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Le soufisme au Mali du XIXème siècle à nos jours : religion, politique et société / Sufism in Mali from the 19th century to today : religion, political and society

Boly, Hamadou 24 June 2013 (has links)
La plupart des historiens maliens considèrent le Vllème siècle de l'ère chrétienne comme la date de l'avènement de l'islam au Mali, alors que le soufisme n'y fit probablement son apparition qu'à partir du XVème siècle. Cette apparition soufie se caractérise alors par des pratiques individuelles et disséminées ici et là. Il faut donc attendre l'aube du XIXème siècle pour voir une véritable émergence du soufisme et une large expansion de l'islam avec les efforts déployés par Sïdï al­ Mubtar al-Kabïr, l'instauration de l'Etat musulman du Macina et le gihëid lancé par al-ijag 'Umar. Les deux voies spirituelles, Qadiriyya et Tiganiyya entreront en opposition, mais feront résistance à l'intrusion coloniale dans le pays. Après l'indépendance du Mali, en 1960, les soufis participeront activement à la vie politique et sociale du pays. Enfin les soufis maliens sont à l'origine de maintes œuvres intellectuelles destinées à faire connaître leur voie spirituelle. / For the most part, Malian historians see and consider the 7th century of the Christian era as the advent of Islam in Mali, while Sufism most likely came into existence there by the 15th century only. This Sufi first appearance is then characterized by spread and individual practices here and there. It is only at the dawn of the 19th century that a true emergence of Sufism and a great expansion of Islam through the efforts made by Sïdï al-Mubtar al-Kabïr, the establishment of the theocratic state of Macina, and the call to jihad by al-I:Iag 'Umar can be seen. The two spiritual paths known respectively as Qadiriyya and Tiganiyya will corne into conflict but they will both resist colonial intrusion into their country. After Malian independence in 1960, Sufis will take an active part in political and social life of the country. Finally, Malian Sufis are behind numerous intellectual works meant to make their spiritual paths known.
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L'école aux marges de la tribu : approche anthropologique des stratégies d'accueil et d'intégration de l'institution scolaire en Nouvelle-Calédonie (Provinces Nord et Iles) / The school at the margins of the tribe : anthropological approach strategies reception and integration of the school in New Caledonia (Provinces and Northern Islands)

