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Dummett und die "Krankheit erklären zu wollen" eine Kritik der Bedeutungstheorie-Konzeption Dummetts mit Blick auf die Mathematik und den Anti-Reduktionismus Wittgensteins hinsichtlich Bedeutung und Verstehen /Gillespie, Gordon. January 2002 (has links)
Berlin, Freie Universiẗat, Diss., 2002. / Dateiformat: zip, Dateien im PDF-Format.
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Dummett and Putnam: Realism Under AttackGardiner, Mark Q. 05 1900 (has links)
Realism has traditionally been a philosophical doctrine embodying an ontological element asserting the existence of various types of entities and a meta-theoretic element asserting that the existence of those entities is independent of our knowledge of their existence. Anti-realism, on the other hand, denies that the existence of objects is independent of our knowledge.
Recently, attempts have been made to reinterpret the basic realist/anti-realist dispute in semantic terms. Basically, realism would be the view that the truth (or falsity) of sentences are independent of our knowledge of their truth-values. Anti-realism, on the other hand, would hold that truth is not so independent of our knowledge.
Michael Dummett and Hilary Putnam have presented two of the most famous extended semantic criticisms of metaphysical realism. Dummett argues that realism is committed to an unacceptable theory of meaning. Putnam argues that realism rests upon incoherent assumptions regarding truth and reference.
Unlike many commentators, I accept basic Dummettian constraints. I argue, however, that his conclusions do not follow. Not only can the semantic realist conform to his constraints, a realist construal of truth is in fact ineliminable in such an account. Thus, I turn Dummett's framework against its own conclusions.
Regarding Putnam, I proceed by rejecting his premises. I show that the arguments he constructs do not support the claim of incoherence leveled at metaphysical realism. Often, indeed, his arguments, if carefully understood, actually support realism.
I thus conclude that the two most famous and formidable attempts to reject metaphysical realism on the basis of semantic considerations fail. As such, there is no reason to abandon realism traditionally understood. / Thesis / Doctor of Philosophy (PhD)
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From Dummett's philosophical perspective /Matar, Anat, January 1997 (has links)
Texte remanié de: Diss.--University Tel-Aviv. / Bibliogr. p. 205-216. Index.
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An Intuitionistic Examination of Read's Harmony RequirementJohnson, Amy Catharine 03 October 2013 (has links)
Stephen Read has done significant work towards clarifying the concepts of harmony, consistency, and conservative extensions as introduced by Prior, Belnap, and Dummett. Read argues that the conservative extension requirement is too stringent. Nonetheless, he develops a formal system in which the negation, though classical, is a conservative extension of the positive fragment, by strengthening the theory of the conditional and allowing multiple conclusions. In this thesis, I will closely examine this system to determine how he achieves this. Read concludes that this result indicates that the true debate between the classicist and the intuitionist is over bivalence. My project is to critically investigate Read’s work on intuitionistic terms, noting the non-intuitionistic moves made to reach this result. If Read’s conclusion is correct, and bivalence is the true source of disagreement between the classicist and intuitionist, then it follows that any disagreement along the way should stem from bivalence. Ultimately I conclude that Read correctly identifies the source of disagreement. With this in mind, I return to Dummett’s philosophy and attempt to show why this conclusion is perfectly in line with the intuitionist’s stance.
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The semantic foundations of anti-realism /Hinzen, Wolfram. Hinzen, Wolfram. January 1998 (has links)
Diss. phil.-hist. Bern (kein Austausch). / Im Buchh.: Berlin : Logos-Verlag. Literaturverz.
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Die Theorie des Verstehens in Sprachanalyse und Hermeneutik : Untersuchungen am Beispiel M. Dummetts und F.D.E. Schleiermachers /Rössler, Beate. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Freie Universität Berlin, 1988. / Bibliogr. p. [278]-290.
