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La socialisation des émotions chez les enfants en milieu scolaire et les différences de genre

Sancho, Marie-Claire 02 1900 (has links)
Le développement de la compétence émotionnelle est un processus qui risque d’avoir un impact majeur sur le bien-être des individus, y compris la réussite professionnelle et la qualité de nos relations interpersonnelles. La littérature scientifique montre qu’il existe un lien étroit entre la répression émotionnelle, le fait de restreindre, d’éviter ou de minimiser la prise de conscience d’émotions ainsi que divers problèmes de santé mentale, troubles du comportement, décrochage et abus de substances. Or, l’apprentissage des capacités à réguler ses émotions est en grande partie acquis au sein de la famille, puis à l’école avec le concours des enseignants. Toutefois, peu d’études existent sur ce phénomène. En outre, les écrits scientifiques portant sur le processus de socialisation des émotions dans le milieu scolaire négligent de considérer la présence ou non de stéréotypes de genre chez l’enseignant.e. Pourtant, cette lacune risque d’avoir un impact sur ses pratiques de socialisation des émotions. L’objectif de cette thèse est d’observer les comportements des enseignants de la maternelle lorsqu’ils interagissent avec des élèves et d’examiner si leurs réactions diffèrent selon le genre de leur élève dans un contexte où une émotion est exprimée par l’enfant. Pour atteindre cet objectif, l’étude réalisée poursuit deux sous-objectifs, soit observer et analyser de façon séquentielle les interactions entre les enseignants et les élèves (Objectif 1), et explorer les croyances qu’ils entretiennent en lien avec le développement émotionnel des enfants et les différences de genre (Objectif 2). Dans le cadre de cette thèse, nous retenons le modèle de socialisation des émotions proposé par Denham, Bassett et Zinsser, (2012). Partant de ce modèle, six heures d’observation dans trois classes de maternelle ont été effectuées ainsi que des entrevues semi-dirigées à l’aide de la technique du rappel vidéo auprès de ces mêmes enseignants. Les premiers résultats obtenus suggèrent des différences de genre dans la socialisation des émotions. D’autres résultats suggèrent la présence de stéréotypes de genre chez les enseignants pouvant influencer leur pratique de socialisation des émotions en fonction du genre de leur élève et avoir une influence sur ses compétences émotionnelles. / Emotional competence is a factor that has the potential to greatly impact our well-being. Emotional competence can affect many aspects of his or her life, such as his/her professional career or even the quality of his/her relationships. The scientific literature showcases the existence of a link between the repression of emotions and mental health’s issues, behavioral disorders, bad academic performance and substance abuse (Ashiabi 2000; Chaplin, Cole, & Zahn-Waxler, 2005; Denham, Bassett, & Wyatt, 2007; Denham, Bassett, & Zinsser, 2012; Perlman, Camras, & Pelphrey, 2007). The development of emotional competence is a process that begins within the family circle and continues at school, with the help of teachers and educators. Because of the informal nature of the mechanisms at work, there are only a few studies on this very process. Furthermore, the few studies that examine the development of emotional competence by socialization in school tend to ignore the impact of gender stereotypes carried by teachers and other personnel. This paper is aimed to analyze grade school teachers’ behavior when they interact with their students in order to determine if said behaviors are influenced by students’ gender. This general goal was achieved by the completion of two sub-objectives. The first of these sub-objectives consisted in observing and analyzing the interactions between teachers and students in a sequential manner. The second was to explore the teachers’ belief system in regard to the emotional development of children and gender differences. Eisenberg, Spinrad and Cumberland (1998) introduced a heuristic model of emotional socialization that includes a number of variables such as parents’ personal beliefs and culture, and children’s characteristics (age, temperament, etc.) These authors suggest that emotional socialization is the factor of three processes: (1) parental reactions to children’s emotions, (2) socializers’ (teachers and other school’s personnel) discussion of emotion, and (3) socializers’ expression of emotions. A number of critics of this rich and complex model have been formulated, and we’ll address them in this paper. Denham et al. (2012) introduced a simpler model that doesn’t consider certain variables such as parents’ characteristics and instead put a greater emphasis on the aforementioned three dimensions of emotional socialization. In this study, we used the adapted model of Denham et al. (2012) was adopted. We recorded 3 different classes for 6 hours each and conducted semi-directed interviews with each class teacher. Our results suggest the existence of a gender difference related to emotional socialization. Teachers’ responses were significantly more negative towards boys’ expression of emotions compared to girls’. Results also point out the presence of gender stereotypes among teachers, which could influence their socialization practice and thus the level of emotional competence of their students.
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L’influence du contexte social et culturel sur le concept de soi et les traits de personnalité / The influence of social and cultural context on self-concept and personality traits

