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Impact des consensus de Beinjing et de Washington sur la gouvernance et le développement des pays de la Communauté économique et monétaire d'Afrique Centrale (CEMAC)

Kikhounga-N'Got, Oumar January 2014 (has links)
Le maintien d’un niveau élevé de pauvreté dans les pays de la CEMAC est devenu un paradoxe qui ébranle les convictions macroéconomiques traditionnelles. Pourtant, les pays de la région oscillent entre deux modèles de développement socioéconomique que sont, les consensus de Beijing et de Washington. Lequel les aiderait à sortir de l’étau de la pauvreté? Le consensus de Washington : est la thèse néolibérale défendue par la BM et le FMI. Elle plaide pour une orientation de l’aide au développement vers le renforcement des capacités institutionnelles et s’évertue à démontrer qu’une gouvernance non démocratique constitue des obstacles insurmontables pour le développement et qu’aucune politique de développement ne pouvait être envisagée sans le renforcement d’un État de droit. Le consensus de Beijing : prône la mixité entre le capitalisme d’État et l’économie de marché, un modèle de globalisation financière administrée par les crédits bilatéraux à long terme pour construire les infrastructures et établir les capacités de production dans les pays subsahariens. Elle tient avant tout à la sauvegarde de l’ordre politique, social ainsi que la tradition culturelle en place. Nous avons essayé de démontrer que la croissance économique, bien qu’elle soit tangible dans le pays de la CEMAC, ne saura être un levier d’amélioration des conditions de vie des populations en dehors d’un État de droit et du renforcement substantiel des capacités institutionnelles.
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"Appropriation" des processus de développement par les pays en développement? Une perspective des acteurs sociaux nationaux : étude de cas : Rwanda

Ngirumpatse, Pauline 12 1900 (has links)
L’« appropriation » par les pays en développement (PED) de leurs processus de développement forme la clef de voûte de la nouvelle approche de l’aide et de la coopération au développement telle que promue par la Déclaration de Paris (2005). Si ce passage vers l’« appropriation » vise à installer les PED « dans le siège du conducteur », il reste tout de même inscrit dans une relation d’aide. Or, la Déclaration de Paris pose cette « appropriation » comme le résultat d’un consensus et comme un principe devant être mis en oeuvre sur un terrain vierge via une série de mesures techniques préoccupées par une efficacité ou plutôt une efficience de l’aide. En s’intéressant à la perspective d’acteurs sociaux nationaux quant à cette question de l’ « appropriation » à partir d’une étude de cas c’est-à-dire d’un contexte précis, ici celui du Rwanda, cette thèse vise à démontrer que l’agenda et les politiques en matière de développement, dont la question de l’ « appropriation », ne peuvent être saisis dans un vide contextuel. En effet, ce que met en évidence la perspective des acteurs sociaux nationaux au Rwanda quant à cette question de l’ « appropriation », c’est leur réinscription de cette question dans le contexte du Rwanda post-génocide et dépendant de l’aide, et leur appréhension de celle-ci à partir de ce contexte. Ce contexte informe le récit de ces acteurs qui met en sens et en forme cette « appropriation ». Leur saisie de l’ « appropriation » se bâtit autour d’un double impératif dans le contexte du Rwanda post-génocide, un impératif d’une part de reconstruction socio-économique et d’autre part d’édification d’une nation, et ce, à la lumière des tensions ‘ethniques’ qui traversent et structurent historiquement l’espace politique et social rwandais et qui ont donné lieu au génocide de 1994. / As put forward in the Paris Declaration (2005), “ownership” by developing countries of their development process forms the cornerstone of a new approach to aid and development cooperation. If the aim of “ownership” is to put developing countries “in the driver’s seat” of their development, it nonetheless remains an aid relation. Indeed, the Paris Declaration claims that “ownership” is the outcome of a consensus as well as a principle to be implemented through a series of technical measures preoccupied with concerns of effectiveness (or more accurately aid efficiency). As such, it puts forward the idea that aid is implemented as if on a blank slate. Beginning with a specific case study, in this instance Rwanda, and by focusing on the perspectives of national social actors on the issue of “ownership,” this thesis demonstrates that development agenda and policies, including the question of “ownership,” cannot be adequately grasped in a contextual vacuum. Through the narratives of national social actors, the meaning of “ownership” is reconfigured within the context of post-genocide Rwanda and aid-dependency, highlighting the significance of context in giving content and form to “ownership.” In the context of a post-genocide Rwanda, the understanding of “ownership” by national social actors is articulated around a double imperative: on the one hand, the demand for socio-economic reconstruction, on the other, the imperative of nation-building in light of the ‘ethnic’ tensions that cut across and historically structure Rwandan social and political space, and which led to the 1994 genocide.
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Aid effectiveness, performance and vulnerability : new perspectives