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Varieties of Tone: Frege, Dummett and the Shades of MeaningKortum, Richard D. 01 January 2013 (has links)
In clear and lively prose that avoids jargon, the author carefully and systematically examines the many kinds of subtly nuanced words or word-pairs of everyday discourse such as 'and'-'but', 'before'-'ere', 'Chinese'-'Chink', and 'sweat'-'perspiration', that have proven resistant to truth-conditional explanations of meaning. / https://dc.etsu.edu/etsu_books/1108/thumbnail.jpg
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La logique quantique comme fondement de la métaphysique de la mécanique quantiqueRoussin, Daniel January 2009 (has links) (PDF)
Notre thèse est une analyse philosophique dont le but est de spécifier la métaphysique de la mécanique quantique et d'en déterminer les fondements logiques. Depuis le début de sa formulation, des problèmes d'interprétation ont surgi en mécanique quantique. La cause principale de ces problèmes est, d'après nous, le choix d'une métaphysique, entendue comme positionnement par rapport à l'existence des entités théoriques étudiées par la mécanique quantique. D'autre part, il existe en philosophie des sciences un débat entre le réalisme scientifique et ses opposants antiréalistes. En philosophie analytique, Dummett a déplacé les débats métaphysiques du terrain de l'ontologie vers le terrain logico-sémantique. En effet, selon son analyse, les débats métaphysiques sont des débats à propos du choix d'une logique. Selon Dummett, une métaphysique réaliste a pour fondement la logique classique et une métaphysique antiréaliste a pour fondement une logique non classique. Par contre, le choix d'une logique doit être justifié par une théorie sémantique qui doit elle-même être justifiée par un modèle de la signification. L'approche logico-algébrique de la mécanique quantique a donné naissance à la logique quantique comme champ de recherche. Ce champ de recherche tente de déterminer la structure logique de la mécanique quantique par des structures d'ordre ou algébriques. Par exemple, la logique classique est interprétée par une algèbre de Boole tandis que la logique quantique standard est interprétée par la structure de treillis orthomodulaire. Nos hypothèses sont que la métaphysique de la mécanique quantique est antiréaliste et que la structure formelle de la logique quantique est une algèbre booléenne partielle transitive. Nous faisons l'hypothèse additionnelle que la logique quantique que nous défendons possède une assignation de valeurs de vérité probabilitaire conditionnelle dans laquelle la valeur de vérité d'un énoncé quantique est identifiée à la probabilité que lui attribue la théorie quantique et est conditionnelle à l'état du système quantique. Pour la détermination de la métaphysique de la mécanique quantique, la méthode utilisée est l'application de l'analyse dummettienne des débats métaphysiques à la classe des énoncés de la mécanique quantique. Pour la détermination de la logique quantique, nous nous inscrivons dans l'approche logico-algébrique de la mécanique quantique. Le choix de la structure algébrique ainsi que celui de l'assignation de valeurs de vérité sont justifiés par des contraintes sémantiques provenant de la théorie sémantique quantique et du modèle de la signification. L'analyse dummettienne appliquée à la classe des énoncés quantiques soutient un antiréalisme radical puisque, pour cette classe, la bivalence est inacceptable et le modèle de signification est le modèle justificationniste. En montrant que les conjonctions et disjonctions d'énoncés quantiques portant sur des observables incompatibles n'ont pas de signification, le modèle justificationniste de la signification justifie la structure algébrique que nous proposons. La signification des énoncés quantiques revient à une signification expérimentale. De plus, la signification des énoncés quantiques revient à une signification expérimentale. De plus, la théorie sémantique quantique que nous avons construite dont l'assignation probabilitaire fait partie, est justifiée également par le modèle justificationniste de la signification. L'originalité majeure de notre recherche est sa méthode, c'est-à-dire le fait de combiner une analyse dummettienne de la métaphysique de la mécanique quantique et une exploration des logiques quantiques existantes. Autant pour la spécification de la métaphysique que pour la détermination de la logique quantique, les justifications sont issues, en fin de compte, du modèle de la signification qui s'applique à la classe des énoncés quantiques. Un autre point important et original de notre thèse est la construction de la théorie sémantique quantique qui permet d'expliquer la compositionnalité des énoncés quantiques. Grâce à la théorie sémantique quantique, la logique quantique que nous proposons, en l'occurrence la logique quantique booléenne partielle, est vérifonctionnelle. Plutôt que de nous servir des arguments habituels que nous rencontrons en sciences et en philosophie des sciences pour prendre position dans le débat opposant le réalisme et l'antiréalisme qui a lieu en mécanique quantique, nous nous servons d'une thèse que Dummett a développée en philosophie analytique pour y parvenir. Notre recherche vient appuyer, par le biais de la philosophie analytique, tout un courant de pensée antiréaliste à propos de la mécanique quantique qui existe en physique et en philosophie des sciences. Notre contribution se situe sur le plan de l'interprétation logique et métaphysique de la mécanique quantique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Philosophie de la physique, Mécanique quantique, Métaphysique, Dummett, Logique quantique, Structures algébriques et d'ordre.
