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Exploring the growth of high-tech born globals in international markets : a knowledge-based perspectiveAbidi, Oualid 18 April 2018 (has links)
"Dans cette étude exploratoire, nous avançons une perspective de croissance permettant d'évaluer les bénéfices de l'internationalisation des PME nées globales hautement intensives en technologie (PMENGHT), qui est basée sur le développement de nouvelles compétences sur les marchés internationaux. Dans ce cadre, la perspective de la croissance des ventes a toujours constitué le repère principal autour duquel les recherches antérieures sur les PME nées globales ont été menées. Cette perspective de croissance des ventes était considérée comme étant la résultante de la tendance des PME nées globales en général à mettre à profit leur capacité de créer le savoir sur les marchés étrangers. Or, la création de savoir mérite qu'elle soit associée plus naturellement à la croissance de la PME née globale en termes de valeur et/ou de nouvelles compétences. Cela étant dit, nous avons réalisé une recherche qualitative auprès d'une vingtaine de PMENGHTs qui réalisent de la recherche et développement dans la province du Québec (Canada) et ailleurs dans le monde. L'enquête que nous avons menée nous a permis d'avancer l'idée que la motivation pour la croissance en termes de nouvelles compétences mérite qu'elle soit prise en considération chez les PMENGHTs. Pour ce faire, nous nous sommes basés sur les postulats du paradigme éclectique OLI pour établir que ces entreprises sont censées être motivées par le développement de nouvelles compétences à l'international, et ce, en raison de leur orientation envers l'innovation. Les résultats de notre enquête ont permis d'appuyer le rôle déterminant de l'orientation envers l'innovation chez les PMENGHTs d'une part, et de décortiquer les dimensions afférentes à ce facteur, ainsi que les modes d'entrée qui concourent à réaliser l'objectif de croissance via la création de savoir d'autre part. Ces modes d'entrée, favorables à la croissance de la valeur de la PMENGHT (baptisée dans cette thèse comme étant des « modes de globalisation), sont les partenariats d'une part, et l'investissement direct à l'étranger d'autre part, qui comprend l'acquisition et l'implantation".
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L'impact des proximités sur la capacité d'innovation des entreprisesCastonguay, Yan 18 April 2018 (has links)
Cette thèse a pour but d'avancer les connaissances sur l'importance des proximités géographique, organisationnelle et technologique dans le processus d'innovation des entreprises. Afin d'atteindre cet objectif de recherche, une revue de la littérature portant sur les concepts d'innovation, de cluster, de proximité, et de réseaux d'innovation a été effectuée. L'analyse de cette littérature a permis d'identifier certaines lacunes ainsi que les principaux modèles théoriques qui ont mené à l'adoption d'un cadre conceptuel. Cette étude portant sur une enquête auprès de 615 entreprises manufacturières de la région de Chaudière-Appalaches utilise une approche positiviste nécessitant plusieurs méthodes quantitatives dont la régression multiple et les modèles d'équations structurelles. De plus, la proximité géographique entre les acteurs a été mesurée avec un outil emprunté au domaine des applications géospatiales en ligne, soit le site Internet Google Maps Canada. Les résultats des analyses statistiques démontrent que les proximités géographique, technologique et organisationnelle des réseaux d'innovation influencent directement et indirectement la capacité d'innovation des entreprises.