Wagner, Laurent 28 March 2013 (has links)
La question de l’efficacité de l’aide publique au développement est complexe et protéiforme. L’aide se présente sous de nombreuses formes et implique de nombreux instruments et acteurs, dont les objectifs et mêmes les philosophies diffèrent fortement entre les pays et les organisations. De cet enchevêtrement, les économistes ont jusqu’alors échoué dans leurs recherches de relations macroéconomiques robustes censées guider l’action publique. Ainsi, aucun consensus ne semble pour l’instant émerger de ce débat. Dès lors, l’orientation des politiques de développement a essentiellement été influencée par des hypothèses contestables reposant sur des fondements empiriques fragiles. Ce travail tente d’apporter de nouveaux éléments au débat sur l’efficacité de l’aide au travers de sept essais. Les trois premiers chapitres se consacrent à la question de la relation entre aide et croissance du point de vue statistique. Les nouvelles approches qui y sont proposées tentent de surmonter la plupart des défauts de la littérature empirique existante. Nous y montrons que la relation entre aide et croissance est extrêmement complexe et qu’il est difficile de l’appréhender à l’aide des méthodes économétriques usuelles. De plus, bien que l’aide semble globalement efficace en termes de croissance du PIB, son efficacité dépend de différents facteurs révélés par la présence de seuils aussi bien conditionnels que non-Conditionnels. Parmi ces facteurs, la vulnérabilité économique semble jouer un rôle primordial et sa prise en compte s’avère indispensable pour une compréhension globale du lien entre l’aide et la croissance économique. Dans une seconde partie, les deux chapitres suivants s’intéressent plus particulièrement à l’aide sectorielle, à travers l’étude de l’efficacité de deux initiatives largement reconnues que sont l’aide à la scolarisation primaire universelle et l’aide au commerce. Leur efficacité sera alors déterminée non plus en termes de croissance du PIB mais en termes de scolarisation et de performance à l’exportation. A l’instar des trois premiers chapitres, nos résultats semblent confirmer la présence d’une relation significative entre l’aide et les objectifs visés. Nos conclusions, notamment celles en termes d’éducation, vont clairement à l’encontre de l’idée selon laquelle l’aide aurait fait plus de mal que de bien. Enfin, en se basant sur les résultats précédents, les chapitres six et sept explorent, dans une troisième partie, les possibilités d’amélioration des stratégies actuelles d’allocation de l’aide mises en œuvre notamment par les grands bailleurs multilatéraux. Une de nos principales observations est que la vulnérabilité économique est un facteur important devant être pris en compte dans le design des méthodes d’allocation de l’aide. / Aid effectiveness is a complex issue. Aid comes in many instruments, has many targets and involves many stakeholders whose objectives, methods and philosophy greatly differ across countries and institutions. From this mixed bag, economists have struggled finding strong regularities at the macroeconomic level to guide the political debate and consensus have failed to emerge. Hence, political stances have often been influenced by strong assumptions based on weak or at least hotly debated evidence. This work is an attempt to provide new perspectives on the aid effectiveness debate through seven essays. The first three chapters address the technical question of the aid/growth relationship issue using new approaches and new statistical instruments in an attempt to overcome most of the caveats of the aid empirical literature. We show that the aid/growth relationship is complex and difficult to measure using common statistical methods. Moreover, while aid is globally effective, its effectiveness depends on different factors reflected by the existence of conditional and unconditional thresholds. Among those factors, economic vulnerability seems to be a key component that has to be taken into account in order to identify this relationship. In a second part, we try to assess the effectiveness of two flagship initiatives which are Aid for Trade and Universal Primary Education with regards to the outcomes they ultimately target, namely, export performance for the former and school enrolment, gender parity and repetition rate in primary school for the later. As in the first three chapters, our results support the existence of a significant relationship between aid and the targeted outcomes. Those results, notably for the education sector, clearly argue against the idea that aid has done more bad then good. Finally, based on previous results, in a third part, chapters six and seven explore the mean to improve the current aid allocation strategies used notably by the Multilateral Development Banks. One of the main conclusions is that economic vulnerability is a central factor to be taken into account in the design of aid allocation strategies.
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Le partenariat en droit international du développement / Partnership in international development law

Zeghdoudi-Durand, Zehor 26 November 2013 (has links)
En matière d’aide au développement le droit est aussi inventif que fertile : droits économiques et sociaux, droits de l’homme, développement humain durable, etc. ; autant de matières mises en balance avec le droit du marché, de la concurrence sous couvert d’un intérêt économique général. La première option de cette étude est d’envisager les mécanismes juridiques propres à l’aide au développement à travers ces deux finalités à première vue antinomiques : l’efficience économique et le développement humain. La seconde est de délimiter le champ de recherche à la matière conventionnelle afin d’apprécier le seul processus partenarial qui, du point de vue de la coopération internationale, n’a pas livré tout son potentiel. L’intérêt de ce modèle de coopération internationale fondé sur le « Partenariat » n’est encore que secondaire comparé à la nature des parties (publique et privée) qui s’obligent, la nature des droits (politiques, économiques et sociaux) qu’il se propose de concilier, et enfin, les obligations à la fois de rentabilité et d’humanisme (le marché du développement humain) qu’il impose aux partenaires. Ainsi, la finalité de cette recherche est, certes, d’interroger les effets juridiques de tels partenariats, mais également de considérer le contrat de marchés publics d’aide au développement comme, potentiellement, porteur d’une nouvelle formule de coopération visant à résorber les inégalités de développement entre États. / As regards development aid the law is as creative as fertile : economic and social rights, human rights, sustainable development, etc. ; so many matters put in balance with the market law, the competition on behalf of a general economic interest. The first option of this study is to consider the legal mechanisms peculiar to the development aid through these two ends, at first sight paradoxical/antinomical : the economic efficiency and the human development. The second is to bound the field of research to the conventional material in order to appreciate the only process partnership which, from the international cooperation point of view, has not delivered yet all his potential. The interest of this international cooperation pattern based on the ”Partnership” remains still secondary, compared with the nature of the parties (public and private) which bind themselves, the nature of the rights (political, economical and social) that it sets out to conciliate, and finally, the bonds of profitability as well as humanism (the market of human development) it imposes upon its partners. Thus, the purpose of this research is indeed, to question the legal effects of such partnerships, but also, to regard the contract of public procurements of Development Aid, as potentially a growth market of an new model cooperation to be used for resorb inequalities of development between states.

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