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La communication joueur-entraineur au football scolaireLefebvre, Jean-François 23 September 2013 (has links)
Dans le sport, la communication, c’est-à-dire la transmission de messages, entre le joueur
et l’entraineur 1 est primordiale. Encore très peu d’études portent sur le processus de
communication entre le joueur et l’entraineur, processus pourtant essentiel à l’enseignementapprentissage,
et très peu analysent l’incidence de cette communication sur les athlètes. La
présente recherche a donc pour but de (a) comprendre ce qui fait qu’une communication est
bonne aux yeux des entraineurs et des joueurs, (b) de comprendre le processus de communication
lui-même et (c) de comprendre les répercussions de la communication sur le développement athlétique et personnel des joueurs. Une équipe de football scolaire composée de joueurs de 15 à 17 ans a été étudiée. Les données ont été recueillies au moyen d’observations sur le terrain et d’entrevues à des périodes déterminées avec quatre entraineurs et quatre joueurs. Une analyse thématique inductive révèle les perceptions d’une bonne communication selon les entraineurs et les joueurs. Les points similaires entre les points de vue des entraineurs et des athlètes sont la confiance, le respect, l’humour, et la connaissance de l’autre personne. Les différences sont que les entraineurs désirent une bonne relation basée sur la confiance sans être toutefois trop proche de l’athlète, tandis que les athlètes désirent une relation d’amitié et de support sans
communication agressive. Les résultats font également ressortir les effets positifs qu’une bonne communication entre joueurs et entraineurs peut avoir sur les jeunes, dans le contexte du sport et dans la vie de tous les jours.
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Les situations d'apprentissage d'entraineurs québécois de niveau développementLebel, Gabrielle January 2018 (has links)
L’entrainement sportif est un processus de préparation systématique de l’athlète visant l’amélioration de son niveau de performance, ou la réduction de la régression, dans une discipline sportive aux plans (a) physique, (b) technique, (c) tactique, (d) psychologique, (e) social/moral et (f) théorique (A.C.E., 1989; Bompa et Haff, 2009; Roy, 2012). Ce processus d’entrainement est supervisé par un entraineur dont les tâches sont reconnues pour leur diversité, leur complexité et l’interrelation entre celles-ci (Côté, Salmela, Trudel, Baria et Russell, 1995). À cet effet, les entraineurs doivent développer et posséder un large éventail de connaissances et compétences (Cushion et al., 2003).
Afin de mieux conceptualiser l’ensemble des tâches des entraineurs ainsi que les variables qui influencent leurs interventions auprès des athlètes, le modèle de l’entrainement développé par Côté et al., (1995) a donc été utilisé comme cadre de référence à la présente étude. Ce modèle, présente les principales tâches réalisées par l’entraineur en lien avec (a) l’entrainement, (b) la compétition et (c) l’organisation, ainsi que les trois composantes périphériques à l’entrainement qui sont (a) les caractéristiques de l’entraineur, (b) les caractéristiques des athlètes, et (c) les facteurs contextuels à la pratique (Trudel et Gilbert,2006). Le processus d’entrainement mis en place par l’entraineur est guidé par sa structure cognitive, incluant ses connaissances, ses représentations de ses athlètes, ses schèmes de pensées et son modèle de développement des athlètes (Knowles, Borrie et Telfer,2005). Cela dit, la complexité et la complémentarité des tâches des entraineurs telles qu’illustrées par le modèle de Côté et al., (1995) soulèvent des interrogations sur le parcours et les situations d’apprentissage vécues par les entraineurs. Cela met en lumière l’importance qui doit être accordée à la formation des entraineurs pour leur permettre d’intervenir efficacement en tenant compte de l’ensemble de ces variables.
