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Auguste dans l'historiographie muséale de 1937 à 2014 : passato e futuro : d'Auguste à Mussolini, de l'Europe à l'Occident

Fauteux-Robillard, Audrey 04 1900 (has links)
Connue du milieu érudit des historiens, l’histoire romaine rejoint le grand public au XXe siècle sous diverses formes : cinéma, littérature, éducation et expositions. L’empereur Auguste est important dans cette histoire en transformant le monde romain. Né en 63 avant J.-C. et décédé en 14 après J.-C., Auguste devient le fondateur d’un nouveau régime politique, le Principat, remplaçant la République, et faisant d’Auguste le premier Empereur. Il marque ainsi l’histoire de l’Empire romain jusqu’à sa chute, et influencera encore vingt siècles plus tard tout le monde européen et occidental. En 1937, la Mostra Augustea della Romanità est une exposition italienne organisée sous le régime fasciste célébrant le caractère romain – la Romanità –, et voulant amalgamer Auguste à Mussolini. Cette exposition est analysée en comparaison avec deux autres expositions (Kaiser Augustus und die verlorene Republik, Berlin, 1988; et Augusto/Moi, Auguste, Empereur de Rome, Rome/Paris, 2013/2014). La recherche s’intéresse à la représentation muséale d’Auguste et à l’articulation des expositions relativement à l’historiographie évoluant à chaque exposition. Les catalogues d’exposition constituent la principale source sur les artéfacts exposés, les thèmes, les recherches et la mise en récit. Chaque exposition est remise dans son contexte et comparée à l’historiographie contemporaine, centrée sur des ouvrages marquants de leur époque. Ainsi, ces expositions sont teintées par leur époque, mais influencent à leur tour la culture historique populaire et le milieu académique contemporains et futurs. Le travail muséologique n’est pas seulement une vulgarisation du discours historique pour le grand public, mais aussi un travail participatif à l’historiographie. / Known to the scholarly milieu of historians, Roman history reached the general public during the 20th century in various forms: cinema, literature, schools and museum exhibitions. The emperor Augustus is important in Roman history for his transformative role of the Roman world. Born in 63 BC and died in 14 AD, Augustus became the founder of a new political regime, the Principate, replacing the Roman Republic, and making Augustus the first Emperor. He thus marks the history of the Roman Empire until its fall, and will still influence the entire European and Western world twenty centuries later. In 1937, the Mostra Augustea della Romanità is an Italian exhibition organized under the fascist regime celebrating the “idea of Rome” – the Romanità –, and wanting to amalgamate Augustus with Mussolini. This exhibition is analyzed in comparison with two other exhibitions (Kaiser Augustus und die verlorene Republik, Berlin, 1988; and Augusto/Moi, Auguste, Empereur de Rome, Rome/Paris, 2013/2014). The research focuses on the museum representation of Augustus and on the relation of the historiography still evolving with each exhibition. The exhibition catalogs are the main source for exhibited artifacts, themes, research, and storytelling. Each exhibition is put in its context and compared to their contemporary historiography, centered on outstanding works of their time. Thus, these exhibitions are tinted by their time, but in turn influence contemporary and future popular historical culture and as for academia. Museological work is not only popularization of historical discourse for the general public, but also participatory work in historiography.
