• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 9
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 12
  • 12
  • 6
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Antonin Proust (1832-1905), député, ministre et défenseur des arts / Antonin Proust, member of parliament, minister of fine arts, protector and defender of arts

Vautrin, Bruno 25 September 2017 (has links)
Antonin Proust (1832-1905), homme politique, ami des artistes, historien, critique et salonnier, joua un rôle politique et culturel important. La vie de ce républicain libéral est un plaidoyer pour la défense des arts au service de la République. Il lie étroitement structure économique et institutions artistiques soutenant sans cesse les arts utiles. Son but est économique : former des artistes au service de l’industrie. Il crée des écoles d’art et favorise l’introduction du dessin dans les programmes scolaires. Rapporteur du budget, il soutient la protection et le développement des arts. La réunification des arts qu’il prône aboutit à la création du ministère des Arts. Protecteur des arts, il participe à la fondation des musées de sculpture comparée et des arts décoratifs et crée l’école du Louvre pour former des conservateurs. Achetant pour l’État les œuvres de Millet, Courbet et Manet, il promeut des artistes insoumis à l’Académie et s’affirme comme le promoteur d’œuvres polémiques. Organisant des expositions à la gloire de Courbet ou Manet, il prône l’audace, l’individualité, la liberté, le naturalisme. Véritable propagande artistique, industrielle et politique, l’Exposition universelle de 1889 qu’il organise concrétise ses ambitions, il y rassemble beaux-arts et arts industriels. L’art nouveau y prend racine et rayonnera en 1900. Ses succès n’ont pas permis à Proust d’entrer dans l’histoire, mais son action a porté ses fruits dans la pérennité des structures dont il a défendu la création ou dans l’explosion des arts décoratifs et du marché de l’art. / Antonin Proust (1832-1905), political figure, friend of the artists, historian, critic and salonnier, played an important political and cultural part. The life of this liberal republican is a plea for the protection of arts in the service of the Republic. He connects economic structure with artistic institutions and constantly advocates the useful arts. His aim is economic: to train artists in the service of the industry. He creates art schools and encourages the introduction of design at school. As budget rapporteur, he supports the protection and the development of arts. The unification of the arts which he advocates results in the creation of the ministry of the Arts. Advocate of the heritage, he takes part in the foundations of the Musée de sculpture comparée, of the musée des Arts décoratifs, and founds the École du Louvre to train curators. Buying for the State the works of Millet, Courbet and Manet, he promotes rebellious artists, unruly to the Academy of fine arts, and emerges as a partisan of controversial works. Organizing exhibitions to the glory of Courbet or Manet, he advocates boldness, individuality, freedom and naturalisme. Real artistic, industrial and political propaganda, the World Fair of 1889 which he organizes concretizes his ambitions. He gathers fine arts and useful arts. The Art Nouveau takes root there to blow up in 1900. His successes did not allow Proust to enter the history, but his action bore fruits in the sustainability of the structures he defended the foundation of or in the boom of craft arts and of the art market.
12

Des arts décoratifs aux arts industriels: contribution à la genèse de l'Art Nouveau en Belgique, 1830-1893

Leblanc, Claire 13 May 2005 (has links)
Des arts décoratifs aux arts industriels. Contribution à la genèse de l’Art Nouveau en Belgique. (1830-1893)<p><p>Thèse réalisée sous la direction de M. Michel Draguet et présentée en vue de l’obtention du titre de Docteur en Histoire de l’Art.<p><p>Bruxelles, janvier 2005.<p><p><p>Dès la fin du XVIIIe puis tout au long du XIXe siècle, le secteur décoratif connaît une mutation profonde sous l’impulsion de la Révolution industrielle. La production décorative, jusqu’alors issue d’un artisanat de longue tradition, se développe désormais également dans le registre industriel (production et diffusion à grande échelle). Cette nouvelle situation est la source d’un renouvellement important quant à la nature des disciplines décoratives, aux missions qui leur sont assignées ainsi qu’à l’organisation générale du secteur. <p>L’étude présentée sous le titre susmentionné vise à observer l’impact de ce bouleversement sur le secteur industriel belge durant le XIXe siècle, depuis la fondation du pays en 1830 jusqu’au moment d’éclosion de l’Art Nouveau en 1893, amorçant une nouvelle phase d’évolution du secteur.<p>Notre étude vise dès lors à établir une nouvelle lecture de l’évolution décorative belge de cette période. Au-delà des manifestations stylistiques, majoritairement passéistes tout au long du siècle, le secteur connaît une mutation profonde s’opérant autour de nombreuses interrogations quant à ses nouvelles orientations et ses nouveaux objectifs. La question de l’équilibre délicat entre la nouvelle nature industrielle et le caractère artistique de la production décorative en constitue le point central. Nous décelons deux phases clefs dans l’évolution de cette problématique. Dans un premier temps (durant la première moitié du XIXe siècle) deux catégories distinctes – l’une nouvelle, l’autre ancienne – cohabitent désormais au sein du seul secteur décoratif :d’une part un « art industriel » moderne aux missions sociales, d’autre part un « art décoratif » traditionnel et généralement luxueux. Si les objets produits dans les deux registres répondent communément à une destination utilitaire, leur rapport au « Beau » s’oppose. Dans un deuxième temps (durant la seconde moitié du XIXe siècle) – et suite à l’Exposition universelle de Londres de 1851 qui mettra à jour les limites de la situation développée durant la première moitié du siècle –, la majorité des acteurs du secteur ambitionneront la dissolution de cette dichotomie par la fusion de ces deux registres. L’alliance de l’art et de l’industrie constituera effectivement l’objectif principal d’une large partie du secteur décoratif belge de l’époque. Deux chantiers principaux viseront à l’accomplissement de cet objectif :d’une part, la réforme de l’enseignement décoratif et d’autre part, la création d’un musée d’arts décoratifs et industriels.<p>Ce cheminement révélera, simultanément, la nécessité d’une réforme stylistique. Celle-ci est alors conçue comme un aboutissement des deux principaux chantiers…….<p><p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.1607 seconds