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L'innovation ouverte dans le cas des PME manufacturièresIdrissi Fakhreddine, Moulay Othman 18 April 2018 (has links)
Les récents développements concernant la nature du processus d’innovation nous ont amenés à vouloir mieux comprendre ce processus au sein des entreprises, en particulier chez les petites et moyennes entreprises (PME). Ces récents développements indiquent la nature interactive et ouverte de l’innovation qui est représentée par le modèle d’innovation ouvert, selon Chesbrough (2003a; b). Dans ce modèle, les entreprises dépensent peu en matière de R& D et sont néanmoins en mesure de réussir à innover : elles s’appuient en fait sur les connaissances et l’expertise d’un large éventail d’acteurs et de sources externes (Laursen et Salter, 2006). Le modèle d’innovation ouvert est devenu, selon le rapport du Conseil de la science et de la technologie (CST) de l’année 2009, une des grandes tendances observées dans le monde. Dans son rapport intitulé : Innovation ouverte, enjeux et défis pour le Québec, cet organisme vante les bienfaits de ce modèle d’innovation et propose des pistes pour en accélérer l’adoption au sein des entreprises manufacturières québécoises. Dans ce contexte, cette thèse a pour objectif de participer à cet effort en étudiant un aspect particulier du modèle d’innovation ouvert, soit l’openness. Introduite par Laursen et Salter en 2004, l’openness est un concept qui reflète surtout le nombre (étendue) et l’intensité (profondeur) des sources d’information externes utilisées par l’entreprise dans le développement ou l’amélioration de ses produits ou procédés. L’openness a été largement étudiée dans le contexte des grandes entreprises américaines (Chesbrough, 2003a; b) et européennes (Laursen et Salter, 2004; 2006; Criscuolo et al., 2006; Reichstein et Salter, 2006; Lichtenthaler, 2008a). Dans le cadre des PME, les études qui s’intéressent à l’openness sont encore rares, à part quelques études provenant de la République de la Corée et d’Europe. Au Canada, et particulièrement au Québec, les études qui portent sur l’openness dans le cadre des PME sont quasi inexistantes. Dans ce sens, il est nécessaire de combler cette lacune et d’étudier davantage le comportement innovateur des PME sous l’égide du modèle d’innovation ouvert. L’innovation dans les PME, expliquée en partie par le modèle d’innovation ouvert, fait surgir le caractère complexe des relations (Huizingh, 2011) existant entre les différents facteurs qui expliquent traditionnellement l’innovation au sein de cette classe d’entreprises. Ce besoin a été à l’origine du premier objectif de recherche dans cette thèse : 1. Étudier les déterminants qui expliquent les relations complexes qui existent entre les facteurs expliquant l’innovation au sein des PME sous l’égide du modèle d’innovation ouvert. Parallèlement à cet objectif, d’autres lacunes ont été recensées au sein de la littérature sur le modèle d’innovation ouvert, notamment les deuxième et troisième objectifs de cette recherche : 2. Étudier le degré d’openness des PME par l’entremise des dimensions de l’entendue et la profondeur et les déterminants liés à différents degrés d’openness. 3. Étudier la complémentarité ou la substitution des PME face à l’openness aux différentes sources d’informations externes et les déterminants liés à l’openness à ces différentes sources. Les résultats de cette thèse, ainsi que ses contributions déduites à partir des trois volets empiriques, sont répartis en fonction des objectifs spécifiques qui y sont soulevés; il s’agit notamment de : 1. L’étude de ce premier objectif nous a menés à approfondir notre compréhension des approches qui seraient complémentaires dans l’explication de l’innovation au sein des PME. Dans ce sens, la revue de littérature nous a conduits à suggérer un cadre conceptuel intégrateur qui nous semble plus approprié pour appréhender les relations complexes entre les différents facteurs qui expliquent l’innovation au sein des PME. Il s’agit principalement du modèle d’innovation ouvert, de la théorie basée sur les ressources et du système régional d’innovation. Ceci constitue une contribution théorique très importante issue de cette thèse. Par ailleurs, l’utilisation de l’analyse de cheminement a permis de clarifier, de façon empirique, les relations complexes existant entre les déterminants de l’innovation au sein des PME. En particulier, il y est montré que l’openness a un effet direct et indirect sur le degré de nouveauté de l’innovation des PME sondées. De plus, l’importance indirecte des proximités régionale et nationale via l’openness sur le degré de nouveauté de l’innovation au sein de ces entreprises a été mise en relief. 2. L’utilisation de l’analyse de classification en se basant sur les dimensions de l’openness, notamment l’étendue et la profondeur, a permis de proposer quatre classes de PME qui diffèrent par leur degré d’openness : les PME fermées, les PME interactives, les PME utilisatrices et les PME open. De plus, dans ce volet empirique, utilisant des modèles de régressions logistiques multinomiales et binaires, il a été possible de montrer que les variables relatives aux proximités régionale et nationale ainsi que les variables relatives aux obstacles internes, contribuent de façon très importante à expliquer la probabilité que les PME appartiennent à une classe de PME affichant un degré élevé d’openness plutôt qu’à une classe de PME affichant un faible degré d’openness. 