La représentation de l'apprentissage des entraineurs par la modification de la structure cognitive produite par Werthner et Trudel(2006) adaptée de Moon (2004) a également été utilisée dans la présente étude comme un second cadre de référence, ce dernier se superposant au premier pour permettre la conceptualisation de l’apprentissage des entraineurs. En effet, il est bien connu que les entraineurs possèdent des profils d’apprentissage très variés. La représentation de l’apprentissage de Werthner et Trudel (2006) présente donc les trois principaux types de situations d’apprentissage auxquels les entraineurs peuvent avoir recours soit (a)les situations assistées, (b) les situations non-assistées, et (c) les situations internes. Ces
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trois types de situations d’apprentissage s’avèrent complémentaires et nécessaires pour permettre le développement global des connaissances et compétences des entraineurs (Gilbert et Trudel,2006; Lemyre et Trudel, 2004; Werthner et Trudel, 2006, 2009; Wright, Trudel et Culver, 2007;). L’utilité et la contribution de chacune de celles-ci sur le plan du développement des connaissances et compétences en fonction des tâches des entraineurs sont soulevées dans la littérature.
Cette étude porte donc sur le parcours d’apprentissage des entraineurs de niveau développemental québécois. Plus précisément, l’intérêt est porté sur un aspect qui n’a pas été documenté à ce jour, soit les différents types de situations d’apprentissage auxquels les entraineurs québécois de niveau développement ont recours tout au long de leur carrière pour acquérir les connaissances et compétences nécessaires à l’accomplissement de leurs fonctions professionnelles.
Les résultats corroborent la littérature à l’effet que les entraineurs apprennent grâce à une combinaison de multiples situations d’apprentissage étroitement liées les unes aux autres, et selon un parcours très idiosyncrasique. D’abord les situations assistées telles que les formations à large échelle sont peu valorisées, car pas assez adaptées à leur contexte et pas assez concrètes selon eux. Ensuite, les situations non assistées sont les plus valorisées, et se traduisent par l’apprentissage social (Trudel et Gilbert, 2006 ; Werthner et Trudel, 2009) et expérientiel (Sfard, 1998) soit par (a) les interactions avec des collègues, (b) l’observation ou (c) l’accumulation d’expérience comme entraineur ou même l’expérience passée comme athlète. C’est d’ailleurs ce type de situations d’apprentissage qui semble permettre aux entraineurs de développer leur capacité de réflexion au fil du temps et ainsi pouvoir générer des apprentissages internes.
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La communication joueur-entraineur au football scolaireLefebvre, Jean-François January 2013 (has links)
Dans le sport, la communication, c’est-à-dire la transmission de messages, entre le joueur
et l’entraineur 1 est primordiale. Encore très peu d’études portent sur le processus de
communication entre le joueur et l’entraineur, processus pourtant essentiel à l’enseignementapprentissage,
et très peu analysent l’incidence de cette communication sur les athlètes. La
présente recherche a donc pour but de (a) comprendre ce qui fait qu’une communication est
bonne aux yeux des entraineurs et des joueurs, (b) de comprendre le processus de communication
lui-même et (c) de comprendre les répercussions de la communication sur le développement athlétique et personnel des joueurs. Une équipe de football scolaire composée de joueurs de 15 à 17 ans a été étudiée. Les données ont été recueillies au moyen d’observations sur le terrain et d’entrevues à des périodes déterminées avec quatre entraineurs et quatre joueurs. Une analyse thématique inductive révèle les perceptions d’une bonne communication selon les entraineurs et les joueurs. Les points similaires entre les points de vue des entraineurs et des athlètes sont la confiance, le respect, l’humour, et la connaissance de l’autre personne. Les différences sont que les entraineurs désirent une bonne relation basée sur la confiance sans être toutefois trop proche de l’athlète, tandis que les athlètes désirent une relation d’amitié et de support sans
communication agressive. Les résultats font également ressortir les effets positifs qu’une bonne communication entre joueurs et entraineurs peut avoir sur les jeunes, dans le contexte du sport et dans la vie de tous les jours.