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Le Tsar éclairé et la Russie barbare : la représentation des réformes pétroviennes dans deux récits de voyageurs occidentaux en Russie au début du XVIIIe siècle

Lévesque, Jean 12 April 2018 (has links)
L'objectif de ce mémoire est d'expliquer de quelle manière la représentation des réformes de Pierre le Grand en Russie au début du XVIIIe siècle fut construite à partir des notions antinomiques de civilisation et de barbarie. Cette représentation fut répandue par des récits de voyageurs occidentaux, notamment ceux de l'Anglais John Perry et de l'Allemand Friedrich Christian Weber. Afin de rendre compte du phénomène de construction de cette image, nous avons effectué deux types de lecture de leur récit. La première a mis en relief les modalités d'appréhension de la réalité russe chez les deux voyageurs, et la seconde a démontré que les singularités de chaque discours n'empêchent aucunement la construction de stéréotypes communs. Dans les deux récits, la figure du tsar est l'incarnation de la civilisation et s'oppose radicalement à l'image d'une Russie barbare et inerte. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Lire Grégoire de Nazianze à l'époque byzantine : édition critique, traduction et analyse des Commentaires de Basile le Minime aux Discours 4 et 5 de Grégoire de Nazianze

Rioual, Gaëlle 24 April 2018 (has links)
Thèse en cotutelle Université Laval, Québec, Canada et Université de Fribourg, Fribourg, Suisse / Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / Basile le Minime, évêque de Césarée en Cappadoce au milieu du Xe siècle, est principalement connu pour avoir écrit un Commentaire à tous les Discours de Grégoire de Nazianze. En effet, bien qu’il ait eu un rôle à jouer à la cour de l’empereur Constantin VII Porphyrogénète, entre autres lors de la prise du pouvoir par ce dernier et lors de la nomination du patriarche Polyeucte, deux événements qui ont marqué sa carrière ecclésiastique, c’est d’abord grâce à son œuvre exégétique qu’il passa à la postérité. Ses Commentaires connurent dès leur publication un certain succès, comme le prouve le nombre de manuscrits qui transmettent son œuvre, plus de quatre-vingt. Cette bonne fortune n’est peut-être pas étrangère au soutien de l’empereur Constantin, à qui les Commentaires étaient dédiés, mais elle s’inscrit également au sein d’un mouvement de mise en valeur de la figure de Grégoire de Nazianze, qui prit de l’ampleur tout au long de l’époque byzantine. Par la suite, son œuvre fut légèrement éclipsée par les contributions des commentateurs postérieurs, qui réutilisèrent toutefois une partie de ses exégèses, avant de tomber finalement en oubli partiel à la fin de l’Empire byzantin. En 1827, Jean-François Boissonade trouva dans la bibliothèque du Roi les Commentaires de Basile le Minime et en publia trois avec la Lettre dédicatoire par laquelle Basile annonçait son œuvre et l’offrait à Constantin VII. Il fut suivi de peu par Louis de Sinner qui publia un autre des Commentaires. Réédités peu de temps après dans la Patrologie grecque, ces quatre Commentaires furent toutefois les seuls et derniers à être publiés en entier et l’œuvre de Basile retint très peu l’attention des chercheurs, jusqu’aux travaux récents de Thomas Schmidt, qui reprit l’édition critique de la Lettre dédicatoire et fit l’édition princeps du Commentaire au Discours 38. Dans la lignée des travaux de ce chercheur, la présente thèse propose une nouvelle édition critique et une première traduction française des Commentaires aux Discours 4 et 5, qui avaient été autrefois publiés par Boissonade, mais seulement sur la base de deux manuscrits. Ces Discours, écrits par Grégoire de Nazianze au lendemain de la mort de l’empereur Julien pour fustiger l’Apostat, célébrer sa mort et montrer aux chrétiens les leçons à retenir de cette épreuve, connurent une certaine postérité à l’époque byzantine. En effet, dans les siècles suivants, les Invectives de Grégoire furent reprises par les auteurs ecclésiastiques et amplifiées, jusqu’à donner naissance à la légende noire de Julien, magicien et tyran par excellence. Ce n’est toutefois pas cet aspect du texte qui retint l’attention de Basile. Au contraire, Basile aborda ces Discours avec le sérieux d’un philologue qui cherche à rendre ces œuvres accessibles, comme il l’écrit lui-même dans l’épilogue qui suit le Commentaire au Discours 5, « pour ceux qui voient petit et qui ont besoin de lait au lieu d’une alimentation solide