3. L’utilisation du modèle d’équation structurelle et du modèle Multivariate Probit (MVP) ont permis, d’une part, de confirmer notre hypothèse relative à la complémentarité entre les quatre catégories de sources d’information externes (sources de marché, sources d’information généralement disponibles, sources de recherche et sources régionales) et, d’autre part, le MVP a permis de confirmer l’importance de la proximité régionale et nationale dans l’explication de l’openness aux différentes catégories de sources d’information externes. Finalement, une conclusion générale de cette thèse se révèle à la lumière des résultats obtenus dans les trois volets empiriques : outre l’importance de l’openness pour le processus d’innovation des PME sondées, il faut souligner celle de la proximité géographique telle que considérée dans cette thèse. Dans ce sens, on ne peut que souhaiter une implication majeure des décideurs politiques concernés par l’élaboration de politiques d’innovation, implication qui pourrait se traduire par la prise en considération du caractère crucial de la proximité, et ce, jusqu’à encourager celle-ci de façon à ce que les PME puissent tirer le maximum de retombées des relations avec leurs partenaires immédiats. / Recent developments regarding the nature of the process of innovation have led us to try to better understand this process among firms, in particular among small and medium enterprises (SMEs). These recent developments indicate the interactive and open nature of innovation which is represented by the model of open innovation, according to Chesbrough (2003a; b). In this model, firms spend little on R& D and nevertheless are able to innovate : they rely on the knowledge and expertise of a wide range of actors and external sources (Laursen et Salter, 2006). The open innovation model has become, according to the report of the 2009 CST of, one of the major trends in the world. In its report entitled : Innovation ouverte, enjeux et défis pour le Québec, this institution promotes the benefits of this innovation model and proposes to accelerate its adoption by Quebec manufacturing firms. In this context, this thesis aims to contribute to this effort by studying a particular aspect of the open innovation model, namely openness. Introduced by Laursen and Salter in 2004, openness is a concept that primarily reflects the number (breadth) and intensity (depth) of the external sources of information used by the firm in the development or improvement of its products or processes. Openness has been widely studied in the context of large U.S. (Chesbrough, 2003a; b) and European companies (Laursen et Salter, 2004; 2006; Criscuolo et al., 2006; Reichstein et Salter, 2006; Lichtenthaler, 2008a). In the context of SMEs, the studies concerned with openness are still scanty, with only a few studies from the Republic of Korea and Europe. In Canada, especially Quebec, studies that focus on openness in SMEs are almost nonexistent. In this sense, it is necessary to fill this gap and to further explore the innovative behavior of SMEs under the care of the open innovation model. Innovation in SMEs, explained in part by the open innovation model, raises the complexity of the relations (Huizingh, 2011) between the different factors that traditionally explain innovation in SMEs. This need was at the origin of the first research objective in this thesis : 1. Study the determinants which explain the complex relationships that exist between the factors explaining innovation in SMEs under the care of the open innovation model. In addition to this objective, other gaps have been identified in the literature related to the open innovation model, including the second and third objectives of this research : 2. Study the degree of openness of SMEs through the dimensions of the breadth and depth, and the determinants related to varying degrees of openness. 3. Study the complementarity or substitution of SMEs to the openness towards the various sources of external information, and the determinants related to the openness towards these different sources. The results of this thesis and its contributions deducted from the three empirical parts are distributed according to the specific objectives that are raised, and these include : 1. The study of this first objective has led us to deepen our understanding of the theoretical approaches that would be complementary in the explanation of innovation in SMEs. In this sense, the literature review has led us to suggest an integrative conceptual framework which seems to us more appropriate to understand the complex relationships between the various factors which explain innovation in SMEs. It is primarily the open innovation model, the resource-based theory, and the regional innovation system approach. This is a very important theoretical contribution from this thesis. Also, the use of the path analysis has helped to empirically clarify the complex relationships between the determinants of innovation in SMEs. In particular, it is has shown that openness has a direct and indirect effect on the degree of novelty of the surveyed SMEs. The indirect importance of regional and national proximities through the openness on the degree of novelty in these firms has also been highlighted too. 2. The use of the cluster analysis based on the dimensions of openness, breadth and depth, has led to propose four classes of SMEs which differ by their degree of openness : closed SMEs, interactive SMEs, user SMEs and open SMEs. Moreover, in this empirical part of the thesis, by using multinomial and binary logistic regression models, it was possible to show that the variables related to regional and national proximities, as well as the variables related to the internal barriers to innovation, contribute very significantly to explain the probability that SMEs belong to a class of SMEs with a high degree of openness rather than to a class of SMEs with a low degree of openness. 3. The use of the structural equation model and of the Multivariate Probit (MVP) model has, on the one hand, confirmed our assumption related to the complementarity among the four categories of external sources of information (market sources, generally available information sources, research sources, and regional resources) and, on the other hand, the MVP model has confirmed the importance of national and regional proximities in the explanation of the openness to different categories of sources of external information. Finally, a general conclusion of this thesis is revealed in light of the results obtained in the three empirical parts of this thesis : in addition to the importance of openness for the innovation process of the surveyed SMEs, it should be noted that geographical proximity as considered in this thesis, is also important. In this sense, one can only hope for a major implication for policy makers concerned with policy innovation, involvement that could lead to the consideration, and as far as the promotion, of the crucial character of proximity, so that SMEs can get the maximum benefit from relationships with their close partners.
