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Les antécédents de la pardonnabilité du consommateur face à un scandale écologique

Poulin, Laurence 18 October 2019 (has links)
Considérant l’intérêt grandissant des consommateurs pour l’écologie, il n’est pas surprenant de constater que des entreprises se « verdissent » très rapidement afin de répondre à cette nouvelle demande. Certaines de ces entreprises sont impliquées dans des scandales de nature écologique ayant des répercussions négatives sur leur image et sur la confiance accordée par les consommateurs. Bien que plusieurs réactions soient susceptibles d’être adoptées par les consommateurs, la volonté à pardonner (pardonnabilité) s’avère d’une grande importance puisqu’elle permet conditionner la pérennité de la relation d’affaires. L’objectif de cette recherche est de comprendre ce qui motive les consommateurs à vouloir (ou non) pardonner une entreprise impliquée dans un scandale écologique. Prenant fondement sur une approche expérimentale, cette recherche identifie les variables susceptibles d’expliquer la volonté à pardonner du consommateur spécifiquement dans un contexte de scandale écologique. Pour mesurer ces variables, la méthode des scénarios a été mobilisée et huit scénarii distincts ont été construits afin de reproduire le plus fidèlement des situations contextualisant des scandales écologiques. Avec un échantillon de convenance de 464 étudiants universitaires, les résultats obtenus ont permis de mettre en lumière que les valeurs et l’implication écologique semblent peu influencer la gravité perçue du scandale et indirectement, la volonté à pardonner lorsque survient un scandale écologique. D’un autre côté, le fait de croire en l’authenticité des discours de responsabilité sociale d’entreprise semble influencer un peu plus la gravité perçue du scandale écologique. De plus, les résultats ont mis en évidence que la gravité perçue du scandale impacte principalement la volonté à pardonner et ce, uniquement à ses dimensions affective et cognitive. Pour ce qui est de la dimension comportementale, les résultats indiquent qu’elle est peu influencée par la gravité perçue du scandale. Ces résultats mettent en lumière des implications fort intéressantes d’un point de vue théorique et managérial. / Considering the growing ecological interest of consumers, it is not surprising that companies are becoming greener to satisfy this new claim. Ecological scandals affect negatively companies’ image and therefore the trust of their consumers. While consumers can adopt many different reactions, the willingness to forgive (forgiveness) appears to be one of the most important since the way it is managed allows to maintain business relationship. The purpose of this research is to understand what motivates consumers to forgive (or not) a company involved in an environmental scandal. Drawing on an experimental approach, this study identifies the variables likely to explain the consumer willingness to forgive in an ecological context. To conduct this research, a scenario-based experiment was used. Eight distinct scenarios were created to replicate as closely as possible existing ecological scandals. With a convenience sample of 464 university students, results show that ecological values and environmental concerns have a low effect on the perceived seriousness of the scandal and indirectly the willingness to forgive when an ecological scandal occurs. On the other hand, believing in the authenticity of corporate social responsibility have a slightly influence on the perceived seriousness of the ecological scandal. In addition, the results show that the perceived seriousness of the scandal primarily impacts the willingness to forgive, more precisely its affective and cognitive dimensions. Results indicate that the behavioral dimension is not influenced by the perceived seriousness of the scandal. These results highlight interesting implications at theoretical and practical levels.