en discours » (Comm. 5, 66). À cette fin, il emploie une méthode pédagogique comparable à celle d’un grammairien chargé de faire découvrir à ses élèves une œuvre classique : il alterne ainsi les analyses textuelles, principalement axées sur des notions de grammaire et une paraphrase simplificatrice des passages compliqués, avec les exposés contextuels, qui expliquent les événements mis en scène dans l’œuvre ou les références culturelles et littéraires déployées par l’auteur. À cet ensemble s’ajoutent d’autres éléments d’informations sporadiques, en lien, le plus souvent, avec des matières scolaires, comme la rhétorique, la musique, l’astronomie ou la philosophie. En somme, les Commentaires de Basile ne sont pas seulement intéressants pour l’interprétation ou l’histoire exégétique du texte de Grégoire, mais également en tant que témoins de la culture scolaire du milieu de la période byzantine. / Basilius Minimus, bishop of Caesarea of Cappadocia in the middle of 10th century, is mainly known to have written a Commentary on every Oration of Gregory of Nazianzus. Although he had played in the court of the Emperor Constantine VII Porphyrogenetus, most notably when the latter recovered his throne and when Polyeuctus became the patriarch of Constantinople – two events very important in his ecclesiastical career –, he is mostly known for his exegetical work. His Commentaries soon experienced some success, as evidenced by the number of manuscripts, more than 80, that transmit his work. This success may have been a result of the support of the Emperor Constantine to which the Commentaries were dedicated, but it also corresponded to a larger movement valorizing the figure of Gregory of Nazianzus, a movement which gained momentum throughout the Byzantine period. His work has been somewhat overshadowed by the contributions of later commentators, which also borrowed from his exegesis, before falling partly into oblivion at the end of the Byzantine Empire. In 1827, Jean-François Boissonade found three of Basilius’ Commentaries in the Bibliothèque du Roi and published them, along with the dedicatory letter with which Basilius announced his work and offered it to Constantine VII. He was closely followed by Louis de Sinner who published another Commentary. Reedited shortly after in Patrologia graeca, these Commentaries however were the only and last Commentaries to be published in full. The exegesis of Basilius Minimus received very little attention from the researchers, until the recent works of Thomas Schmidt, who realized a new critical edition of the dedicatory letter and the editio princeps of the Commentary on the Oration 38. Following the lead of this researcher, this thesis proposes a new critical edition and a French translation of the Commentaries on the Orations 4 and 5, which were formerly published by Boissonade, but only on the basis of two manuscripts. Written by Gregory of Nazianzus in the aftermath of the Emperor Julian’s death in order to castigate the Apostate, to celebrate his death and to show which lessons the Christians should learn from this event, these Orations experienced a certain posterity in the Byzantine era. In the following centuries, Gregory’s Invectives were effectively taken over by ecclesiastical authors and amplified to give birth to the black legend of Julian as a magician and a tyrant par excellence. This is, however, not the aspect of the text that caught the attention of Basilius. On the contrary, Basilius went into these Orations with the seriousness of a philologist who tries to make these works easy to understand, as he himself wrote in the epilogue following the Commentary on the Oration 5, “to those who see small and who need milk instead of a solid diet of discourses” (Comm. 5, 66). For this purpose, he uses a pedagogical method similar to that of a grammarian who introduces his students to a classical text: he alternates textual analysis, mainly focused on grammatical concepts and simplified paraphrases of complicated passages, with contextual explanations, which expound the events mentioned in the work or on the cultural and literary references used by the author. To this corpus, he adds some other sporadic information, usually related to academic subjects such as rhetoric, music, astronomy or philosophy. In sum, the Basilius’ Commentaries are not only useful for the interpretation or exegetical history of Gregory’s text, but also as witnesses of scholarly culture in the middle of the Byzantine period.