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Greening industrial production in China : reinvent a cleaner future through policy, strategy and technologyLi, Yuan Zheng 12 November 2023 (has links)
Notre recherche vise à découvrir pourquoi et comment les entreprises industrielles répondent aux problèmes environnementaux dans « l'atelier du monde ». Nous élaborons une approche interdisciplinaire en intégrant la modernisation écologique (MÉ) et l'hypothèse de Porter pour analyser l'action environnementale des entreprises aux niveaux méso et micro. Ces perspectives en sociologie et en gestion postulent une relation positive entre la protection environnementale et le développement économique. Pour évaluer la pertinence de ces perspectives, notre analyse se concentre sur l'identification des facteurs qui influencent les actions en réseaux d'acteurs et d'institutions, ainsi que sur le lien entre la réglementation et l'innovation. En utilisant les méthodes mixtes (observation participante, sondage et entrevue), nous avons collecté, lors de l'enquête de terrain (2013-2014) dans le delta de la Rivière des Perles, des données en provenance de plus d'une centaine d'entreprises dans quinze secteurs industriels. Quatre résultats clés se dégagent de cette étude. D'abord, 88% des entreprises interrogées ont pris des mesures. Notre typologie d'entreprise montre que les « traînards » résistent à l'action et que les « suiveurs » changent à contrecœur leur comportement. Les « adeptes » adoptent des technologies propres éprouvées; tandis que les « éco-innovateurs » créent de nouveaux produits. En outre, les réglementations strictes, les préoccupations financières et la concurrence sont les déterminants de l'action. Les firmes assujetties aux lois sévères ont tendance à se conformer. Celles qui desservent des marchés concurrentiels sont susceptibles d'innover. De plus, les réglementations strictes sur l'innovation produisent des résultats mitigés. Ces réglementations semblent nécessaires, mais elles sont insuffisantes pour déclencher l'éco-innovation. La relation entre le gain économique et environnemental est dynamique et dépend du type de mesures environnementales, des caractéristiques d'entreprise et des facteurs contextuels. Enfin, les affirmations de la MÉ sont partiellement confirmées par nos résultats. Ces derniers révèlent l'implantation répandue des instruments de marché, laquelle indique l'émergence de l'« économisation » de l'écologie. Contrairement aux études antérieures, la nôtre montre que les acteurs économiques contribuent à « écologiser » l'économie. L'État partage les responsabilités environnementales avec ces acteurs tout en exerçant son pouvoir cohésif. Pour faire avancer la recherche, nous proposons de conceptualiser un modèle hybride et d'incorporer la théorie de l'acteur-réseau dans un cadre élargi. / The research aims to discover why and how Chinese industrial firms in the world's workshop are responding to environmental issues. We elaborate an interdisciplinary approach by integrating ecological modernization theory (EMT) and the Porter hypothesis. These sociological and strategic management perspectives postulate that economic growth can be associated with environmental protection. The perspectives complement one another through combining micro-level and meso-level analysis of corporate environmental actions. To assess the validity of the Porter hypothesis and the explanatory power of EMT, attention is given to identifying factors affecting actions and to analyzing the regulation-innovation nexus and institutional networks. Using mixed-methods research techniques (participant observation, survey, and interview), we conducted our 2013/14 fieldwork by accessing a sample group of over 100 firms from 15 industry sectors located in the Pearl River Delta region. Four major findings emerge from our analysis. First, 88% of the surveyed companies took environmental actions. A typology of the enterprises illustrates that "laggards" displayed resistance and "takers" took action reluctantly. "Followers" were inclined to adopt proven clean technologies, whereas "eco-innovators" created new products. Secondly, stricter environmental regulations, financial interests, and competition are key factors for driving corporate actions. The sampled firms subjected to stricter requirements tended to be compliant and achieved environmental goals, and companies serving competitive markets were most likely to be industry leaders engaging in eco-innovations. Our third finding reveals mixed results in the effects of stricter regulations on eco-innovation and on the financial outcome of environmental improvements. Stricter regulations appear necessary, but they are insufficient for triggering eco-innovation. The relation between economic gain and environmental benefit is dynamic, depending on the type of environmental actions, firm characteristics, and contextual factors. Finally, the claims made by EMT are partially supported by our fourth finding, wherein wide application of market-based instruments suggests the emergence of the "economization" of ecology. Contradictory to prior research, our study shows that economic actors contribute to "ecologizing" the economy. The state shared environmental responsibilities with non-state actors, while exercising its coercive power. For future research, we propose conceptualizing a hybrid model and incorporating actor network theory into a broader framework.