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Retrait endogène et de séchage des BAP à air entrainé [sic] contenant divers composés organiques comme anti-retraitApaya, Ingrid January 2011 (has links)
Le béton autoplaçant fut l'innovation technologique dans le domaine du BTP (Bâtiment et Travaux Public) depuis ces dernières décennies. Grâce à ses atouts (facilité de mise en oeuvre et réduction de coût), il est très utilisé dans les grandes constructions. Cependant, le contrôle du retrait de ce type de béton reste un problème majeur non résolu compromettant l'élargissement de son domaine d'utilisation (Béton Auto-Plaçant-Prêt à l'Emploi, Béton Auto-Plaçant-Pré-Fabriqué). Ce projet de recherche propose d'étudier le retrait des bétons autoplaçants à air entraîné, contenant des nouvelles molécules organiques afin de réduire les pressions internes associées aux ménisques capillaires de la matrice cimentaire. Par ailleurs, l'ajout de nouveaux adjuvants dans le béton entraîne des changements de comportements à l'état frais et durci du béton, notamment en présence d'agent entraîneur d'air (AEA), d'un agent colloïdal (AC) et d'un superplastifiant (SP). L'étude est menée en trois phases afin de pouvoir approfondir les connaissances sur le sujet et en améliorer les propriétés des BAP. La première phase consiste à étudier la compatibilité des molécules organiques anti-retraits, soit des agents réducteurs de retrait (ARR) en présence d'un AEA, d'un AC et d'un SP sur des mortiers de béton équivalent (MBE). La deuxième phase consiste à caractériser les combinaisons ARR/AEA, déduites de la phase I sur MBE. Cette partie mettra en évidence les propriétés physiques des combinaisons testées (retrait endogène et retrait de séchage). La phase III vise à comprendre les comportements des mélanges sélectionnés vis-à-vis des propriétés de durabilité. Cette investigation a permis d'enrichir les connaissances sur les ARR organiques et leurs interactions en présence de SP, d'agent viscosant (VEA), et AEA. De plus cette étude montre qu'il existe pour un intervalle de l'Hydrolic-Lipophilic Balance (HLB) et une tension de surface spécifique donnée, des molécules sondes pouvant diminuer le retrait endogène et de séchage. En outre, il a été montré que la valeur du HLB influence le dosage en AEA.
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Étude de la durabilité à l'écaillage en présence de sel fondant des bétons avec liant ternaireMorin-Morissette, Pierre-Olivier January 2017 (has links)
L’écaillage de la surface du béton dû aux sels fondants est un phénomène dont les mécanismes sont relativement peu connus. Plusieurs publications et plusieurs recherches se sont penchées sur cette problématique de durabilité du béton. Encore aujourd’hui, aucune théorie prise individuellement ne permet d’expliquer entièrement les causes de ce phénomène et le rôle protecteur d’un bon réseau de bulle d’air sur les bétons qui sont dans des conditions à risque.
À prime à bord, les tests sous leur forme actuelle, peuvent sembler moins bien adaptés lorsque l’utilisation de liant ternaire est préférée au liant avec seulement du ciment Portland. Cette recherche s'intéresse donc à valider la sévérité du test d’écaillage BNQ 2621-905 lorsqu’on utilise des liants ternaires. Ce projet se penche également sur l’effet du type et la durée de la cure, du type de superplastifiant utilisé, de la variation du L ̅ et de l’utilisation d’un granulat marginal sur les résistances à l’écaillage des bétons avec liant ternaire.
Les travaux réalisés dans le cadre de ce projet démontrent qu’il est possible d’avoir des résultats qui satisfont la norme d’écaillage BNQ 2621-905 avec des paramètres de formulations d’un béton de type V-S avec presque tous les liants ternaires utilisés. De plus, lorsque le réseau d’air est de bonne qualité (L ̅ < 230 µm) l’utilisation de superplastifiant PCP ou PNS ne semble pas d’avoir d’effet marqué. Le facteur d’espacement, actuellement prescrit dans la norme CSA A23.1, moyen inférieur à 230 µm avec aucune valeur dépassant 260 µm permet d’obtenir de bons résultats à l’écaillage en laboratoire pour le liant C. Finalement, l’utilisation d’un granulat marginal au micro-Deval peut avoir un effet sur la quantité de débris de surface d’un échantillon soumis au gel-dégel.
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Le grand frère : coaching, adolescence et lien de confianceGerbelli-Gauthier, Léo 07 1900 (has links)
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