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A atuação político-religiosa do imperador Teodósio II na controvérsia entre Cirilo de Alexandria e Nestório de Constantinopla (428-450 d.C.) / The political-religious role of the emperor Theodosius II in the controversy between Cyril of Alexandria and Nestorius of Constantinople (AD 428 – 450)

Figueiredo, Daniel de 16 March 2018 (has links)
Submitted by Daniel de Figueiredo null (dd66fig@gmail.com) on 2018-03-24T10:55:18Z No. of bitstreams: 1 TESE_DANIEL_DE_FIGUEIREDO.pdf: 17866175 bytes, checksum: 6674e2b4c6e440c8bfb103848fcc4347 (MD5) / Approved for entry into archive by Jacqueline de Almeida null (jacquie@franca.unesp.br) on 2018-03-26T13:36:43Z (GMT) No. of bitstreams: 1 Figueiredo_D_te_fran.pdf: 17866175 bytes, checksum: 6674e2b4c6e440c8bfb103848fcc4347 (MD5) / Made available in DSpace on 2018-03-26T13:36:43Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Figueiredo_D_te_fran.pdf: 17866175 bytes, checksum: 6674e2b4c6e440c8bfb103848fcc4347 (MD5) Previous issue date: 2018-03-16 / Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP) / Cette recherche a pour but d’analyser le rôle politique, religieux et administratif de l’empereur Théodose II (401-450 ap. J.-C.) dans la gestion de la Controverse nestorienne, conflit qui est apparu dans la hiérarchie ecclésiastique de l’Empire romain d’Orient pendant la seconde moitié de son gouvernement (428-450 ap. J.-C.). Dans le domaine théologique, cette controverse était liée aux divergences entretenues par les évêques Cyrille d’Alexandrie et Nestorius de Constantinople à propos de la compréhension de l’interaction entre les natures humaine et divine dans le Christ incarné. Conformément à leurs respectifs imaginaires politiques et religieux, Cyrille, originaire de la région d’Egypte, défendait une union (ἕνωσις) entre ces natures, alors que Nestorius, originaire d’Antioche, dans la province de Syrie I, défendait une conjonction (συνάφεια) entre elles. Telles divergences ont abouti à une polarisation de la société romaine orientale autour de ces idées, parce qu’il y avait un étroit entrelacement des questions religieuses et politiques dans l’Antiquité tardive. L’étendue du conflit peut être vérifiée par la participation de différents segments de fonctionnaires de l’administration impériale qui s’alignaient aux factions formées, puisque les conflits de cette nature dans ce contexte étaient aussi liés à des constructions idéologiques qui ont contribué pour soutenir et donner de l’unité au pouvoir impérial. Cette adhésion des fonctionnaires nous indique que Théodose II n’a pas arbitré seulement un conflit théologique entre les membres de la hiérarchie ecclésiastique, mais que son intervention a nécessité qu’il négocie sa propre position dans la topographie du pouvoir avec des segments des aristocraties qui ont formé ces cadres de personnel. À partir de là, nous caractérisons le conflit non seulement comme théologique, mais aussi comme politique et administratif. Cette perception a été possible à travers notre catalogage des lettres impériales et épiscopales consultées, ce qui nous a permis de visualiser la formation de réseaux de sociabilité entretenues entre les évêques et les fonctionnaires impériaux. Les informations recueillies dans ces documents, en particulier en ce qui concerne les données prosopographiques des auteurs ou des personnes mentionnées dans les lettres, ont été comparées aux oeuvres Livre d’Heraclide, de Nestorius, et Contre Nestorius, de Cyrille, afin de renforcer la perception de la synergie entre les évêques et les fonctionnaires pour la défense de leurs intérêts politico-religieux communs. Ainsi, nous avons travaillé sur l’hypothèse que Théodose II et les auxiliaires qui ont contribué à l’élaboration de ses stratégies d’action n’ont pas négocié seulement l’unité doctrinale autour d’une orthodoxie religieuse avec les membres de la hiérarchie ecclésiastique. Telles négociations visaient également à maintenir l’unité impériale autour de la diversité des éléments culturels, politiques, administratifs et territoriaux avec d’autres groupes détenteurs du pouvoir, c’est-à-dire, les fonctionnaires impériaux qui contribuaient à légitimer la position centrale de Théodose II en tant que gouverneur. Le jeu de concessions établi par l’empereur à travers l’alternance de soutien entre les factions cyrillienne et nestorienne, qui peut être perçu à l’occasion du Concile d’Éphèse I (431), de la Formule de Réunion (433), au Synode de Constantinople (448) et du Concile d’Éphèse II (449), ne nous indique pas l’incapacité politique de Théodose de conduire le conflit, comme l’historiographie a fréquemment signalé à ce sujet. Dans notre perspective analytique, les mouvements impériaux comprenaient des négociations stratégiques visant à accommoder les intérêts et à contrebalancer des pouvoirs avec les aristocraties de fonctionnaires issus de différentes régions de l’Empire qui s’associaient aux évêques dans le conflit théologique. / Essa pesquisa tem por objetivo analisar a atuação político-religiosa e administrativa do imperador Teodósio II (401-450 d.C.) no gerenciamento da Controvérsia Nestoriana, conflito que emergiu na hierarquia eclesiástica do Império Romano do Oriente, durante a segunda metade do