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Essays in the empirical analysis of venture capital and entrepreneurshipRomain, Astrid 09 February 2007 (has links)
EXECUTIVE SUMMARY<p><p>This thesis aims at analysing some aspects of Venture Capital (VC) and high-tech entrepreneurship. The focus is both at the macroeconomic level, comparing venture capital from an international point of view and Technology-Based Small Firms (TBSF) at company and founder’s level in Belgium. The approach is mainly empirical.<p>This work is divided into two parts. The first part focuses on venture capital. First of all, we test the impact of VC on productivity. We then identify the determinants of VC and we test their impact on the relative level of VC for a panel of countries.<p>The second part concerns the technology-based small firms in Belgium. The objective is twofold. It first aims at creating a database on Belgian TBSF to better understand the importance of entrepreneurship. In order to do this, a national survey was developed and the statistical results were analysed. Secondly, it provides an analysis of the role of universities in the employment performance of TBSF.<p>A broad summary of each chapter is presented below.<p><p>PART 1: VENTURE CAPITAL<p><p>The Economic Impact of Venture Capital<p><p>The objective of this chapter is to perform an evaluation of the macroeconomic impact of venture capital. The main assumption is that VC can be considered as being similar in several respects to business R&D performed by large firms. We test whether VC contributes to economic growth through two main channels. The first one is innovation, characterized by the introduction of new products, processes or services on the market. The second one is the development of an absorptive capacity. These hypotheses are tested quantitatively with a production function model for a panel data set of 16 OECD countries from 1990 to 2001. The results show that the accumulation of VC is a significant factor contributing directly to Multi-Factor Productivity (MFP) growth. The social rate of return to VC is significantly higher than the social rate of return to business or public R&D. VC has also an indirect impact on MFP in the sense that it improves the output elasticity of R&D. An increased VC intensity makes it easier to absorb the knowledge generated by universities and firms, and therefore improves aggregate economic performance.<p><p>Technological Opportunity, Entrepreneurial Environment and Venture Capital Development<p><p>The objective of this chapter is to identify the main determinants of venture capital. We develop a theoretical model where three main types of factors affect the demand and supply of VC: macroeconomic conditions, technological opportunity, and the entrepreneurial environment. The model is evaluated with a panel dataset of 16 OECD countries over the period 1990-2000. The estimates show that VC intensity is pro-cyclical - it reacts positively and significantly to GDP growth. Interest rates affect the VC intensity mainly because the entrepreneurs create a demand for this type of funding. Indicators of technological opportunity such as the stock of knowledge and the number of triadic patents affect positively and significantly the relative level of VC. Labour market rigidities reduce the impact of the GDP growth rate and of the stock of knowledge, whereas a minimum level of entrepreneurship is required in order to have a positive effect of the available stock of knowledge on VC intensity.<p><p>PART 2: TECHNOLOGY-BASED SMALL FIRMS<p><p>Survey in Belgium<p><p>The first purpose of this chapter is to present the existing literature on the performance of companies. In order to get a quantitative insight into the entrepreneurial growth process, an original survey of TBSF in Belgium was launched in 2002. The second purpose is to describe the methodology of our national TBSF survey. This survey has two main merits. The first one lies in the quality of the information. Indeed, most of national and international surveys have been developed at firm-level. There exist only a few surveys at founder-level. In the TBSF database, information both at firm and at entrepreneur-level will be found.<p>The second merit is about the subject covered. TBSF survey tackles the financing of firms (availability of public funds, role of venture capitalists, availability of business angels,…), the framework conditions (e.g. the quality and availability of infrastructures and communication channels, the level of academic and public research, the patenting process,…) and, finally, the socio-cultural factors associated with the entrepreneurs and their environment (e.g. level of education, their parents’education, gender,…).<p><p>Statistical Evidence<p><p>The main characteristics of companies in our sample are that employment and profits net of taxation do not follow the same trend. Indeed, employment may decrease while results after taxes may stay constant. Only a few companies enjoy a growth in both employment and results after taxes between 1998 and 2003.<p>On the financing front, our findings suggest that internal finance in the form of personal funds, as well as the funds of family and friends are the primary source of capital to start-up a high-tech company in Belgium. Entrepreneurs rely on their own personal savings in 84 percent of the cases. Commercial bank loans are the secondary source of finance. This part of external financing (debt-finance) exceeds the combined angel funds and venture capital funds (equity-finance).