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La valorisation résiduelle : une étude de cas dans douze firmes canadiennes

Kabongo, Jean D. 11 April 2018 (has links)
Depuis une vingtaine d'années, la valorisation des sous-produits industriels et des matières résiduelles dans les procédés productifs suscite beaucoup d'intérêt de la part des dirigeants industriels et politiques. Cet intérêt grandissant se justifie sans doute par le désir de nouvelles opportunités d'affaires et par l'urgence qu'il y a à mettre en œuvre les principes du développement durable aux échelles macroéconomique et microéconomique. Depuis lors, la valorisation résiduelle a fait l'objet de nombreuses recherches qui s'articulent autour du concept d'écologie industrielle. Celle-ci propose un cadre de référence à l'optimisation de l'usage des ressources dans les systèmes productifs. Les recherches ont été largement dominées par les approches scientifiques et d'ingénierie. Ces approches abordent l'écologie industrielle, en particulier la valorisation résiduelle, dans la perspective de l'analyse des flux de matière et d'énergie et du développement des technologies de réduction et de transformation des déchets, essentiellement au niveau global et interentreprises. Cependant, de telles approches ignorent largement le fonctionnement des pratiques de valorisation résiduelle au niveau intra-entreprise. Ainsi, en ce qui concerne la valorisation résiduelle, la vision technoscientifique pose le problème de l'écologie industrielle en termes de modélisation mathématique et de description des outils de mise en œuvre de l'écologie industrielle. La présente recherche aborde la problématique de la valorisation résiduelle dans une perspective différente. Elle se veut managériale. Elle s'attache à analyser les mécanismes de la valorisation résiduelle comme pratique d'écologie industrielle à l'échelle des différentes fonctions des entreprises industrielles canadiennes étudiées. Par cette analyse, la recherche vise à comprendre les enjeux de ces pratiques pour la gestion des ces entreprises ainsi que les difficultés auxquelles les gestionnaires de ces mêmes entreprises font face. Pour atteindre cet objectif, cette recherche repose sur une approche qualitative et empirique prenant la forme d'une étude de cas qui emprunte des éléments de la grounded theory. Pour mieux analyser la valorisation résiduelle dans la perspective managériale, le cadre conceptuel est forgé à partir d'une synthèse des courants de pensée en écologie industrielle identifiés dans la littérature. Le cadre conceptuel proposé repose ainsi sur les notions de reconnaissance d'opportunités, de transformation des sous-produits industriels et de gestion des processus d'affaires. C'est à partir de ces trois notions que les concepts fondamentaux de l'étude ont été définis. À partir des résultats portant sur les définitions de la valorisation ainsi que sur les motivations favorisant des initiatives d'écologie industrielle dans les entreprises visitées, la recherche propose un modèle conceptuel de la valorisation résiduelle, modèle qui repose sur les concepts d'introduction, de transformation des résidus en produits à valeur commerciale, de réseau d'échange des sous-produits et de développement des marchés pour les produits élaborés à partir des résidus industriels (ITEM). Ce modèle conceptuel a permis d'examiner les structures et le fonctionnement des pratiques de valorisation dans les entreprises étudiées. Cet examen montre que l'utilisation des sous-produits industriels se fait aux trois échelles de la chaîne de production : à l'entrée, puis pendant le processus de conversion de ces résidus et, enfin, à la sortie des produits élaborés. Les différents modes d'utilisation des sous-produits définissent à leur tour quatre modes de valorisation résiduelle : la transformation des résidus en produits à valeur commerciale, la substitution des matières nobles par différents résidus, l'utilisation des matières résiduelles comme source énergétique et l'utilisation des matières résiduelles pour renforcer la qualité des produits finis. À partir de ces modes d'utilisation identifiés, la présente étude propose une typologie des pratiques de valorisation résiduelle. L'analyse de la gestion environnementale des pratiques de valorisation dans les cas étudiés montre que la valorisation résiduelle éco-efficiente constitue la forme la plus avancée des pratiques d'écologie industrielle, c'est-à-dire celle qui se rapproche le plus des principes écologiques d'optimisation de l'usage des ressources dans les procédés productifs (Frosch et Gallopoulos, 1989). L'intégration de l'écologie et de l'économie se traduit par un processus graduel, sous-jacent aux résultats économiques favorables de l'entreprise. La