seu governo, de 428 a 450 d.C. Na esfera teológica, tal controvérsia esteve relacionada às divergências mantidas pelos bispos Cirilo de Alexandria e Nestório de Constantinopla no que se refere ao entendimento da interação entre as naturezas humana e divina no Cristo encarnado. Consoantes aos respectivos imaginários político-religiosos em que se inseriam, Cirilo, originário da região do Egito, advogava uma união (ἕνωσις) entre aquelas naturezas, ao passo que Nestório, oriundo de Antioquia, na província da Síria I, defendia apenas uma conjunção (συνάφεια) entre elas. Tais divergências resultaram em uma polarização da sociedade romana oriental em torno daquelas ideias, tendo em vista o estreito entrelaçamento que as questões religiosas e políticas eram percebidas na Antiguidade Tardia. A amplitude do conflito pode ser verificada pela participação de diferentes segmentos de funcionários da administração imperial que se alinharam às facções formadas, pois os conflitos dessa natureza, naquele contexto, estavam, também, relacionados a construções ideológicas que contribuíam para dar sustentação e unidade ao poder imperial. Essa adesão dos funcionários nos indica que Teodósio II não arbitrou apenas um conflito teológico entre membros da hierarquia eclesiástica, mas que sua intervenção necessitou que ele negociasse a sua própria posição na topografia do poder com segmentos das aristocracias que formavam esses quadros de funcionários. A partir daí, caracterizamos o conflito não somente como teológico, mas, também, como político-administrativo. Essa percepção foi possível por meio da catalogação e mapeamento das cartas imperiais e episcopais consultadas, que nos permitiram visualizar a formação das redes de sociabilidade mantidas entre bispos e funcionários imperiais. As informações colhidas nesses documentos, sobretudo no que se refere aos dados prosopográficos dos missivistas, ou daqueles indivíduos citados nas cartas, foram cotejadas com as obras Livro de Heraclides, de Nestório, e Contra Nestório, de Cirilo, no sentido de reforçar a percepção de sinergia entre bispos e funcionários na defesa dos seus interesses político-religiosos comuns. Assim, trabalhamos a hipótese de que Teodósio II, e aqueles auxiliares que contribuíam na elaboração das suas estratégias de atuação, não estavam negociando somente a unidade doutrinal em torno de uma ortodoxia religiosa com membros da hierarquia eclesiástica. Tais negociações também visavam a manutenção da unidade imperial em torno da diversidade de elementos culturais, políticos, administrativos e territoriais, com outros grupos detentores de poder, ou seja, os funcionários imperiais que contribuíam para legitimar a posição de centralidade de Teodósio II como governante. O jogo de concessões estabelecido pelo imperador por meio da alternância de apoio entre as facções ciriliana e nestoriana, que pode ser percebido por ocasião do Concílio de Éfeso I (431), da Fórmula da Reunião (433), do Sínodo de Constantinopla (448) e do Concílio de Éfeso II (449), não nos indica uma inabilidade política de Teodósio II em conduzir o conflito, conforme frequentemente registrou a historiografia sobre o assunto. Em nossa perspectiva de análise, tais movimentos abarcavam negociações estratégicas que visavam acomodar interesses e contrabalancear poderes com as aristocracias de funcionários oriundas de diferentes regiões do Império e que se associavam aos bispos na disputa teológica. / This research aims to analyze the political-religious and administrative performance of the emperor Theodosius II (401–450 A. D.) related to the management of the Nestorian Controversy, conflict that emerged in the ecclesiastical hierarchy of the Eastern Roman Empire during the second half of his rule, from 428 to 450 A. D. In the theological sphere, this controversy was related to the disagreements maintained by the bishops Cyril of Alexandria and Nestorius of Constantinople regarding the understanding of the interaction between the human and the divine nature of Christ incarnate. Consistent with the respective political-religious imaginary to which each one belonged, Cyril, a native of that region in Egypt, advocated a union (ἕνωσις) between those two natures, whereas Nestorius, a native of Antioch, in the province of Syria I, defended only a conjunction (συνάφεια) between them. Such divergent opinions resulted in a polarization of the Eastern Roman society regarding those ideas, considering that religious and political aspects used to be perceived as being narrowly interlaced in Late Antiquity. The extent of the conflict can be verified by the participation of officials from various segments of the imperial administration who aligned with the formed factions, as such conflicts, in that context, were also related to ideological constructions that contributed to provide support and unity to the imperial power. The adherence of the officials indicates that Theodosius II not only did manage a theological conflict between members of the ecclesiastic hierarchy but also that his intervening in the conflict demanded him to negotiate his own position on the topography of power with segments of the aristocracy that composed these groups of officials. Therefore, we characterize the conflict not only as a theological