<p>On the entrepreneur front, the preliminary results show that 80 percent of entrepreneurs in this study have a university degree while 42 percent hold postgraduate degrees (i.e. master’s, and doctorate). In term of research activities, 88 percent of the entrepreneurs holding a Ph.D. or a post-doctorate collaborate with Belgian higher education institutes. Moreover, more than 90 percent of these entrepreneurs are working in a university spin-off.<p><p>The Contribution of Universities to Employment Growth<p><p>The objective of this chapter is to test whether universities play a role amongst the determinants of employment growth in Belgian TBSF. The empirical model is based on our original survey of 87 Belgian TBSF. The results suggest that both academic spin-offs and TBSF created on the basis of an idea originating from business R&D activities are associated with an above than average growth in employees. As most ‘high-tech’ entrepreneurs are at least graduated from universities, there is no significant impact of the level of education. Nevertheless, these results must be taken with caution, as they are highly sensitive to the presence of outliers. Young high-tech firms are by definition highly volatile, and might be therefore difficult to understand.<p><p>CONCLUSION<p><p>In this last chapter, recommendations for policy-makers are drawn from the results of the thesis. The possible interventions of governments are classified according to whether they influence the demand or the supply of entrepreneurship and/or VC. We present some possible actions such as direct intervention in the VC funds, interventions of public sector through labour market rigidities, pension system, patent and research policy, level of entrepreneurial activities, bankruptcy legislation, entrepreneurial education, development of university spin-offs, and creation of a national database of TBSF.<p> / Doctorat en Sciences économiques et de gestion / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La gestion de projet pour des produits d'innovation : construction et application d'un modèle normatifDupont, Benoit 19 April 2018 (has links)
Cette thèse présente un modèle de projet pour des produits d’innovation. Ce modèle est normatif et universel, car il est construit sur onze axiomes (dont un axiome méthodologique) et il apporte une réponse à la problématique générale d’une gestion de projet efficace (qui atteint les résultats voulus) et efficiente (qui atteint les résultats voulus en dépensant moins d’énergie). Il est constitué d’une structure pour le niveau opérationnel et d’un design pour le niveau managérial. Ensemble, la structure et le design sont constitués de deux équipes, de trois fonctions et de cinq rôles. Ce modèle est le résultat d’une recherche théorique et d’une recherche empirique. La recherche théorique a suivi une filière intellectuelle qui va des théories sur l’organisation du travail jusque la gestion de projet en passant par les travaux du groupe d’Aston, la théorie de la contingence et les travaux sur la forme matricielle. Elle a permis de définir une approche conceptuelle générale du mode et de l’organisation du travail propres aux projets d’innovation La recherche empirique s’est faite chez EXFO, une entreprise innovatrice québécoise, et a suivi la méthode de la recherche-action. Celle-ci a pu mettre en œuvre le modèle de projet dans la R et D de cette entreprise et l’a appliqué à un projet d’innovation du bureau de projet. Il ressort de cette recherche que le modèle est pratique, simple et fiable, mais que la compréhension et l’assimilation de ses fonctions et de ses rôles n’est pas chose aisée et demande du temps. / This thesis presents a prescriptive model for projects that develop innovative products. Its prescriptive character and its universality stem from 11 axioms or axiomatic propositions. It is constructed to find a solution to the general problematic of project management effectiveness (getting results) and efficiency (getting results with less energy). The model is composed of a structure on the operational level and of a design on the managerial level. Two teams, three functions and five roles are the constitutive elements of the model. The construction of the prescriptive model is the result of extensive theoretical and practical research. The study of literature starts with a presentation of classical authors on work organization; it extends into an analysis on the Aston group and the contingency theory and it ends with a study of the matrix structure and the project management concept. This work generates a general conceptual approach on the specificities of project management, its work mode and its work organization. The empirical research uses the action-research methodology and was conducted in EXFO, an innovative company based in Quebec City. Action research implemented the prescriptive model in the company’s R & D and put it into practice on an actual innovative project of the Project Management Office. The research demonstrates that the prescriptive model is simple, practical and reliable. It also makes clear that in-depth assimilation of the model’s concepts, roles and functions is challenging and time-consuming.
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