Kang, Pom-Seok 26 June 2015 (has links)
Les recherches récentes ont mis en évidence le rôle des processus de catégorisation et de comparaison sociale pour comprendre les similitudes et les différences de genre au niveau du concept de soi. Cette thèse propose un prolongement méthodologique et théorique de ces travaux afin d’en vérifier le bien-fondé et d’évaluer leurs implications éventuelles pour le développement d’une psychologie sociale de la personnalité. Ainsi, nous montrons d’abord qu’il existe des relations significatives entre les différents instruments visant à mesurer le concept de soi, confirmant la validité de ces instruments (étude 1). L’hypothèse d’une interaction « genre X culture » sur le concept de soi est alors examinée dans une étude comparant des étudiants français et coréens. Comme prévu, les résultats montrent que les différences de genre sur le soi, peu importe la mesure du concept de soi utilisée, sont plus importantes en France qu’en Corée du Sud. Les études 3, 4, et 5 cherchent ensuite à vérifier si de telles manifestations de la malléabilité du concept de soi en fonction des contextes peuvent également être obtenues en mesurant les traits de personnalité. Il est démontré qu’il existe des stéréotypes de genre sur les dimensions de la personnalité identifiées dans la théorie de la personnalité en cinq facteurs (étude 3, étude 4) et que le processus d’auto-stéréotypie proposé dans la théorie de l’auto-catégorisation (Turner, 1987) semble effectivement influencer la manifestation de certains traits de personnalité. Les études 4 et 5, en utilisant les paradigmes expérimentaux originaux, contribuent à mettre en évidence les conditions sous lesquelles les individus vont « changer » de personnalité en fonction de la situation. Ces premiers résultats permettent de conclure qu’il existe certains traits de la personnalité qui sont stables et qui ne changent pas selon la situation mais également qui se transforment de manière significative en fonction des interactions sociales et des processus de catégorisation. / Recent researches have highlighted the role of categorization and social comparison process in understanding the gender differences and similarities at the level of self-concept. This thesis proposes a methodological and theoretical extension of these works to verify their soundness and assess their possible implications for the development of social psychology of personality. Thus, we first show that there are significant relations between several instruments for the measure self-concept, in confirming the validity of these instruments (study 1). The hypothesis of an interaction “gender X culture” on self-concept is then examined in a study comparing French and Korean students. As expected, the results show that gender differences on self are, no matter what self-concept measures are used, bigger in France than in South Korea. Then the studies 3, 4, and 5 seek to ascertain whether such manifestations of the malleability of the self-concept in different contexts may also be obtained by the measure of the personality traits. It is shown that there are gender stereotypes on certain personality traits of the five-factor model (Study 3 Study 4) and that the self-stereotyping process proposed by the self-categorization theory (Turner, 1987) seems to actually influence the manifestation of personality traits. Studies 4 and 5, using the original experimental paradigms, help to highlight the conditions under which individuals will "change" their personality according to the situation where they find themselves. These results suggest that there exist certain personality traits stable and they do not change according to the situation but there also exist certain traits that vary significantly in accordance with social interaction and self-categorization process.
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Étude de la dynamique hémisphérique pour le traitement des mots chez les gauchers et les droitiers

Tremblay, Tania January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Étude de la dynamique hémisphérique pour le traitement des mots chez les gauchers et les droitiers

Tremblay, Tania January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Dépistage du décrochage scolaire à l’aide d’informations administratives ou auto-rapportées

