• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Considérations conceptuelle, méthodologique et contextuelle du travail émotionnel : impacts sur le burnout, les troubles somatiques des soignants et les risques de maltraitance des patients. / Conceptual, methodological and contextual considerations about emotional labor : impacts on burnout, somatic complaints and mistreatments towards patients

Andela, Marie 20 June 2014 (has links)
L’objectif de cette recherche est de contribuer à mieux comprendre l’impact du travail émotionnel dans l’émergence du burnout et des troubles somatiques des soignants. Pour cela, le premier chapitre commence par exposer le concept de travail émotionnel, son histoire, son évolution et ses liens avec le burnout et les troubles somatiques. Tout en développant la critique sociologique du travail émotionnel d’Hochschild, nous exposons sa pertinence dans le contexte actuel de l’institution hospitalière. L’évolution du concept est ensuite présentée et nous proposons de nous focaliser sur l’approche intra psychique du travail émotionnel. Celle-ci privilégie trois composantes du concept : la dissonance émotionnelle, l’acting de profondeur et l’acting de surface. A partir de cette approche, notre revue de la littérature expose les liens de ces trois composantes au burnout, aux troubles somatiques et à la performance des salariés. Diverses problématiques associées à l’état actuel des connaissances portant sur le lien entre le travail émotionnel et la santé des salariés sont alors abordées et les chapitres suivants proposent d’apporter, par le biais d’études empiriques, des éléments de réponses à celles-ci. Le deuxième chapitre expose les problématiques liées aux limites méthodologiques des mesures actuelles du concept de travail émotionnel. Une mesure alternative est proposée : celle-ci distingue les deux processus de régulation jusqu’ici confondus dans la conceptualisation de l’acting de profondeur, à savoir la réévaluation cognitive et le déploiement attentionnel ; les deux stratégies de régulations expressives jusqu’ici confondues dans la conceptualisation de l’acting de surface, à savoir la suppression et l’amplification expressive des émotions. Enfin, ces processus de régulation ont clairement été dissociés de l’état de dissonance émotionnelle. Nos résultats présentent plusieurs intérêts. Premièrement, ils indiquent que la dissonance émotionnelle constitue la composante du travail émotionnel la plus fortement associée au burnout et aux troubles somatiques. Deuxièmement, cette étude révèle que les mesures actuelles de l’acting de surface et de profondeur englobent différents processus aux effets opposés sur le burnout. Alors que la suppression expressive des émotions est liée de façon positive au burnout, l’amplification expressive des émotions l’est de façon négative. Et si la réévaluation cognitive s’avère une stratégie de régulation négativement liée au burnout, le déploiement attentionnel apparaît plus délétère à la santé des salariés. Afin de déterminer la valeur ajoutée du travail émotionnel au modèle exigences-ressources, le troisième chapitre évalue les liens entre celui-ci et le burnout en prenant en considération différents stresseurs/ressources organisationnelles (exigences émotionnelles, charge de travail, justice organisationnelle…). Basées sur les principes du modèle exigences-ressources, les données indiquent que les composantes du travail émotionnel expliquent une part de variance importante du burnout et des troubles somatiques au-delà des parts de variance expliquées par les exigences et le manque de ressources organisationnelles. Puisque la dissonance émotionnelle joue un rôle prédominant dans l’émergence du burnout, le quatrième chapitre évalue dans quelle mesure la réflexivité des équipes de travail permet de modérer ses effets négatifs sur la santé des salariés. Les données indiquent que la réflexivité sociale modère les effets de la dissonance sur le burnout. Enfin, le chapitre cinq explore les liens entre le travail émotionnel, le burnout et la maltraitance des soignants vis-à-vis des patients. Les résultats confirment l’impact de la dissonance émotionnelle et du burnout sur les comportements de maltraitance. En effet, le burnout et la dissonance médiatisent les effets des stresseurs liés à l’environnement de travail sur la maltraitance. / The aim of this research was to better understand the links between emotional labor, burnout and somatic complaints. The first chapter constitutes a literary review that exposes the concept, its history, and its links with burnout and somatic complains: Hochschild’s sociological analysis of emotional labor is developed and its relevance to the hospital context is exposed. The evolution of the concept is then presented and we propose to focus on the intra psychic perspective of emotional labor which pays attention to three components of the concept: emotional dissonance, surface acting and deep acting. Based on this approach, we realized a literature review that exposed the associations between these three components and burnout, somatic complaints and job performance. Diverse problems associated with the comprehension of the impact of emotional labor on health outcomes are developed. The second chapter exposes the problems associated with the limitations of the measure used to evaluate the concept of emotional labor. An alternative measure is proposed: this one distinguishes the two emotion regulation processes included in the conceptualization of deep acting, which are, re-evaluation and attentional deployment. It also distinguishes the two expressive regulation strategies included in the conceptualization of surface acting, that are expressive suppression and expressive amplification. Finally, these emotion regulation processes are separate from the emotional dissonance state. Our results present several issues: First, they indicate that emotional dissonance is positively associated with burnout and somatic complains and that the variance part of these two variables are broadly explained by the emotional dissonance state. Second, they reveal that surface acting and deep acting measures include different processes with opposite effects on burnout: while expressive suppression is positively linked with burnout, expressive amplification is negatively related to it. Moreover, re-evaluation presents a positive impact on health outcomes while attentional deployment has a negative impact on them. The aim of the third chapter is to determine the added value of emotional labor to the job demands-resources model: links between emotional labor, burnout and somatic complaints were analyzed by taking into account different organizational demands and resources (emotional demands, workload, organizational justice…). Based on the job-demands-resources principles, our result show that emotional labor components explain a great part of burnout and somatic complaints beyond the parts of variance explained by demands and lack of resources. As emotional dissonance plays a determinant role in the burnout process, the fourth chapter examines to what extent reflexivity among work teams moderates its negative effects. Results indicate that social reflexivity moderates burnout induced by emotional dissonance. Finally, chapter five explores the links between emotional labor, burnout and mistreatments toward patients. Results confirmed the link between emotional dissonance and burnout on mistreatments. Indeed, burnout and emotional dissonance mediate the effects of stressors linked with the work context on mistreatment.
2

