrice Desbiens. Alors que la poésie est une forme littéraire qui se définit principalement par l’indissociabilité entre forme et contenu, ce mémoire propose une analyse des stratégies textuelles et scéniques privilégiées dans la plus récente des trois productions sus mentionnées : L’homme invisible/The Invisible Man, spectacle produit par le Théâtre de la Vieille 17 à Ottawa en 2004. À l’aide d’outils théoriques tirés des champs de l’adaptation et de la dramaturgie contemporaine, les spécificités propres au récit original et les opérations transformatives qui se sont opérées sont relevées. Les modalités organisatrices de la mise en scène sont ensuite étudiées. Les créateurs réalisent une « adaptation-non-adaptation » (Plana, 2004) dans laquelle, tout en conservant le caractère non-dramatique du texte, ils privilégient l’apparition d’un « métadialogue » (Sermon, 2005) qui s’appuie sur le caractère dualiste et bilingue du récit original. La mise en scène s’articule quant à elle dans la mise en tension de deux modes de figuration tributaires du récit poétique adapté : la métaphore et la métonymie, en faisant un détour par le mimétisme.
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La poésie de Patrice Desbiens à l'épreuve de la scène : adaptation textuelle et scénique de L'Homme invisible/The Invisible Man

Proulx, Marie-Pierre January 2012 (has links)
Depuis l’émergence d’une culture franco-ontarienne dans les années 1970, la poésie a été produite aux côtés du théâtre sur les scènes de la province. Si elle demeure une activité périphérique à la production théâtrale pendant plusieurs décennies, à l’aube des années 2000, elle s’allie réellement à la mise en scène dans le cadre de certaines productions phares. De fait, entre 1998 et 2004, trois metteurs en scène provenant des trois pôles traditionnels de production de l’Ontario français choisissent de porter à la scène les textes du poète Patrice Desbiens. Alors que la poésie est une forme littéraire qui se définit principalement par l’indissociabilité entre forme et contenu, ce mémoire propose une analyse des stratégies textuelles et scéniques privilégiées dans la plus récente des trois productions sus mentionnées : L’homme invisible/The Invisible Man, spectacle produit par le Théâtre de la Vieille 17 à Ottawa en 2004. À l’aide d’outils théoriques tirés des champs de l’adaptation et de la dramaturgie contemporaine, les spécificités propres au récit original et les opérations transformatives qui se sont opérées sont relevées. Les modalités organisatrices de la mise en scène sont ensuite étudiées. Les créateurs réalisent une « adaptation-non-adaptation » (Plana, 2004) dans laquelle, tout en conservant le caractère non-dramatique du texte, ils privilégient l’apparition d’un « métadialogue » (Sermon, 2005) qui s’appuie sur le caractère dualiste et bilingue du récit original. La mise en scène s’articule quant à elle dans la mise en tension de deux modes de figuration tributaires du récit poétique adapté : la métaphore et la métonymie, en faisant un détour par le mimétisme.
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Une prise de parole sur la langue : l'ambivalence générique dans l'écriture poétique de Gaston Miron et de Patrice Desbiens

Lamoureux, Myriam 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / L'énonciation lyrique, qui domine largement notre conception moderne de la « voix poétique », constitue un enjeu important pour la critique contemporaine. Aborder l'écriture poétique par la figure complexe et indéterminée du sujet lyrique, voire par sa fictionnalité, permet de repenser le poème comme un genre ambivalent. Le Je de renonciation peut en effet emprunter différentes postures, tant lyrique qu'essayistique ou narrative, pour créer une poésie hybride, à mi-chemin entre la fiction et l'autobiographie. Cette étude porte sur la question linguistique dans L'homme rapaillé (1970) de Gaston Miron (principalement dans « La vie agonique », « Aliénation délirante » et « Notes sur le non-poème et le poème ») et dans trois recueils de Patrice Desbiens (L 'homme invisible / The Invisible Man, 1981 ; Poèmes anglais, 1988 ; La fissure de la fiction, 1997) selon une perspective d'hybridation générique au sein de l'écriture poétique. L'analyse du corpus rendra compte de la place qu'occupent certaines stratégies discursives à l'intérieur du poème pour créer d'autres espaces énonciatifs. Ainsi, le sujet lyrique emprunte les traits d'un narrateur fictif dans les « récits-poèmes » de Desbiens et la figure de l'essayiste dans les poèmes didactiques de Miron. Ces postures d'énonciation renvoient à différents statuts du poète (l'écrivain, l'homme d'action, le marginalisé, etc.) qui prend position sur l'état de la langue dans sa communauté. Cette préoccupation constante chez les deux poètes est abordée dans notre travail par une approche sociocritique et par une poétique des genres s'inspirant des théories de renonciation.
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C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré ; suivi de Sudbury : l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens

Martineau, Julien 12 1900 (has links)
Composé de fragments narratifs et poétiques, C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré retrace le parcours d’un jeune homme de retour dans sa ville natale, Québec. En déambulant à travers les rues, mais également à travers sa propre mémoire, le narrateur trouvera sur son chemin le point de rupture entre passé et présent. C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré élabore une réflexion sur ces lieux et ces époques qui, même révolus, semblent ne jamais vouloir nous quitter, le tout dans une écriture où le silence est parfois aussi éloquent que la parole. Comme son nom l’indique, Sudbury : l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens est un essai traitant de la poésie comme espace d’habitation dans Sudbury de Patrice Desbiens, une œuvre mettant en scène le quotidien d’une petite ville du nord de l’Ontario. Face à ce lieu froid et désert où rien ne semble vouloir subsister, dans cette ville qu’il décrit à la fois comme factice, violente et inhabitable, Desbiens semble croire que seule l’écriture est authentique et porteuse d’une vérité. Dès lors, en signant son recueil Sudbury, le nom de cette ville qu’il habite, le poète ne se pose-t-il pas comme le véritable auteur des lieux? Ne donne-t-il pas un sens à ce qui, auparavant, en était dépourvu? N’y a-t-il pas, au final, substitution de l’espace urbain oppressant par celui, plus hospitalier, de la poésie? / Composed of narrative and poetic fragments, C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré follows the journey of a young man returning to his hometown, Québec. While wandering in the streets, but also through his own memories, the narrator will find on his path the point of rupture between past and present. C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré proposes a reflexion on these places and times that, even if over, seem to never abandon us, all within a style of writing where silence is sometimes as eloquent as speech. As it’s name indicates, Sudbury: l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens is an essay regarding poetry as a living space within the poem Sudbury from Patrice Desbiens, a work that stages the daily routine of a small town in northern Ontario. Confronted to a cold and deserted place where nothing seems to subsist, within this town that he depicts at the same time as artificial, violent and unlivable, Desbiens seems to believe that only writing is authentic and bearer of truth. Hence, by entitling his work Sudbury, the name of the town where he lives, does the poet not present himself as the genuine author of the place? Does he not give a meaning to something that, before, was deprived of one? Is there not, in the end, a substitution of the opressive urban space for the one, more welcoming, of poetry?
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Au nord du Nord, au nord de soi, au nord de l’Autre... Une analyse du thème du Nord dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert

Sylvain, Véronique 26 April 2012 (has links)
Le Nord a souvent inspiré des artistes de différentes disciplines (par exemple, en littérature, notamment au Canada français). Au fil des années, dans le milieu franco-ontarien, nombreux sont les chansonniers, les poètes et les romanciers qui ont nourri leur plume de cet imaginaire. Toutefois, est-ce que le Nord, dans des œuvres poétiques écrites à partir des années 1980, aurait encore la place qu’il occupait en poésie durant les années 1970 en Ontario français? C’est la présence de cette thématique dans les chansons, les poèmes et les romans franco-ontariens, écrits depuis la période d’effervescence culturelle en Ontario français, qui a attiré notre attention. Nous avons remarqué, dans la production poétique de poètes du nord de l’Ontario, qui y ont vécu ou qui l’ont traversé, que l’espace septentrional alimentait l’imaginaire collectif de plusieurs créateurs. Dans le cadre de notre thèse de maîtrise, nous avons analysé le thème polymorphe du Nord dans deux recueils de poésie franco-ontarienne contemporaine, soit dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert. Pour ce faire, nous avons eu recours à la « critique thématique » telle que définie par Gaston Bachelard et Jean-Pierre Richard, ainsi qu’à une grille d’analyse inspirée, entre autres, des recherches du chercheur, professeur et spécialiste du Nord, Daniel Chartier, du géographe du Nord canadien, Louis- Edmond Hamelin, et des spécialistes de la littérature franco-ontarienne, Fernand Dorais, François Paré et Johanne Melançon.

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