Gagnon, Vickie 06 1900 (has links)
Les adolescents qui décrochent de l’école secondaire arrivent difficilement à s’intégrer dans une économie axée sur le savoir et éprouvent plusieurs problèmes d’ajustement à l’adolescence et à l’âge adulte. Pour prévenir le décrochage scolaire, une étape cruciale consiste à dépister efficacement les élèves les plus à risque. Deux formes de dépistage axées sur des données peuvent être utilisées en milieu scolaire: une forme utilisant des informations auto-rapportées par les élèves à partir de questionnaires, et une autre fondée sur des informations administratives consignées au dossier des élèves. Toutefois, à notre connaissance, l’efficacité de ces différentes modalités n’a jamais été comparée directement. De plus, il est possible que l’efficacité relative de ces outils de dépistage soit différente selon le sexe de l’élève. Cette étude vise à comparer différents outils de dépistage pour prédire le décrochage scolaire, en tenant compte de l’effet modérateur du sexe. Les outils utilisés seront a) un questionnaire auto-rapporté validé (Archambault et Janosz, 2009) et b) un outil conçu à l’aide de données administratives, créé par une commission scolaire du Québec. La comparaison de ces outils est effectuée en termes de qualités psychométriques et d’aspect pratique pour le milieu scolaire. Pour ce faire, un échantillon de 1557 élèves (50% de garçons), âgé entre 14 et 18 ans est utilisé. Les résultats indiquent que l’indice administratif possède une capacité discriminante adéquate, mais inférieure à celle de l’indice auto-rapportée, jugée excellente. L’effet modérateur du sexe n’a pas été confirmé. Les avantages et inconvénients respectifs de ces deux modes de dépistage sont discutés. / Adolescents who drop out of high school often struggle in a knowledge-based, technologically complex society and experience many adjustment problems in adolescence and adulthood. To prevent dropout, a crucial first step consists of correctly identifying students who are most at risk. Schools can rely on two types of screening tools to identify potential dropouts: based on self–reported questionnaire or based on administrative data. However, the predictive value of risk indices based on self-reported data has never been directly compared to that of indices calculated from administrative data. Moreover, the relative efficacy of different screening tools could be different according to the student gender. The purpose of this study is to compare the efficacy, for boys and girls, of two risk indices for high school dropout: a) a validated index based on a self-reported questionnaire (Archambault & Janosz, 2009) and b) an index based on administrative data and designed by a Quebec school board. The comparison of these two screening methods is made in term of psychometric properties and practicality for school practitioners. To do so, a sample of 1557 students (50% boys), between 14 and 18 years old is used. The results show that the administrative index has an adequate discriminant capacity, but that is lower than that of the self-reported index judged excellent. These results were not moderated by gender. The comparative advantages and disadvantages of both screening methods are discussed.
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Associations entre la dépression et le décrochage scolaire en fonction du sexe : une étude longitudinale

Allard, Francis 12 1900 (has links)
Les résultats des quelques études examinant le lien entre la présence de symptômes dépressifs et le décrochage divergent. De telles divergences pourraient s’expliquer par certaines caractéristiques individuelles clés comme le sexe ou l’âge, qui pourraient modérer le lien entre les symptômes dépressifs et le décrochage. Cette étude a pour double objectif 1) d’évaluer le lien entre la présence de symptômes dépressifs mesurés à différents moments au secondaire et le décrochage scolaire, et 2) d’examiner les variations possibles en fonction du sexe. Des données auto-rapportées (sur la présence de symptômes dépressifs en secondaire 1, 2 et 3) et administratives (sur le décrochage scolaire) obtenues auprès d’une cohorte composée de 6272 jeunes du secondaire ont été utilisées. Les résultats révèlent qu’après l’inclusion de variables de contrôles importantes, il n’y a pas d’association entre la dépression et le décrochage scolaire. De plus, ils indiquent que le sexe ne joue pas de rôle modérateur, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de lien entre la dépression et le décrochage ni chez les filles, ni chez les garçons. Ces résultats suggèrent que les conclusions divergentes des études précédentes sur le sujet pourraient refléter le manque de considération d’une variété, mais surtout d’un nombre suffisants de facteurs confondants. Ils réitèrent aussi l’importance des facteurs de risque déjà connus du décrochage et suggèrent que les interventions se centrant l’humeur dépressive doivent faire partie de programmes visant en parallèle d’autres problématiques plus étroitement associées au décrochage. / Studies examining potential links between depressive symptoms and dropout have yielded inconsistent results. These inconsistencies could be explained by potential moderating effects of key individual characteristics, such as gender or age. This study has two main objectives: 1) to measure the association between depressive symptoms as measured at different grades during high school and dropout, and 2) to examine the possible impact of gender as a moderator variable. We used self-reported data to assess depressive symptoms in 7th, 8th and 9th grade and official administrative data to determine dropout status among a cohort of 6,272 high-school students. Results indicate that after controlling for a variety of potentially confounding variables, the association between depression and dropout was no longer significant. Furthermore, the analysis indicate that gender does not play a moderating role, meaning that there is no link between depression and dropping out among girls, nor boys. These results suggest that the conflicting results observed in the literature may reflect a difference in the variety and, more importantly, the number of variables used to control for confounding effect. Furthermore, the results reiterate the importance of known dropout risk factors for dropout and suggest that preventive interventions focusing on depressive symptoms should be part of larger programs also aiming at other factors more closely related to school dropout.

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