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Le management de l’innovation au sein des Pôles de Compétitivité : une approche par l’industrie du capital-risque / The management of innovation within pôles de compétitivité : an approach by the industry of venture capital

Makhtari, Mohammed 27 January 2012 (has links)
Le point de départ de cette thèse a été constitué par la création, en France, des Pôles de Compétitivité pour fonder une nouvelle économie nationale basée sur la science. Ces structures s’inscrivent dans la perspective théorique qui s’est construite sur l’importance de l’action partenariale, dans l’émergence, la diffusion et le développement de l’innovation technologique des petites entreprises. Toute l’organisation actuelle des pôles repose en effet sur un courant théorique qui stipule que le principe fondateur de l’innovation au sein des petites entreprises est la proximité. Ce courant a connu un considérable essor, notamment avec les écrits de M. Porter sur la notion du « Cluster ». Cependant, l’innovation technologique est un défi d'envergure pour les petites entreprises innovantes, car celles-ci sont confrontées à des situations de risques qui freinent leur développement. Au même temps, pour faire face à ces risques, bon nombre de chercheurs ont mis en évidence le lien étroit entre la nature du financement et le développement de l’innovation technologique des petites entreprises ainsi que l’ensemble d’un cluster. C’est notamment le cas dans la co-location de la science, l’industrie, et la finance par capital-risque au sein de la Silicon Valley. Au sein de ce cluster, il existe un lien intime entre le financement par capital-risque et son évolution économique. Ainsi, comme pour les pôles de compétitivité (Dupuy et Granier, 2010), le financement par capital-risque est alors présenté comme l’ultime alternative pour le financement et le développement de l’innovation entrepreneuriale (Gompers et al., (2005), Klagge et Martin (2005), Ferrary (2006, 2007, 2009)). Ces sociétés sont alors considérées comme les « encastreurs » ; le relais entre les ressources locales d’un cluster et les besoins des petites entreprises. Non seulement elles financent le projet entrepreneurial, mais elles soutiennent également l’innovation des petites entreprises à travers des actions concertées avec les acteurs locaux d’un cluster, comme les centres de recherche, de formation, et les grandes entreprises. Notre recherche vise, par conséquent, répondre à la problématique suivante: « Comment les sociétés de capital-risque assurent-elles le management des entreprises innovantes dans le cadre d’un pôle de compétitivité? ». Il faut dire que la littérature est riche en ce qui concerne le lien entre le financement de l’innovation par capital-risque et le développement des réseaux d’innovation (Gompers et al., 2005 ; Ferrary, 2006, 2007), néanmoins, cette question demeure sans explication complète et définitive dans le cas des pôles de compétitivité. Ainsi, afin d’apporter de nouveaux éléments qui expliquent ce paradoxe, nous allons essayer, à travers cette thèse, d’élaborer un cadre explicatif du comportement des sociétés du capital-risque au sein d’un pôle de compétitivité. / The starting point of this thesis was formed by the creation in France of the “Pôle de Competitive” as Clusters to found a new economy based on science. These structures are part of the theoretical perspective that has been built on the importance of partnership action, in the emergence, dissemination and development of technological innovation of small businesses. All the current organization of the poles is indeed based on a theoretical current which states that the founding principle of innovation in small firms is proximity. This trend has seen a considerable growth, particularly with the writings of Michael Porter about the notion of "Cluster". However, technological innovation is a major challenge for small innovative companies, as they face situations of risk which hamper their development. At the same time, to address these risks, many researchers have highlighted the close link between the nature of the financing and development of technological innovation of small businesses as well as an entire cluster. This is the case in the co-location of science, industry, finance and venture capital in Silicon Valley. Within this cluster, there is a close link between funding by venture capital and its economic development. Thus, as for Pôles de Compétitivité (Dupuy and Granier, 2010), the venture capital financing is then presented as the ultimate alternative for the financing and development of entrepreneurial innovation (Gompers et al., (2005) , Klagges and Martin (2005), Ferrary (2006, 2007, 2009)). These companies are then considered as the link between local resources in a cluster and the needs of small businesses. They not only fund the entrepreneurial project, but they also support small business innovation through joint actions with local actors in a cluster, such as research, training, and large enterprises. Our research is, therefore, answer the following question: "How do venture capital companies they provide the management of innovative companies as part of a pôle de compétitivité? ". It must be said that literature is rich regarding the link between the financing of innovation through venture capital and development of innovation networks (Gompers et al. 2005; Ferrary, 2006, 2007), however, this remains unexplained in the case of these clusters. Thus, in order to bring new elements that explain this paradox, we will try, through this thesis, to develop a framework explaining the behavior of venture capital firms in a pôle de compétitivité.
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Mesure de l'efficacité de l'intelligence économique et stratégique : le cas des entreprises innovantes / Measurement of the efficiency of competitive intelligence : the case of innovative companies