valorisation résiduelle soulève des problèmes majeurs par rapport à l'introduction de résidus dans les procédés, à la transformation de ceux-ci en produits commerciaux et au développement des marchés. L'intensité et l'extension de la plupart de ces problèmes font de la valorisation résiduelle un type particulier d'activité industrielle appelé ici « hyperflexible », en comparaison avec d'autres activités basées sur l'introduction des matières premières standardisées. Les résultats de la présente thèse montrent, d'abord, la pertinence de l'analyse des pratiques de valorisation résiduelle dans une perspective empirique et de gestion. Ce qui remet en cause deux choses : les approches physico-chimiques sont les seules qui offrent un cadre de référence, et les bases sur lesquelles devrait reposer l'écologie industrielle sont un moyen de mettre en œuvre les principes du développement durable. Plusieurs études théoriques ont tenté de soutenir cette tendance dans le développement actuel de l'écologie industrielle comme domaine d'étude et de recherche. La présente recherche contribue à montrer que la prise en compte de la dimension managériale ou les expériences de valorisation des sous-produits industriels dans les entreprises font partie intégrante des thèmes de l'écologie industrielle au même titre que les modélisations et les analyses physico-chimiques. Ce qui apporte une réponse au débat actuel portant sur le statut « positif » ou « normatif » de l'écologie industrielle. La présente thèse montre ainsi la nécessité d'incorporer l'approche managériale dans le développement de l'écologie industrielle. Ensuite, les résultats de la présente recherche donnent une consistance opérationnelle aux pratiques d'utilisation et de transformation des sous-produits et des matières résiduelles dans les procédés productifs. Les différents concepts construits et défendus dans cette étude précisent et délimitent les frontières de la valorisation résiduelle comme pratique d'écologie industrielle, ce qui contribue à consolider les concepts et à donner de la rigueur aux concepts et aux termes utilisés en écologie industrielle, et de façon plus précise, la valorisation résiduelle. Enfin, à partir des expériences concrètes du vécu des gestionnaires, la thèse contribue à montrer les difficultés opérationnelles de la valorisation résiduelle, comme pratique d'écologie industrielle dans l'entreprise.
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La modernisation écologique des petites et moyennes entreprises : l'exemple de la région de Chaudière-Appalaches

Couture, Samuel 17 April 2018 (has links)
Dans nos sociétés industrielles, le problème environnemental est reconnu par la plupart des acteurs. Cependant, la reconnaissance ne signifie pas nécessairement la mise en application d'actions concrètes. Cette recherche s'intéresse plus particulièrement aux entreprises. L'objectif général est donc d'analyser l'origine de la prise en compte de l'environnement par les entreprises et les principaux facteurs qui les influencent. Le cadre théorique retenu pour cette recherche est la thèse de la modernisation écologique. Celle-ci place l'État, l'entreprise et la technologie, comme principaux acteurs pour régler les enjeux environnementaux. Il n'y a pas un grand nombre d'études sociologiques sur les entreprises et la protection de l'environnement. C'est d'autant plus le cas pour les PME dans un milieu régional québécois, malgré que celles-ci soient de plus en plus considérées comme des pollueurs importants. Cette recherche tente de pallier à cette lacune dans le champ sociologique. Ainsi, l'objectif plus précis est de cerner la nature des actions environnementales dans 16 PME de Chaudière-Appalaches et les facteurs qui influencent leur mise en place, afin de déterminer s'il se produit un début de modernisation écologique. L'élément qui incite le plus la mise en place d'actions environnementales est la conscience écologique du haut dirigeant. Les normes et la réglementation jouent un certain rôle, malgré qu'il n'y ait pas beaucoup de vérification à ce sujet. Enfin, les PME se préoccupent de l'environnement pour s'insérer dans la ± tendance verte ¿ présente dans nos sociétés industrielles. En ce qui a trait aux actions concrètes mises en place, toutes les entreprises de notre échantillon ont fait certains efforts, par exemple, en mettant en place des pratiques de recyclage. Par ailleurs, moins de la moitié des usines ont intégré l'environnement dans leur gestion avec une politique claire. Cette étude illustre également qu'il se produit un début de modernisation écologique dans notre échantillon, mais que celle-ci pourrait être plus profonde sur certains points. Les clients pourraient notamment faire plus de demandes pour des produits écologiques.