Wadrawane, Eddy 03 December 2010 (has links)
« Ici, c’est l’école de la chefferie. Les enseignants sont nommés avec le consentement de la tribu et de la chefferie. Ici, il y a le grand chef, le petit-chef et le pasteur et après l’administration […]. L’école, elle appartient au gavaman (gouverneur). C’est comme ça depuis. Tout ça c’est du domaine du Ledran (espace public). Cependant tout cela est posé sur nos terres ». L’intervention du dignitaire de la tribu de Padawa sur l’île de Maré en Nouvelle-Calédonie, le lundi 3 mars 1983 posait les éléments déclencheurs de réflexion sur l’agencement spatial de l’école en tribu kanak. L’expression utilisée par ce dignitaire clanique, « cela est posé sur nos terres », même si elle nous rend perplexe quant à la situation spatiale de l’école, elle nous offre cependant l’opportunité d’une approche socio anthropologique et un angle d’étude des rapports politiques progressifs liés à l’histoire d’insertion et d’intégration des groupes et des objets dans l’espace autochtone. La préposition « sur » implique la position de ce qui est en surface, de ce qui relève des autorités passagères, opposé à l’interne, « sous », qu’est l’espace foncier coutumier, espace d’enracinement. La dichotomie « sur » et « sous » comme concepts spatiaux renvoie aux formules d’accueilli et d’accueillant, entendues comme représentation d’ordre d’arrivée dans l’espace socialisé, la tribu. Cet ordre d’occupation devient un argument fort de la revendication de légitimité entre autochtones eux-mêmes puis entre autochtones et les autres groupes de population. Les microespaces vitaux sont gérés en fonction de l’ordre d’intégration et de localisation des groupes ou des objets du collectif. Cette distinction d’occupation spatiale peut alors élucider la localisation paradoxale de l’école à l’exemple de celle de la tribu de Padawa, qui seule, ressemblant à un poste de garde-frontières aux confins de la tribu. Rien n’est moins simple dans le milieu kanak où l’espace et sa gestion ne sont nullement des objets éphémères voire même évanescents. Orientée selon la méthode dite qualitative à travers la discursivité sociale, notre réflexion sur la place de l’école en milieu kanak, non seulement scruterait la raison intentionnelle autochtone à vouloir positionner paradoxalement l’infrastructure mais aussi selon la confrontation de deux espaces, -Esotérique et Exotérique-, comment Savoir autochtone, Savoir de l’école, Prestige et Pouvoir insulaire seraient mis en compétition selon des pratiques claires-obscures de stratégies d’anthropologisation politique des espaces, relevant d’aspects combinatoires. Le souci de recherche d’équilibre dynamique, suite à l’intégration de l’espace scolaire, conduirait par reformulation et réarrangement permanent à l’émergence au sens barycentrique d’un espace construit et attendu implicitement par les Accords, espace moderne que nous aimerions nommer, Espace Public Pays, nouvel espace dialogique où viennent se confronter divers discours et textes culturels complexes. En outre, notre analyse permettrait de reconsidérer ces espaces complexes identitaires indigènes au moment où, dans le contexte expéditif « déséquilibrant », l’autochtone risquerait son extradition dans un monde de formatage asphyxiant, dans lequel tout serait prétexte à ravaler ce reste identitaire, comme forme de déshumanisation en le dépossédant de la faculté à… et de … penser le monde, comme activité humaine noble. Ne serait-ce pas là notre défi ? / "Here is the school of leadership. Teachers are appointed with the consent of the tribe and chiefdom. Here, there is a great leader, the small head and the pastor and after administration [...]. The school, it belongs to gavaman (Governor). This has been going. It's all in the domain of Ledran (public space). But all this rests on our land. " The response of the dignitary of the tribe of Padawa on Maré Island in New Caledonia, Monday, March 3, 1983 raised the triggers for reflection on the spatial arrangement of the school Kanak tribe. The expression used by the dignitary clannish, "it sits on our land," even if it makes us confused about the spatial location of the school, however it gives us the opportunity of a social anthropological approach and an angle review reports progressive policy related to the history of inclusion and integration of groups and Aboriginal objects in space. The preposition "on" position involves what is on the surface of what is under the authority transient, as opposed to internally; "under" customary land is space, space for rooting. The dichotomy between "on" and "below" refers to spatial concepts such as greeting and welcoming, understood as a representation of order of arrival in the socialized space, the tribe. This order of occupation becomes a strong argument for the claim to legitimacy among Aboriginal people themselves and between indigenous and others. The vital microespaces are managed according to the order of integration and localization of objects or groups of the collective. This distinction occupying space can then elucidate the paradoxical location of the school to the example of one of the tribe of Padawa, which alone, like a border guard post on the borders of the tribe. Nothing is less straightforward in the Kanak community where space and its management are not ephemera even evanescent. Based on the qualitative method through social discursively, our thoughts on the place of the school in kanak tribes not only probes into the indigenous intention to paradoxically posit the infrastructure but also, because it opposes two different kinds of space - esoteric and exoteric, into the way indigenous knowledge, scholar knowledge and island knowledge may come into competition in not so clear strategies of the political anthropologization of space, generated by a combination of perspectives. The sake of research of dynamic equilibrium, following the integration of school space by rewording and rearrangement lead to the emergence Standing under barycentric space built and implicitly expected by the Agreements, modern space that we would like appoint, Public Space of the country, where new space is dialogic discourse to confront various cultural texts and complex. In addition, our analysis would reconsider these complex spaces indigenous identity when, in the context of parole "unbalancing" the native risk his extradition in a suffocating world of formatting, in which everything is a pretext to swallow what is identity, as form of dehumanization by dispossessing the ability to think ... ... and the world as noble human activity. Would not that our challenge?
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Ismaélisme : interaction dynamique entre histoire et pensée : vision originale de l'homme / Ismaili : dynamic interaction between history and thought : original vision of mankind