one, but also as a political-administrative one. This perception was made possible through the cataloging and mapping of the imperial and episcopal letters analyzed, which allowed us to visualize the formation of the sociability networks kept between imperial officials and bishops. Data extracted from those documents, particularly those referring to the prosopographical data of the letters’ authors, or from those individuals mentioned in the letters, were analyzed in contrast with Nestorius’s work entitled Book of Heraclides, and Cyril’s work entitled Against Nestorius, in order to reinforce the perception of synergy between the bishops and officials in the defense of their common political-religious interests. Thus, we study the hypothesis that Theodosius II and those who assisted him in elaborating his strategies of action, were not only negotiating the doctrinal unity around a religious orthodoxy with members of the ecclesiastical hierarchy. Such negotiations also aimed at keeping the imperial unity regarding cultural, political, administrative, and territorial elements, with other groups that had the power, i.e. imperial officials that used to contribute to legitimate the position of centrality of Theodosius II as a ruler. The concessions game established by the emperor by alternating support between cyrillian and nestorian groups, which can be observed during the Council of Ephesus I (431), the Formula of the Reunion (433), the Synod of Constantinople (448), and the Council of Ephesus II (449) do not indicate a political inability of Theodosius II to conduct the conflict, as frequently recorded in the historiography on the subject. From our standpoint, such moves included strategic negotiations that aimed at accommodating interests and balancing powers with the aristocracies of officials from various regions of the empire and that joined the bishops in the theological dispute. / 13/24320-4
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Les chasses des souverains en France (1804-1830) / Imperial and royal hunts in France (1804-1830)

Vial, Charles-Eloi 17 October 2013 (has links)
Activité prisée des rois de France depuis l'époque médiévale, la chasse était devenue pour les derniers Bourbons plus une passion dévorante qu'une simple distraction. Louis XV et Louis XVI furent critiqués par l'opinion publique naissante, qui considérait que leurs chasses onéreuses les éloignaient du gouvernement. Après la chute de la monarchie, les chasses royales disparurent. Elles furent remises au goût du jour par Napoléon Ier, soucieux de s'approprier les apparences de la légitimité monarchique. Le maréchal Berthier fut ainsi nommé Grand veneur en 1804. Grâce à lui, Napoléon put faire de ses chasses un instrument politique puissant, une distraction de Cour prisée, le tout avec une économie substantielle de moyens. La Restauration, au lieu de revenir à l'organisation d'Ancien Régime, choisit de conserver l'équipage de chasse et l'administration mise en place pour Napoléon, qui fonctionnèrent jusqu'en 1830. Naquit ainsi le paradoxe d'une Restauration affichant, à la suite de l'Empire, la volonté de renouer avec la tradition monarchique, mais cela grâce à un équipage formé pour Napoléon. C'est cette continuité, humaine, budgétaire, mais aussi politique et symbolique qu'il convient d'étudier au travers des éléments constitutifs des chasses : une implantation autour de Paris permettant une circulation de la Cour autour de différentes résidences de chasse, une pratique régulière destinée à la distraction du souverain et de ses proches, des invitations de personnages politiquement importants, qui donnent à certains jours de chasse bien précis une résonance particulière. Autant d'aspects qui se retrouvent dans les sources : archives, journaux, mémoires, œuvres d'art. / Hunting had always been the privileged activity of kings since the mediaeval period, and for the later Bourbons it became a consuming passion. Indeed Louis XV and Louis XVI were to be criticized by a proto public opinion ; it was thought that hunts were expensive and that they distracted the rulers from the duties of government. The royal hunts disappeared with the fall of the monarchy. But Napoleon, with his desire to appropriate the outward show of monarchical legitimacy, brought it back. Marshal Berthier was appointed Grand veneur and given the task of organizing the imperial hunt in exactly the same way as it had been done under Louis XVI. Napoleon made the hunts a powerful political instrument and a Court indulgence whilst at the same time making considerable savings. The Restoration in fact chose not to revive Ancien Régime customs but preserved the Napoleonic hunting administration. This gave rise to the paradox of a Restoration attempting to reinvigorate monarchical traditions but using structures created by Napoleon. This is that strong continuity, human, budgetary, but also political and symbolic, inside a geographical field concentrated around Paris that made it possible for the Court to circulate around the different imperial hunting residences, to dedicate certain days to the hunts, and to invite some important political figures. All of these aspects are to be found in the sources : archives, newspapers, autobiographies, artworks.