Huynh, Christian 24 January 2013 (has links)
Le rôle de l’intelligence économique et stratégique (IES) est maintenant reconnu. Cependant, malgré le développement des pratiques dans les entreprises, des doutes quant à l’efficacité des dispositifs d’IES semblent subsister. Aussi notre recherche propose une contribution à la mesure de l’efficacité de l’IES qui a été très peu étudiée dans la littérature. En l’absence d’une méthodologie disponible pour effectuer cette évaluation, nous avons créé un système de mesure qui repose sur les possibilités offertes par la modélisation de la mise en œuvre du concept d’IES et l’élaboration d’un protocole d’analyse. Plusieurs configurations du modèle ont d’abord été générées à partir de deux critères relatifs à la formation du personnel à l’IES et à l’évaluation des dispositifs d’IES au sein de l’entreprise. Ces configurations ont été ensuite opérationnalisées en utilisant le terrain empirique des entreprises innovantes du secteur de l’aéronautique et de l’espace. Ce choix est justifié par les enjeux de l’innovation et l’importance des pratiques d’IES dans ce secteur de pointe. L’option d’une étude quantitative a permis de calculer des profils de performance servant à positionner une entreprise dans un domaine qui est circonscrit par une limite basse et une limite haute et qui constitue une marge de manœuvre pour l’entreprise. Ce résultat montre la possibilité de mesurer la performance de la mise en œuvre du concept d’IES. Il permet d’envisager l’amélioration de la performance de l’entreprise à la suite de la mise en œuvre d’un processus d’IES. La modélisation de la mise en œuvre du concept d’IES permet de déduire des pistes pour améliorer encore ce processus / The role of Competitive Intelligence (CI) is now recognized. However, despite the development of practices in companies, questions remain concerning the effectiveness of the implementation of CI. Thus, our research provides a contribution to the measurement of the efficiency of CI which has seldom been studied in the literature. In the absence of an available methodology to conduct this evaluation, we created a system of measurement based on the possibilities offered by modeling the implementation of the CI concept and the development of an analysis protocol. Several model configurations were first generated from two criteria based on training of personnel in CI and on the evaluation of CI within the company. These configurations were then put into operation in the empirical field of innovative companies in the aeronautics and aerospace sector. This choice is justified by the importance of innovation and the importance of CI practices in this sector. Conducting a quantitative study allowed us to compute performance profiles for situating businesses in an area bounded by upper and lower limits which provide a certain flexibility for the company. These results show the possibility of measuring the performance of the implementation of the CI concept. It allows businesses to consider improving performance by following the implementation of the CI process. The modeling of the implementation of the CI concept will allow us to deduce future ways to improve this process
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Evaluation des opportunités d’affaires : le cas des jeunes entreprises innovantes / The evaluation of business opportunities : the case of high-tech startups