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Foundations of Deduction's Pedigree: A Non-Inferential AccountSeitz, Jeremy January 2009 (has links)
In this thesis I discuss the problems associated with the epistemological task of arriving at basic logical knowledge. This is knowledge that the primitive rules of inference we use in deductive reasoning are correct. Knowledge of correctness, like all knowledge, is available to us either as the product of inference, or it is available non-inferentially. Success in the campaign to justify the correctness of these rules is mired by opposing views on how to do this properly. Inferential justifications of rules of inference, which are based on reasons, lead to regressive or circular results. Non-inferential justifications, based on something other than reasons, at first do not seem to fare any better: without a basis for these justifications, they appear arbitrary and unfounded.
The works of Boghossian and Dummett who argue for an inferentialist approach, and Hale who supports non-inferentialism are carefully examined in this thesis. I conclude by finding superiority in Hale's suggestion that a particular set of basic logical constants are indispensable to deductive reasoning. I suggest that we endorse a principle which states that rules are not premises, and are therefore to be excluded from expression as statements in a deductive argument. I argue that the quality of being indispensable is sufficient for a basic rule of deduction to be countenanced as default-justified, and therefore need not be expressed in argument. By a rule's evading expression in argument, it avoids circular reasoning in deductive arguments about its own correctness.
Another important outcome that emerges from my research is the finding that non-inferential knowledge is ontologically prior to the inferential sort. This is because plausible inferential knowledge of basic logical constants shall always be justified by circular reasoning that already assumes the correctness of the rule to be vindicated. This initial assumption is tantamount to non-inferential knowledge, and therefore this latter is more primitive-in fact the only primitive-species of basic logical knowledge.
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Foundations of Deduction's Pedigree: A Non-Inferential AccountSeitz, Jeremy January 2009 (has links)
In this thesis I discuss the problems associated with the epistemological task of arriving at basic logical knowledge. This is knowledge that the primitive rules of inference we use in deductive reasoning are correct. Knowledge of correctness, like all knowledge, is available to us either as the product of inference, or it is available non-inferentially. Success in the campaign to justify the correctness of these rules is mired by opposing views on how to do this properly. Inferential justifications of rules of inference, which are based on reasons, lead to regressive or circular results. Non-inferential justifications, based on something other than reasons, at first do not seem to fare any better: without a basis for these justifications, they appear arbitrary and unfounded.
The works of Boghossian and Dummett who argue for an inferentialist approach, and Hale who supports non-inferentialism are carefully examined in this thesis. I conclude by finding superiority in Hale's suggestion that a particular set of basic logical constants are indispensable to deductive reasoning. I suggest that we endorse a principle which states that rules are not premises, and are therefore to be excluded from expression as statements in a deductive argument. I argue that the quality of being indispensable is sufficient for a basic rule of deduction to be countenanced as default-justified, and therefore need not be expressed in argument. By a rule's evading expression in argument, it avoids circular reasoning in deductive arguments about its own correctness.
Another important outcome that emerges from my research is the finding that non-inferential knowledge is ontologically prior to the inferential sort. This is because plausible inferential knowledge of basic logical constants shall always be justified by circular reasoning that already assumes the correctness of the rule to be vindicated. This initial assumption is tantamount to non-inferential knowledge, and therefore this latter is more primitive-in fact the only primitive-species of basic logical knowledge.
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