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Armand-Louis de Caulaincourt, duc de Vicenze (1773-1827). Étude d’une carrière diplomatique sous le Premier Empire, de la cour de Napoléon au ministère des Relations extérieures / Armand-Louis de Caulaincourt, duke of Vicenza (1773-1827). Being the study of a diplomat's career during the First French Empire, from Napoleon's court to the Foreign Office

Varlan, Olivier 16 October 2013 (has links)
Officier de cavalerie originaire de la noblesse picarde, Armand de Caulaincourt (1773-1827) gravit rapidement tous les échelons de la cour consulaire puis impériale, devenant en 1804 grand-écuyer de l’Empire. Mais, malgré l’importance de ses fonctions curiales, Napoléon le destine à une carrière de diplomate. Après différentes missions, il le nomme ambassadeur de France en Russie, à la fin de l’année 1807. Fervent partisan de l’alliance de Tilsit, Caulaincourt participe à toutes les grandes négociations franco-russes mais doit assister à la lente dégradation des relations entre les deux empires. À son retour à Paris en 1811, son bilan politique est maigre. Sa défense opiniâtre du tsar Alexandre, mais surtout son opposition à la campagne militaire qui se prépare, irritent Napoléon. Elles lui permettent toutefois d’acquérir une nouvelle stature après le désastre de Russie : pour ses contemporains Caulaincourt devient l’« homme de la paix ». Une image que Napoléon réutilise lorsqu’il le charge de le représenter aux congrès de Prague (1813) et de Châtillon (1814). Le duc de Vicence, devenu ministre des Relations extérieures, ne parvient pas à faire accepter la paix ; il lui faut finalement négocier l’abdication de Napoléon et renoncer, après les Cent-Jours, à toute carrière politique. Cette étude, qui s’appuie sur les archives personnelles de Caulaincourt et ses célèbres Mémoires, entend redonner toute son importance à cette figure majeure du Premier Empire, en insistant sur son action et sa pensée dans le domaine de la diplomatie. L’exemple de ce parcours devant permettre de contribuer à reconsidérer et réévaluer le rôle du personnel diplomatique napoléonien. / A cavalry officer born into Picardy's landed gentry, Armand de Caulaincourt rose rapidly through the ranks of the consular, and later the imperial court, to become in 1804 Grand Squire of the Empire. However, notwithstanding the importance of his curial functions, Napoleon destined him to a diplomatic career. After several missions, he was appointed as Ambassador of France to Russia (1807). Caulaincourt took part in all the major negotiations between France and Russia, but was forced to witness a slow breakdown in relations between the two Empires. At the time of his return to Paris in 1811, his political accomplishments were unimpressive. His stalwart defense of Tsar Alexander, and especially his opposition to the upcoming military campaign, were an irritation to Napoleon. Nevertheless, these stances allowed him to gain new stature after the disaster in Russia : in the eyes of his contemporaries, he became the “Peacemaker”, an image Napoleon used to his advantage by appointing him his representative at the congresses in Prague (1813) and in Châtillon (1814). The Duke of Vicenza, now Minister for Foreign Affairs, could not, however, broker an agreement in favour of peace : he was forced to negotiate Napoleon's abdication and to give up any hope of political career after the Hundred Days. This study, based on Caulaincourt's personal records and famous Memoirs, aims at restoring a major figure of the First French Empire to his due importance, while focusing on his action and thought in the field of diplomacy. The exemplary value of his career should also allow historians to reconsider and reevaluate the role of Napoleon's diplomatic personnel.

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