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La prise en compte du développement durable dans les entreprises québécoises et les PME manufacturières

Chassé, Sonia 20 April 2018 (has links)
Le développement durable (DD) a fait l’objet de beaucoup d’attention depuis la fin des années 80, interpellant les différents acteurs de la société à des changements de comportements. Différentes actions institutionnelles et privées ont été initiées pour favoriser l’adoption du concept. C’est le cas au Québec où le gouvernement a mis en place en 2004 un Plan de développement durable, suivi de la Loi sur le développement durable en 2006. Diverses recherches ont analysé la manière dont les entreprises réagissent face aux différentes pressions pour élargir leurs sphères de responsabilité, mais certaines questions essentielles demeurent peu étudiées dans la littérature. C’est le cas notamment des entreprises qui démontrent des comportements passifs et négatifs face à l’intégration du DD, et parmi elles, les PME en particulier. De façon générale, les PME offrent un terrain fertile à explorer en raison de leur importance et de leur poids économiques, et de leur faible engagement historique sur l’aspect environnemental du DD. L’objectif de cette recherche qualitative est donc de dégager un portrait d’ensemble des pratiques et discours des entreprises, et des PME en particulier, sur le DD. Plus spécifiquement, cette recherche vise à analyser le positionnement des entreprises québécoises face au DD et aux politiques publiques sur la question, et les perceptions et justifications des PME qui sont moins actives dans ce domaine. Pour ce faire, une analyse de contenu a été menée à partir de 69 mémoires déposés par le milieu des affaires lors de la consultation publique sur le Plan de développement durable du Québec en 2005, suivie par une étude de cas dans neuf PME manufacturières reposant sur 33 entretiens. Les résultats mettent en lumière que des positions rébarbatives à la mise en œuvre du DD sont assumées et justifiées par les entreprises. De plus, les comportements inactifs en DD apparaissent tout autant légitimes que les pressions croissantes et les discours dominants favorisant l’adoption du DD. Ceci remet en question la littérature récente qui s’est montrée assez optimiste sur l’engagement des entreprises en DD, et particulièrement des PME. Mots clés : développement durable; PME, responsabilité des entreprises. / Since the end of 1980s, Sustainable Development (SD) has been made the object of much attention, driving the different actors of society to change their behaviors. Various institutional and private initiatives were introduced favoring the implementation of the concept. It was the case for example in Quebec, where the government introduced in 2004 a Plan de développement durable, followed by a the Sustainable Development Act in 2006. Various studies focused on the manner in which companies react to different pressures to widen their spheres of responsibility, but some key issues remain little studied in the literature. This is particularly the case for companies that display passive and negative behavior in the field of the integration of the integration of SD, and Small and Medium-Sized Entreprises (SMEs) in particular. SMEs offer a fertile ground for exploration because of their importance and economic weight, and their historically commitment to the environmental aspects of the SD. The objective of this qualitative study is to produce a portrait of the practices and the discourses of companies, in particular SMEs, in the field of the SD. More specifically, this research aims to analyze the stance of Quebec companies towards SD and of the public policies on this matter, as well as the perceptions of the SMEs which are less committed in this area and the justifications provided. To this end, a content analysis To this end, a content analysis of 69 submissions presented by the business community during the public consultation on the Plan de développement durable du Québec in 2005 was conducted, followed by a case study in nine manufacturing SMEs based on 33 interviews. The results allow to highlight the fact that enterprises adopt and justify passives positions to towards the implementation of SD are assumed and justified by the enterprises. In addition, the inactive behaviors in the field of SD seem just as legitimate as the increasing pressures and the prevailing views favoring the adoption of the SD. This calls into question the findings of recent studies, which adopt an optimistic view on the business engagement in SD, particularly among SMEs. Keywords: Sustainable development; SMEs; corporate responsibility.

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