Skillnader mellan yoga och högintensivträning i psykologiskt välbefinnande, stress, somatiska symtom ochemotionsreglering / Differences between yoga and high-intensity training inpsychological well-being, stress, somatic symptoms and emotions regulation

Karlsson, Sara, Emma, Närfors January 2022 (has links)
Syftet med den föreliggande studien var att undersöka hur yogautövare, motionsutövare och kombinationsutövare skiljer sig åt i psykologiskt välbefinnande, stress, somatiska symtom och emotionsreglering. Vidare undersökte studien antal yoga tillfällen i veckan och dess samspel till de fyra variablerna (psykologiskt välbefinnande, stress, somatiska symtom och emotionsreglering). En kvantitativ design användes för att studera syftet och datainsamlingen genomfördes via webbenkät. Webbenkäten innehöll fyra olika frågeformulär: PSS-14, DERS, RPWB och SCL-90. Studien rekryterade totalt 152 deltagare, varav 98 kvinnor och 54 män. Av dem 152 deltagarna var 45 yogautövare, 56 motionsutövare och 51 kombinationsutövare. Studiens resultat visar att deltagare som utövar yoga tenderar att skatta sig lägre i upplevd stress, svårigheter av emotionsreglering och somatiska symtom samt högre i psykologiskt välbefinnande, i jämförelse med deltagare som endast utövar motion. Antal yoga tillfällen i veckan indikerade enbart ha ett positiv samband till psykologiskt välbefinnande, inget signifikant samband visades till resterande variabler stress, emotionsreglering och somatiska symtom. / The purpose of the present study was to investigate how yoga practitioners, exercisers andcombination practitioners differ in psychological well-being, stress, somatic symptoms andemotions regulation. Furthermore, the study examined the number of yoga sessions per weekand its interaction with the four variables (psychological well-being, stress, somaticsymptoms and emotions regulation). A quantitative design was used to study the purpose andthe data collection was carried out via a web survey. The web survey contained four differentquestionnaires: PSS-14, DERS, RPWB and SCL-90. The study recruited a total of 152participants, of which 98 were women and 54 men. Of these, 152 participants were 45 yogapractitioners, 56 exercisers and 51 combination practitioners. The results of the study showthat participants who practice yoga tend to rate themselves lower in perceived stress,difficulties of emotions regulation and somatic symptoms and higher in psychological wellbeing, in comparison with participants who only practice exercise. The number of yogasessions per week indicated only a positive association with psychological well-being, nosignificant association was shown with the remaining variables stress, emotions regulationand somatic symptoms.

Page generated in 0.1448 seconds