Debiyat, Fayad 04 November 2016 (has links)
Le chiisme est contrairement au sunnisme, s’appuie sur une théorie ésotérique qui met en avant la question de l’imamat en islam, alors que le sunnisme s’appuie essentiellement sur les textes et la tradition prophétique. Selon des critères historiques, le chiisme comprend d’autres branches qui ont finalement imposé deux grandes écoles chiites ; la duodécimaine (chiisme de l’Iran actuel), et l’ismaélisme. Ce dernier présente une pensée fondée non seulement sur l’imamat, mais aussi sur la charia sunnite avec une interprétation ésotérique. Cela a contribué à mettre en place une pensée qui dépasse les limites de la religion en tant que telle. L’ismaélisme se présente alors, dès son apparition intellectuelle « physique », avec les Épîtres des Frères de la Pureté, vers le début du Xème siècle, comme un courant de pensée philosophique ésotérique « bāṭinīya ». Ce courant tente de comprendre l’existence dans sa relation avec la religion. De ce point de vue, plusieurs questions, auxquelles nous avons tenté d’y répondre tout au long de ce travail de recherche, se posent : quelle est la place des événements historiques dans l’interprétation ésotérique ? Quelle est la place de l’Homme par rapport à tout ce qui l’entoure comme phénomènes matériels et spirituels ? En effet, selon cette pensée, rien n’échappe à un système cyclique construit divinement. Ainsi, partant de l’histoire ismaélienne et de sa signification, d’après cette pensée elle-même, l’Homme prend la place principale et devient le but de tout développement matériel et spirituel. La première partie de ce travail donne un panorama historique afin de situer l’Ismaélisme au sein des différentes branches et écoles, et par rapport aux autres religions. Ensuite, la deuxième partie, tend à comprendre cette pensée en essayant de suivre ce qui a été préconisé par les émissaires ismaéliens tout en développant une réflexion personnelle sur l’influence de cette méthode sur les individus. Enfin, la dernière partie montre le dynamisme de cette pensée qui n’est ni figée ni immobilière du point de vue exotérique. En effet, l’existence d’un imam vivant permet de guider les adeptes selon le changement du monde tout en continuant à interpréter la foi. En somme, l’histoire a une interprétation qui dépasse les faits historiques eux-mêmes pour une compréhension d’un système céleste construit d’une manière très rigide et ponctuelle. Ce système complexe est le miroir du corps humain. Partant de cette idée, toute science pourrait être abordée et interprétée selon ce système. / Shiism, unlike Sunnism, is based on an esoteric philosophy placing primary importance on the role of Imamat in Islam, while Sunnism is based primarily on texts and prophetic tradition. Shiism also includes other branches - according to historical criteria - that eventually prompted two major Shiite schools; Twelver (Shi'ism of Iran today), and Ismailism. The latter is a school of thought based not only on the Imamat, but also on the Sunni Sharia with an esoteric interpretation. This helped put in place thought beyond the limits of religion as such. Ismailism appears from its intellectual “physical”, appearance, by the Epistles of the Brethren of Purity, around the beginning of the tenth century, as a stream of esoteric philosophical thought "bāṭinīya". This thought attempts to understand existence in its relationship with religion. From this perspective, several questions arise: what is the place of historical events in the esoteric interpretation? What is the place of mankind in relation to everything that surrounds it as material and spiritual phenomena? According to this thinking, nothing escapes a cyclical system that has been divinely built. Thus, starting from Ismaili history and its meaning, according to this thinking, mankind takes the “main stage” and becomes the purpose of all material and spiritual development. The first part of this work provides a historical overview to locate Ismailism within different branches and schools, and in relation to other religions. Then the second part, attempts to understand Ismaili thought, following what was recommended by the Ismaili emissaries while developing a personal reflection on the influence of this framework on individuals. Finally, the last part demonstrates the dynamism of this thought that is neither frozen nor inflexible, from an exoteric point of view. Indeed, the existence of a living Imam helps guide followers, according to changes in the world while continuing to interpret the faith. To conclude, history provides an interpretation that goes beyond the historical facts alone, for an understanding of a celestial system constructed in a very rigid manner and at a very particular point in time. This complex system is a mirror of the human body. Starting from this idea, science can be addressed and interpreted according to this system.
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Le soufisme au Mali du XIXème siècle à nos jours : religion, politique et société

Boly, Hamadou 24 June 2013 (has links) (PDF)
La plupart des historiens maliens considèrent le Vllème siècle de l'ère chrétienne comme la date de l'avènement de l'islam au Mali, alors que le soufisme n'y fit probablement son apparition qu'à partir du XVème siècle. Cette apparition soufie se caractérise alors par des pratiques individuelles et disséminées ici et là. Il faut donc attendre l'aube du XIXème siècle pour voir une véritable émergence du soufisme et une large expansion de l'islam avec les efforts déployés par Sïdï al­ Mubtar al-Kabïr, l'instauration de l'Etat musulman du Macina et le gihëid lancé par al-ijag 'Umar. Les deux voies spirituelles, Qadiriyya et Tiganiyya entreront en opposition, mais feront résistance à l'intrusion coloniale dans le pays. Après l'indépendance du Mali, en 1960, les soufis participeront activement à la vie politique et sociale du pays. Enfin les soufis maliens sont à l'origine de maintes œuvres intellectuelles destinées à faire connaître leur voie spirituelle.

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