Imbault, Fabien 19 September 2018 (has links)
Les politiques publiques encouragent le développement de « Jeunes Entreprises Innovantes » (JEI). La littérature aborde en profondeur les motivations des entrepreneurs, ainsi que les enjeux des phases d’idéation et de création. En revanche, après la création, les enjeux liés à l’évaluation des opportunités entrepreneuriales, en vue de sélectionner celles les plus à même de développer une croissance forte, ont reçu une attention limitée.Pour répondre à cette problématique, nous proposons une extension du cadre intégrateur de Fayolle (2010) sur l’organisation entrepreneuriale, en définissant une typologie des opportunités et en précisant les conditions de leur sélection ou non par les entrepreneurs.Les résultats de cette thèse permettent d’élaborer des outils et des enseignements managériaux pour les entrepreneurs et leurs parties prenantes (financeurs, conseils). / Public policies encourage the development of technological startups. The literature deals in depth with the motivations of entrepreneurs, as well as the challenges related to startup ideation and creation. However, once created, limited attention was paid to the issues related to the evaluation of entrepreneurial opportunities in order to select those most likely to develop strong growth.To address this issue, we propose an extension of Fayolle's (2010) framework on entrepreneurial organization, by defining a typology of opportunities and specifying the conditions for their selection or not by entrepreneurs.The results of this thesis make it possible to develop tools and managerial teaching for entrepreneurs and related parties (funds, advisors).
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Fiscalité et innovation / Taxation and innovation

Sioncke, Yoann 21 December 2017 (has links)
L'innovation est aujourd'hui l'une des variables essentielles de la croissance économique et de l'emploi. Toutefois, son financement est complexe. Ce qui justifie l'intervention des pouvoirs publics. Ainsi en France, la puissance publique dispose de deux outils principaux pour inciter les entreprises à augmenter leurs dépenses de R&D, les aides directes et apparentées et les incitations fiscales. Toutefois, c'est une mesure d'aide fiscale, le crédit d'impôt recherche (CIR), qui constitue le dispositif majeur de soutien à l'innovation en France. Puissant instrument d'encouragement à la R&D depuis 1983, il est devenu depuis sa dernière grande réforme, en 2008, le dispositif incitatif le plus prisé des entreprises et la deuxième dépense de l'État. Une sortie de l'anonymat suivie d'une entrée dans la polémique car en raison de son poids de plus en plus prégnant dans l'économie française, le CIR soulève plusieurs interrogations. La plus partagée concerne naturellement la réalité de son efficacité, opposant partisans et détracteurs de la mesure. Mais celle-ci appelle pourtant d'autres questions et d'autres observations. Car s'il semble partagé que ce crédit présente de nombreux avantages pour ses bénéficiaires, la sécurité fiscale de ceux-là apparaît néanmoins fragile. Puis, le choix même de la dépense fiscale comme mesure de soutien interpelle, tant s'agissant de son opportunité réelle dans l'ordre interne que de son articulation avec la réglementation européenne des aides d'État. Ce qui pourrait justifier une adaptation du mécanisme à partir des modalités d'un autre dispositif opérant dans un autre secteur et ne souffrant pas à ce jour des mêmes carences que le CIR. / Today, innovation is one of the essential variables of the growth of the economy and employment. However, its financing is complex. This justifies the intervention of public authorities. In France, the public powers therefore have two main tools for encouraging companies to increase their R&D expenses, direct aids (and similar) and tax incentives. However, the main mechanism in support of innovation in France is a fiscal aid measure, namely the research tax credit. A powerful instrument for encouraging R&D since 1983, it has become, since its last major reform in 2008, the preferred incentive measure of companies and, at the same time, the State's second leading expenditure. A departure from anonymity followed by a step into controversy, since due to its increasing weight within the French economy, the research tax credit is prompting many questions. The most widely-shared question naturally relates to the reality of its efficiency, with supporters and detractors in equal measure. But this mechanism also elicits other questions and other observations. Since while it seems to be agreed that this credit offers many advantages for its beneficiaries, the fiscal security of the latter nevertheless appears to be fragile. Moreover, the very choice of a fiscal expenditure as a support measure is of concern, both with regard to its actual advisability within the internal order and in terms of its linkage with the European regulations relative to State aid. This could justify an adaptation of the mechanism on the basis of the provisions of another system used in another sector, but that does not currently have the same deficiencies as the research tax credit.

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